Toutes les grandes religions revendiquent une capitale et une seule. Il en est de même pour les nations.
Ce choix est un critère fondamental en ce qu’il est l’expression d’une origine, d’une direction, d’une tête, d’un cœur…unique.
Au cours d’une histoire mouvementée et complexe, les adeptes de la religion de Mahomet ont revendiqué plusieurs centres, signe d’une faille pour ne pas dire d’une fracture présente dès l’origine.
Perpétuant ses divisions originelles, aujourd’hui encore l’Islam revendique trois capitales: La Mecque, Médine et Jérusalem.
Ces « têtes » multiples sont l’indice de la profonde confusion qui règne dans cette religion dont les courants principaux sont en guerre perpétuelle les uns contre les autres.
Ce flottement est également visible au plan politique. La conquête Arabo-musulmane montre que la capitale de la « communauté des croyants », varie au gré des circonstances, le Calife s’installant tantôt à Bagdad, tantôt à Damas…
L’anarchie qui découle de cette absence de centralité, est sans doute l’une des causes de la violence endémique qui agite les sociétés islamisées.
Un facteur aggravant.
On constate que la revendication de Jérusalem comme lieu saint de l’Islam ajoute à la confusion générale. Pourquoi ?
S’il existe un lien historique indéniable entre l’épopée Arabo-musulmane et Medine/La Mecque, il n’en est pas de même pour ce qui concerne Jérusalem. Le nom de cette ville n’est jamais cité dans le Coran. Son élection es-qualité de haut lieu de l’Islam résulte d’une interprétation contestable destinée à occulter le désir de s’emparer d’un symbole sacré de l’histoire des Juifs.
Autour de Jérusalem se focalisent toutes les contradictions à l’œuvre dans l’imaginaire musulman.
Le résultat de cet invraisemblable imbroglio qui mêle mythe et réalité dans une confusion totale est la violence pure palestinienne érigée en mode d’existence normale.
Prétendre que Jérusalem est le troisième lieu saint de l’Islam revient à affirmer que les Juifs ont joué un rôle fondamental dans la création de la nouvelle religion.
Les musulmans contestent ce rôle fondateur du judaïsme. Ils attribuent au Coran une antériorité par rapport à l’Ancien et au Nouveau Testament.
À travers la revendication politique de Jérusalem, ils affirment ainsi la même chose et son contraire et pour valider le dire religieux ils se lancent dans une tentative désespérée de falsification de l’histoire. Détruire toute trace, tout signe de la présence Juive en Palestine, relève de l’idée fixe.
Résultat de cet invraisemblable imbroglio théologico-politique : le monde musulman globalement crispé sur la réalisation d’un mythe non fondateur, se situe en dehors de l’Histoire, plus précisément veut faire évoluer l’histoire dans le cadre de ce mythe. D’où l’extrême violence qui se déploie dans quasiment tout le monde musulman.
Les pays occidentaux qui valident, pour des raisons d’opportunité, cette démarche délirante contribuent grandement au malheur immense des peuples qui évoluent dans l’espace civilisationnel islamique.
En décidant du transfert de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem, le président Trump siffle la fin de cette diplomatie fondée sur le leurre. Par ce geste, il invite le monde arabe à sortir de son trop long sommeil pour ne pas dire cauchemar théologico-politique.
Mais il n’est pas certain que le président Trump aille jusqu’au bout de sa logique réaliste.
Selon certaines informations qui circulent sur son projet de paix, il pourrait axer celui-ci sur une concession majeure au mythe en faisant de Jérusalem-Est la capitale du futur État palestinien.
Côté Corée, on œuvre à la réunification du pays en sachant qu’elle est la seule voie vers la paix.
Côté Moyen-Orient, on consacre la division de la Capitale d’Israël en ne pouvant ignorer qu’on cultive par là-même un ferment de guerre.
La paix pleine et entière passe par la reconnaissance de Jérusalem comme Capitale une et indivisible d’Israël. Acte de simple justice rendu au peuple Juif mais également service immense rendu au monde musulman.
Une telle reconnaissance aiderait ce dernier à sortir de la voie sans issue dans laquelle il s’est enfermé. Elle lui permettrait de prendre pied dans le réel, c’est-à-dire de se réconcilier avec l’histoire et peut être de commencer à renoncer à la violence aveugle qui le conduit tout droit au chaos.
Mais le monde ne semble pas encore prêt à aider les musulmans à sortir de leur longue période de sommeil agité.
Le monde tel qu’il existe, Europe en tête, ne veut pas vraiment la paix. Un peu de guerre lui convient. Les palestiniens reçoivent le « salaire » de cet étrange contrat par lequel ils assument sous les applaudissements du bloc « progressiste » la part maudite de l’histoire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
» Les pays occidentaux qui valident, pour des raisons d’opportunité, cette démarche délirante contribuent grandement au malheur immense des peuples qui évoluent dans l’espace civilisationnel islamique. » Excusez-moi Monsieur Touati, cette phrase m’a fait sourire. Cela fait 1400 ans que les musulmans se mordent la queue – pas au figuré – et vous nous parlez d’eux comme d’une entité humaine capable de réflexion sur sa centralité. Mohamed leur a donné la possibilité de se réaliser dans une vie sexuelle débridée et sans morale, dans une violence intrinsèque à leur culture… ils ne veulent surtout pas que les occidentaux les empêchent de se mordre ce qui leur sert d’organe procréateur.
il serait intéressant de recueillir avec précision toutes les occurrences attribuant ou non une importance à Jérusalem dans le monde musulman au cours des siècles.
on serait étonné, car la montée en puissance de cette thématique autour de Al Qods est relativement récente, avec une forte coloration politico-religieuse.
@ Abbé ARBEZ. Avez-vous trouvé des occurrences attribuant une importance à Jérusalem par les musulmans dans les siècles passés? Lorsque l’on fait des recherches sur ce sujet, on tombe immanquablement sur Jérusalem, Capitale d’Israël. Les musulmans attachent une importance particulière à Jérusalem seulement depuis les années soixante (1960 et suivantes), soit seulement depuis une cinquantaine d’années (un détail au regard de l’Histoire). Ceci dit, si l’on accorde une certaine valeur aux prophéties bibliques, nous lisons ceci en Zacharie 12:3: « En ce jour là, je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples; Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris; et toutes les nations de la terre s’assembleront contre elle ».
Nous assistons progressivement à l’ONU à une coalition quasi généralisée des nations contre Israël et ce processus parait irréversible. Et, malgré toute mon admiration pour l’engagement du Président Trump en faveur d’Israël en général et de Jérusalem en particulier, l’histoire semble bel et bien « en marche » comme annoncé dans les Écritures. Mais, selon nos espérances juives et chrétiennes, ceci indique aussi que notre délivrance est proche. Nous approchons du point final de l’histoire de l’humanité.
Conclusion: https://www.biblegateway.com/passage/?search=Romains+8%3A19-23&version=LSG
je ne crois pas qu’on puisse retirer des prophéties une sorte de divination sur la fin de l’histoire humaine.
c’est mal connaître le genre littéraire et le rôle des textes au moment où ils sont sortis.
nous ne sommes pas au terme de l’histoire : depuis les commencements des nations se sont liguées contre Israël, actuellement les médias servent d’amplificateurs, mais la confrontation reste la même qu’au début. Il s’agit maintenant d’écrire l’histoire sans se laisser submerger, l’espérance doit prendre le dessus et non pas des annonces de sortie de route catastrophique qui ne convaincront personne.
@ Nicolas Carras. Libre à vous de croire à l’éternité de l’histoire humaine mais franchement, à quoi cela nous sert-il? Puisque la fin de notre histoire personnelle, celle de notre enveloppe charnelle est garantie. Et je disparaîtrai, certes, comme vous. Mais j’espère et vous le souhaite également de tout cœur, que nous passerons du temps (qui est compté), à l’éternité (qui est infinie). Enfin, l’avantage du chrétien est justement qu’il ne dort pas. Le chrétien est celui qui croit, qui veille, et qui prie celui qui peut tout.
@ Nicolas Carras. En tant que chrétien, je ne crois pas me contenter de rester spectateur indifférent des événements. J’essaye au quotidien d’apporter aux uns et aux autres quelque réconfort autour de moi et je tente aussi, comme nous tous ici, d’apporter une modeste contribution à la réflexion commune. Et celle-ci m’amène souvent à travailler tard dans la nuit. Je viens de voir qu’aujourd’hui, en un peu plus d’un an et demi, je suis intervenu dans 700 articles de Dreuz. Donc, au moins, on ne pourra pas me reprocher d’être resté silencieux. Et puisqu’il est 2h13 du matin au moment d’écrire ces lignes, je vais m’autoriser un peu de repos.
J’ai bien aimé vôtre approche, ça laisse à réfléchir et je vous en remercie
Gigobleu a raison: les prophéties sont souvent prédictives, et c’est même un critère de leur authenticité. Ce n’est pas pour rien que Jésus a dit à Pierre « arrière de moi Satan! » après que l’apôtre lui eût dit « à Dieu ne plaise, cela [la crucifixion] ne t’arrivera pas »; Pierre trouvait sans doute que Jésus annonçait une « sortie de route catastrophique ». Et Abraham aurait aussi pu crier au « catastrophisme » après que Dieu lui eût annoncé que sa descendance subirait 400 ans d’esclavage. S’il est vrai que des nations se sont toujours liguées contre Israël, c’est bien la première fois dans l’histoire que TOUTES les nations du monde sont susceptibles de le faire. Quand, nul ne le sait.
Et que cela convainque ou non n’a aucune importance: Esaïe s’écriait déjà: « Qui a cru à ce que nous avions annoncé? ».
@ Spip. Je ne sais pas si gigobleu a raison. Et peu importe. Mais, il me parait évident, au regard de la Bible, que l’histoire humaine a eu un début et aura une fin et ces choses sont décrites en détails dans la Bible et Jésus et les Apôtres ont été on ne peut plus clair à ce sujet. Je partage votre point de vue au sujet des prophéties. Et celle que j’ai citée mentionne effectivement toutes les nations. Contrairement à M. l’Abbé ARBEZ, je ne crois pas qu’il nous appartient d’écrire l’histoire, mais elle nous est rapportée dans la Bible depuis la Genèse jusqu’à l’Apocalypse. Et il nous est possible effectivement de suivre le cours des événements de celle-ci au travers de l’histoire d’Israël. C’est même plutôt captivant. Ceci dit, je ne veux pas jouer les Nostradamus et je désire donc rester prudent sur ce sujet délicat. Je constate en tout cas que l’actualité colle étrangement avec certains textes bibliques qui sont très clairs, me semble-t-il. Je reçois la prophétie comme un puissant encouragement dans la vie chrétienne. Et dans cette perspective, je ne vois pas du tout le retour de Christ annoncé comme une catastrophe mais comme l’accomplissement de la promesse qui mettra un terme définitif aux souffrances humaines. Il tient le monde dans ses mains.
Bravo gigobleu, je vous suis totalement, la Parole de Dieu es véritable et tout se passe selon Elle.
Amen !… nous croyons aussi que les prophéties sont en pleines réalisations dans cette génération. L’Eternel ne se trompe pas et n’est pas un homme pour mentir. Ce qu’Il dit, Il l’accomplit et le Seigneur Jésus est à la porte. Qu’un grand nombre se laisse encore toucher par ce beau message de l’Evangile.
J’ai lu les commentaires précédents.
J’y vois de profonds malentendus.
La prophétie biblique – dans son langage utilisant les métaphores – ne parle que de ce qui va se produire à la fin de cette période de 6000 ans mais jamais de la fin de l’Histoire ! Elle parle de cette époque où nous vivons encore actuellement où l’homme est un loup pour l’homme. C’est cette phase « fœtale » de l’humanité qui se termine !
Le retour d’Israël de nos jours en progressive puissance et splendeur sur sa terre marque le début de cette véritable naissance de l’humanité. En effet si un individu – aussi bon et courageux soit il – se lève pour essayer de rendre le monde meilleur, il est tout de suite assassiné par les méchants.
Par contre quand la nation d’Israël, puissante, avec bientôt à sa tête le Mashiah combat le mal – aidé en cela par l’armée d’innombrables justes des nations qui se constituera – les prophéties proclament que tous les méchants, toutes les mafias (de toutes confessions soit dit en passant !) disparaîtront de la surface de la terre.
Alors commencera la VÉRITABLE Histoire, celle où l’idéologie du mal n’existera plus pour l’éternité, celle où l’humanité réussira le pari fou d’être à la fois unie et respectueuse de tout homme et de toute croyance, celle ou la construction d’un monde meilleur, dans la paix devenue universelle, sera enfin une réalité en marche !
Les prophètes bibliques sont plus des décrypteurs du présent que des annonceurs de l’avenir. Ils cherchent à ouvrir les yeux des hommes de bonne volonté afin qu’ils donnent à l’histoire (notion spécifiquement biblique, surtout depuis la sortie d’Egypte)
son orientation en harmonie avec la volonté de Dieu, sa justice.
Certains donnent ici l’impression que Dieu a tout écrit d’avance, et qu’il suffit d’endosser le costume pour jouer son propre rôle, passivement. L’histoire réelle est le fruit d’une synergie entre l’Esprit de Dieu et la liberté humaine. « Choisis donc la vie pour que tu vives! » L’initiative humaine inspirée est donc sollicitée.
L’Islam est mort en 622 et règne l’islamisme avec l’obsession d’imposer au monde sa religion. Paris , Londres ou berlin,,, lui appartiennent et bien sûr Jérusalem. C’est une croyance qui date de 622 jusqu’à nos jours. C’est ainsi qu’ils sont arrivés à 1.5 milliards d’islamistes officiellement puisque tous se basent sur le Coran tel que nous le connaissons. Attendons la renaissance de l’Islam basé sur le Coran de la Mecque (une partie du Coran actuel) qui permettra à l’Islam de renaitre. Lui seul est pacifique.
Certes ..
Mais le coran de la Mecque n’était fait que de sa lecture de la Thora …à laquelle (…sa lecture et la Thora !) il voulait convertir les arabes.
Mais il s’est voulu alors plus « juif » que les Juifs. Bien sur ceux ci ne l’ont pas reçu ! Il s’est donc, disons, contredit de dépit quand il est parti à Médine en prêchant le contraire! …aidé en cela par des chrétiens qui eux aussi cherchaient à prendre leur place aux Juifs.
(A le dire vite en une phrase.)
Je ne connais pas les sources sur lesquelles vous vous appuyez : tout prouve et Muhammad le dit qu’il voulait simplifier la Tora de beaucoup pour l’adapter à ses frères qu’il connaissait bien (versets de la sourate 2-187,286). A Médine tout semble prouver qu’il s’agit d’un autre Muhammad: comment un personnage pourrait-il se contredire à un tel point? et édicter des principes contraires non seulement à la Tora mais encore à ceux qu’il édictait à la Mecque au nom d’Allah? Du reste il ose dire qu’Allah peut changer d’avis: Sourates 2-106 et 16-101 !!
@Bentata David
L’islam a, dès l’origine, été violent. (cf la vie du prophète)
La paix n’est pas dans ses gènes, tout le prouve; entre autres, le fait que le mot amour n’apparait jamais dans le coran.
Muhammad entre 610/622 n’était pas violent et il a fondé l’islam. Entre 622/632 Muhammad (un autre probablement ) a fondé l’islamisme qui dure, seul, jusqu’à nos jours.
@ Abbé ARBEZ. Il me semble que les prophéties bibliques sont, selon les cas, des décrypteurs du passé ou de l’avenir. Par exemple, la venue de Jésus dans le monde est annoncée dans l’Ancien Testament en mentionnant même précisément son lieu de naissance (cf. Michée 5:2). Il s’agit aujourd’hui d’une prophétie passée. La destruction du Temple de Jérusalem en l’an 70 a aussi été annoncée par Jésus (Matthieu 24: 1,2). Des textes bibliques restés obscurs pendant des siècles s’éclairent soudainement, en tout cas correspondent à des explications plausibles grâce aux progrès de la science. Exemple: En 2Pierre 3:10 nous lisons ceci: » Le jour du Seigneur viendra comme un voleur; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu’elle renferme sera consumée ». Il semblerait qu’ici nous ayons la description exacte et scientifique d’une explosion nucléaire annoncée depuis des siècles par un marin pêcheur, Pierre. Hier, je mentionnais un prophétie à venir concernant Jérusalem.
Alors c’est vrai, nous observons aussi un paradoxe: Dieu nous a créés libres de nos choix, avec une intelligence et un libre arbitre. Mais il nous connait de façon infinie (Psaumes 139), jusqu’au nombre exact de cheveux que nous portons sur la tête. Et il attend de nous une attitude engagée et active (ex. Matthieu 28: 19,20). Mais il connait aussi par sa prescience la fin de l’histoire qu’il nous annonce dans Sa Parole. Je peux donc m’associer à votre réflexion lorsque vous dites que: « L’histoire réelle est le fruit d’une synergie entre l’Esprit de Dieu et la liberté humaine », sauf que je remplacerais volontiers le mot histoire par notre vie (Et notre vie réelle est le fruit d’une synergie …). Et il s’agit bien sûr d’un rôle actif. Et j’aimerais rassurer ceux qui doutent d’avoir tout compris, car je partage exactement la même condition qu’eux. Ce n’est pas parce que j’ai des convictions que je cesse de réfléchir.
le grand risque est de tout expliquer par les prophéties et de faire du concordisme comme dans le cas de l’explosion nucléaire.
ca me rappelle les musulmans qui trouvent de tout annoncé dans le coran.
ce n’est quand même pas si simple.
Jésus annoncé dans l’ancien testament: à prendre avec précautions! Il y a des textes de l’AT qui ont valeur en eux-mêmes, pas simplement par rétroprojection du Christ comme on l’a fait très souvent. L’annonce d’un envoyé de Dieu, certainement, mais un portrait-robot, non.
la destruction du temple annoncée par Jésus: sans doute sa fragilité pour contester la prétention sadducéenne qui y concentrait tous ses pouvoirs, mais sa destruction par Rome en 70, je ne crois pas! de plus le récit a pu intégrer la destruction après que celle-ci se soit produite, la version finale de Matthieu datant de 80.
@ Abbé ARBEZ. Même si, sur d’autres points, nous nous rejoignons très souvent, dans ce cas-ci, nous avons deux approches des Écritures complètement différentes. A chacun de se forger sa propre opinion. Lorsque la Bible parle de façon explicite de Bethléem ou de Jérusalem, par exemple, il s’agit bien, à mon sens, de Bethléem et Jérusalem et pas de Tombouctou ou Pékin. Il y a aussi le danger de s’accrocher à une théologie séduisante mais qui peut s’avérer fausse sous certains aspects. Il appartient à chacun de tenter de démêler le vrai du faux en fonction de sa connaissance et compréhension du texte. La prophétie n’a pas pour but de nous conduire à la foi mais de nous confirmer la souveraineté de Dieu sur les événements de l’histoire.
vs avez oublié marseille paris toulouse lyon lille ect!!!!
es musulmans sont crispés!!! qu’ils fassent un peu de yoga!
ils ont des problèmes avec le sexe, la violence, avec l’histoire, avec tout en fait! que peut on y faire si ce n’est battre en brèche ce foutu islam malfaisant!
C’est intéressant de remarquer que c’est seulement qu’après que les Juifs et les Chrétiens ont revendiqué Jérusalem comme épicentre de leur foi que les musulmans se sont précipités aussi (récemment) pour la revendiquer avec l’objectif avoué d’en chasser Juifs et Chrétiens. C’est la démonstration qu’ils ne tolèrent aucune autre religion que la leur.
Me rêvez pas pour un monde paisible il fait détruire l’islam
Le problème et la nuisance de Toutes les religions et de leurs croyants, c’est de prendre une idée relative à propos de Dieu pour Dieu, et de la faire sienne…
La Foi véritable, elle seule, qui n’appartient à aucune religion, est libèratrice; l’étude de la Métaphysique pure, elle seule, ouvre la voie de la libération et du discernement véritables, en particulier en permettant de situer l’indéfinité des relatifs en rapport avec l’ infinité de l’Absolu divin.
@ habibi. Pourriez-vous nous expliquer ce concept de Métaphysique pure qui ouvre la voie de la libération et du discernement véritables, en permettant de situer l’indéfinité des relatifs en rapport avec l’infinité de l’Absolu divin? Je crains fort en effet que plusieurs ici n’ont pas compris toute les subtilités, voire » tortuosités » de ce concept que je n’oserais pas me risquer à tenter d’expliquer ici. Seriez vous un disciple de Luculus, ce savant visionnaires qu’Hergé à si bien décrit dans Tintin et l’étoile mystérieuse?
Correction: Je parlais bien sûr de Lucullus et non Luculus et bien sûr visionnaire et non visionnaires. Excusez-moi d’avoir involontairement estropié le nom de cette célébrité reconnue au plan international.
Excellente analyse du faux mythe de Jerusalem comme étant un lieu saint des musulmans. Il n’en est rien. Jerusalem est un héritage juif dont les musulmans veulent s’approprier. Heureusement, Trump a mis fin à cette appropriation et c’est tant mieux.