Le président George W. Bush s’est vu décerner le Distinguished Leadership Award jeudi soir par le Conseil de l’Atlantique, un groupe de réflexion basé à Washington, pour son action dans la lutte contre la crise du SIDA en Afrique au cours de sa présidence.
Le 43e président des États-Unis a été honoré pour la création par son administration du Plan présidentiel d’urgence de lutte contre le sida (PEPFAR), lancé en 2003, qui a été volontairement ignoré par les médias pour que le grand public n’apprenne pas ce que GW Bush, détesté par les journalistes, a accompli de positif durant sa présidence.
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« Lorsque nous sommes confrontés à la souffrance, lorsque nous sauvons des vies, nous insufflons de l’espoir aux populations dévastées « , a déclaré M. Bush lors de la cérémonie de remise des prix.
En acceptant cet honneur, M. Bush a encouragé les entités de Washington à poursuivre le programme et a déclaré que dépenser de l’argent à l’étranger est « dans l’intérêt de la sécurité nationale des États-Unis ».
« Toute vie humaine est précieuse », a-t-il dit, citant également l’obligation « morale » des États-Unis d’intervenir dans la crise du sida.
Son ancienne secrétaire d’État, Condoleezza Rice, a enregistré un message vidéo pour féliciter l’ancien président.
« George W. Bush a montré ce que le vrai leadership signifie et exige : Faire ce que vous pensez être juste, même si ce n’est pas ce qui est populaire », dit-elle dans la vidéo diffusée lors de l’événement.
M. Bush a accepté le prix et a remercié les Américains pour leur générosité dans la lutte contre la maladie.
« Eh bien, nous avons renversé la vapeur contre le VIH/SIDA, mais les gains sont encore fragiles. Nous ne pouvons pas nous arrêter. Nous avons maintenant atteint un stade du voyage où il ne peut y avoir de pause. Nous devons continuer », a-t-il dit, paraphrasant un discours de Winston Churchill.
Cette distinction est méritée et elle a également été passée sous silence. Le narratif que Bush était un sale type doit à tout prix être entretenu par les journalistes.
Mais au delà, personne ne met jamais publiquement en cause les dirigeants des pays Africains pour ce qu’ils ne font pas pour leur population, ni les populations elles-mêmes pour leur absence de comportement préventif, et ce silence est raciste. L’Occident traite les Africains comme des irresponsables. Ils semblent partir du prémisse que les populations locales ne sont pas assez évoluées pour se prendre en charge et qu’il faille absolument leur tenir la main.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Piotr Stammers pour Dreuz.info.
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merci M. le Président d’avoir aider votre prochain
Cet article me laisse perplexe.
Bush dit : « Toute vie humaine est précieuse ».
Bush a aussi dit: » Islam is peace ».
Combien de précieuses vies humaines l’islam a-t-il sacrifiées ?
L’auteur dit »
L’Occident traite les Africains comme des irresponsables. Ils semblent partir du prémisse que les populations locales ne sont pas assez évoluées pour se prendre en charge et qu’il faille absolument leur tenir la main ».
Je ne demande qu’à voir.
Au-delà du sida, je trouverais les Africains plus responsables s’ils cessaient de faire des enfants qu’ils ne peuvent élever.
« Personne n’est parfait ».
Mais si on citait hors contexte toutes les phrases qu’un humain normalement constitué émet en une année, on arriverait à une grande diversité et à d’apparentes contradictions.
Seul un robot ou un idiot soumis à ce traitement, pourraient prétendre à la cohérence .
Tout de même, à le regarder, je me demande si ce » born again » n’a pas succombé de nouveau aux charmes de l’alcool.
Dans votre premier post 🙂
Très bien dit Loco
C’est bien de la part de Bush et ne m’étonne pas outre mesure.
Je pense que le fait que cela ne fut pas dévoilé, doit être mis sur le compte des médias américains démocrates.
Aujourd’hui Bush, quoique républicain, se désolidarise de Trump…Alors il en est récompensé par cette presse gauchiste et partiale.
en France aussi on lutte contre le sida en Afrique le jour de la fête de la muzzique.