
Une Albigeoise vêtue d’un jilbeb n’a pas pu retirer un colis dans un bureau de tabac. Elle a porté plainte pour discrimination religieuse. La gérante de l’établissement argumente que les clients doivent se découvrir pour «motifs de sécurité».
L’affaire est jugée au tribunal correctionnel d’Albi (Tarn), ce jeudi. Les faits remontent au 13 avril dernier. Anaïs R., une jeune maman vêtue d’un jilbeb, une longue robe couvrant l’ensemble du corps sauf les mains et le visage, se présente dans un bureau de tabac d’Albi (Tarn) pour récupérer un colis. La buraliste, Marie P., refuse. Elle lui demande de se découvrir, la renvoyant à une affichette poinçonnée à l’entrée du magasin. Sur celle-ci, la gérante du commerce indique que «le port du casque ou d’une capuche, ainsi que toute tenue pouvant dissimuler l’identité» est interdit dans son magasin. «Étant donné que je suis nouvelle ici, je me suis dit que j’allais me plier à ce qu’elle demandait, explique la plaignante au site d’informations locales ActuToulouse. Je lui ai proposé de me dévoiler devant elle, dans un coin. […] Je lui ai expliqué que ce qu’elle faisait était illégal, qu’on voyait mon visage et qu’elle faisait l’amalgame avec le voile intégral.»
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Rien n’y fait. Un autre client retire finalement le colis à sa place, après un quart d’heure de palabres. Mais Anaïs R. ne compte pas en rester là. Elle porte plainte dans la foulée pour «discrimination en raison de la religion et refus d’un bien ou d’un service dans un lieu accueillant du public ou pour en interdire l’accès». Avec le soutien du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), elle prend un avocat. Le Licra et le Mrap se sont portés parties civiles.
Sur Twitter, Pick Up, un service de livraison de colis du Groupe La Poste, se désolidarise alors de la buraliste.
Une semaine après l’incident, Marie P. est placée en garde à vue puis sous contrôle judiciaire. La buraliste est jugée ce jeudi pour cette affaire et trois autres plaintes pour le même motif, déposées en 2015, 2016 et 2017. «Nous sommes 4 plaignantes….mais [il y a] beaucoup plus de victimes, bien souvent des femmes tchétchènes ou maghrébines que le manque de connaissance des lois françaises ou le statut de réfugiées empêche de faire entendre leur voix», pointe la plaignante sur Facebook. «Je me fiche des dommages et intérêts. Ce jour-là, je me suis sentie humiliée», explique-t-elle à La Dépêche du Midi.
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La buraliste «peinée»
Marie P. se dit, elle, «profondément peinée par les poursuites», lâche son avocat Me Cohen, et surtout par le fait de pouvoir être «soupçonnée de racisme». Ce pénaliste du barreau de Toulouse réfute toute discrimination dans le commerce albigeois: «Il n’est pas dit “pas de voile”, il est dit pas de “couvre-chef”». Il indique que la règle de la buraliste est «imposée pour les casques, les chapeaux, les casquettes, tout ce qui permet de dissimuler le visage». En cause, des motifs «légitimes de sécurité», afin de remettre les colis «à des personnes identifiées». Celui qui défendra Marie P. au procès est catégorique: «Un bureau de tabac est un magasin privé ouvert au public. Dans le cadre de sa propriété privée, on peut encore prescrire un certain nombre de règles, à condition qu’elles n’enfreignent pas la loi». C’est ce qui sera déterminé ce jeudi à l’audience.
Source : Lefigaro
Quelle mauvaise foi, ces entorchonnées…
Rien que sur l’argument de l’impossibilité de reconnaître formellement un visage si celui-ci est voilé, la buraliste a parfaitement raison. Ce que ces gens appellent « voile » leur recouvre les oreilles et les cheveux, et une partie du front, ainsi que du cou.
Or voir toutes ces parties, même périphériques, du visage, contribue à reconnaître une personne.
Il est absolument honteux que cette buraliste subisse ce traitement.
Ce sont les entorchonnées qui devraient être à sa place !
L’islam ne pose que des problèmes, toujours, partout, à tout le monde. Quelle plaie !
Bientôt, l’islam ne posera plus de problème.
Nous serons sous sa coupe, soumis.
Je ne saisis pas où réside le problème, puisque cette dame a proposé à la buraliste de retirer le « voile » en question.
Moi ce qui me surprend, c’est qu’Albi qui est – ou était – une jolie petite ville (je connais bien la région ayant fait mon service à Pau) soit pleine d’entorchonnés venant de Tchétchénie ou du Maghreb. D’ailleurs, plusieurs de ces cruches sont prêtes à témoigner. C’est bizarre cette solidarité dans la haine. Ils ou elles s’entretuent partout au Moyen-Orient et dans le monde et sont enthousiasmées à l’idée d’égorger un kouffar. J’ai renoncé à comprendre… de toute façon, la première qui s’approche de trop près de mes enfants ou petits-enfants, je la crève comme une chienne.
Il n’y a pas qu’Albi, toute la France est envahie, et c’est en particulier pour çà que beaucoup de chiffres sont cachés depuis 40 ans.
Et vous, vous finirez vos jours en prison car les juges ne vous reconnaîtront aucune circonstance atténuante car étant fds.
mais c’est honteux, cette pauvre buraliste n’a pas à subir une garde vue et un jugement, sous les robes, que peuvent elles cacher : une arme pourquoi pas et puis, si elles ne sont pas contentes qu’elles rentrent chez elle. Nous nous sommes chez nous et qu’elles se plient à nos coutumes à nous.
L’islam veut dominer le monde et s’insinue partout
« je me sens humiliée »
le mieux serait de rentrer dans son pays si les moeurs françaises ne lui plaisent pas!
incroyable de constater que la « justice » poursuive un commerçant qui veut faire respecter la loi !
Cette voilée, qui se sent « humiliée », ne manque pas de destinations
où sa tenue ne provoquerait nul émoi.
La buraliste d’Albi a le DROIT de travailler avec la tranquillité
d’esprit de tous les citoyens qui ont encore le courage de travailler,
en France. Elle n’a pas de temps à perdre, avec les lubies de dévêtement
de l’islamiste qui, pourrait, au surplus, être porteuse d’une arme, ou
d’un explosif. Cela s’est déjà vu.
L’on voit les dégâts de la veulerie d’un Taché & Co.
La politique de Macron est un désastre.
Soutien à Marie et à son défenseur!
Avec l’interprétation déboussolante que les musulmans font de la liberté de culte, on pourrait finir par admettre l’anthropophagie ou la nécrophilie comme acceptable si on en faisait des religions.
La liberté de culte DOIT s’arrêter là où commence la loi (et là où il y a vide juridique).
Il n’y a pas de vide juridique, Alain, car les lois sont complètes, et claires.
Le vide, il est dans la tête des politiciens, des journalistes, des magistrats qui font semblant de ne pas voir que l’islam est sur bien des points, INCOMPATIBLE avec nos lois, justement.
L’islam, secte de mort est tout simplement incompatible avec l’humanité.
Toujours de la provocation de la part de cette communauté. Nous sommes en France et si cela ne lui plait pas qu’elle aille dans un pays arabe et nous laisse tranquille.
Oui mais chez nous la soupe est bonne. Trop bonne.
Il faut être conforme à la photo qui est sur la carte d’identité. Donc pas de couvre-chef, pas de lunettes, pas de voile etc… c’est la loi et la buraliste a mille fois raison. Si les juges la condamnent c’est qu’ils sont contre les lois de la république.
Et une fois de plus ces gens qui veulent absolument venir en France par tous les moyens (en risquant même la mort) une fois en France veulent absolument vivre comme chez eux ….. mais bien sûr avec l’argent des travailleurs français qui sont bien obligés de respecter la loi (sinon amendes) quel pays pourri !!!!!!!
Toutes leurs compromissions n’y changeront rien.
Moi ce qui me pose problème c’est que des dhimmis idiots comme vous existent A la libération identifiez vous on verra
Il faudrait imposer l’utilisation de la reconnaissance faciale d’Apple: si ça passe OK, si ça ne passe pas, on retire le voile.
LICRA et MRAP sont des traîtres kollaborateurs. Le simple bon sens est de demander l’interdiction de ces organisations nuisibles qui ne représentent plus rien
BIENTOT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je ne sais pas de quel pays elle vient mais si là bas on se présentait avec une kippa on serait mis immédiatement en prison