Et si les électeurs étaient consultés pour décider de la politique migratoire de la France ? L’idée d’un référendum fait son chemin à droite. Mieux, selon le sondage Ifop que nous publions, 76 % d’entre eux y sont favorables.
Emmanuel Macron, le chef d’État lui-même, recommande de lire Stephen Smith, qui affirme dans son dernier ouvrage (la Ruée vers l’Europe, Grasset) que notre vieux continent « va s’africaniser ». Son ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, évoque de son côté « des régions qui sont en train de se déconstruire parce qu’elles sont submergées par le flux des demandeurs d’asile ». Rarement, dans les mots, le pouvoir n’aura semblé saisir, avec plus de justesse et d’acuité, l’ampleur du phénomène et la tragédie qui nous menace, donnant raison aux plus pessimistes de nos Cassandre et aux prophètes du « grand remplacement ». La démographie africaine ? Écoutons encore ce que nous dit Emmanuel Macron. C’est « une véritable bombe », diagnostique le président. « Il faut bien le dire », ajoute-t-il, comme si cette réalité avait été longtemps minorée, sinon cachée ou tue par nos dirigeants.
« C’est du Hollande en pire »
Pourtant, dimanche soir, après que l’Assemblée nationale a voté en première lecture la loi asile et immigration défendue par le gouvernement, le sentiment était grand, parmi ceux qui avaient participé au débat parlementaire, que, loin de répondre aux urgences de notre temps, la majorité présidentielle était passée à côté de son sujet. Valérie Boyer, la députée LR des Bouches-du-Rhône, ne cachait pas son amertume et cette « impression de vivre au pays des Shadoks ». « Ce que l’on fait d’un côté, on le détricote de l’autre », expliquait-elle sans détour dans l’Hémicycle. Fin connaisseur de ces problématiques migratoires, Guillaume Larrivé, le député LR de l’Yonne, jugeait quant à lui que ce texte marquait « une étape de plus, discrète, du désarmement de la France face à la menace terroriste ».
Au mieux, à entendre les dirigeants de la droite, c’est un texte qui ne sert à rien, parce qu’il « ne comporte aucune mesure sérieuse qui permette de réguler l’explosion de l’immigration », condamne Laurent Wauquiez, le président des Républicains. Le plus souvent, comme nous le confie Christian Jacob, le président du groupe parlementaire LR à l’Assemblée nationale, « c’est du Hollande en pire ». Il est vrai que le gouvernement, pour tenter de répondre au procès en inhumanité qui lui était fait par La France insoumise et l’aile gauche de sa majorité, s’est employé à donner nombre de gages pour les contenter. C’est l’élargissement du regroupement familial aux mineurs isolés, l’assouplissement du délit de solidarité, qui va, selon Jacob, « transformer les No Borders en des Uber » de l’immigration clandestine.
Les Républicains, le Front national, Debout la France, les partis de droite dans leur ensemble, n’ont pas été avares de propositions ces derniers jours. En pure perte. Aucun de leurs amendements n’a été voté par la majorité LREM. Dès lors, que faire pour que cette opposition ne demeure pas stérile ? Que faire pour que les propositions qu’ont formulées tour à tour Marine Le Pen, Laurent Wauquiez et Valérie Pécresse, la présidente LR de la région Île-de-France, qui a présenté son contre-projet pour « retrouver la maîtrise de notre politique migratoire » comme pour marquer à la culotte le patron des Républicains sur un sujet qui polarise l’attention de l’électorat de droite, ne restent pas lettre morte ? Attendre une hypothétique alternance, alors que pour la seule année 2017, 262 000 titres de séjour ont été délivrés et que l’immigration clandestine va toujours plus galopante… ?
Emmanuel Macron a plus à craindre d’un tel référendum que d’une éventuelle union fantasmée des droites
Anticipant cette impasse politique, Nicolas Dupont-Aignan, le président de Debout la France, a, le premier, avancé l’idée d’un référendum d’initiative partagée sur l’immigration, avant que Laurent Wauquiez ne reprenne à son compte cette proposition. Comment imaginer que, sur un sujet aussi important sinon vital pour le devenir du pays, les Français ne puissent s’exprimer, alors que ces questions migratoires trustent notre actualité ? « C’est aux Français de décider qui entre en France et pas aux passeurs. Les Français ont le droit de choisir et de s’exprimer sur les questions d’immigration », avance Laurent Wauquiez, sans crainte d’être démenti par l’opinion.
Comme le montre le sondage Ifop que nous publions en exclusivité cette semaine, 76 % des Français souhaitent être consultés par référendum pour donner leur avis sur la politique migratoire de la France : 83 % des sympathisants LR et 88 % des sympathisants du Front national sont favorables à cette mesure. Il n’est pas jusqu’aux soutiens de Jean-Luc Mélenchon, soucieux de plus de démocratie participative, qui ne demandent massivement son organisation : 93 % des sympathisants de La France insoumise sont favorables à un référendum sur la politique migratoire de la France. Seuls les sympathisants du PS (68 %) et ceux de La République en marche (61 %) manifestent moins d’enthousiasme, encore qu’une grande majorité d’entre eux ne se montrent pas opposés à ce référendum. Un plébiscite !
Les Français rêvent de s’exprimer sur la politique migratoire que devrait conduire le gouvernement. Le pouvoir en place est, lui, beaucoup moins enthousiaste. D’autant plus qu’à lire les enquêtes d’opinion qui se succèdent sur le sujet, les Français se montrent souvent radicalement opposés aux mesures défendues par leurs dirigeants. Dans la dernière enquête de l’Ifop pour l’Express parue en décembre 2017, 64 % des Français jugent que le rythme de l’immigration en France s’effectue à un rythme trop élevé ; 56 % d’entre eux sont opposés à l’obtention automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers ; 57 % d’entre eux sont favorables à la suppression du regroupement familial. Comment ne pas mesurer l’immense décalage entre les aspirations des Français et les politiques menés par nos dirigeants ? Aussi n’est-il pas étonnant que le chef de l’État se soit gardé de réagir à l’annonce de Nicolas Dupont-Aignan et de Laurent Wauquiez d’en appeler à l’organisation d’un référendum d’initiative partagée. Emmanuel Macron a plus à craindre d’un tel référendum que d’une éventuelle union fantasmée des droites…
Mais la tâche s’annonce ardue pour les promoteurs de cette initiative. Jamais, depuis sa promulgation par François Hollande en décembre 2013 et son entrée en vigueur le 1er janvier 2015, l’article 11 de la Constitution n’avait été invoqué, ni même utilisé par aucun élu ou parlementaire. Non sans raison…
Parcours du combattant
Voulue par Nicolas Sarkozy, qui pendant sa campagne présidentielle de 2007 avait promis d’instaurer un référendum d’initiative populaire sur le modèle de la votation suisse, la mesure ne sera pas retenue par le gouvernement Fillon dans le projet de loi de modernisation des institutions. Signe de l’embarras du pouvoir, habile à promettre toujours plus de démocratie mais méfiant des humeurs de son peuple et vacciné contre le recours au référendum après le refus massif des Français de la Constitution européenne en 2005, cette proposition sera réintroduite à la faveur d’amendements parlementaires. Au passage, le référendum d’initiative populaire aura été vidé de sa substance et transformé en un référendum d’initiative partagée.
Dans les faits, l’initiative n’est plus citoyenne. Quand, à l’origine, 10 % du corps électoral pouvaient saisir le législateur d’un problème, désormais, ce sont aux parlementaires de donner l’impulsion. Un cinquième des parlementaires doit porter cette initiative. Soit 185 d’entre eux. Un quorum que LR (qui disposent d’un groupe de 102 députés à l’Assemblée nationale et de 145 au Sénat) pourraient atteindre sans même le concours du Front national et de Debout la France… Encore n’est-ce qu’une étape !
La proposition des parlementaires est alors transmise au Conseil constitutionnel, qui, après déclaration de sa conformité, organise la collecte des pétitions d’électeurs : 4,6 millions de signatures, représentant 10 % du corps électoral, doivent être réunies en neuf mois avant que les deux chambres n’entérinent dans un délai de six mois la proposition de référendum. Si les parlementaires traînent, Emmanuel Macron est alors dans l’obligation d’organiser ce référendum. Un parcours du combattant. « C’est de l’ordre du possible », avance prudemment Christian Jacob, qui confesse avoir été pris de court par la proposition de Laurent Wauquiez. Reste désormais à savoir si l’opposition, au-delà des effets d’affichage, veut aller jusqu’au bout de cette démarche.
Source : Valeursactuelles.com
Le titre de l’article révèle à lui seul que nous vivons une nouvelle forme de dictature. Impitoyable ou pitoyable ou les deux?
Dictature, au visage de démocratie…
Si la droite tenait le bon bout et mettait toutes ces forces dans la balance pour pousser à ce référendum…Si les gens descendait dans la rue pour exiger…
Mais ces choses ne se passeront pas, notamment parce-que une partie non négligeable de la droite est en fait aux ordres du pouvoir. Le Front National par exemple, qui est une création de Mitterrand, précisément pour “tenir le terrain a droite” et éviter qu’un réveil citoyen soit envisageable. Après, il y a aussi la droite de gauche, avec Ali Jupe et son identité heureuse…
D’autre part, le projet de référendum sera dynamité, détruit médiatiquement, dans les plus brefs délais. L’expression “populisme” cette arme de lavage de cerveau, sera utilisée sans ménagement, les expressions toutes prêtes, “prêt a penser” c’est à ça que ça sert.
Les responsables politiques préfèrent attendre le GRAND REMPLACEMEMNT qui arrivera automatiquement tôt ou tard si rien n’est entrepris.
L’empereur Macron est un vrai dictateur, c’est au PEUPLE de décider la politique à suivre au sujet de l’immigration massive. Donc il faut un référendum POPULAIRE.
Absolument, car démocratie = peuple. Facile de critiquer les pays où règnent une dictature. Là où le peuple n’a rien à dire et n’est jamais consulté sur les thèmes les concernant, point de démocratie.
Si Démocratiquement, et en tant que Républicain, on considère indéniablement que dans son intégralité : “SEUL LE PEUPLE EST VÉRITABLEMENT SOUVERAIN”, alors on a absolument pas besoin d’aucune sorte de fantoche et encore bien moins de dictateur aux gouvernes de la présidence de la République Française. Autrement, pourquoi ne pas aller voir ailleurs, messieurs les empapaouteurs.
il fallait bien réfléchir en mai 2017…..
Et alors, parce que certains ont mal voté, se sont fait entuber par la même occasion, on n’aurait pas le droit de tenter de réparer les dégâts !
Donc si on comprend bien, un tel référendum pourrait être organisé, dès lors que 10% du corps électoral, soit 4,6 millions de Français, signent une pétition en ce sens.
Oui mais… à condition que les parlementaires soient d’accord. C’est là que ça se corse :
“C’est de l’ordre du possible, avance prudemment Christian Jacob, qui confesse avoir été pris de court par la proposition de Laurent Wauquiez.”
Ça promet… Bah oui, forcément, quand on sait la défiance des politiciens, de droite en l’occurrence, envers les électeurs, suite au refus par les Français de la Constitution européenne en 2005.
Cette droite est-elle une vraie droite ? Va-t-elle prendre les moyens que met la Constitution à sa disposition pour organiser ce référendum voulu par les Français ?
Ou allons-nous encore une fois avoir la démonstration que nous avons la droite la plus bête – et une des plus hypocrites – du monde ?
En tout cas, si les parlementaires ne font rien, il faudra s’en souvenir !
Jacques Ady,
Vous avez tout dit…
C’est exactement cela…
Il y a longtemps que je n’ai plus confiance aux politiques de tous les bords, qui ont prouvé depuis trop longtemps, qu’ils n’en ont rien à faire du peuple…
Si on attend toujours que ça bouge, ça ne bougera jamais car la droite est comme la gauche, tous vendus aux mêmes… mais le pire étant :
C’est le peuple qui trinque!!!
Un référendum, oui, mais si le pourcentage n’est pas à l’avantage du gouvernement pro-immigrations massives (majoritairement musulmanes qui plus est, lesquelles, par définition ne pourront, car ne le voudront pas,ormis une petite quantité, s’intégrér, comme le prouvent les descendants des immigrations passées qui nous plongent dans un chaos croissant indescriptible), alors, comme d’habitude, il ne sera pas tenu compte des avis émis… De plus, je reste toujours dubitative sur les moyens employés pour les sondages, consultations…, car, lorsque l’on dit que l’on demande l’avis des Français sur un sujet particulièrement sensible, il va de soi que dans le nombre des sondés se trouvent des français issus de l’immigration, qui, donc, nous sommes en mesure de le penser, ne peuvent- être que POUR l’immigration, le regroupement familial,le droit du sol,etc. Alors, à moins de nous annoncer que d’un coup de baguette magique il n’y a plus : de chomeurs, de crise du logement, refus d’intégration…, on pourra peut-être porter un regard nouveau et revoir nos positions. En attendant cet improbable miracle, il est temps de tenir compte de notre avis et de stopper le massacre !!!
et étant donné qu’ils ont donné le droit de vote aux étrangers, faire un référendum, oui, mais vous verrez le résultat… ce sera comme pour l’élection de MACRON… à un moment, il y a eu une panne informatique reliant tout, pendant un quart d’heure, puis un quart d’heure plus tard, MACRON avait gagné un pourcentage de voies venues d’on ne sait où…???
juste le temps qu’il fallait au niveau informatique pour tricher…
J’ai travaillé suffisamment longtemps dans un CTI (centre de traitement informatique) pour vous dire que c’est simple à faire…) juste une petite programmation!!!
Et ça s’est passé dans de nombreux bureaux de votes…
Il ne faut pas rêver, le peuple Français vote mal, alors il n y aura pas de référendum, Sarkozy a montré la voie, ce sont le gouvernement et les députés qui décident pour nous, ils ont juste besoins de notre bulletin de vote pour ensuite nous rouler dans la farine.
Absolument, le référendum n’a pas bonne presse chez les politiques vu que les françaises ont une tendance à mal voter.
Et puis que voulez-vous on va pas laisser le peuple décider, le peuple cet ignorant qui ne comprend rien aux subtilités de la politique et qui s’obstine à dire non quand on lui demande de dire oui.
Donc pas de consultation populaire
Azoi : je confirme je vote pour Marine depuis quelques années donc je vote mal …. je ne sais pas ce que je fais …. c’est dangereux pour mon pays ….. le FN est composé d’affreuses personnes qui ne sauront pas gérer le pays car elles refusent de recevoir plus d’immigrés qui apportent la richesse la sécurité et la paix ! Comment font donc « la majorité des pays » dans le monde qui osent avoir une autre politique d’immigration que la nôtre ? Tous les mous du genoux qui nous gouvernent depuis des décennies doivent bien se marrer de voir que nous votons toujours pour eux de peur d’avoir le diable au pouvoir « c’est vrai qu’aujourd’hui c’est la fête tous les jours au village »
Ghysly44
Je me retrouve dans votre commentaire.
Par contre, il faudrait que le FN, MLP en particulier, retrouve un peu de panache.
@ Ralph : je suis bien de votre avis mais ça ne fait rien je continuerai à voter pour elle c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour montrer aux humanistes islamistes que je ne suis pas d’accord avec leur politique qui devient inquiétante ….. de plus je constate que je ne suis pas la seule ….. l’europe aussi commence à renâcler il est grand temps !
@ Ralphe et Ghysly44 : je suis comme vous, je vote également MLP, après tout on ne l’a jamais vu en action, ses idées sont les miennes… alors on nous dira que c’est pas bien???!!!! Mais ceux qui ont été élus jusqu’à présent, ils ont fait quoi au juste??? ils ont détruit notre pays…
Alors continuons, comme nous le faisons et on verra bien, car si ce sont toujours cette droite et cette “gôche” malfaisantes… nous ne sommes pas prêtes de nous en sortir!!!
Et plus ça va, et plus les gens en ont marre d’être au final : les dindons de la farce…!!!!
Les restant de Néandertaliens qui ont été copiés par les africains(les homos erectus) :
https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/anthropologie/neandertal-premier-peintre-de-l-humanite_121540
…..et non l’inverse vont subir leur disparition définitive de part leur cycle de reproduction plus lent (et ce qu’il en reste).
=>On est en train de connaître la deuxième extinction de masse de la branche la plus évoluée des hominidés.
les pays bas ont bien interdit le référendum d’initiative populaire!
ils ne peuvent pas dissoudre le peuple, ils l’ignore donc, et le remplacent progressivement
avis aux veaux qui ont voté pour ces gens là
“C’est « une véritable bombe », diagnostique le président. « Il faut bien le dire »
C’est pour ça que sa nouvelle loi prévoit le regroupement de l’intégralité de la famille au lieu des seuls parents pour les mineurs isolés (dont 80% sont majeurs d’après un rapport du sénat).
La bombe, c’est lui qui vient d’allumer la mèche.
Joël, “C’est une véritable bombe” à retardement. Cela risque de faire mal, très mal.
EN France
tu as le SMIG/RSA/ LES ALOC/RETRAITE sen avoir cotisé / école gratuite/ vacance gratuite par la caf/ médecine gratuite/// transport gratuit / voiture dépannée avec un chèque de la mairie /et la maison gratuite ///
YA BON LE BLANC ////
et dans leur BLED tu as rein et de plus quand tu arrives a l’hôtel ils te volent de A Z ////
Tout pour eux, rien pour les Français, les VRAIS…
Sans oublier la possibilité de gagner beaucoup via les trafics divers et variés, avec peu de risques d’être sévèrement puni si tu te fais prendre. Ya pu d’place au gnouf et souvent les juges y sont sympas.
Le rêve.
Je croyais que “démocratie” signifiait “pouvoir du peuple” . Je dois avoir mal compris.
Vous avez bien compris!
Appliquez strictement le droit international , en l’espèce le traité de Saint-Clair sur Epte, passé à l’automne 911 entre Charles III et le chef viking Rollon, acte fondateur de la Normandie, traité aux termes duquel tout étranger pénétrant sur le sol national bénéficie de la protection du roi de France, à la condition, d’abord, de lui faire allégeance, enfin, de se faire baptiser ; de la sorte, non seulement le catholicisme était érigé en religion d’État, mais encore et surtout était exclue toute religion exogène régissant la vie, religieuse et profane, à l’instar de la charia ; il sera notamment observé que ce traité, toujours en vigueur, est l’un des piliers de notre droit positif ; il permet, à lui seul, à l’instar de la Convention de Vienne du 18 avril 1961, de réputer « persona non grata » tout étranger déclinant cette double observance, et d’en ordonner la reconduite manu militari à la frontière . Fermez le ban !
Chers amis européens lecteurs de Dreuz, vous n’êtes pas sans savoir que l’immigration musulmane et l’islamisation de l’Europe a été VOULUE et DÉSIRÉE par NOUS-MÊME. En effet en signant les accords EURO-ARABE de Strasbourg du 7/8 juin 1975 avec comme représentants et rédacteurs de ces accords, la France, la Belgique et si je ne me trompe pas le Luxembourg. Ceci a été fait suite à la crise pétrolière qui a vu les prix du pétrole quadruplés et pour certains pays les robinets coupes. La main d’oeuvre DEVAIT être prise dans les pays arabes et il n était pas de changer quoi que soit de leurs coutumes. L’Islam ferait partie du paquet cadeau. Vous trouverez ces accords sur Internet en arabe, anglais et français.
Tout cela est connu sur Dreuz, avec notamment les travaux et écrits de Mme Bat Y’eor : ces accords portaient le nom d’ “Eurabia”.
Immigration massive en provenance des pays musulmans, favoritisme envers l’islam dans nos pays, et soutien à la pseudo-cause “palestinienne”, dont l’objectif réel est de nuire à Israël, dont les Arabes et les musulmans n’ont jamais accepté la (re)création, en 1948, au coeur de ce qu’ils estiment être à tout jamais le dar-al-islam.