Un gamin de Sarcelles a été agressé parce qu’un prof de Coran autoproclamé n’a pas supporté ses cheveux décolorés en blond.
Ce 27 avril 2017, il est 18 heures quand Djibril*, 12 ans mais costaud, se présente à son cours d’arabe et de Coran dans un local attenant à la mosquée Foi et Unicité, à Sarcelles (Val-d’Oise). Il ôte son bonnet et l’enseignant découvre, horrifié, une bande de cheveux teints en blond sur le crâne du pré-ado. « C’est contraire aux règles coraniques », s’écrie Boubou F., 34 ans, convaincu que cette fantaisie capillaire serait le « premier pas dans la délinquance ». Il demande à un élève d’aller à son domicile chercher sa tondeuse. Et rase la touffe blonde de force. « Il m’a affiché devant tous les autres, qui riaient et se moquaient de moi », raconte le jeune garçon.
Furieux, Djibril rentre chez lui avec une énorme envie de vengeance. Faute de soutien de son beau-père, qui découvre avec indifférence la tête rasée du gamin, il décide de se faire justice lui-même et s’en va jeter une douzaine d’oeufs sur la maison de son prof. Ce dernier téléphone alors à Kalilou F., 50 ans, le beau-père, pour demander à ce dernier l’autorisation de le corriger. « Frappez-le jusqu’à ce qu’il se pisse dessus, mais sans laisser de traces », lui aurait-il répondu…
Le prof appelle du renfort : son frère, Mamady, 19 ans, qui va rameuter deux animateurs municipaux, Silamakn T., 23 ans, et Souley S., 28 ans. La fine équipe coince Djibril. « Ils m’ont mis des patates et des penaltys, m’écrasaient la tête sur le sol, témoigne le garçon. Je saignais. A un moment, j’ai perdu connaissance, mais ils continuaient. » Selon la jeune victime, son passage à tabac se déroule dans une pièce verrouillée pendant près de deux heures. Sur le mode douche écossaise, puisque ses « bourreaux » lui offrent des pauses, afin qu’il essuie le sang qui coule de son nez et de ses lèvres et qu’il boive un verre d’eau. Les agresseurs lui proposent même un kebab.
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Visage boursouflé, lèvres fendues
De retour chez lui, Djibril se présente dans un sale état. Visage boursouflé, lèvres fendues, yeux gonflés – le gauche, surtout, qu’il a du mal à ouvrir. Son beau-père est satisfait de la correction, sa mère pas du tout, qui l’emmène se faire soigner dans une clinique. Le lendemain, l’un des agresseurs lui propose 100 euros pour ses frais. Sans doute aussi pour l’inciter à se taire.
En vain, puisque après quelques jours d’absence de l’enfant, le collège Jean-Lurçat s’inquiète auprès de la famille. Le 4 mai 2017, la mère raconte les coups reçus par son fils à l’assistante sociale et au principal adjoint. L’affaire est prise très au sérieux. Dix-huit jours plus tard, l’établissement scolaire effectue un signalement au parquet du tribunal de Pontoise, avec copie à la direction académique du Val-d’Oise. La machine judiciaire se met en branle.
La mère attend trois mois pour porter plainte
Le procureur ouvre une enquête préliminaire, confiée au commissariat de Sarcelles, et désigne une administratrice ad hoc. Sa mission est de représenter les intérêts de l’enfant avec l’avocat Christian Gallon, spécialiste des violences sur mineurs. Parce que cette affaire met en cause la responsabilité de son mari, la mère hésite longuement à porter plainte – plus de trois mois. Elle se décide juste après avoir été entendue par un policier. C’est aussi le moment où une unité médico-judiciaire finit par se pencher sur les séquelles de Djibril. Au cours de cet examen plus que tardif, elle lui prescrit un jour d’ITT (incapacité temporaire de travail) et 15 jours au titre du « retentissement psychologique ».
A Sarcelles, cette affaire ne fait pas de vagues jusqu’au 8 mars 2018, jour de l’audience correctionnelle à Pontoise. A la barre, l’ado joufflu porte un sweat à capuche et semble heureux de tenir sa revanche. Sur le banc des prévenus, ils ne sont que quatre, le beau-père ayant ignoré la convocation judiciaire ; il a préféré ce jour-là se trouver dans son village d’origine, au Mali, plutôt qu’au tribunal. Devant les trois magistrats, Djibril désigne avec détermination ses trois agresseurs et leur commanditaire. Le « prof de Coran » Boubou, le seul à être assisté d’un avocat, reconnaît avoir demandé à son petit frère de gifler l’enfant : « parce que j’étais trop âgé pour le faire moi-même. »
Prison ferme
« Je ne lui ai donné que des baffes, se défend Mamady. Si je l’avais frappé, le gamin aurait été dans un état bien pire. » Et la présidente d’audience de brandir une photo du visage tuméfié : « C’est cela que vous avez fait à Djibril ! » Malaise dans la salle. Silamakn tente une contre-offensive pour justifier sa distribution de fortes gifles. A l’entendre, le beau-père leur aurait dit d’y aller franco. Et l’ado aurait mauvaise réputation, puisqu’il est suspecté de cogner sa mère. Affirmant être parti avant que la leçon de morale ne prenne un tour violent, Souley qualifie les coups de simples « corrections ». « Ce n’est pas de l’éducation, c’est de la maltraitance », réplique Me Gallon. Un autre élément joue en défaveur des prévenus : trois d’entre eux – Boubou, Mamady et Silamakn – ont déjà été condamnés, dont les deux premiers pour des actes de violences.
Fait rare, dans leurs condamnations, les magistrats se montrent nettement plus sévères que les réquisitions du parquet. Boubou écope de 12 mois de prison, Mamady et Silamakn, de huit mois, et Souley, de six mois. Toutes ces mesures d’emprisonnement pour violences volontaires en réunion sont assorties de quatre mois de sursis et de mise à l’épreuve pendant deux années, de l’interdiction de contact avec Djibril et de celle d’exercer une activité avec des mineurs. Quant au beau-père jugé par défaut, il prend six mois de prison avec sursis pour non-empêchement de délit. Mais le monsieur est renvoyé par ailleurs en correctionnelle pour avoir tabassé Djibril à une autre occasion – ce qu’il conteste. Seuls les deux animateurs municipaux, Silamakn et Souley, font appel.
Le prof surveillé
A Sarcelles, c’est le choc. La puissance du haut-parleur médiatique y est pour beaucoup. « Sa coiffure déplaît, il est rasé et passé à tabac à l’école coranique », titre Le Parisien, avec pour illustration une photo de la mosquée Foi et Unicité. Le cocktail est explosif. Des violences aggravées sur un enfant de 12 ans, commanditées par un musulman présenté comme le directeur de l’enseignement du Coran, et impliquant deux employés municipaux. Tous les ingrédients du scandale sont réunis, et il n’en faudrait pas beaucoup plus pour enflammer une commune à l’équilibre fragile. Incontestablement, le fait divers écorne à la fois l’image de la mosquée et celle de la municipalité. Après les condamnations, la première prive Boubou de toutes ses fonctions d’enseignement et la seconde suspend ses deux animateurs.
L’émotion monte dans les quartiers sensibles de la ville. Le député PS François Pupponi le sait et raconte à L’Express une partie occultée de l’histoire, qui n’a pas été livrée au tribunal. Le fameux Boubou, enseignant autoproclamé, sans diplôme, donnait des « cours de Coran » dans un appartement discret. Il avait été repéré par la police. « Afin d’essayer de le mettre sous contrôle, la mosquée l’a pris sous son aile à la demande du service de renseignement territorial, révèle Pupponi. Alors qu’elle a déjà fort à faire pour résister aux tentatives d’OPA salafistes. » D’où l’agacement des responsables musulmans locaux, après que les dérapages de Boubou ont défrayé la chronique et provoqué la stigmatisation de leur mosquée.
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La tradition des corrections…
La municipalité, elle, ne s’est pas passée pendant plus d’un mois des services de ses deux animateurs condamnés. Notamment Souley, réaffecté dans un service de la mairie où il ne s’occupe plus de mineurs. Même si, en réalité, il poursuit ses activités… bénévolement. Car des établissements scolaires se l’arrachent pour encadrer des sorties de jeunes loin des quartiers. De février à avril, l’intéressé a participé à au moins trois séjours à la montagne, dans les Alpes et les Pyrénées, avec des écoliers du CE1 au CM2. « Comme toujours, ça s’est super bien passé, témoigne la directrice d’une école élémentaire. J’ai une totale confiance en Souley et Silamakn ».
Et les actes de violences sur le jeune Djibril ? « Dans ces quartiers, on fait appel aux grands frères pour donner des baffes sur un mode éducatif, pour aider les familles qui ne s’en sortent pas avec certains pré-ados », confie une maîtresse d’école de Sarcelles. Et d’invoquer la tolérance locale à l’égard d’une « tradition africaine » qui consisterait à talocher les enfants en dérive.
Talocher, pas tabasser. Boubou, qui se fait appeler Aboubacar, est manifestement allé bien au-delà des corrections de « grand frère », imposant l’humiliation de la tonte forcée, à l’origine de l’engrenage de violences et du scandale. Pas sûr que la cour d’appel de Versailles, lorsqu’elle rejugera cette affaire dans quelques mois, étudiera l’influence des coutumes éducatives africaines dans cette histoire d’enfant de 12 ans tondu et roué de coups à cause de sa malheureuse teinture blonde.
(*) Le prénom a été modifié.
Source : Lexpress
Et nos Politiques appellent ça :
« » »l’Identité Heureuse…
ou
Les Chances Pour la France » » »
Doit-on penser qu’un jour, nos joyeuses petites têtes blondes d’origine, auront aussi à subir ces « lynchages »????!!!!
C’est réellement le retour au pire temps du Moyen Age…
Et il y en a encore qui s’imaginent qu’ils…
« » » » » »
vont s’intégrer » » » » » » » »
Non, ils veulent que nous nous intégrons à eux!!!
Regardez ce qui se passe en Allemagne ou les « trop blonds » rasent les murs dans les écoles et en Suède les suédoises se teignent les cheveux en noir pour se protéger!
Voilà ou nous en sommes et avec les lâches dirigeants complices qui nous gouvernent on n’est pas sorti de l’auberge !
Et oui, beaucoup de Français vont apprendre à connaître ces « gens ».
Tu me fais marrer sitonia83 !
Avec tout ce qui s’est passé en france et dans le monde par les islamistes depuis 40 ans, si tu penses que les français « vont apprendre à connaître ces gens », c’est que tu considères qu’ils ne savent pas encore ce que font ces gens.
S’ils ne le savent pas encore, il ne faut pas que tu mettes beaucoup d’espoir pour qu’ils apprennent maintenant à connaître ces gens-là.
les punitions corporelles étaient quand même plus élégantes en angleterre.
il faut les mettre au trou et jeter la clé dans la scène.
Dans la scène . ? ? Pas plus tôt la Seine ?
Je pense qu’il ne s’agit ni de scène, ni de la Seine, celle-ci prenant sa source en Côte d’Or sur le sur le plateau de Langres et se jette dans la Manche entre le Havre et Honfleur, en passant largement par Paris et sa région.
En l’occurrence les clés, seraient plutôt jetées dans la Tamise si cela se passe en Angleterre.
Sans vouloir jouer au prof.
Bonne soirée,
Excellent !
Un aramuz fumé par un imam ? Rien à redire, tout est normal en francarabia.
Ou est le problème? Absolument rien d’anormal en pays musulman.
Alors, mon ami gigobleu, c’est l’heure de la démission ?
Paaaaaaas bien !
🙂 🙂
Tout de même, il s’agit là d’un gosse qui n’avait pas encore totalement assimilé toutes les règles que l’Islam et la Charia imposent.
D’où la crainte légitime qui nous prends, quand on imagine ce que ces enfants peuvent devenir ensuite, par la crainte et le bourrage de crâne et l’endoctrinement.
esperons que si le beau pere OSE revenir,la France lui refuse l entree.
mais je reve….
La rouste, mode de punition préféré des dingos de l’islam et de certaines religions animistes d’Afrique.
Alors que nous habitions encore le 93 et mon fils se trouvait en quatrième, un de ses camarades de classe arriva un matin le bras emplâtré et en écharpe. Sa grand-mère à qui les services sociaux l’avaient confié, après l’avoir arraché à ses parents maltraitants, lui avait administré la correction ad hoc pour une mauvaise note.
Le seul à trouver anormal de se prendre des baffes, des coups de ceinture, de brosse, d’arrachage de cheveux et j’en passe était mon gosse. Qui s’est fait traiter de » gros mytho » parce qu’il assurait que chez lui, il écopait juste d’une bonne engueulade, puis d’une aide pour voir ce qu’il n’avait pas compris, et d’une deuxième grosse engueulade en cas de » rien foutage ». Il a même manqué se faire frapper par les autres au cri de » c’est pas vrai, dis le que tu te fais taper »….
Ce qui s’est passé dans cette mosquée et dans toutes ces familles n’est que le reflet de se qui se passe dans presque toutes les autres mosquées et familles d’ici ou d’ailleurs.
Et de ce qui attend M. Borloo et son plan à la C…
« Et de ce qui attend M. Borloo et son plan à la C… ».
Borloo est un communiste sous étiquette officielle de « centre ».
C’est un alcoolique invétéré en mal de reconnaissance, de fric, et d’occupation.
Plus grave, c’est un traite à la patrie. En 45, on en a fusillé des centaines. C’est le sort qu’il mérite.
+10000
………. tout en sachant que ces rapports sont toujours accompagnés d’excellentes indemnités, ce que la censure stalinienne des merdias français empêche de révéler.
Mais de contacts avertis, je peux te dire qu’en général ce type d’étude est rémunérée entre 200 000 et 300 000 euros pour son auteur principal et entre 70 000 et 90 000 euros pour ses deux ou trois collaborateurs.
Tout cet argent pour un rapport remis le lundi et entièrement mis aux oubliettes le mardi, c’est ce qu’on appelle une excellente gestion des fonds publics.
Mais, en france, on a l’habitude.
La réalité est autre : on demande en général un rapport bidon à une personne à qui ont veut faire plaisir ou que l’on achète pour qu’elle ne parle pas. Et on la rémunère grassement. C’est ça la vérité. Si on comptait le nombre de « rapports » depuis 40 ans très grassement rémunérés et oubliés aussi vite, on tomberait des nus ! Genre Jospin, sous Hollande, pour son rapport pour une « Meilleure moralisation de la vie politique » rémunéré 315 000 euros avec Roselyne Bachelot comme adjointe rémunérée 90 000 euros, et des dizaines d’autres…
Mais, comme toujours, tout cela absent de nos « infos » par la censure stalinienne des merdias français.
Un fait ordinaire, comme des milliers avant et des milliers qui vont suivre.
Rien ne changera.
Comme je le dis souvent à ma femme, il peut y avoir demain 1 million de morts d’un seul coup par la faute des musulmans en france, les choses ne changeront toujours pas.
Les frontières ne se fermeront pas davantage.
Si nous sommes dans un pays plus qu’à moitié islamisé, c’est que, quoiqu’il arrive et quelque soient les drames engendrés, l’islamisation ne s’arrêtera pas.
Les français votent tous les 5 ans des traites pour lesquels l’invasion islamique doit s’accomplir quelqu’en soit le prix.
L’application du Plan Kalergi, quoiqu’il arrive.
Comme je le dis souvent c’est là le fruit d’un peuple totalement décérébré, qui ne vote tous les 5 ans que pour une mesure d’assistanat supplémentaire.
Cela porte un nom : la folie
« Comme je le dis souvent à ma femme »… On dirait Columbo.
Je ne le suis pas, mais c’est un de mes héros !! 🙂
en épisode de la france heureuse que les médias aux ordres ont soigneusement évité de traiter!
heureusement pour ce gamin qu’ils ne sont pas allé aussi loin que celui de Pau où le gars est mort des coups portés par une dizaine de « chances » trop jeunes pour être sanctionnés d’ailleurs! et un « grand frère » interviouvé a bien dit qu’il avait agressé les jeunes!!!
Frapper les enfants à coups de bâton et violer les filles qui n’ont pas le voile ou qui sortent de chez elles la nuit nous choque parce que nous sommes des Occidentaux mais pour les Arabes c’est la simple application coran; les juges ne peuvent rien faire contre la loi islamique parce que ce sont des musulmans qui éduquent leurs enfants selon leurs traditions selon les règles du droit coranique ; d’ailleurs, je ne vois pas comment on peut autoriser l’exercice de la religion islamique sur notre sol sans en accepter les conséquences ; on fait venir en France des millions de musulmans et lorsqu’ils vivent comme des musulmans cela nous choque et on leur inflige une peine de prison ? nous n’avons aucune logique, les Britanniques sont plus lucides en autorisant les tribunaux islamiques à régler leurs conflits parce que la charia est en vigueur et bientôt ce sera le tour de la France d’être islamisée pour devenir le 58 ème pays musulman……l’engrenage de l’immigration c’est comme l’aile de papillon à Paris qui peut engendrer un cyclone en Malaisie !
DANY83270 par ton post, tu es EXTRAORDINAIREMENT LUCIDE et de compréhension parfaite de ce qui se passe dans nos sociétés occidentales.
Tu décris donc, indirectement, islamisation totale progressive de notre pays.
CQFD
RAR (Rien A Rajouter)
Tout à fait normal ce tabassage
ben ouai , la féssée est interdite maintenant
Premièrement, je ne crois pas qu’on puisse trouver quoi que ce soit dans le coran et les hadiths qui concerne la teinture des cheveux. Ensuite voilà bien la preuve que les musulmans en sont à des conceptions moyenâgeuses de l’éducation incluant les châtiments corporels.
En fait c’est un Mali-melo drame;
Rien que de plus ordinaire chez ces sous-équipés de l’encéphale.
Les profs musulmans c’est pourtant super-sympa
https://www.youtube.com/watch?v=HmQW1klT4Pc
Consternan.
Qui rime avec musulmant.
En Iran, des gamines se sont fait couper les cheveux qui dépassaient de leur voile, à l’école, car jugé provocateur à l’égard du surveillant mâle.
Et pendant ce temps, nos soldats sont dans leur bled entrain de risquer leur vie ! Qu’est-ce qu’ont fait avec ces gens-là : des autoproclamés, des animateurs municipaux ! Ils devraient être appréhendés par nos Gendarmes et être remis aux autorités de leur pays pour faire face aux menaces terroristes dont il est l’objet ! Mais avec nos dirigeants, ce n’est pas demain que de telles dispositions serons prises… Avec tous les nationaux de ce pays qui sont chez nous, il pourrait former une véritable armée !
« Qu’est-ce qu’ont fait avec ces gens-là : des autoproclamés, des animateurs municipaux ! »
On en fait tout simplement l’’application pure et dure du Plan Kalergi, et ce quoiqu’il arrive, y compris les plus grandes atrocités.
Si tu veux tout savoir sur le Plan Kalergi, c’est-à-dire la disparition de l’Europe bien programmée et appliquée, clique ici (garanti sans virus, c’est là une page d’un de mes propres sites)