Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 20 mai 2018

 

Lorsqu’il est question de la protection des frontières de l’État d’Israël, nous sommes dans tous les cas gavés de jugements à l’emporte-pièce par les journaleux partisans et paresseux de la presse de gauche. La désinformation organisée par la presse partisane de gauche à propos de l’État d’Israël est alimentée par des commentaires orientés et fondés sur des convictions partisane pro-palestiniennes irrationnelles et subjectives, quand il ne s’agit pas ouvertement de désinformation haineuse contre la politique de l’État d’Israël.

Quoi qu’il en soit, on ne lit rien de sérieux dans la presse de gauche et rien de concret qui repose sur une connaissance approfondie de la réalité des frontières de l’État d’Israël et de ses enjeux si complexes.

L’État d’Israël attire les critiques partisanes des uns, quand il fascine les autres par ses résultats. Il est le seul à repousser efficacement le désert par un travail assidu, sans recourir à la gabegie provisoire des pétrodollars des monarchies du golfe. L’État d’Israël occupe dans les consciences de l’Occident chrétien une place singulière qui suscite des débats émotionnels et passionnés qui n’ont que faire de la raison raisonnante.

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Les commentaires de la presse de gauche, sur question de la protection des frontières de l’État d’Israël, souvent de mauvaise foi, émanent d’intellectuels de gauche, de journalistes de gauche et d’hommes politiques opportunistes sans conviction. Leur place, à l’extérieur et à distance de la protection des frontières de l’État d’Israël, ne peut être propice à la réflexion, ni jamais donner lieu à des analyses exactes.

Questionner la protection des frontières de l’État d’Israël, sa réalité sociale et politique du point de vue de la gauche morale, est une mystification. Pour relever le défi de la protection des frontières de l’État d’Israël, il faut pouvoir donner la parole aux Israéliens personnellement impliqués, de l’intérieur, dans de la protection des frontières de l’État d’Israël, un pays en guerre menacé dans sa survie depuis plus de 70 ans.

Lorsqu’il est question de la protection des frontières de l’État d’Israël, il ne faut pas s’attendre à ce que les médias vulgaires et corrompus prennent le recul de la réflexion sur cette question pourtant si actuelle et si présente. Car enfin, y a-t-il un État au monde qui soit, comme Israël, constamment menacé sur ses frontières et condamné par les médias au service de la médiocrité ambiante d’un point de vue moral ? Pour comprendre et juger en connaissance de cause de la question de la protection des frontières de l’État d’Israël, les télés vulgaire de la désinformation à scandale, continue 24 h sur 24, constituent une mystification unique.

Pour juger de la force morale de l’État d’Israël, nombre d’intellectuels de gauche et de journalistes de gauche ont l’habitude de jouer sur l’amalgame entre éthique et morale. On entend par éthique un ensemble de règles consensuelles qui sont devenues légales. On note une tendance, surtout dans le journalisme de désinformation vulgaire, à ce que des prescriptions partisanes décidées par des journalistes ignares se substituent à l’idée de morale. Or, il ne faut jamais oublier que les règles de droit, posées par la constitution et le système légal de l’État d’Israël, ne peuvent être confondues avec la morale corrompue des démocraties modernes, telle que la définissent les journaleux partisans et paresseux de la presse de gauche. Comme quoi, un retour d’information est absolument nécessaire sur la protection des frontières de l’État d’Israël.

Il faut reconnaître que l’État d’Israël est l’outil et l’instrument formel de l’existence de la nation juive. Le sionisme, plus que la refondation d’un État juif, a agi pour la reconstitution de la nation hébraïque à partir des communautés dispersées. C’est ce que beaucoup de Juifs ont ressenti, qui explique l’adhésion au sionisme de la majorité du peuple juif, et la manière spécifique dont les gens venus du monde entier se sont manifestés pacifiquement à Jérusalem lors des manifestations du 70ème anniversaire de la création de l’État d’Israël.

C’est un fait, aucun journaliste de gauche ne juge l’État d’Israël de la même manière que les autres États, parce qu’il y a là une nation très particulière, une nation que les journalistes de gauche sont absolument incapables de juger, ni même de comprendre, depuis leur bureaucratie partisane sécurisée très parisienne.

On prétend qu’il y a un lien de cause à effet entre le terrorisme du Hamas et la cause palestinienne. C’est pourquoi l’État d’Israël est toujours menacé moralement et physiquement sur la question de la protection de ses frontières. À cause du terrorisme politique et factieux des palestiniens manipulés par le Hamas contre ses frontières, il faudrait juger Israël selon la morale partisane pro-palestinienne très particulière des médias.

C’est une erreur des médias de penser qu’il n’y a pas de relation déterminante entre les deux, entre la morale antisioniste en politique et le terrorisme politique et factieux des palestiniens manipulés par le Hamas.

Il y a une relation de contemporanéité entre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’État d’Israël, à l’occasion du déplacement de l’ambassade des États-Unis, et les émeutes de la bande de Gaza.

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Ce sont deux événements de nature différente qui se produisent en même temps dans l’État d’Israël.

L’un est de nature politique, l’autre est de nature terroriste. Le fait est que la propagande partisane pro-palestinienne des médias de gauche, et l’attitude complice des Nations Unies, a facilité depuis toujours l’installation, le financement et le développement du terrorisme palestinien. Toutefois, l’État d’Israël ne saurait trouver dans ces considérations politiciennes la moindre justification de la protection de ses frontières qui sont celles d’un État souverain. C’est pourquoi les journalistes paresseux des médias de gauche du monde entier devraient inventer d’autres critères que la propagande partisane pro-palestinienne pour juger de la question vitale de la protection des frontières de l’État d’Israël. Pour juger la politique de défense des frontières d’Israël, il faut des critères différents de la soi-disant moralité journalistique parisienne. En pratique, il y a disproportion absolue entre la façon médiocre dont le monde corrompu des médias vulgaires de gauche juge la politique de défense des frontières de l’État d’Israël et la façon dont il juge les autres pays sur les mêmes problèmes.

D’un point de vue légal, en Israël, le comportement de l’État d’Israël est strictement garanti par ses institutions (principalement la Haute Cour de justice) et l’importance fondamentale accordée aux tribunaux, même pour juger des actes du Parlement, et même avec un parti pris permanent de rechercher la légalité qui soit la plus morale possible. Malgré cela, il y a des cas, comme la politique de défense des frontières de l’État d’Israël, dans lesquels on ne peut définir s’il y a immoralité ou non. Si on veut juger Israël sur sa moralité, il ne faut jamais oublier que l’objectif de l’État d’Israël est avant tout de mettre fin au terrorisme et de reconstituer le lieu sacré de l’identité nationale hébraïque afin d’assurer la sécurité des Juifs du monde entier.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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