Publié par Magali Marc le 24 juin 2018

Les réussites de Trump et sa montée dans les sondages donnent la jaunisse aux médias de masse qui veulent sa peau. Pour faire ombrage à son succès, ils ont monté de toutes pièces une fausse crise frontalière.

Même au Québec, le chroniqueur au Journal de Montréal, Richard Martineau, habituellement plus lucide, est tombé dans le panneau. Il dit que Trump a atteint le du fond du baril (journaldemontreal.com).

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Lise Ravary, chroniqueuse du même journal, qui déteste Trump, s’est engagée à boycotter les produits américains (journaldemontreal.com). Et bien sûr, le gauchiste Pierre Martin s’indigne et pense que Trump se contente de rejeter la faute sur les Démocrates (journaldemontreal.com).

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article de John Nolte, paru sur le site de Breitbart le 23 juin.

Six raisons pour lesquelles les médias de masse ont fabriqué une «crise frontalière»

Pendant que vous voyez nos médias falsificateurs essayer désespérément de garder en vie ce canular à propos d’une «crise» à la frontière, n’oubliez jamais que cette soi-disant crise est une pure fabrication.

N’oubliez surtout pas que toute cette «crise» a été inventée, montée de toutes pièces, égrenée par les médias de masse, et qu’elle constitue l’exemple par excellence de fausse nouvelle.

Bien sûr, la politique est réelle. Des enfants et des adultes étrangers illégaux ont été séparés et répartis dans différents centres de détention. Non seulement c’était fait pour de bonnes et humaines raisons ; mais c’était la politique du gouvernement depuis deux décennies.

Barack Obama a séparé les adultes et les enfants ; Rachel Maddow n’a jamais pleuré, Joe Scarborough ne l’a jamais traité de nazi, Jake Tapper n’a jamais prononcé un seul mot…

Alors, pourquoi cette norme (excusez l’expression), pourquoi cette politique humanitaire que les fonctionnaires de l’immigration pratiquent depuis deux décennies est-elle soudainement devenue «Auschwitz» ou la crise morale de notre époque ?

Il y a six raisons…

1. Trump a eu une semaine incroyable

Si vous vous souvenez de la semaine précédant le début de cette «crise frontalière» dans les médias, vous savez que Trump profitait d’un tsunami de bonnes nouvelles. Le sommet avec le dictateur nord-coréen Kim Jong-Un avait été un succès, et le rapport de l’inspecteur général sur la mauvaise gestion du serveur de courrier électronique d’Hillary Clinton par le FBI était catastrophique non seulement pour le FBI, mais pour l’ensemble de la collusion-canular russe, dans laquelle les médias se sont fortement investis.

L’élan de Trump, qui était basé sur ses réalisations autant à l’étranger qu’à l’intérieur devait à tout prix être tué dans l’œuf.

Qui plus est, les médias savent qu’ils doivent étouffer la vérité sur les actions du FBI sous l’Administration Obama, s’il reste un espoir que la chasse aux sorcières de Robert Mueller continue.

2. Occulter les audiences du Congrès sur le FBI

Le Rapport de l’Inspecteur Général a abouti à des audiences du Congrès cette semaine qui n’auraient fait que renforcer Trump – si elles avaient reçu la couverture mur à mur qu’elles méritaient en toute légitimité.

Ces audiences ont fini par être encore plus désastreuses pour l’ancien directeur du FBI déshonoré, James Comey (un héros des médias) et sa terrible cabale de police secrète, et les médias veulent désespérément cacher cette vérité.

3. Pure rage et frustration !

Les gens font des choses stupides quand ils sont frustrés et en colère (…). Les succès fulgurants de Trump, ainsi que l’augmentation des appuis qu’il obtient dans nombre de sondages, ont exaspéré les médias. Encore une fois, comme nous l’avons vu lors de la Soirée électorale 2016, la gestion efficace par Trump de l’économie et du problème avec la Corée du Nord ont exposé les médias comme étant des imbéciles, des nuls – les mêmes médias qui assuraient à maintes reprises au peuple américain que Trump est un malotru, un perdant, une erreur, un virus dans un système sain qui doit être extirpé pour le bien de la démocratie.

Les électeurs commencent maintenant à voir Trump comme un «président», par opposition au Monstre-qui-ne-doit-jamais-paraître-normal, qui est l’image de Trump que les médias cherchent désespérément à maintenir.

Les médias sont en train de perdre la guerre contre Trump, alors ils en sont malades et ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour mettre en place ce récit coordonné.

Si vous regardez les chiffres des sondages concernant Trump, vous voyez que cet assaut était la Bataille des Ardennes des médias. Trump tient la ligne. Pendant ce temps, ses ennemis le bombardent avec tout ce qu’ils ont, s’épuisant, s’exposant comme menteurs et fabricants de canulars, et n’allant nulle part.

Trump a reculé sur la question de la séparation des familles, mais comme les médias sont devenus encore plus fous, ce retrait de Trump a l’air stratégique, alors que la minuscule victoire des médias est une victoire à la Pyrrhus.

4. Les Élections de mi-mandat

(Rien à en dire, tirez vos propres conclusions).

5. Les médias veulent que les étrangers illégaux envahissent l’Amérique

Comme nous l’a appris le Washington Post d’extrême gauche la semaine dernière, l’objectif existentiel des médias en matière d’immigration clandestine est d’inonder l’Amérique avec de futurs démocrates. Ils veulent priver de leurs droits les «déplorables» respectueux de la loi en annulant nos votes avec les votes des étrangers illégaux.

La première phase de ce plan, évidemment, est de faire venir des millions d’illégaux dans notre pays et ensuite de faire pression pour qu’ils obtiennent la citoyenneté, qui vient avec le droit de vote – ce qui m’amène au point le plus important…

La seule façon de rassembler les familles étrangères illégales – et c’est quelque chose que les médias n’osent pas dire à haute voix – est de les relâcher à l’intérieur des États-Unis, ce qui est la raison de cette soudaine poussée contre une politique de séparation vieille de plusieurs décennies.

Quand vous entendez quelqu’un parler de «garder les familles unies», c’est un langage codé pour «récompenser le comportement criminel en relâchant des étrangers illégaux dans toute l’Amérique».

6. Encourager l’invasion de familles étrangères illégales

Les médias ne se soucient pas des enfants.

Si tel était le cas, ils n’inciteraient pas à abuser d’eux, et tout adulte (parent ou non) qui traîne un enfant mineur à travers des kilomètres de désert dangereux, commet un abus. (Les demandeurs d’asile légitimes fuyant la violence sont, bien sûr, des cas différents.)

Cette petite fille qui pleure dans la photo de canular sur la couverture de Time Magazine ? Sa mère a traîné cette pauvre enfant à travers le désert dans l’espoir d’obtenir un emploi en Amérique.

Elle a traîné sa gamine dans un voyage pénible dans l’espoir mercenaire de l’exploiter, de l’utiliser comme un droit de passage en Amérique. Et si elle avait réussi, un Américain (ou un immigrant) respectueux des lois aurait perdu l’emploi que cette femme aurait obtenu.

Et encore, c’est le meilleur des cas quand il s’agit de ces pauvres enfants.

Trop de ces enfants mineurs sont exploités de manière indescriptible par les trafiquants sexuels, les trafiquants de drogue, les trafiquants d’êtres humains et les gangs.

Mais les médias ne se soucient pas de savoir s’ils encouragent la maltraitance, les enlèvements ou les viols d’enfants. Tout ce qui les intéresse, ce sont leurs objectifs politiques, et si cela signifie des enfants violés et maltraités, tant pis.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

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