Comment définir les Droites ?
Historiquement, lors de la Révolution Française, les élus qui étaient favorables au roi avaient pris l’habitude de se placer à droite dans l’hémicycle de l’assemblée constituante.
Au XXème siècle, différentes tendances pouvaient être distinguées au sein de la droite :
- le libéralisme (dans certains pays, les libéraux sont considérés comme étant de gauche)
- le gaullisme (avec ses différentes sensibilités)
- le nationalisme
- le souverainisme
- la démocratie chrétienne
- le populisme (qui peut aussi parfois être de gauche)
Le libéralisme aurait dû être représenté par la Droite libérale classique, comme sous Giscard d’Estaing grâce à l’impulsion de certains ministres. Mais la France est restée de tradition colbertiste. Avec Emmanuel Macron au pouvoir, les jeunes entrepreneurs croient vivre une ère néo-libérale salvatrice, tandis que les analystes ne voient en lui qu’un socialiste relooké en roi de la Com. qui invite les jeunes à se lancer dans des start-ups et à devenir « riches ». Toujours est-il qu’un an après le sacre du jeune loup, les rangs des déçus ne font que grossir. Il se voulait social-libéral mais pris au jeu de l’autoritarisme et d’un pouvoir vertical, il sombre progressivement dans une sorte de libéralisme étatique. En engageant de multiples réformes, il donne l’illusion d’un réformateur libéral. Mais il évite la concertation et à chaque étape, renforce le poids de l’état et la concentration des pouvoirs à un cercle restreint. Si l’on regarde sa politique du travail et de l’emploi, on voit qu’elle reste limitée et sans effet sur la réalité. Dans le même temps il renforce le contrôle sur les PME dont il modifie à peine la fiscalité, ne réduit pas les dépenses de l’Etat, augmente les taxes et la pression fiscale sur les retraités et les automobilistes, promet une taxation à la source, une loi sur les Fake news et la filature les honnêtes citoyens par des voitures radars. En fait de libéralisme, avec Macron, les citoyens français ont la sensation que l’étau se resserre. Certains évoquent même la pesanteur d’une dictature. Seuls les criminels auront le champ libre, puisque la libération de 500 djihadistes a été annoncée par la ministre de la justice.
Le gaullisme est mis à toutes les sauces, de Mélenchon à Philippot en passant par Juppé et Wauquiez, mais on omet systématiquement de se souvenir de « l’Europe des Nations de l’Atlantique à l’Oural » (formule reprise maladroitement par Macron à St Petersbourg) promue par de Gaulle, ni de son opposition farouche à l’immigration extra-européenne et à l’implantation de l’islam en France. Nicolas Dupont Aignan est sans doute le seul homme politique qui incarne de façon sincère et authentique le gaullisme défenseur de la Nation.
Le nationalisme est né de la Révolution (Valmy), il est fondé sur la sauvegarde des intérêts de la France et un attachement passionné aux valeurs de la nation, à son histoire et sa culture. On aurait pu imaginer que le Front National incarnerait ce sentiment. Il semblerait que non. Le PDF de Carl Lang et le RPF de Christian Vanneste s’en revendiquent.
Depuis le traité de Maastricht et le référendum de 2005, le souverainisme français s’est constitué sous la forme d’une opposition à une intégration européenne qui mènerait à la disparition des États-nations et consacrerait l’avènement d’une Europe fédérale voulue par la finance mondialiste et apatride.
La démocratie chrétienne trouvait son inspiration dans la doctrine sociale de l’Église catholique. Elle tentait de concilier les principes démocratiques et la morale chrétienne avec pour but essentiel d’améliorer le sort des milieux populaires. Seul, le PCD de Jean-Frédéric Poisson peut prétendre la représenter aujourd’hui en France.
Le terme même de « populisme » pose une question essentielle : qui est le peuple ? Le peuple est en réalité un agrégat d’individus et de groupes aux intérêts divergents ou parfois antagonistes. C’est pourquoi le populisme peut être aussi bien de droite que de gauche (Mélenchon).
Quelle est la situation de la France au XXIème siècle ?
Aujourd’hui, la France se retrouve une fois encore dans une situation cruciale. Notre pays doit en effet faire face à trois périls : l’immigration massive et incontrôlée qui dissout notre peuple, sa conséquence directe qu’est le communautarisme qui détruit notre nation, mais également le panislamisme qui menace directement notre civilisation occidentale.
Cette action subversive est encouragée par les eurocrates de Bruxelles, la finance mondialiste et les idéologues gauchistes dont les objectifs, bien que différents, se conjuguent. Les premiers rêvent d’une disparition des états nations, les seconds appellent de leurs vœux un vaste espace commercial aux bas coûts salariaux, les autres veulent détruire les sociétés occidentales pour leur substituer un modèle mondialiste et cosmopolite.
Dans cette France du XXIème siècle, il y a longtemps que la Droite libérale et la Gauche dite de gouvernement, toutes deux maastrichtiennes, ont trahi le peuple et la nation. Naguère surnommées « UMPS » par le Front National, elles ont officiellement pris corps dans « La République En Marche » créée par Macron après son élection par défaut à la présidence de la République.
Ce qui est proposé aujourd’hui aux Français c’est soit une dissolution de notre pays dans une Europe fédérale soumise aux marchés financiers, soit un patchwork de plusieurs référents culturels, sociaux et juridiques résultant de l’installation sur notre territoire de règles communautaires étrangères imposées par une immigration de peuplement qui rejette nos lois, notre culture et notre mode de vie occidental. Dans sa confession psychanalytique aux journalistes Lhomme et Davet, François Hollande a reconnu que la France allait connaître des « partitions » de son territoire où des communautés imposeront leurs lois et leur mode de vie en dehors du cadre de la république française (cf. « Un président ne devrait pas dire ça »).
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Face à ces périls, le peuple français n’a pas d’autre alternative que de se ressaisir sous peine de disparaître.
Nous avons tous dans notre ascendance des parents et des aïeux qui, à un moment de l’histoire de notre pays, se sont battus pour défendre les valeurs de notre nation et contribuer à bâtir notre avenir. Par lâcheté ou par intérêt personnel, trahir aujourd’hui l’héritage de nos aînés nous conduirait également à trahir nos enfants et à les livrer à un avenir invivable, sans espoir, sans perspective d’une vie meilleure.
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L’union des droites, avec qui et comment ?
Ce qui subsiste des partis maastrichtiens de la droite libérale et de la gauche mitterrandienne ne pèse pas lourd pour s’opposer à la machination politico-financière construite autour de Macron. Les querelles intestines chez les LR et au PS les disqualifient pour longtemps encore.
A l’Assemblée nationale, deux groupes pourraient représenter une opposition politique forte et productive. La France Insoumise ne s’illustre que par les provocations, les vociférations et les invectives. Et l’on se souvient que J.L. Mélenchon a voté « oui » au traité de Maastricht. Quant aux élus du Front National, la combativité n’est pas leur fort. Pourtant, lorsque l’on se souvient de la bataille farouche menée pendant plusieurs jours et nuits de débats par les quatre députés de droite qui ont combattu pied à pied le projet de loi du mariage homosexuel, on ne peut qu’être étonné de la discrétion des sept parlementaires FN.
Par ailleurs, dans un récent entretien publié sur le site « Boulevard Voltaire », le député du Nord Sébastien Chenu, porte-parole du FN et proche conseiller de Marine Le Pen, attaque le principe de l’union des droites selon lui « restrictive et vouée à l’échec », après avoir qualifié cette démarche de « ringarde ». Selon lui, seul un programme basé sur la nation et un état fort peut rassembler des électeurs de toutes sensibilités. « Penser union des droites, c’est penser selon des clivages périmés », confirme-t-il.
Il donne ainsi écho à l’analyse de Marine Le Pen qui considérait il y a peu que la Droite est co-responsable, avec la Gauche, de la situation calamiteuse où se trouve la France aujourd’hui.
Il serait surprenant que Marine Le Pen (qui fut députée européenne) et Sébastien Chenu (qui vient de l’UMP) ignorent que la Droite libérale maastrichtienne n’a rien de commun avec les valeurs partagées par les courants de la Droite nationale attachés à la préservation de notre identité, de notre culture, de notre histoire, de notre liberté.
D’autant que, sur le terrain, des responsables du Front National ont scellé des conventions de partenariat avec des élus des différentes sensibilités de droite en vue des prochaines échéances électorales. Doit-on considérer que ces militants FN sont désavoués par leurs chefs ?
Sans doute se pose à cette occasion la question du leadership de cette souhaitable union des droites.
A cette question répondent Barbara Mazières, à l’origine de « l’appel d’Angers », Robert Ménard, maire de Béziers, Jean-Frédéric Poisson, président du Parti Chrétien Démocrate, Nicolas Dupont Aignan, président de Debout la France :
Loin des états-majors de Paris ou de Nanterre enfermés dans leurs calculs et leurs compétitions d’égos, l’Union des droites ne peut se faire qu’à partir de la base. Si la base impose sa volonté, les chefs seront contraints de suivre et l’union des droites se fera naturellement.
Quelle stratégie pour l’union des Droites ?
Les sensibilités représentées par les différents partis de la Droite nationale, peuvent naturellement se retrouver dans une alliance réalisée sur leurs idées communes.
Le sujet de l’immigration est exemplaire : Marine Le Pen, comme Laurent Wauquiez, proposent tous deux un référendum sur l’immigration, mais la première dénonce l’ambiguïté du second qui exclut par principe tout accord avec elle. Ainsi, Macron et la Gauche auront la voie libre.
C’est donc bien au peuple français, fidèle à son identité nationale, qu’il revient de donner l’élan à ce mouvement d’union des droites.
De même, cette union des droites doit recouvrer les valeurs abandonnées par la Droite libérale : la culture, l’histoire, l’éducation, le respect de la famille, la protection de l’enfance, la solidarité entre les générations. On a vu comment la Gauche s’est arrogée, a malmené et perverti ces piliers fondamentaux de notre société. Il importe d’y remédier d’urgence.
Les milieux populaires, depuis longtemps abandonnés par la Gauche qui leur préfère l’immigration extra-européenne, ont commencé à se reconnaître dans les valeurs de droite. Cependant, Marine Le Pen a commis l’erreur de croire qu’il fallait leur tenir un discours de gauche, ce qui a eu pour effet de renforcer le discours mélenchoniste.
Tirant les leçons de son vécu au quotidien, le peuple français a bien compris qu’il serait éradiqué à terme par l’immigration maghrébine et africaine et que la France, notre civilisation occidentale, disparaîtra si on laisse faire sans réagir.
Les premiers signes sont visibles : la Turquie du sultan Erdogan montre qu’elle est prête à tout pour créer son « nouveau califat » (cf. les équipes de censure chargées de saisir les affiches du Point chez les marchands de journaux).
En Grande Bretagne, les citoyens qui ont le courage de s’opposer à l’islam sont poursuivis en justice et incarcérés, leurs médias interdits (cf. Tommy Robinson)
Comme on vient de le voir en Italie, le résultat du vote populaire n’est pas du goût de l’U.E. Cela a conduit des commissaires européens allemands à menacer clairement les italiens, car selon eux la démocratie n’est recevable que lorsqu’elle est conforme à leur idéologie.
Il faut donc bien comprendre que le « système », c’est-à-dire les marchés et l’U.E. dominée par l’Allemagne, entend tout contrôler. Tous les instruments à sa disposition seront utilisés pour empêcher les peuples européens de recouvrer leur souveraineté : justice, banques, médias, censure, manipulations, provocations, mobilisation des réseaux.
En son temps, l’URSS prétextait le principe de la « souveraineté limitée » pour écraser les révoltes populaires de Budapest et de Prague. Aujourd’hui, l’arme économique et financière de l’U.E. se substitue aux chars du pacte de Varsovie.
Afin d’être en situation d’affronter tous ces périls qui minent et menacent notre nation, la Droite doit donc se refonder. Le travail de réflexion ne sera pas suffisant si l’on n’ambitionne que des tactiques électorales avec des « accommodements raisonnables » abandonnant une part de la vie française aux mains de l’islam. Il est donc urgent de s’inspirer, voire de se rapprocher des pays d’Europe centrale et même de l’Italie. Il est impératif de contrer le projet de Merkel qui a adopté l’islam pour le futur de l’Allemagne, reprenant ainsi les thèses nazies des années 30.
Nous ne pouvons que déplorer qu’aucun des acteurs politiques, de Chirac à Macron, n’ait eu le courage de prendre à bras le corps les problèmes et difficultés auxquels sont confrontés le peuple français et notre nation.
La scissure se fait sentir aujourd’hui. Elle est de plus en plus large entre ceux qui ont conscience de la catastrophe vers laquelle nous roulons et ceux qui feignent de croire que tout va bien et que c’est l’économie qui va résoudre tous les problèmes, comme la question cruciale des zones de non-droit républicain où s’installe peu à peu la loi islamique, comme c’est déjà le cas dans de nombreux quartiers de villes britanniques…
Qui sera notre Bonaparte, notre Churchill ou notre Trump ?
Dans son ouvrage « La France trahie », Paul Bernard (docteur en droit et préfet de région honoraire) écrit : « Nous devons refuser à la fois la dilution de la France dans une fondue européenne et la trahison du communautarisme à l’opposé de notre traditionnel creuset fédérateur. Nous avons le choix entre une pseudo-modernité d’ouverture et la fidélité à l’âme de la nation. »
Les mondialistes et les maastrichtiens, prompts à dénoncer un prétendu repli sur soi dès que l’on évoque la souveraineté nationale, feignent d’ignorer que nous serons d’autant plus européens que nous affirmerons notre souveraineté française. Seul le génie national de chaque nation, conjugué avec l’âme d’un idéal de civilisation européenne, pourra refonder une Europe protectrice des peuples de Lisbonne à Vladivostok.
Nos partis politiques sont en phase terminale. Les français l’on bien compris et c’est pourquoi l’on assiste à ce mouvement de convergence qui se dessine entre les citoyens engagés et les élus de terrain responsables. Il y a chez ceux de nos compatriotes qui ont la France au cœur cette volonté farouche de replacer l’avenir de notre pays sur la ligne de départ de la nation.
Mais qui aujourd’hui en France serait l’homme -ou la femme- de la situation ? Qui aura de courage de choisir entre son pouvoir personnel et la France ?
Marine Le Pen s’est elle-même disqualifiée tant par ses prises de position sur l’union des droites que par la démonstration de son incapacité à maîtriser les dossiers (cf. débats des deuxièmes tours des élections régionales de 2015 et présidentielles de 2017).
Laurent Wauquiez est totalement absorbé par la reconstruction du parti qu’il préside et la gestion des différends internes qui entravent sa remise sur rails.
Marion Maréchal, absorbée par la création de son projet de formation des futures élites de la droite nationale, ne sera pas prête pour 2022.
Quels que soient les mérites que l’on reconnaît à la sincérité de leur engagement, Jean-Frédéric Poisson (président du Parti Chrétien Démocrate) et Carl Lang (président du Parti de la France), Christian Vanneste (Rassemblement Pour la France) n’ont pas la capacité de fédérer un large mouvement unitaire des droites nationales.
En revanche, le seul homme politique, suffisamment expérimenté, libre de toute combinaison et animé de réelles convictions pourrait être Nicolas Dupont-Aignan.
Il semble être le mieux placé aujourd’hui pour jouer le rôle de catalyseur et de fédérateur, susceptible de sortir la droite nationale de l’ornière et de rassembler ses différentes composantes sur des bases solides.
Mais également, et surtout, il n’a pas cédé à la tentation islamique comme l’ont fait la quasi-totalité des élus de droite et du centre qui, de Lille à Bordeaux et du Puy en Velay à Nice, se sont compromis avec les tendances des plus radicales de l’islam.
Il appartiendrait donc à Nicolas Dupont-Aignan de rompre avec cette soumission électoraliste mortifère et de placer la France au centre d’une entente avec les pays du groupe de Visegräd, la Slovénie, l’Italie et ceux qui suivront bientôt dans le renouveau de l’esprit national.
Il est le seul à n’avoir jamais transigé sur l’identité et l’âme de notre nation, sachant que vingt siècles d’Histoire sont là pour attester qu’on a toujours raison d’avoir foi en la France.
Chacun sait que les figures de proue émergent en périodes cruciales. Nous y sommes. Il faut prendre les choses à bras le corps comme l’on fait nos glorieux aînés et comme le fait Donald Trump. Il faut que le leader de demain prenne position haut et fort sur les questions sociétales auxquelles nous sommes confrontés et qui sont susceptibles de détruire notre cohésion et notre existence.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Nancy Verdier et Jean – Yves Léandri pour Dreuz.info.
Alain Wagner : ils ont vendu l’occident à l’islam dès 1975, une bombe …
Vidéo pour “alain wagner video”
▶ 13:05
https://www.youtube.com/watch?v=SF_kA1-gF6E
12 nov. 2016 – Ajouté par OuDjAt
Une bombe ! A diffuser à tous ceux qui en douteraient encore : le processus de colonisation islamique actuel a été …
Dupont Aignant a tenu des propos condamnant la riposte israélienne face aux provocations terroristes du hamas. Que Macron et d’autres tiennent ce discours, cela n’ a rien d’étonnant, cela s’inscrit dans la droite ligne de leurs renoncements, leur incapacité à protéger la France ne pouvant que les enjoindre à blâmer un Etat qui lui, ne se départit pas de ses devoirs. Mais là, soit Dupont Aignant n a rien compris au caractère prophétique que revêt le conflit israelo arabe quant aux menaces qui pèsent sur notre civilisation, soit, il a lui aussi succombé aux soumissions.
Dupont-Aignan se veut gaulliste quoi d’etonnant?
Un salaud qui rejoindra Macron comme le petit marquis du puy du fou
Mouais… Dupont-Aignan… ce n’est pas vraiment ce que j’appellerais un partisan d’une droite libérale-conservatrice.
Sans parler de sa méfiance atavique envers les USA, ou sa vision de la politique internationale, très gaulienne, autrement dit pro-arabe et anti-israélienne.
Je préfère retenir de votre article ce passage :
“Loin des états-majors de Paris ou de Nanterre enfermés dans leurs calculs et leurs compétitions d’égos, l’Union des droites ne peut se faire qu’à partir de la base. Si la base impose sa volonté, les chefs seront contraints de suivre et l’union des droites se fera naturellement.”
Chefs contraints de suivre… ou même : à nouvelle (et vraie droite), nouveaux chefs.
Par ailleurs, certaines phrases me gênent, telle celle faisant référence à la “finance internationale” ; ça en jette, mais ça veut dire quoi, concrètement ? Ne vaudrait-il pas mieux parler de capitalisme de connivence ?
Des bonnes intentions certes – la majorité des Français en ont marre de l’immigration massive et de l’islamisation – mais ce n’est pas avec des généralités limite bisounours comme cette phrase : “sachant que vingt siècles d’Histoire sont là pour attester qu’on a toujours raison d’avoir foi en la France.”, qui ne veut pas dire grand-chose tant on peut lui faire dire tout et son contraire, qu’on avancera beaucoup…
Cher ami,
La phrase que vous retenez se référant à la mobilisation de la base (les élus locaux, les militants, les électeurs) provoque des sarcasmes chez d’autres… Vous voyez, rien que sur cette idée, il est difficile de réaliser l’union.
Par finance internationale, nous pensons aux groupes qui dictent leurs ordres à l’U.E. et il est délicat de les désigner nommément sous risque de fatwa.
Quant à “vingt siècles d’Histoire sont là pour attester qu’on a toujours raison d’avoir foi en la France”, cette phrase est empruntée à de Gaulle. Comme , même une icône peut décevoir…
Bien cordialement,
JYL
Là où je suis d’accord avec vous M. Leandri, c’est que l’union des droites aura du mal à se faire même au niveau de la base, les désaccords étant parfois profonds (il suffit de lire les commentaires sur Dreuz pour s’en apercevoir) sur des sujets comme l’étatisme vs le libéralisme économique, ou certains sujets “sociétaux” (avortement…).
En soulignant la phrase relative à l’union par la base, je voulais en fait signifier – j’ai omis de l’indiquer – que le personnel politique actuel s’est depuis longtemps discrédité, y compris à droite, et que si union il y a, elle devra aussi se faire avec des personnes nouvelles aux commandes, des personnes HONNÊTES et vraiment respectueuses des Français.
Sur votre phrase “Par finance internationale, nous pensons aux groupes qui dictent leurs ordres à l’U.E. et il est délicat de les désigner nommément sous risque de fatwa.” permettez-moi d’être quelque peu interloqué de lire ceci sur Dreuz… Dreuz émettrait des fatwas maintenant ?
Cela dit, bien cordialement.
Je ne crois pas que Dreuz lance des fatwas , mais les lobbies bruxellois probablement. J’ai connu un lobbyiste qui oeuvrait à l’U.E. et qui, après forte imprégnation éthylique, m’avait raconté comment l’entreprise qui le missionnait avait torpillé la carrière d’un décideur trop rétif à se laisser persuader de prendre la “bonne décision”.
D’accord avec vous sur le personnel politique discrédité et disqualifié. Un espoir peut-être avec des élus de terrain, maires de petites ou moyennes communes. Peut-être aussi avec des militants plus motivés et plus clairvoyants que d’autres qui agissent comme des automates. Affaire à suivre..
En attendant, il faut secouer le cocotier.
Bien à vous.
JYL
Il nous faut l’union de toutes les droites souverainistes si nous voulons gagner et retrouver notre identité.
Nos origines sont judéo-chrétiennes et ne peuvent donc pas se mélanger avec l’islam (secte de malades mentaux , refoulés du cul)
Euh ouais, Mélenchon est pas du tout gaulliste, faut pas pousser mémé dans les orties non plus.
Mélenchon n’est pas gaulliste, c’est évident. Mais il s’est tout de même référé à de Gaulle pendant sa campagne. Comme disait Audiard : “ça ose tout!”…
Je partage votre analyse et votre conclusion . Mon seul regret: Le retour improbable de Marion Maréchal !!!! NDA a la capacité de rassemblement obligatoire imposée dans un schéma de réussite face à Macron ,il appartient donc aux autres “sherpas” des droites minoritaires de faire acte d’allégeance au champion le mieux placé !!!
union des droites ou des gauches quelle importance ce sont tous des vendues quand il n’y a pas d’acheteurs il vont les chercher regardez Sarko avec le Qatar et hollande avec la finance son “ennemie” qui est aller chercher Macron banquier chez Rodschild alors quelle importance maintenant on ficellé comme le rôti du dimanche tant pis pour nous a pas vouloir paraitre raciste le camp dit raton plus important que nos enfants les Français ont choisi la peste et la cholera alors quelle importance!
Depuis plus de quarante ans, les français ont hélas affaire à “la Droite la plus bête du monde”…
nion des droites ou perdre encore!
c’est trop simple pour être admis par nos têtes d’oeufs?
union des plèbes comme en italie! pour chasser les bobos du pouvoir!
Liga et M5S c’est tout de même un peu l’union de la carpe et du lapin ! On ne sait pas dans la durée ce que cela pourra donner…
Mais c’est effectivement au peuple (de droite de préférence) à faire pression, avec l’appui des élus de terrain, sur les leaders des partis politiques. Pour paraphraser Ledru-Rollin : il faudra bien qu’ils suivent le peuple puisqu’ils sont les chefs !
Le problème c’est qu’ils veulent tous être CHEF donc il n’y aura jamais d’entente et je prédis que Macron sera à nouveau élu en 2022 car il aura encore le FN maintenant le RN face à lui …. pauvres français vous ne serez jamais un peuple libre comme les américains qui ont su bien voter à temps !
Si vous avez du Prozac sous la main, faites-en une petite cure.
On n’a pas les moyens de baisser les bras.
COURAGE !
Seul Fillon cochait toutes les cases. Il n’est toujours condamné de rien et fut seulement la victime de la machiavélique manigance de Hollandouille-Micron et de leurs obligés (PNF, gaucho merdias, Attali, Berger. Drahi…).
Concernant NDA, il m’en souvient que s’il avait fait fi de son orgueil et de son délire il eût pu donner ses quelques voix à Fillon et on n’en serait peut-être pas là.
Rationalité, réalisme… Tout cela a manqué.
Fillon cochait toutes les cases en trichant pour son petit profit personnel. C’est insupportable.
Poisson aurait été meilleur. J’ai plaidé auprès de Sarkozy pour qu’on oblige Fillon à passer le relais à Poisson dans la dernière ligne droite. Et là, c’était impossible.
En quoi a-t-il triché, dites-moi ? En ce qu’il a employé son épouse, comme le font des centaines d’autres parlementaires – ce que n’interdit pas la loi ?
Et c’est un inconditionnel de Macron, l’homme qui dépensait, sur fonds publics, des centaines de milliers d’euros en frais de bouche du temps où il officiait à Bercy, qui nous dit cela ?
C’est un adorateur du candidat dont la déclaration de patrimoine, au moment de l’élection, aurait dû être retoquée ; du candidat de l’affaire Havas à Las Vegas, qui vient donner des leçons de probité ?
La liste est longue, sans parler de la connivence exceptionnelle avec les médias et avec une justice politisée, à gauche toute, connivence qui a été décrite dans les détails sur Dreuz à l’époque – facile de retrouver les articles – et dont a bénéficié votre champion en vue de se faire élire et de VOLER cette élection aux Français.
Président-dictateur qui parle désormais de pénaliser la liberté d’expression au motif fallacieux que des “fake news” seraient émises, de temps à autre, dans ce pays – surtout par les médias dévoués audit président-dictateur, d’ailleurs ?
MOUARF !!
le RN de MLP est dirigé par des caciques qui , tels les communistes à une époque , se satisfont des bastions qu’ils se sont constitués ; ils ont leurs fidèles et ne voudront pas d’une alliance aussi longtemps que Dupont-Aignan (qui est le moins mauvais de la droite ) n’atteint ou ne dépasse les 10/12% .
A ce moment là il sera un adversaire potentiel pour leur situation confortable et ils viendront vers des alliances de circonstances.
en résumé et comme le dit l’auteur il faut pousser NDA car il n’y a personne d’autre.
Pour sortir de ce marasme politique ; Tout ce qui est à droite doit s’unir , se rassembler , se féderer . MAIS , il faut de l’abnégation pour y arriver .
Je suis persuadé que si il font un “référundum” pour demander l’avis des Français , nul doute que les Français y adhèrerons en masse . ( les 2/3 )
Les Français sont prêt à voter pour celui qui stopperas l’immigration et l’islam .