Le mythe du déluge, de la montée des eaux et de l’arche de Noé symbolise dans la Bible, et dans l’Antiquité, le mythe de la destruction et de la renaissance de l’humanité qui se vautre dans le vice et le péché.
Un fait est désormais établi : le penchant au vice qui caractérise l’humanité la menace sans cesse davantage de sombrer dans le péché et de commettre de plus en plus de crimes contre l’ordre juste.
L’évocation du mythe de l’âge d’or est suivie de l’épisode du déluge qui devait détruire l’humanité corrompue avant de la faire renaître à partir des hommes justes afin que la race de ses enfants ne s’éteigne pas. Le mythe relie l’épisode du déluge qui résulterait directement de la déréliction à laquelle l’humanité serait parvenue de manière abominable. À l’époque, les mœurs des humains étaient devenues calamiteuses, ce qui a montré jusqu’où avait sombré l’humanité. Partout où régnaient les assassins et les voleurs, les hommes méprisaient l’ordre du monde juste instauré par les dieux. C’est toute la planète qu’il fallut débarrasser du genre humain corrompu. Et le châtiment mérité, ce ne pouvait être que le déluge et la montée des eaux qui devait détruire l’humanité. C’est donc à la montée des eaux qu’est confiée la mission de faire périr l’humanité.
Les dieux avaient pris soin d’enfermer les vents qui chassent les nuages, ceux-là même qui sont chargés par les dieux d’apporter le beau temps et l’air chaud. Ils lâchent en revanche les airs humides lourds de nuées ténébreuses gorgées de l’eau qui commence à tomber du ciel en gouttes épaisses et lourdes. Ils font sortir les rivières de leur lit et ils vont en même temps déchaîner les vagues géantes des océans.
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Bientôt la terre entière est recouverte d’eau et on peut voir des villes encore intactes sous les eaux. Hommes et animaux sont engloutis (sauf les poissons !) et même les oiseaux fatigués de voler au-dessus des mers infinies finissent par être engloutis. Même ceux que les eaux auraient pu épargner vont mourir de faim, car il ne reste plus aucun aliment, issu de la terre nourricière submergée, qui pourrait les nourrir.
Tout le monde est mort, sauf les justes du mythe qui ont été préservés de la destruction totale du genre humain. Va-t-on laisser la planète en partage aux seuls animaux sauvages ? Mais qui s’occupera de préserver la planète s’il n’y a plus d’hommes sincères, justes et honnêtes pour s’en préoccuper ? Ce sont des êtres simples qui ont le cœur pur et qui vivent loin du péché en honorant les dieux et en respectant l’ordre du monde. Malgré cela, sans les hommes, qui peut croire que la planète tout entière serait vouée à la mort ?
Si l’ordre climatique était parfait, s’il était caractérisé par un équilibre immuable et sans faille, alors c’est tout simplement la vie, le mouvement de l’histoire, et aussi le temps qui s’arrêteraient. C’est pourquoi le chaos primordial et les forces climatiques qu’il ne cesse d’engendrer ne peuvent disparaître totalement.
L’humanité malgré tous ses vices ne peut disparaître vraiment car elle est indispensable à la vie de la planète. Voilà pourquoi dans le mythe les dieux ont choisi d’épargner des hommes justes. Ce sont des êtres d’exception qui doivent permettre à l’humanité de revivre grâce à l’espèce humaine reconstruite sur des bases justes, saines et solides. Comment survivre après la catastrophe et surtout comment restaurer l’humanité perdue ? Pour cela il faut adopter une conduite rituelle juste, simple et honnête, de soumission aux dieux.
Il s’agit d’une attitude d’humilité et de respect, tout le contraire du péché qui a conduit l’humanité à sa perte. La nouvelle humanité sera une race saine et solide, dure à la tâche, à l’effort, à l’épreuve de la fatigue et résistante comme le rock face à l’adversité, à la souffrance et au malheur.
La vie reprend son cours. Sous les feux du soleil, la terre gorgée d’eau se réchauffe, les animaux recommencent à naître et sortent à la lumière pour s’épanouir en êtres innombrables, comme des espèces anciennes disparues qui sont renaissantes et comme des espèces nouvelles appelées à repeupler la planète.
Le monde est à nouveau En Marche. L’ordre climatique échappe désormais au chaos et aux troubles qui le menaçaient. C’est le chaos, qui risquait à tout instant de ressurgir par le fait d’une humanité plongée de toutes parts dans le vice, qui a fait que les espèces mortelles avaient totalement disparu.
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Où l’on voit que c’est seulement maintenant que la construction du climat est véritablement achevée.
C’est pourquoi les êtres humains doivent savoir se situer philosophiquement aujourd’hui par rapport au mythe catastrophiste grandiose de la montée des eaux et de l’extinction programmée du genre humain.
C’est aussi le mythe de l’univers globalement harmonieux et ordonné du climat de la planète que les péchés des êtres humains mettent en danger, alors qu’ils sont irrémédiablement voués à la mort.
La question est d’autant moins absurde que les découvertes de la science moderne donnent à penser que l’univers est organisé en écosystèmes et qu’il évolue vers des modes d’adaptation plus organisés.
Le désenchantement du monde selon certains est lié à la mort inévitable des êtres humains, mais non pas de l’humanité, ni même de la planète. La sagesse des hommes consiste à accepter l’hypothèse d’un ordre naturel supérieur, celui des dieux protecteurs, au sein duquel la survie de l’humanité offre l’occasion aux pauvres mortels que nous sommes de participer pleinement à la vie, mais seulement pour un temps limité.
Les prophéties du GIEC et le mythe de la montée des eaux témoignent ouvertement en faveur des mythes de l’écologie religieuse et des dogmes absolus de son catéchisme écolo-réchauffiste sectaire.
(adapté très librement de Luc Ferry, La sagesse des mythes, © Plon éditeur 2008)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
Si ces réchauffistes climato-fanatiques n’étaient que mythomanes, on pourrait leur pardonner. Mais une bande de faussaires sévit également dans leurs rangs :
La plupart des zones – notamment dans le sud-est asiatique, Thaïlande, Bangladesh etc. – où ils essayent de nous faire croire que l’eau monte sont en réalité des régions où la plaque terrestre a tendance à s’enfoncer.
Cela a été mesuré, et prouvé par des scientifiques.
L’immense ville de Bangkok, par exemple, est construite sur des terrains marécageux. Ce n’est pas l’eau qui monte, c’est le sol qui s’affaisse lentement.
Comme disait Mark Twain :
“Un mensonge bien raconté est immortel.”
j ‘ajoute que BKK s ‘enfonce car pour les besoins en EAU , on pompe la nappe
la seule prophétie qui je prédit est qui si l’iran a des bombes atomique alors des millions de personnes seront tuer par ses débiles de mollah + c’est vrai qu’il y a de la polution et ont pourrais faire mieux
L’âge d’or, mythe ou réalité antique (tout comme Hercule, un protozoaire bouffeur de microbe, reconstitué dans les années 1930 dans les environs d’Alger, Hercule défibrant alors l’alfa, autrement dit défibrant le monstre biologique que le Minotaure était).
Nécessité d’avoir des infos juste pour bien réfléchir.
Ci après extrait de lettre de L.B., lettre ayant temporairement traîné sur le net, l’ayant capté avant sa disparition :
Extrait de la lettre du Dimanche 28 février 1943 (chaque mot compte : né en 1880, à 3 ans il lisait le journal, à 10 ans le grec et le latin étaient déjà pour lui un jeu encouragé en cela par l’érudit curé du village qui l’a fait entrer au séminaire… d’avoir donc passé sa vie à approfondir les langues…)
Fixation de l’époque de l’Antiquité Sacrée
Comme la Papauté chrétienne et catholique actuelle, cette Antiquité eut deux phases :
1°) celle où elle exerçait à la fois le pouvoir temporel et spirituel, civil et religieux, où ayant tout découvers et fondé l’Ultra-Science, fondement de la Religion, en tout ce qui est accessible à l’humaine intelligence, et répandu la Civilisation Universelle, seule, elle était tout : âge d’or, comme tous les temps heureux, sans aucune histoire… que celle laissée, grâce à une géniale idée, par les monuments antiques et les langues de l’univers terrestre issues, déformées, d’une seule langue-mère, et sans lesquelles l’on nierait l’existence même de cette civilisation et de cette Ultra-Science religieuse. Ce qui est impossible à nier grâce au génie qui a confié le dépôt de ces Connaissances, de cette Science aux langues qui sont le Trésor des Connaissances sur-humaines antiques. Ainsi, tout homme, quel qu’il soit, négateur ou non, du fait qu’il s’exprime en n’importe laquelle des langues « modernes », débris informes des antiques, rend-il par là même hommage, sans s’en douter, à la vérité historique et ethnique, à l’existence même de ces Connaissances, dont la « Science » moderne n’a ni fait la découverte expérimentale, ni découvert ou même soupçonné que l’Antiquité religieuse, elle, en avait fait la découverte. Deux faits terribles doublement graves et accablants pour l’Ignorance « scientifique » moderne ! Quelle hilarante ironie !
2°) phase où réduite au Pouvoir spirituel, celui de la Religion, elle n’était plus que coexistente avec l’Antiquité profane ou laïque qui devait tout à la première, qui avait emprunté d’elle, par le culte public, quelques lambeaux de Connaissances (Gnose) et sa « civilisation » : exploration de la Terre entière, sciences, arts, agriculture, industrie, thérapeutique, etc. etc…
La première se perd dans l’infini des temps, non dans la « nuit des temps », temps non d’obscurité spirituelle, mais au contraire d’éclatante et rayonnante clarté, celle de la divine Lumière. Car l’Evolution (pure chimère imaginaire d’invention « matérialiste » sans aucune preuve) n’a pas été « progressive » mais « régressive ». La preuve en est dans la ruine morphologique et sémantique des langues réduites aux malheureux débris des langues « modernes » comparables aux débris des ruines architecturales des monuments du temps passé.
Incommensurablement antique elle-même, coexistante avec l’antiquité profane avec laquelle commence seulement l’Histoire : guerres politiques, économiques, sociales ; nationales et étrangères ; guerres civiles : assassinats pour le Pouvoir, etc… etc… La deuxième phase de cette Antiquité sacrée est partout connue et patente par les pompes de ses « Mystères » restés impénétrés et impénétrables (même pour le « scientifisme » de nos jours), ses « Rites », ses « Temples » (ceux de Delphes en Grèce, comme ceux de Karnak en Egypte ou ceux d’Angkor en Indo-Chine) ; ses « Fêtes » et son « Culte Public » (Liturgie). C’est ainsi que les mythes et mystères Égyptiens d’Isis et Osiris avaient troublé à ce point le récent Plutarque (notre contemporain) qu’il a compilé un amassis fameux de dires légendaires ou réels.
Toute cette antiquité d’emprunt n’est pas « antique » mais récente. La « Civilisation » Egyptienne, celle des hiéro-glypes « sacrées-gravures », erreur des castes sacerdotales n’ayant plus rien à apprendre et à faire, qu’à contrefaire l’Œuvre divin, génial et sublime, de leurs antécesseurs, n’est pas ancienne, mais récente, et est la transposition des Connaissances de la Gnose Dorienne infiniment antérieure dans l’infini des temps. De même pour la « Civilisation » Assyrienne, Perse, Hindoustane (sanscrite), Indochinoise et Chinoise, qui, quoique « antiques » « très vieilles » sont cependant récentes (relativement) et empruntées. Emprunts prouvés par l’étude des monuments et de la philologie (sans laquelle l’étude des monuments est impossible et illusoire, la linguistique en étant la clef même et la seule). Or la Philologie démontre que toutes ces langues d’emprunt sont déformées et à ce point déformées qu’elles sont parfois réduites à des monosyllabes comme le Chinois, ou méconnaissable comme l’Egyptien (Copte), le Malgache ou l’Aumanite, selon des lois de déformation particulières à chaque peuple, qu’il a fallu découvrir et codifier, ce qui donne la démonstration irréfragable de l’emprunt, très ancien, des Connaissances avec la langue qui en est le dépôt-trésor.
Quant à la religion Hébraïque, vulgarisée par la Bible chrétienne et le Christianisme, la Torha ou Tourha du peuple Juif, à la fois « Le livre saint » et la « Loi », elle n’est elle-même qu’un emprunt comme son système de langues et son alphabet dit « Phénicien », comme le démontre le seul mot Torha, qui n’est autre que la déformation phonétique du pluriel neutre grec Teùkhas, Teùkha, de Teùknes : l’Instrument en soi, le Livre par excellence, d’où Pentá-Theùkos (sous-entendu Biblos), le Penta-Teuque, les cinq Livres de Moïse.
Voilà comment la Philologie, science de méthode minutieuse irréfragable, est la Science des sciences, le bistouri de l’Histoire. Elle démontre sans réplique, et réduit à néant faussaires et négateurs.”
les prophéties du GIEC?
C’est qui ce con obscurantiste indécrottable fumiste in intelligent qui cherche a se faire une ignominie de nom a bon compte?
Comment faire confia,,ce a ceux qui osent en toute impudence acceder a ladiffusion et propagation des ces merdes ?
Donc le mythe du déluge biblique “symbolise le mythe de la destruction et de la renaissance de l’humanité qui se vautre dans le vice et le péché”…
Si je comprend bien ,abraham, prêt à assassiner son fils ou qui prostitue sa femme en se faisant passer pour son frère (ce qu’il est…) pour ne pas être tué par les éventuels prétendants de celle-ci, symbolise “la renaissance”…
Ou moise (tu ne tueras point!), qui fait égorger des milliers d’adorateurs du veau d’or ou qui envoit son armée exterminer hommes, femmes et enfants mécréants (sauf les petites filles qui n’ont pas connu la couche d’un homme 😉), symbolise lui aussi “la renaissance”???
Si selon vous ces gens là symbolisent la vertu je veux pas savoir qui symbolisent le vice!
Vous êtes comme l’imbécile du proverbe chinois : “le sage montre la lune, et l’imbécile regarde… le doigt”.
Vous ne retenez, soit à dessein, soit parce que vous n’avez rien compris, ou les deux, quelques épisodes, rares, de l’histoire d’Israël, pour en faire une généralité,
tout en oubliant – volontairement j’imagine – à la fois :
– les périodes très longues où Israël vécut de façon pacifique, et prospère
– les apports de la “loi de Moïse”, nombreux, révolutionnaires pour l’époque : à savoir, une justice digne de ce nom, grâce à un juge tiers par rapport aux parties, et la proportionnalité de la sanction : oeil pour oeil, dent pour dent, vie pour vie ; des commandements clairs, et qui reviennent régulièrement, d’honorer ses parents ; de ne pas commettre de meurtre – ce qui est différent de ne pas tuer ; de ne pas commettre adultère ; d’être monogame ; de ne pas commettre de vol, ni même de convoitise à l’égard de ce qui appartient au prochain ; de ne pas dire de faux témoignage (mensonge) ; la condamnation absolue des sacrifices humains, notamment des enfants ; la nécessité d’aider son prochain dans le besoin ; et j’en oublie – les textes de la Genèse, de l’Exode, du Deutéronome, du Lévitique et autres sont très complets sur ces points.
Oui, des mesures révolutionnaires pour l’époque, une époque barbare ; textes qui ont influencé non seulement le peuple d’Israël, mais aussi beaucoup de peuples sur la terre, par la suite (le christianisme étant le fruit direct de ce que nous nommons “l’Ancien Testament”).
Ne pas vouloir voir l’influence de ces textes, de ces exemples, sur le monde, est le signe, dans le cas de quelqu’un qui comme vous les connaît manifestement, d’une malhonnêteté intellectuelle évidente.
Jacque a dit ,,,j adhere ainsi que tous ceux qui craignent et adorent le Vrai Dieux ,,,d abord dans l article que je confesse n avoir suivis jusqu au bout ,,les speculations alambiquees toxiques ,j en retire vite le nez comme pour de l ammoniac ,le temps de chercher a comprendre on s intoxique ,,ecrites par un mr a patronymes a rallonges ,,,il est question de mytes ,de dieux au pluriels ,pour un site “”chretien ,israelien ,,bonjour la foi ,,Israel est donc athee? Toute personne vraiment croyante ,qui a l experience des miracles et communication avec Hachem se demarque des critiques simplistes sophistes ,,”Tu ne tuera pas ,precisé plus tard “le Juste et l innocent ,,”mais “Tu ne laissera pas l assassin en vie ,”bon je parlais a Jacques ,Car “qui reprend le moqueur une tare en lui “en ce moment le diable et ses adorateurs (,Freres Moloch en tete ,et autres “”intellectuels )se devoilent ,bientot ca sera Dieu ,le Vrai ,celui d Abraham ,et son Messie .
@ Mike Giovacchini
Disons que si vous inventez votre propre version d’Abraham et de Moïse, il n’est pas étonnant que cela pose ensuite problème…
Pour ce qui concerne le déluge, l’homme vertueux était Noé, dont le point commun avec Abraham et Moïse, a été d’avoir obéi à la justice de Dieu.
Car la vertu selon Dieu, c’est de renoncer à sa propre justice pour obéir à celle de Dieu, du fait que notre justice est imparfaite, alors que celle de Dieu est parfaite.
les “justes” qui devraient survivre étant bien entendu les socialo-marxistes verts pastèque et les marcheurs allumés qui seront d’autant moins gênés de se retrouver “enfin seuls” qu’ils ont toujours prétendu que “le peuple, ça n’existe pas” !
si l’homme disparaissait, serait-ce un mal ? pas pour la faune et la flore!
Dreuz est-il un site chrétien ?
Le récit du déluge dans la Bible n’est pas un mythe.
Et il n’a pas été provoqué par “les dieux”, mais par Dieu lui-même.
Qu’on le veuille ou non, que ça plaise ou que ça ne plaise pas, le compte à rebours des 6000 ans adamiques s’achèvera, non par un déluge des eaux mais de feu, probablement nucléaire et entièrement bricolé par les débiles qui entrainent l’humanité dans leur folie furieuse.
C’est le temps de la colère, heureusement abrégé, qu’il faudra subir avant de se relever d’une toute dernière gueule de bois mondiale, jamais égalée dans les temps antérieurs.
Tous coupables ! d’une manière ou d’une autre ! Il n’y a rien d’injuste là dedans.
Ce ne sont pas les fonctionnaires scientifiques du GIEC qui apporteront la moindre solution à la destruction de la terre.
Seul le Dieu créateur, après le chaos, pourra (selon SA promesse) rétablir toutes choses et refaire l’Eden. C’est LUI qui en est l’Auteur. Je parle ici du Dieu cosmique bienveillant, celui qui s’est présenté notamment à Moïse par les mots: “je suis ce qui est (et qui sera)” Quoi de plus clair, de plus complet et de plus concis comme carte de visite ?
Pourquoi avoir rajouté (et qui sera) ? Il me semble que le “je suis ce qui est” se suffit à lui-même pour l’éternel présent !
C’est un très beau texte philosophique mais on ne me fera pas croire qu’un diplômé de psychologie et de sciences criminelles puisse avoir une quelconque compétence sur le sujet scientifique compliqué qu’est la climatologie. Moi-même, qui ai une solide formation scientifique, je ne prétends pas être compétent.
Les Guignols incompétents en Chaleur nous servent une copie qui ne vaut rien.
le niveau des océans a monté de cent mètre, ces dernières dix milles années. Est il utile de préciser que Néanderthal ne roulait pas en 4X4 ?
De préciser que tout le carbone des combustibles fossiles et des carbonates vient de l’air originel? Et que les cancres du calibre de Rocard (Nous allons rôtir par suite au réchauffement climatique) de Nicolas, de Ségolène, etc. n’ont aucune compétence en physique, climatologie et chimie?
Ce qui est grave, c’est que les crétins qui nous gouvernent emboîtent le pas au GIEC pour effrayer le petit peuple et le taxer de plus en plus.
La taxe carbone n’est qu’un avatar de ces exactions!
“De préciser que tout le carbone des combustibles fossiles et des carbonates vient de l’air originel?”
Très juste.