Initialement publié le 16 mai 2018 @ 09:18
Le 14 mai 2018, Israël fêtait dans la joie, le transfert de l’ambassade des Etats-Unis à Jérusalem.
Jérusalem est une réalité, mais également un symbole.
Son histoire est au cœur de la grande confrontation Occident-Orient, d’où la centralité mondiale de l’évènement. D’où également la volonté du Hamas de troubler la fête. D’inscrire le plus grand nombre possible de morts au «tableau» de l’histoire.
Pour le Hamas, émanation des «Frères Musulmans», la perte de Jérusalem est vécue comme une défaite immense. Pour comprendre cette réaction violente, il faut jeter un regard sur l’histoire.
L’épopée de la conquête islamique s’est focalisée sur deux villes non arabes, symbole des deux grandes religions monothéistes chrétiennes et juives : Constantinople et Jérusalem.
Les Arabes s’emparent de Jérusalem en 638 et y construisent une première mosquée sur l’emplacement de l’Ancien Temple juif.
Constantinople tombe aux mains des Turcs le 29 mai 1453 et avec elle, la cathédrale Sainte Sophie, transformée en mosquée. La perte de la Capitale de l’Empire romain d’Orient marque la fin de l’Empire byzantin et représente sans doute l’apogée de l’Islam.
Si le sort de Constantinople devenue Istanbul semble durablement réglé par cette conquête, il n’en est pas de même pour ce qui concerne Jérusalem.
Prise et reprise pendant l’épisode des Croisades, Jérusalem devient la capitale du nouveau royaume latin pendant la période allant de 1099 à 1187, puis retombera sous la coupe des musulmans pour de longs siècles.
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Elle sera de nouveau l’enjeu d’une grande bataille pendant la Première Guerre mondiale. Les alliés, britanniques en tête, s’empareront de la ville Sainte en décembre 1917, après avoir battu les forces ottomanes soutenues par l’Allemagne. Le général victorieux Allenby ne pourra pas s’empêcher de dire : «Le temps des Croisades est maintenant révolu.»
En 1948, au moment de la création de l’Etat d’Israël, Jérusalem est donc sous mandat britannique et sera l’objet d’une âpre bataille contre les armées arabes coalisées.
L’armistice signé en avril 1949 sous les auspices de l’ONU consacrera le partage de la ville : «Israël se vit attribuer la partie occidentale, avec une enclave sur le mont Scopus, et Abdallah garda la Vieille Ville, Jérusalem-Est et la Cisjordanie.» (Simon Sebag Montefiore, Jérusalem, Calmann-Lévy éd.2011, p.573).
Mais, refusant le statu quo, les pays arabes sous la direction de Gamal Nasser, tentèrent une nouvelle fois de s’emparer de la ville. En vain. Au terme d’une guerre éclair, dite «Guerre des six jours», les Juifs parvinrent à s’emparer de la totalité de la Cité. Jérusalem devint la Capitale réunifiée d’Israël et du peuple juif. Nouvelle tentative, nouvel échec en 1973, avec la guerre de Kippour et les différentes «guerres des pierres», ou guerre des couteaux, ou guerre du feu…
Droit fondamental d’Israël contre mythe palestinien
Depuis, le monde musulman, par l’intermédiaire des Palestiniens et avec la complicité surprenante d’organisme tel l’UNESCO, s’accroche désespérément au mythe d’une Jérusalem islamique et persiste à nier le caractère juif de la ville sainte ; il continue à revendiquer Jérusalem comme capitale d’un futur Etat palestinien et comme troisième lieu saint de l’Islam rendant par là-même impossible la conclusion d’une paix durable au Moyen-Orient.
Le geste du président Trump ne fait qu’inscrire la diplomatie dans la réalité : Israël est un Etat souverain qui comme tout Etat, il est en droit de choisir librement sa capitale et de défendre la sécurité de ses frontières et de ses habitants.
C’est le principe de droit international le plus fondamental.
Le Hamas, depuis sa prise du pouvoir par un coup de force en juin 2007 qui fit plus de 300 morts parmi les Palestiniens, a été notoirement incapable d’offrir aux gazaouis une quelconque perspective de développement. La population végète dans les fers d’une dictature implacable, pendant qu’une poignée jouit de tous les privilèges et prébendes. Désigner Israël comme le coupable de cet immense ratage est la seule issue pour l’organisation terroriste aux abois. .
Certains pays musulmans, enfermés dans l’incapacité de surmonter les défaites passées, incapables de renoncer à leur objectif mythique, telle la Turquie d’Erdogan qui a opté pour la longue nuit de la dictature, expriment non leur opposition, mais leur rage.
On peut expliquer ces comportements aberrants. Toute dictature fonctionne sur la haine de l’autre. Mais comment comprendre la position de l’Europe ? Celle de la France ?
Comment comprendre le président Macron qui condamne Israël mais non le Hamas, le véritable instigateur de ce drame ? D’où vient cette étrange proximité avec les dictatures ?
Comment comprendre le «deux poids, deux mesures» de la politique française ?
Y aurait-il une différence entre les policiers qui abattent des tueurs musulmans à Paris ou ailleurs et Israël qui riposte à une attaque terroriste de grande ampleur ?
Selon Macron, Israël devrait laisser ces hordes téléguidées par le Hamas déferler sur son territoire, violer ses frontières, piller, brûler, massacrer sa population sans riposter réellement.
Quel peuple, quelle nation accepterait une telle agression sans réagir énergiquement ?
Force est de constater que nous sommes face à une véritable énigme et qu’il est difficile de saisir la logique de cette étrange prise de position.
La solution de cette énigme n’est pas à rechercher dans les coulisses de la politique internationale «pro-arabe» de la France. Car ce n’est pas être pro-Arabe que de soutenir de facto, le Hamas, une organisation terroriste. Si demain le Maroc était envahi par une foule d’Algériens, nul doute qu’il réagirait violemment. Il en est de même pour la Turquie ou pour n’importe quel autre Etat.
Le divorce peuple-dirigeants et ses conséquences
La cause de cette attitude est à rechercher dans le lent processus de séparation-domination des dirigeants d’avec le peuple de France.
La grande fragilité de la France qui la rend très vulnérable à la conquête islamique et à la violence terroriste a pour cause principale le caractère écrasant de la fiscalité et des prélèvements obligatoires. Le peuple français est la proie d’une mâchoire qui le broie. En “haut”, des milliers de bureaucrates pompent quotidiennement son énergie. En “bas” la délinquance de masse, essentiellement alimentée par une immigration volontairement non maîtrisée et à laquelle on a abandonné quantité de territoires et qu’on a rendu «intouchable».
Enfermé dans ce terrible piège, le peuple n’a plus la force de se révolter. Il subit. Il fuit ce que l’on a qualifié de «processus d’épuration ethnique» mis en œuvre dans de nombreux quartiers. Et lorsqu’il se mobilise et proteste, il adopte une démarche suicidaire (cf. les grèves de la SNCF, les violences des rues…). Le spectacle du divorce peuple-dirigeants est impressionnant pour ne pas dire terrifiant.
La plupart des citoyens, absorbés par les questions de survie, se détournent de la chose publique, amèrement déçus par les agissements des castes dirigeantes qui s’enrichissent sur le pillage du pays.
Un processus de paupérisation sans précédent jette des millions de gens dans la pauvreté, voire dans la misère.
Le vol, les escroqueries, les trafics en tous genres… deviennent des moyens économiques ordinaires, au sommet du corps social comme dans ses soubassements. La République lentement se dissout, agonise, dans l’indifférence générale.
Non seulement l’Islam politique ne rencontre quasiment aucun obstacle dans sa démarche conquérante, mais il bénéficie du soutien tacite, parfois actif des pouvoirs publics et des élites.
Rapportée au temps long de l’histoire, cette islamisation rapide ne peut conduire qu’au chaos car elle est antinomique avec les valeurs de la République.
La France s’effondre. Celui qui préside cette catastrophe recherche les applaudissements de l’étranger.
Tacitement, en condamnant Israël, qui ne fait que défendre ses frontières, il valide la politique du Hamas. Comment peut-il ignorer que la règle au nom de laquelle il prononce cette condamnation sera demain appliquée à son propre pays ? Quelle défense l’Europe et la France opposeront-elles à ces millions de migrants quand les organisations fanatiques les lanceront à l’assaut des villes occidentales ?
L’enseignement de l’histoire est clair : ce qui arrive en Israël et à Israël, arrivera nécessairement en Europe et en France. Les télévisions du monde entier transmettent et transforment en règles immédiatement applicables, les propos tenus par le chef de l’Etat.
Quasi indifférence quand les couteaux frappaient des civils israéliens ; les voilà qui frappent au cœur de Paris.
Effet boomerang garanti
Demain la règle énoncée par le président Macron qui valide la violation des frontières d’un Etat souverain par des émeutiers, sera opposable à la France, à l’Europe. Les migrants et ceux qui les manipulent s’en souviendront. Les peuples ont la mémoire sélective. L’Europe est à prendre. Les grandes razzias peuvent en toute impunité commencer.
Demain la France aura à faire face à une invasion massive, à une violation sans précédent de ses frontières. Ils seront des millions non plus à demander asile, mais à forcer la porte, à imposer leur présence.
Séparée du peuple, vivant dans des zones hyper-protégées, hyper-sécurisées, la caste des dirigeants composera, laissera faire. Elle débloquera des crédits ; lèvera des impôts et taxes supplémentaires ; enverra ses ONG… Elle regardera cela de haut, de très loin.
Elle laissera faire, tout comme ont laissé faire les sénateurs romains richissimes, vautrés dans leur obscène opulence, ayant perdu toute vertu, livrant dans l’indifférence, Rome aux barbares.
La Caste dirigeante laissera les «nouveaux barbares» devenir rapidement maîtres des villes.
N’ont-ils pas déjà pris possession de la plupart des banlieues ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Effet boomerang garanti . Tout a fait d’accord. C’est pour ça que Macron ne protège plus les synagogues même à kippour . Macron espère que les juifs seront toujours les éternels vidimes. Ils excitent les haineux antisémites et les encouragent à attaquer tout lieu avec présence juive. Ils espèrent ainsi détourner ces intégristes islamistes sur les juifs mais attention à l’effet boomerang.
Très belle description de la situation du vrai pays réel
Merci
On ne peux rien demander ou exiger de ceux qui nous gouvernent. Ils ont choisi leur camps, à notre grand désespoir, qui est au opposé au nôtre. Et puis il n’y a plus aveugle que celui qui ne veut pas voir. On pourra expliquer scientifiquement, historiquement ou spirituellement parlant des choses touchant à Israel, ce sera forcément récuser, réfuter, nier et j’en passe. Donc inutile de vouloir discuter. Un diction dit qu’on récolte ce que l’on sème. On le voit aujourd’hui, on a établi en haut lieu des hommes (ou des femmes) qui détestent l’idée de patrie, de nation, de cohésion nationale, de racines, de traditions (séculaires), de tout ce qui fait un pays au final. Tout cela est dissout dans du libéralisme, du mondialisme à outrance, dans un lent projet de tuer la classe moyenne et l’identité française (l’irréductible gaulois est mort et enterré, ou est en passe de l’être), ce n’est pas les quelques faméliques sursauts patriotique qui vont changer quoi ce soit. L’ignorance tue, les gens boivent les paroles de nos politicards, et même si certains sont septiques, ils pensent que ça ne peut que s’arranger. Que nenni ! Bien au contraire. La France et l’Europe ont été vendu, jetées aux chiens de l’enfer, par la complicité de bons petits soldats, agissant pour leur maitre. Quand je considère ce pays, je me rappelle la chanson d’Yves Montand “Douce France”, s’il voyait ce qu’elle est devenue…telle une esclave outragée et ravagée dans les catacombes de Babylone. Et ce qui ne me rassure pas du tout, c’est que c’est un fléau mondial, le cancer se propage à toujours plus de pays. Le temps sera venu que toute nation sera touchée, impactée. Qu’adviendra-t-il ? A méditer.
Charles Trenet
Charles Trenet…..
remarquable analyse !
Pour Macron, la France, notre cher et vieux pays, n’est qu’un marche-pied pour ses ambitions démesurées et il s’appuiera sans vergogne sur les “nouveaux français”, les envahisseurs, pour les satisfaire… Patriotes français, mes frères, ce que nous subissons aujourd’hui n’est rien à côté de ce qui nous attend si nous ne nous levons pas en masse pour résister à cette entreprise avérée de destruction de la nation !
De tout coeur avec vous Olibrius.
Nos élites sont résolument anti-France.
Mais c’est la République qui est anti-française d’abord.
Je connais tellement d’authentiques patriotes qui feignent de l’ignorer.
Tout ce que subit le peuple français prouve que d’autres objectifs occupent nos élites et ce n’est ni le bonheur du peuple, ni sa sécurité. Il est au contraire livré en pâture pour maintenir coûte que coûte la république en vie !
Le peuple de souche est sacrifié au nom de la république.
Ils sont prêts à nous sacrifier les uns après les autres , (surtout ce troudc Micron).
Micron se prépare une place dans la nomenklatura européenne. La France n’est qu’un marche-pied pour atteindre une situation de job ad vitam bien rémunéré sur le dos de la plèbe, française d’abord (normal pour un président français), européenne ensuite (comme le Saint Graal de la politique de gauche).
L’Europe, c’est la martingale des escrocs politiciens. L’Europe politique n’est qu’une escroquerie des plus mercantile… pour politicards recyclés…
Pour le reste dormez bien braves gens et n’oubliez pas de remettre le fusil de chasse de votre grand-père à la mairie… L’Etat de droit français vous protège !
Ce serait un défi tentant pour les envahisseurs, de s’attaquer à un gros morceau, ces forteresses derrière lesquelles se sont retranchés les caciques… Ces derniers pourront enfin jouir pleinement de l’enrichissement.
il fut le premier politicien hors de l’Allemagne a critiquer Hitler ( il avait raison )
il fut le premier politicien dire que Jérusalem est au Peuple Juif ( il avait encore raison )
Vous avez tout compris, M. Touati.
Le parallèle entre ce qui est arrivé aux Romains décadents d’une part, et avec les razzias arabo-musulmanes d’autre part, est exact.
Les quartiers livrés aux islamistes, soumis à la charia, seront de plus en plus nombreux, jusqu’à couvrir le territoire entier.
Entre temps, nos dirigeants se convertiront à l’islam. Il ne leur restera plus qu’à réécrire les livres d’Histoire, et la boucle sera bouclée.
Tellement logique !
Sauve qui peut…
“L’armistice signé en avril 1949 sous les auspices de l’ONU consacrera le partage de la ville : «Israël se vit attribuer la partie occidentale, avec une enclave sur le mont Scopus, et Abdallah garda la Vieille Ville, Jérusalem-Est et la Cisjordanie.» (Simon Sebag Montefiore, Jérusalem, Calmann-Lévy éd.2011, p.573)”.
L’assertion “consacrera le partage de la ville” de Simon Sebag, qui n’est ni historien ni juriste est inexacte : la région de Jérusalem et un couloir menant à Beit Léhem avaient été définis dans le dernier Plan de Partition de la Palestine historique (synonyme de la Terre d’Israël) de l’ONU en 1947 en tant que “Corpus separatum” pour des raisons religieuses. Notons qu’aucun Plan de Partition n’a jamais été accepté, et cela jusqu’à aujourd’hui, par aucun pays arabe. En effet aucun pays arabe ne peut reconnaître le droit d’Israël à exister, pour des raisons théologiques. Personne de parlait à l’époque d’un “peuple palestinien arabe”, création ex-nihilo en 1967 d’Evgéni Primakov et du KGB. Le but de ce statut spécial : placer Jérusalem sous un statut international spécial du fait de son importance religieuse, tant pour le monde juif que chrétien. En effet, contrairement à certaines affirmations apocryphes, Jérusalem, aucunement mentionnée dans le Coran, n’est pas une ville sainte pour l’islam. Elle l’est pour le monde juif et le monde chrétien.
En 1948, cinq pays arabes dont la Jordanie, attaquent Israël et les Jordaniens occupent militairement et colonisent la partie Est de Jérusalem et la Judée-Samarie. Cette occupation était illégale et n’a pas été reconnue par aucun état, à l’exception de l’Angleterre et le Pakistan, mais surtout par aucun pays arabe, par mépris pour des bédoins devenus “Rois”. La Jordanie avait créé artificiellement par la perfide Albion pour des raisons politiques en 1937 sur 75%, dont bien entendu la Judée-Samarie coeur biblique et historique du peuple juif, du territoire appelé Foyer National Juif, qui devait devenir l’Etat juif au terme du Mandat britannique.
En 1967, la Jordanie, l’Egypte et la Syrie agressent de nouveau l’Etat d’Israël et de nouveau sont vaincues militairement. Israël conquiert la partie est de Jérusalem et la Judée-Samarie et les reprend à la Jordanie. Ces prises de guerre, n’ayant jamais appartenu à la Jordanie, appartiennent de par le droit international public (cf. Julius Stone, Lauterpacht, G. Millière, etc…) à l’Etat d’Israël. Voir également l’arrêt de la Cour de Cassation de Versailles dans l’affaire Veolia-Alstom.
Il etait une fois la france .
L’armée…….avec la prise du pouvoir……..même pas en rêve……Quand elle a voulue défendre la France et l’Algerie Française (punch de généraux), le peuple lui par référendum, avait voté l’indépendance . Merci aux Francais. De plus , De.gaulle, a fait arrêter et condamnée…les défenseurs patriotes. Alors continué à rêver……..plus dur sera …..le réveil.
Époustouflante analyse Mr Touati
Merci
J’habite en Israël depuis 2002
Il y a 5 je rencontre Un nouvel immigrant de Marseille.
Je lui demande ” comment ça va en France? ”
Il me répond avec son accent chantant “en France, il y a de beaux restes”
Hélas, Tout est dit !
Magnifique analyse, que je partage tout à fait… et j’ai qq chose à répondre à la question “Pourquoi ?”
Pourquoi cet assentiment de l’Europe ?
C’est la jalousie.
Comme l’écrivait aujourd’hui C. Hamon dans un post commentant l’article de Goldnadel :
“Ce sont les « Dix commandements » de Moïse qui ont donné naissance au Monde Occidental.”
J’ai lu il y a qq mois un violent article de Jean-Pierre Castel qui accusait le monothéisme, tous les monothéismes, d’être des idéologies meurtrières, par opposition à la multiplicité de dieux et à à la démocratie grecque.
Je lui ai répondu que les Juifs, inventeurs du monothéisme, avaient simultanément inventés les outils pour se prémunir de ses dérives, contrairement à leurs imitateurs chrétiens et musulmans.
Il n’y a pas eu du tout de dialogue.
Il me répondait sans rien comprendre à ce que j’écrivais.
Très fier de ses livres (que je n’ai pas lus).
Un seul bon point : pour mieux lui répondre j’ai découvert ce livre de Jérôme Peignot : “Moïse ou la preuve par l’alphabet de l’existence de YAHVÉ” (Jérôme Millon éditeur) et je ne saurais trop recommander ce livre aux amoureux d’Israël.
Le lire est un délice !
Excellent exposé qui soulève une question puisque une mosquée a été érigée sur le temple, ne conviendrait -il pas de la détruire pour construire à sa place le 3ème temple
ce ne serait que justice mais qui osera
Edgar Quinet et l’exil
« … le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays ; c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer. »