Publié par Jean-Patrick Grumberg le 6 mai 2018

Voici une citation de l’infâme judéophobe extrémiste qu’était Karl Marx : « Quelle est la religion spirituelle du juif ? Bonimenteur. Quel est son Dieu spirituel ? L’argent. L’argent est le dieu jaloux d’Israël devant lequel aucun autre dieu ne peut exister. »

À l’occasion du bicentenaire de la naissance de Karl Marx, le monde devrait condamner ses idées et le terrorisme qu’elles ont engendré, et non les excuser ou les célébrer.

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Dans un article publié sur le site Catholic World Report (1), le Dr. Samuel Gregg explique :

« C’est toujours un exercice risqué de tracer une ligne droite entre des idées particulières et des événements humains. La plupart des événements de l’histoire humaine ont des causes multiples.

De temps en temps, cependant, vous pouvez identifier des liens directs.

Un exemple en est la vie et la pensée de Karl Marx, dont le 200e anniversaire est commémoré ce mois-ci.

Sans Marx, je dirais que le XXe siècle aurait connu beaucoup moins de meurtres, de violences, de vol et de convoitise approuvés par l’idéologie. »

Samuel Gregg poursuit :

« Dans un monde dans lequel nous condamnons à juste raison des figures comme Adolf Hitler, et des mouvements comme le national-socialisme, pour la destruction et la mort qu’ils ont infligée à des millions de personnes, il reste acceptable pour la gauche politique et intellectuelle de louer un homme dont les idées et les actions ont été un catalyseur majeur pour la mort de 85 à 100 millions de personnes entre 1918 et 1991.

Cette boucherie n’inclut pas les économies détruites, les églises brûlées, ou le recours systématique à l’emprisonnement de masse, à la torture et au terrorisme d’État par les activistes et les régimes marxistes qui considéraient l’idéologie marxiste comme la légitimité fondamentale de leurs actions. »

Marx, un « humaniste mal compris »

Samuel Gregg :

« Face à ces faits historiques brutaux, la réponse habituelle des apologistes contemporains de Marx est qu’il a été « mal compris ».

Marx, nous dit-on, était en fait un humaniste qui a élevé sa voix comme un prophète de l’Ancien Testament dans un appel à la justice au milieu des conditions épouvantables de l’Europe industrielle du XIXe siècle. »

Mal compris vraiment ?

  • Voici ce que Marx écrivait dans un éditorial de mai 1849 du Neue Rheinische Zeitung (2) dont il était le rédacteur en chef :

« Les massacres sans but perpétrés depuis les événements de juin et d’octobre, l’offre fastidieuse de sacrifices depuis février et mars, le cannibalisme même de la contre-révolution convaincra les nations qu’il n’y a qu’une seule façon d’abréger, de simplifier et de concentrer les souffrances meurtrières de l’ancienne société et les douleurs sanglantes de la nouvelle société, et c’est la terreur révolutionnaire.

Est-ce clair, messieurs ? »

Si ces mots sont ceux d’un humaniste, beaucoup d’humanistes vont avoir du mal à dormir ce soir. Il y a dans ces mots la préfiguration des méthodes terroristes employées par les marxistes, et la communion d’idée entre les régimes qui sont nés du communisme et la pensée de Marx.

  • Si le doute persiste, lisez ce qu’il écrit un plus loin :

« Nous n’avons aucune compassion, et nous ne vous demandons aucune compassion. Quand notre tour viendra, nous n’aurons pas besoin d’excuses pour [semer] la terreur. »

  • L’année suivante à Londres, Marx et Engels approuvent explicitement le recours à la violence terroriste, cette fois pour radicaliser la classe moyenne, lorsqu’ils s’adressent au comité central de la Ligue communiste (3) :

« Par-dessus tout, pendant et immédiatement après la lutte, les travailleurs doivent, dans la mesure du possible, s’opposer aux tentatives bourgeoises de pacification et forcer les démocrates à exécuter leurs sentences terroristes.

Ils doivent travailler pour s’assurer que l’excitation révolutionnaire immédiate ne soit pas soudainement supprimée après la victoire. Au contraire, elle doit être maintenue le plus longtemps possible.

Loin de s’opposer aux soi-disant excès – cas de vengeance populaire contre des individus détestés ou contre des édifices publics auxquels sont associés des souvenirs haineux – le parti ouvrier doit non seulement tolérer ces actions, mais doit même leur donner des directives. »

Les paroles d’un philosophe humaniste qui rêve de la transformation pacifique du monde, vraiment ?

Bien-sûr que non !

Ce sont, dit le professeur Gregg, les propos « de l’activiste révolutionnaire engagé qui est prêt à faire tout ce qu’il faut – mentir, tricher, voler, détruire, torturer et, si nécessaire, tuer – pour atteindre la fin souhaitée. C’est aussi le chemin vers les enfers sur terre comme le Goulag en Sibérie et les Champs de la mort au Cambodge dans les années 1970. »

Infâme antisémite ne rime pas avec humaniste

Marx soutient qu’« en dernière analyse, la libération des Juifs, c’est la libération de l’humanité du judaïsme ». C’est la phase ultime que visait Hitler, libérer l’humanité du judaïsme.

Ulrike Meinhof membre de la Faction marxiste de l’Armée rouge a clairement exposé la proximité entre l’antisémitisme de Marx et celui des nazis :

« Auschwitz signifie que six millions de Juifs ont été assassinés et transportés dans les décharges à ordures de l’Europe parce qu’ils étaient ce qui a été maintenu à leur sujet : les Juifs de l’argent ».

Qui a fait vivre et grandir ce lien entre juif et argent qui a débouché sur l’holocauste ? Marx (« L’argent est le dieu jaloux d’Israël devant lequel aucun autre dieu ne peut exister »)

Même l’antisioniste Joel Kovel reconnaît l’antisémitisme de Marx :

« Par antisémitisme, j’entends le déni du droit du juif à une existence autonome, c’est-à-dire à déterminer librement son propre être en tant que juif. »

  • Lorsqu’il était en vacances à Ramsgate en 1879, Marx rapporta à Engels que la station contenait « beaucoup de Juifs et de puces ».
  • Dans une lettre à Engels, Marx qualifiait Ferdinand Lassalle de « nègre juif ».

Mais c’est dans son article « The Russian Loan », publié dans le New-York Daily Tribune du 4 janvier 1856, que le vil antisémitisme de Karl Marx est pleinement visible :

« Ainsi, nous découvrons que tous les tyrans sont soutenus par un Juif, comme tous les papes par un jésuite. En vérité, les désirs des oppresseurs seraient sans espoir, et la possibilité de faire la guerre hors de question, s’il n’y avait pas une armée de jésuites pour étouffer la pensée et une poignée de juifs pour fouiller dans leurs poches.

….

le vrai travail est fait par les Juifs, et ne peut être fait que par eux, car ils monopolisent la machinerie des mystères du prêt en concentrant leurs énergies sur le troc de titres [boursiers]

Ici et là, partout où un petit capital a besoin d’investissements, il y a toujours un de ces petits Juifs prêt à faire une petite suggestion ou à placer un petit prêt. Le bandit de grand chemin le plus intelligent des Abruzzes ne connaît pas mieux l’emplacement de l’argent comptant dans la valise ou la poche d’un voyageur que ces Juifs qui ont les mains sur le capital d’un commerçant.

Ainsi, ces prêts, qui sont une malédiction pour le peuple, une ruine pour les détenteurs et un danger pour les gouvernements, deviennent une bénédiction pour les maisons des enfants de Juda. Cette organisation juive de prêteurs est aussi dangereuse pour le peuple que l’organisation aristocratique des propriétaires fonciers.

….

Les fortunes amassées par ces prêteurs sont immenses, mais les torts et les souffrances ainsi occasionnés au peuple et l’encouragement ainsi accordé à leurs oppresseurs restent encore à raconter.

….

Le fait qu’il y a 1855 ans, le Christ a chassé les changeurs juifs du temple, et que les changeurs de notre époque enrôlés du côté de la tyrannie se retrouvent à nouveau principalement juifs n’est peut-être qu’une coïncidence historique.

Les Juifs prêteurs d’Europe ne font qu’à une échelle plus grande et plus odieuse ce que beaucoup d’autres font à une échelle plus petite et moins importante. Mais c’est seulement parce que les Juifs sont si forts qu’il est opportun d’exposer et de stigmatiser leur organisation. »

Inutile d’aller chercher très loin chez qui Hitler et Goebbels ont trouvé leur inspiration. Quant aux propos antisémites de Mahmoud Abbas début mai 2018, dénoncés par l’UE, ils sont en comparaison très modérés.

Conclusion

Le bicentenaire de la mort de Marx est très important et il doit être célébré.

  • Pour se souvenir solennellement des millions qui ont souffert, qui ont été torturés, et sont morts sur le passage de ses idées.
  • Pour rappeler que Marx et ses idées ont infligé la misère, la souffrance et la mort à la race humaine à une échelle historique.
  • Pour mieux comprendre que les idéologues, les penseurs et les activistes marxistes travaillent dans le même temps à leur enrichissement personnel et à la destruction et la misère des autres.

Ce bicentenaire doit également construire dans les mémoires la conscience que si les marxistes ne sont pas regardés avec le même légitime dégoût que les jeunes néo-nazis, c’est parce qu’ils bénéficient de nombreux relais d’indulgence à commencer par les médias.

Dans le numéro du 19 octobre 1848, Karl Marx écrivait :

…Il est désormais du « devoir de la presse de saper toute la base de l’ordre existant ».

Ma prédiction : le 21e siècle sera débarrassé des idées communistes ou ne sera pas.

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

(1) https://www.catholicworldreport.com/2018/05/04/remembering-karl-marx-prophet-of-violence-and-terror/
(2) https://www.marxists.org/archive/marx/works/1849/05/19c.htm
(3) https://www.marxists.org/archive/marx/works/1847/communist-league/1850-ad1.htm

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