Gérald Darmanin a dénoncé ce vendredi le « poujado-castrisme » de Jean-Luc Mélenchon qu’il accuse d’empêcher une « discussion démocratique ».
Le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, a accusé ce vendredi Jean-Luc Mélenchon de reprendre « des méthodes d’extrême droite », dénonçant son « poujado-castrisme » à la veille de la manifestation pour « faire la fête à Macron ».
Il serait pourtant plus honnête de dire que Mélenchon reprend les méthodes d’extrême-gauche.
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Mélenchon « vers un modèle vénézuélien »
« Oui, elle incite à la violence », a répondu le ministre sur la chaîne LCP, en réponse à une question sur la rhétorique de LFI.
« D’ailleurs je suis assez étonné que Jean-Luc Mélenchon reprenne des méthodes de l’extrême droite (…) comme François Ruffin parfois », a-t-il affirmé, en référence au député François Ruffin, initiateur avec l’économiste Frédéric Lordon de la manifestation de samedi à Paris.
« Je suis assez étonné qu’il y ait une sorte de transformation de poujado-castrisme de ce qui était – me semble-t-il – quelqu’un qui avait une voix respectée dans la République », a ajouté Gérald Darmanin, qui a assuré que Jean-Luc Mélenchon « se tourne vers un modèle vénézuélien qui nous empêche un petit peu d’avoir une discussion démocratique ».
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Après les violences commises mardi par les black-blocs et membres de l’ultragauche, le gouvernement a fait part de son inquiétude pour la manifestation de samedi.
En conclusion on peut considérer que les différences (de méthodes) entre les deux extrêmes sont négligeables au regard de leur similitudes.