Lorsqu’il est question de la protection des frontières de l’État d’Israël, nous sommes dans tous les cas gavés de jugements à l’emporte-pièce par les journaleux partisans et paresseux de la presse de gauche. La désinformation organisée par la presse partisane de gauche à propos de l’État d’Israël est alimentée par des commentaires orientés et fondés sur des convictions partisane pro-palestiniennes irrationnelles et subjectives, quand il ne s’agit pas ouvertement de désinformation haineuse contre la politique de l’État d’Israël.
Quoi qu’il en soit, on ne lit rien de sérieux dans la presse de gauche et rien de concret qui repose sur une connaissance approfondie de la réalité des frontières de l’État d’Israël et de ses enjeux si complexes.
L’État d’Israël attire les critiques partisanes des uns, quand il fascine les autres par ses résultats. Il est le seul à repousser efficacement le désert par un travail assidu, sans recourir à la gabegie provisoire des pétrodollars des monarchies du golfe. L’État d’Israël occupe dans les consciences de l’Occident chrétien une place singulière qui suscite des débats émotionnels et passionnés qui n’ont que faire de la raison raisonnante.
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Les commentaires de la presse de gauche, sur question de la protection des frontières de l’État d’Israël, souvent de mauvaise foi, émanent d’intellectuels de gauche, de journalistes de gauche et d’hommes politiques opportunistes sans conviction. Leur place, à l’extérieur et à distance de la protection des frontières de l’État d’Israël, ne peut être propice à la réflexion, ni jamais donner lieu à des analyses exactes.
Questionner la protection des frontières de l’État d’Israël, sa réalité sociale et politique du point de vue de la gauche morale, est une mystification. Pour relever le défi de la protection des frontières de l’État d’Israël, il faut pouvoir donner la parole aux Israéliens personnellement impliqués, de l’intérieur, dans de la protection des frontières de l’État d’Israël, un pays en guerre menacé dans sa survie depuis plus de 70 ans.
Lorsqu’il est question de la protection des frontières de l’État d’Israël, il ne faut pas s’attendre à ce que les médias vulgaires et corrompus prennent le recul de la réflexion sur cette question pourtant si actuelle et si présente. Car enfin, y a-t-il un État au monde qui soit, comme Israël, constamment menacé sur ses frontières et condamné par les médias au service de la médiocrité ambiante d’un point de vue moral ? Pour comprendre et juger en connaissance de cause de la question de la protection des frontières de l’État d’Israël, les télés vulgaire de la désinformation à scandale, continue 24 h sur 24, constituent une mystification unique.
Pour juger de la force morale de l’État d’Israël, nombre d’intellectuels de gauche et de journalistes de gauche ont l’habitude de jouer sur l’amalgame entre éthique et morale. On entend par éthique un ensemble de règles consensuelles qui sont devenues légales. On note une tendance, surtout dans le journalisme de désinformation vulgaire, à ce que des prescriptions partisanes décidées par des journalistes ignares se substituent à l’idée de morale. Or, il ne faut jamais oublier que les règles de droit, posées par la constitution et le système légal de l’État d’Israël, ne peuvent être confondues avec la morale corrompue des démocraties modernes, telle que la définissent les journaleux partisans et paresseux de la presse de gauche. Comme quoi, un retour d’information est absolument nécessaire sur la protection des frontières de l’État d’Israël.
Il faut reconnaître que l’État d’Israël est l’outil et l’instrument formel de l’existence de la nation juive. Le sionisme, plus que la refondation d’un État juif, a agi pour la reconstitution de la nation hébraïque à partir des communautés dispersées. C’est ce que beaucoup de Juifs ont ressenti, qui explique l’adhésion au sionisme de la majorité du peuple juif, et la manière spécifique dont les gens venus du monde entier se sont manifestés pacifiquement à Jérusalem lors des manifestations du 70ème anniversaire de la création de l’État d’Israël.
C’est un fait, aucun journaliste de gauche ne juge l’État d’Israël de la même manière que les autres États, parce qu’il y a là une nation très particulière, une nation que les journalistes de gauche sont absolument incapables de juger, ni même de comprendre, depuis leur bureaucratie partisane sécurisée très parisienne.
On prétend qu’il y a un lien de cause à effet entre le terrorisme du Hamas et la cause palestinienne. C’est pourquoi l’État d’Israël est toujours menacé moralement et physiquement sur la question de la protection de ses frontières. À cause du terrorisme politique et factieux des palestiniens manipulés par le Hamas contre ses frontières, il faudrait juger Israël selon la morale partisane pro-palestinienne très particulière des médias.
C’est une erreur des médias de penser qu’il n’y a pas de relation déterminante entre les deux, entre la morale antisioniste en politique et le terrorisme politique et factieux des palestiniens manipulés par le Hamas.
Il y a une relation de contemporanéité entre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’État d’Israël, à l’occasion du déplacement de l’ambassade des États-Unis, et les émeutes de la bande de Gaza.
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Ce sont deux événements de nature différente qui se produisent en même temps dans l’État d’Israël.
L’un est de nature politique, l’autre est de nature terroriste. Le fait est que la propagande partisane pro-palestinienne des médias de gauche, et l’attitude complice des Nations Unies, a facilité depuis toujours l’installation, le financement et le développement du terrorisme palestinien. Toutefois, l’État d’Israël ne saurait trouver dans ces considérations politiciennes la moindre justification de la protection de ses frontières qui sont celles d’un État souverain. C’est pourquoi les journalistes paresseux des médias de gauche du monde entier devraient inventer d’autres critères que la propagande partisane pro-palestinienne pour juger de la question vitale de la protection des frontières de l’État d’Israël. Pour juger la politique de défense des frontières d’Israël, il faut des critères différents de la soi-disant moralité journalistique parisienne. En pratique, il y a disproportion absolue entre la façon médiocre dont le monde corrompu des médias vulgaires de gauche juge la politique de défense des frontières de l’État d’Israël et la façon dont il juge les autres pays sur les mêmes problèmes.
D’un point de vue légal, en Israël, le comportement de l’État d’Israël est strictement garanti par ses institutions (principalement la Haute Cour de justice) et l’importance fondamentale accordée aux tribunaux, même pour juger des actes du Parlement, et même avec un parti pris permanent de rechercher la légalité qui soit la plus morale possible. Malgré cela, il y a des cas, comme la politique de défense des frontières de l’État d’Israël, dans lesquels on ne peut définir s’il y a immoralité ou non. Si on veut juger Israël sur sa moralité, il ne faut jamais oublier que l’objectif de l’État d’Israël est avant tout de mettre fin au terrorisme et de reconstituer le lieu sacré de l’identité nationale hébraïque afin d’assurer la sécurité des Juifs du monde entier.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
Erreur fondamentale dans les cartes (dans la première)
La Palestine mandataire comportait aussi la totalité de la Jordanie.
La Palestine a donc été amputée des 4/5è et ensuite divisée en partie juive et partie arabe.
Il est très important de rappeler ça parce que ça ramène à la vérité que la Jordanie est la palestine et la patrie des palestiniens.
Et que les « réfugiés » palestiniens en Jordanie sont « réfugiés » dans leur propre pays.
Comme si pendant la seconde guerre mondiale on avait fait des camps de réfugiés français dans le sud de la France pour parquer les français venant de la France occupée.
Erreur aussi dans la 2ème carte car le plan de 47 a été refusé par les arabes donc nul et non avenu.
Et dans la 3ème car la Cisjordanie était annexée illégalement par la Jordanie en 48.
Bref aucun de ces territoires n’était palestinien en vertu du droit international, contrairement à ce qu’on essaie de nous faire croire.
Les frontières, quelles frontières ?
Les seules qui seraient admissibles par le soi-disant peuple palestinien seraient celles d’un cimetière et encore cela faute de pouvoir incinérer tous les juifs, cela a déjà été essayé dans le passé et malgré des millions de victimes nous sommes toujours la.
Depuis toujours la communauté parle de 2 états avec des frontières sûres et reconnues d’Israël mais qui va les garantir, quel pays enverra des soldats défendre le pays juif en cas de besoin (en dehors des usa).
Tout cela n’est qu’une vaste blague, de la poudre aux yeux.
israel doit se protéger, point final!
les arabes n’ont jamais voulu la paix, ni en 1948 ni après les accords d’oslo;
la gauche bobo internationale veut imposer sa vision du monde, israel ne peut que durcir sa position, point barre!
Il suffit de regarder la carte pour se rendre compte que la décision initiale de l’ONU était une décision porteuse de conflits futurs. L’ONU a mal fait le job et continue de mal le faire en condamnant systématiquement Israël. Du coup, même la reconnaissance de son existence par les pays arabes (ce qui n’arrivera pas) serait sans doute insuffisante pour que la détente s’installe dans la région vu que la « communauté internationale » se refile la question palestinienne et son « droit au retour » comme une patate chaude…
Des murs infranchissables et du 15000 volt ça devrait faire l’affaire ! Aucun pays Arabe n’en veulent ,la Jordanie en a fait les frais et se sont vu dans l’obligation d’en tuer quelques milliers …
cela fait 2000 ans que la terre d’Israël en tant qu’élément vivant de l’alliance est en danger de submersion.
la renaissance (arrachée de haute lutte) d’une terre reconnue sous forme d’ état-nation moderne en 1948 ne doit pas faire oublier la situation des siècles antérieurs et la permanence de la présence juive.
Je demande aimablement a Dreuz de mettre d ábord ces
deux cartes du mandat britannique avant celles figurant deja dans l árticle sous peine de faire le jeu de nos ennemis islamo +gauchos +fachos ……………………………………
http://www.mythsandfacts.org/conflict/mandate_for_palestine/mandate_for_palestine.htm
Le territoire d’Israël comprend aussi la Judée Samarie, la bande de Gaza et le plateau du Golan. Et tout Jérusalem est la Capitale Souveraine d’Israël et des Juifs (c’est-à-dire pas des musulmans ni des chrétiens).
Je suis étonné par cet article.
L’affirmation répétée du droit absolu du peuple d’Israël à sa terre ancestrale depuis 3800 ans , ancré également dans le droit international public, est toujours utile. En effet l’Etat d’Israël est le seul état au monde qui doit sans arrêt prouver son droit à sa terre.
Par contre les éléments présentés par cet article, pèchent par leur non-professionnalisme : la superficie du Foyer National Juif dont la création avait été décidée suite à la déclaration Balfour et entérinée par la Conférence de San Rémo en 1922, puis la SDN et l’ONU était quatre plus importante que celle de l’Etat d’Israël aujourd’hui (27.500 km²). Winston Churchill, ministre des Colonies de la perfide Albion, a décidé d’amputer en 1923 les trois quarts du territoire accordé au peuple juif après 2000 ans d’exil, en faveur de la création de la Jordanie pour des raisons tant politiques qu’économiques. Pour cette raison, les cartes qui illustrent cet article sont incomplètes. Notons que les pays arabes n’ont jamais reconnu, jusqu’à aujourd’hui, le moindre droit du peuple juif à sa terre, considérée oniriquement par eux comme « Dar es’ Salam », terre islamique, au même titre que l’Espagne, le sud de la France et les Balkans.
Quant à la fiction d’un soi-disant « peuple palestinien », invention du KGB soviétique, tout le monde sait aujourd’hui qu’elle est l’outil hideux de l’antisémitisme européen, essentiellement, mais pas exclusivement, de gauche.
A regarder les cartes en illustration… on se demande bien pourquoi la Jordanie est escamotée !
Je pense que nous devons être très attentifs sur cette question et ne jamais faire le lit des ennemis d’Israël.
Mais il ne sert à rien de vouloir toujours justifier et rejustifier les liens historiques d’Israël avec cette terre par des argument détaillés. L’Etat juif existe. Il est. Comme les autres états créés lors du partage de la Palestine après 14-18 et le démantèlement de l’empire Ottoman sous mandat de la SDN : Jordanie, Liban, Syrie, Irak,…
Il n’y a rien à justifier.
Il y a à résoudre les problèmes qui existent encore.
A savoir quel statut pour la Judée et Samarie pour permettre la cohabitation sur ces terres des populations actuelles, musulmane et juive. Ni plus, ni moins.
Quant à Gaza, qu’ils se débrouillent et il n’y a aucune raison de les inclure dans une négociation ou l’autre. Le problème là, à régler par Israël, est la protection d’Israël, de ses frontières, avec cet entité terroriste. S’ils (Gaza) veulent s’intégrer dans un monde musulman plus large, c’est entièrement leur problème à eux. Pas celui d’Israël. Mais continuons à leur taper dessus chaque fois que nécessaire et sans état d’âme ! Personne n’est dupe et je crois que tous le foin fait par les médias en Europe n’est pas aussi préjudiciable qu’il paraît. Je ne suis pas sûr que Goldnadel ait raison à ce sujet car je crois que les gens sont de moins en moins dupes et que la caisse de résonance – assourdissante il est vrai – des média en fausse l’impression du véritable impact sur l’opinion publique…
J’espère que la doctrine Trump qui est d’internationaliser le problème palestinien au pays arabes voisins, Jordanie, Arabie Saoudite, Pays du golf, Egypte, Liban, Syrie, sera la bonne méthode et qu’on arrivera à un accord qui va dans le bons sens (?).