Publié par Christian Larnet le 2 mai 2018

Plusieurs pensionnaires d’un foyer pour mineurs étrangers isolés se sont révoltés et ont détruit un centre d’asile à Nantes. Pourquoi ? Parce que l’argent qui leur était donné par le département de Loire-Atlantique leur servait à dealer de la drogue, et que l’administration a décidé, à la place, de leur fournir des repas.

Le foyer où ont eu lieu les violences se trouve quartiers sud, à Nantes. La révolte a éclaté dans un foyer pour mineurs étrangers isolés (qui sont arrivés en France sans leurs parents, mais il existe un doute sur le fait qu’ils soient tous vraiment mineurs) à Nantes.

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Plusieurs d’entre-eux, pour remercier la France de leur avoir ouvert les bras et de les avoir accueilli comme des princes, blanchis nourris et logés gratuitement, et avec de l’argent de poche en prime, se sont mis à casser des vitres, les meubles et les ordinateurs. La police a du intervenir.

La raison de leur colère ? La décision du conseil départemental qui les prend en charge au lieu d’aider les Français dans le besoin, et qui a compris qu’une partie de l’argent qu’il leur était donné chaque mois servait à acheter de la drogue pour la revendre.

Oui, les 300 euros versés chaque mois servaient à des achats beaucoup moins légaux que de la nourriture.

Jusqu’ici, le département de Loire-Atlantique versait tous les mois 300 euros à chaque migrant de ce foyer où, les pauvres, ne bénéficient pas de la restauration : ils sont obligés d’aller acheter à manger, et il n’est pas question de leur demander de travailler ! Cette somme servait à des achats illégaux – de la drogue pour en faire le trafic – ce qui ne les dérangeait en rien, peut-être même qu’ils étaient déjà dealer dans leurs pays d’origine : les immigrationnistes interdisent qu’on se pose la question sous peine d’être catalogué islamophobe. Il a donc été décidé de leur fournir quotidiennement des repas et de ne verser en espèces que 60 euros à chacun d’entre-eux.

Certains ne l’ont pas accepté, se sont rebellés et ont déclenché une violente émeute.

Les policiers qui sont intervenus à la demande du responsable du foyer ont été la cible de jets de projectiles avant de parvenir à rétablir l’ordre. L’un des mineurs, qui s’était suspendu dans le vide à dix mètres de haut, a finalement été maîtrisé sans qu’il ne se blesse.

Sept migrants en garde à vue

Sept ont été placés en garde à vue. Ils sont convoqués mi-juillet devant le juge des enfants, qui leur donnera une petite tape sur les doigts.

Le directeur du foyer a déposé plainte, la sécurité du foyer a été renforcée, et ce sont les Français qui payent.

 

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