Certains commencent à se rendre compte que la séparation des enfants de leurs parents, immigrants illégaux, était une idée d’Obama.
D’ailleurs, il s’agissait surtout de ne pas mettre les enfants en détention avec des adultes arrivés illégalement et qui pouvaient mentir sur leur lien de parenté avec eux. Mais les Démocrates, inquiets de ce qui va leur arriver aux élections de mi-mandat, espéraient faire leur beurre avec ce «scandale» inventé et ces images d’enfants en pleurs.
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Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article de *Wesley Pruden, du Washington Times, paru le 21 juin.
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Les Démocrates sont furieux d’entendre de bonnes nouvelles
Barack Obama est super vexé parce qu’il pense que c’est grâce à lui si l’économie est en plein essor, alors que c’est le Donald qui s’en attribue tout le mérite. C’est un point de vue assez fantaisiste, comme la plupart des économistes vous le diront.
À présent, M. Obama peut regarder avec un certain plaisir le président Trump se faire dénoncer avec acharnement alors qu’il ne faisait que copier ses propres méthodes de traitement des enfants amenés par leurs familles à la frontière infernale.
Le président Trump s’est hâté de dire qu’il a hérité du dilemme frontalier, et qu’il s’en occupe de la même façon que l’a fait M. Obama, notamment en séparant les enfants de leurs parents et en les mettant dans des «cages» dans un supermarché Walmart abandonné. Il ne s’agit pas d’une simple figure de rhétorique.
Même certains Démocrates, y compris certains guerriers de la presse écrite et télévisée, commencent à prendre conscience que la séparation des enfants était d’abord une idée d’Obama.
Une intervieweuse de CNN a coincé la Sénatrice du Wisconsin, Tammy Baldwin, en lui rappelant que de nombreux critiques de Donald Trump, qui dénoncent maintenant le fait d’empiler les enfants sur des matelas à l’intérieur de clôtures de fer et d’acier, n’ont émis aucune critique lorsque M. Obama le faisait.
«Vous savez», a répondu la Sénatrice Baldwin, d’une voix aussi blanche qu’un bol de crème sûre, «à ce propos, nous arrivons à un moment où nous avons fait des progrès et puis quand un problème stagne nous y retournons. Je pense que nous devons tous continuer à nous concentrer sur le problème et aller jusqu’au bout».
L’intervieweuse de CNN, Brooke Baldwin (sans doute n’ayant aucun lien de parenté avec la Sénatrice) a essayé de l’aider à se concentrer, en reformulant la question. Elle a demandé à la Sénatrice, avec précision, si elle avait les mêmes sentiments au sujet de la façon dont M. Obama a fait les choses alors qu’elle et ses collègues démocrates sont si durs avec l’Administration Trump qui fait exactement pareil.
«Vous savez, dans un certain nombre de cas», a répondu la Sénatrice, «je me souviens qu’un de mes administrés était détenu à la frontière, sans doute de façon inappropriée, et nous avons élevé nos voix dans ce cas et bien d’autres».
La question que la sénatrice a évitée – elle aurait pu se contenter de répondre «c’était alors et c’est maintenant» – allait droit au but : s’agit-il d’une politique de «maltraitance des enfants» simplement parce que c’est Donald Trump qui la met en œuvre ?
Les amis des enfants à la frontière – qu’ils soient républicains, démocrates, gauchistes, conservateurs, juifs, musulmans, hottentots, anciennes premières dames, enseignants de l’école du dimanche, vicaires, rabbins, imams et de nombreux «experts» – ont remporté une victoire considérable pour les enfants en un bref délai.
Le Président a compris le message et a agi rapidement. C’est ainsi que les différends politiques devraient être résolus dans une République démocratique. Mais les Démocrates sont furieux. Le problème qui devait leur servir de planche de salut afin de triompher en novembre (NDT Les élections de mi-mandat) leur a été retiré.
La chicane commence.
Le Sénateur Chuck Schumer de l’État de New York, le chef de la minorité démocrate au Sénat américain, se moque de la suggestion de l’Administration selon laquelle il pourrait installer 20 000 enfants dans des bases militaires en Arkansas et au Texas.
«Est-ce seulement faisable ?»
Pourquoi pas ? L’ingéniosité des Américains étonne toujours le monde. Nous ne parlons pas ici de savoir si le Congrès pourrait le faire. Les militaires américains peuvent faire plus de choses que Chuck Schumer n’en a idée.
La sénatrice Elizabeth Warren du Massachusetts laisse entendre que «Trump est en train de mener l’Amérique dans un endroit sombre et laid». Les Indiens ont une réputation de courage et de féroce bravoure, mais Pocahontas (NDT Surnom que Trump lui a donné depuis qu’elle a prétendu mensongèrement avoir des ancêtres amérindiens) a l’air effrayé. Elle devrait prendre une gorgée d’eau de feu et s’allonger jusqu’à ce qu’elle se sente mieux.
Le secrétaire à la Défense, Jim Mattis, lui n’a pas l’air effrayé. «Nous avons hébergé des réfugiés», dit-il. «Nous avons hébergé des personnes chassées de leurs maisons par des tremblements de terre et des ouragans. Nous faisons tout ce qui est dans l’intérêt du pays.»
Le Pentagone dit travailler en étroite collaboration avec les services de santé et humanitaires pour déterminer ce dont ils ont besoin et comment l’acheminer.
Pendant ce temps, les enfants mis en détention par le gouvernement, dans ou hors des «cages», sont pris en charge.
Personne n’a contesté cela, mais ce n’est pas une bonne nouvelle pour Chuck Schumer et ses stratèges de campagne. Ils avaient compté sur l’obstination de Donald Trump, son habituelle insistance à dire qu’il ne commet pas d’erreurs, afin de maintenir des enfants qui pleurent dans les nouvelles tout l’été.
Les enfants sont en sécurité, dormant dans des couchettes propres et mangeant mieux que la plupart d’entre eux en Amérique centrale. Ils obtiennent des soins médicaux américains et pour la plupart d’entre eux, le premier rendez-vous de leur vie avec un dentiste.
Leur «épreuve» c’est d’être séparés de leurs parents, ce qui est toujours douloureux pour un enfant. Mais ils ne sont pas à Auschwitz, comme certains hystériques (tel un ancien directeur de la CIA) le prétendent. Les gardes dont ils ont besoin ne sont pas des nazis sortis de leur retraite pour servir à Buchenwald, malgré ce que disent certains experts souffrant de bouffées de chaleur.
C’est Donald Trump qui montre du découragement. «Ils se fichent pas mal des enfants», dit-il à propos de M. Schumer et des Démocrates. «Ils ne se soucient pas de leurs blessures. Ils s’en foutent.»
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* Wesley Pruden est rédacteur en chef émérite du Washington Times.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Source :
https://www.washingtontimes.com/news/2018/jun/21/democrats-in-a-lather-over-the-good-news/
il faut être honnête que cette crise a fait mal a l’image de Trump car avant cela de plus en plus des jeunes Américain avouait qu’ils allaient voter Républicain en Novembre mais même des Élu Républicain dans les médias ont ouvertement critiquer Trump… oui il est le seul Président a ne pas être hypocrite et de s’attaquer au problème des illégaux car Trump regarde la situation en Europe et il ne veut pas voir cela chez lui mais la vérité c’est qu’il a simplement fait appliquer la loi de ne pas mettre en prison des moins de 16 ans si ils ont rien fait + il a changer d’idée mais le problème des illégaux est toujours pas régler
michel boissonneault :
Les États-Unis mettent les clandestins “en cage” et les séparent des enfants (pas plus de 20 jours, le temps de régler les problèmes de papiers et/ou d’expulsion) depuis… Clinton… donc, les années 90. La polémique est soulevée régulièrement aux USA. Mais, c’est seulement sous l’ère Trump que nos media montrent le problème… cherchez l’erreur… Et, encore une fois, c’est Trump qui règle le problème… hou ! le vilain qui nettoie les écuries d’Augias en a forcément les mains salies… Mais qu’ont t’ils fait les autres ?
Pour paraphraser Charles Péguy :
“Ils disent qu’ils ont les mains propres… mais ils n’ont pas de mains.”
les politiciens se ressemblent partout: mauvaise foi, parjures, injures etc.
les médias français aux ordres relaient certaines nouvelles mais ne reviennent pas dessus lorsque ça les dérange, une habitude qui explique le nombre de sites de réinformation
Un média belge (RTBF ou Bel-RTL) faisait remonter la séparation des enfants à J.W.Bush, en alléguant qu’Obama faisait toujours enfermer les illégaux *mais pas séparer les enfants*, ce que la politique de tolérance zéro de D.Trump avait réinstauré. Fake news donc…
Bien ! Maintenant, quelques imposteurs s’avisent que…
Obama n’est pas tout à fait le Saint qu’ils voulaient vendre… Et même qu’avec un peu de bons sens, ils pourraient bien reconnaître, que le sieur, bien que noir, tout de même, on ne peut pas le blanchir de tout…
Eh bien, il serait temps ! La farce a assez durée, il me semble, et un minimum d’intelligence, dans l’esprit haineux s’abattant pour un oui, pour un non, sur Mr Trump – cela doit commencer à agacer sérieusement, même parmi les aficionados démocrates !
Hollywood se porte mal, il paraît. Les salles sont vides, les scandales de ces personnalités les unes contre les autres se multiplient, et ainsi c’est la pagaille, chez ceux qui se pensaient d’exception !
Ce qui va devenir exceptionnel, c’est la fréquentation de leurs spectacles…
Et pan, le revers de la médaille, finit toujours par se faire sentir.
Encore une fois, vive Mr Trump et qu’il sache qu’il est aimé partout dans le monde… Ceux qui ne sont pas dans les mêmes dispositions, en prennent pour leur grade de déception.
Holà ! Que du plaisir… Merci Magali.
Pendant ce temps la regardez ce qui se passe en Algérie ..un pays ami de Macron qui donne des leçons l’Italie
L’Algérie expulse des milliers de migrants dans le Sahara
L’Algérie a abandonné plus de 13 000 personnes dans le désert du Sahara au cours des 14 derniers mois, y compris des femmes enceintes et des enfants, les expulsant sans eau ou nourriture et les forçant à partir à pied, parfois à la pointe d’une arme. Certains ne s’en sortent jamais vivants.
Plusieurs femmes enceintes ont perdu leur bébé en chemin.
Les expulsions massives de l’Algérie ont repris depuis octobre 2017, quand l’Union européenne a renouvelé la pression sur les pays d’Afrique du Nord pour qu’ils bloquent les migrants qui veulent traverser la Méditerranée ou rejoindre les enclaves espagnoles au Maroc.
Un porte-parole de l’Union européenne a déclaré que l’UE était au courant des agissements de l’Algérie, mais que les « pays souverains » peuvent expulser les migrants pourvu qu’ils se conforment au droit international.
Ok..c’est conforme au droit international que d’expulser dans le désert sans eau ,sans nourriture a la pointe du fusil des migrants ..quel horreur
Pendant ce temps les bien pensants ,la gauche journalistique militante et les no border piochent ensemble sur Trump
http://www.lapresse.ca/international/crise-migratoire/201806/25/01-5187116-lalgerie-expulse-des-milliers-de-migrants-dans-le-sahara.php
“Le flux les apporta, que le reflux les emporte”; Rien ne me choque dans le fait que les algériens les renvoient d’où ils sont venus, comme ils sont venus.
C’est nous qui devrions suivre ce bon exemple et refouler toute embarcation qui tente de rejoindre nos eaux territoriales et couler celles qui veulent forcer le passage.
En un rien de temps ils iraient voir ailleurs si le pastis y est plus frais.
Dans toutes ces manœuvres organisées par les prétendues ONG, il n’y a pas de place pour les demies mesures. L’invasion programmée, sous couvert de solidarité avec des réfugiés, est certaine et il faut absolument y mettre un terme.
Le “droit international” auquel se réfère sans arrêt la gauche c’est une invention à la gauche le…”droit humanitaire” qui n’existe pas en droit mais seulement dans le cervelas des gauchistes…Dans ce drôle de droit int’l abandonner les migrants dans le désert pour qu’ils y crèvent c’est “légal” mais les renvoyer chez eux c’est…illégal!!!Cela n’a rien à voir avec le Droit international.
un autre Article intéressant
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Par Jake Macaulay – Le 27 juin 2018
L’Amérique est une République
« Une République est un empire de lois, et non d’hommes », a déclaré le père fondateur John Adams.
La Loi de notre Terre, notre Constitution, inscrit à l’Article II, Section 3, qu’un des devoirs principaux du Président est de « … veiller à ce que les lois soient fidèlement exécutées … » En d’autres termes, c’est la responsabilité du Président pour faire appliquer les lois et les politiques, promulguées par le Congrès.
La loi provoquant le tumulte actuel de la « séparation des enfants » est le décret de consentement Flores de 1997, de l’époque de Bill Clinton. Il dit que les enfants non accompagnés peuvent être détenus seulement 20 jours. Pendant le mandat de Barack Obama, une décision du neuvième circuit a prolongé cette limite de 20 jours aux enfants qui font partie des unités familiales. Cette loi empêche donc le pouvoir exécutif de garder les familles unies. Mais, est-ce vraiment ce dont il s’agit ?
Nous sommes tous d’accord pour dire que les enfants devraient être séparés des familles criminelles. C’est pourquoi aucun enfant ne vit avec ses parents en prison. Ce serait une maltraitance des enfants, n’est-ce pas ?
Non, la question en ce moment est que certaines personnes non américaines ont une mentalité criminelle qui croit que l’entrée illégale dans ce pays n’est pas un crime. Pour ces personnes, un crime est seulement quand ils croient que c’est un crime. Pour eux, les lois sont arbitraires et ils préfèrent l’incertitude de l’anarchie à la sécurité d’une république.
Ces mêmes personnes refusent le fait évident que l’administration de Donald Trump ne change pas les règles qui ont trait à la séparation d’un adulte de l’enfant. Ces règles ont commencé avec Clinton et sont restées à travers Bush et Obama et elles sont toujours là. Cette question mineure de séparation ne se produit que si les fonctionnaires constatent que l’adulte prétend faussement être le parent de l’enfant, ou constitue une menace pour l’enfant, ou fait l’objet de poursuites pénales. La vraie tragédie, c’est que les parents et les autres qui se contentent de se faire passer pour des parents utilisent beaucoup ces enfants.
Le New York Times a rapporté que :
« Certains migrants ont admis avoir emmené leurs enfants non seulement pour les soustraire aux dangers dans des pays comme l’Amérique Centrale et l’Afrique, mais aussi, parce qu’ils pensaient que cela amènerait les autorités à les libérer plus tôt. »
D’autres ont admis avoir posé faussement avec des enfants qui ne sont pas les leurs, et les responsables des patrouilles frontalières affirment que de tels cas de fraude augmentent.
C’est tragique ! Ce qui est encore plus tragique, c’est que lorsque les enfants traversent la frontière, ils deviennent les enfants de notre Congrès. Alors pourquoi le Congrès ne change-t-il pas les règles afin que le décret de consentement de Flores ne s’applique plus, et il peut s’approprier plus d’argent pour les abris familiaux à la frontière. Ce serait l’action d’un parent bienveillant, n’est-ce pas ?
Eh bien, l’Article I, Section 1, de la Constitution stipule : « Tous les pouvoirs législatifs accordés ici seront dévolus au Congrès ».
Cher Congrès, il est temps de prendre soin des enfants qui vous sont légués par une frontière non sécurisée et de cesser de compter sur Donald Trump pour être votre nounou.
Oh, et vous, chers médias, utilisez ce premier amendement correctement et mettez de la pression ; Oserez-vous ?
Pour la gauche tout est loi quand ça leur convient, tout sauf la LOI: décrets, résolutions de l’onu, propos en l’air des gauchistes. En fait c’est le règne du CHAOS. Voila une raison de plus pour fermer HERMETIQUEMENT les frontières. Une fois que l’ennemi est entré, c’est le chaos y compris juridique. La gauche veut imposer des lois crapuleuses pour s’emparer des richesses des pays et les dilapider.