Philippe Karsenty, élu LR de Neuilly et éditeur, et Pierre Lurçat, avocat et essayiste, s’alarment de voir une commune du Val-d’Oise reprendre la rhétorique anti-israélienne des prêcheurs islamistes.
Le 11 juin 2018, la municipalité de Bezons a inauguré une « Allée de la Nakba – En mémoire de l’expulsion des 800 000 palestiniens et de la destruction de 532 villages en 1948 par le criminel de guerre David Ben Gourion pour la création de l’Etat d’Israël ». Cette plaque en français était doublée de sa version en arabe. Au-delà de la stupeur que le contenu de cette plaque provoque, une question se pose : comment en est-on arrivés là ?
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« Un demi-siècle de diabolisation dans les médias »
Un demi-siècle de politique arabe du Quai d’Orsay, et un demi-siècle de diabolisation d’Israël dans les médias, principalement publics – AFP, Radio-France et France Télévisions – ont semé les germes de la haine et ont rendu possible cette plaque… complètement à côté de la plaque. Rappelons qu’au même moment, une plaque à la mémoire du colonel Beltrame fait polémique parce qu’elle mentionne justement qu’il a été victime du terrorisme islamiste.
Que penser du doublement de cette plaque en langue arabe ? C’est la preuve que son but est électoraliste et qu’elle s’adresse à un public particulier. C’est aussi la preuve de l’arabisation de certains quartiers, où la diversité n’existe plus. Le maire communiste de Bezons n’en est pas à sa première provocation : en février 2013, il avait élevé au rang de “citoyen d’honneur” de sa ville l’assassin d’un ministre israélien, condamné par la justice israélienne à la prison à perpétuité… Et plus récemment, il a fait voter une délibération au conseil municipal en faveur de la reconnaissance de “l’Etat de la Palestine”.
« Le maire de Bezons sacrifie la paix civile sur l’autel des calculs électoraux »
En attisant encore un peu plus la haine d’Israël sur le sol français, le maire communiste de Bezons sacrifie la paix civile sur l’autel des calculs électoraux à court terme. Il ajoute encore un peu au malheur des “territoires perdus” de la République. Sous couvert de solidarité avec les Palestiniens, il donne de nouveaux gages au pro-palestinisme inconditionnel, devenu aujourd’hui “le principal vecteur de la haine des juifs dans le monde”, comme l’a rappelé Pierre-André Taguieff.
Cette décision politique irresponsable apporte de l’eau au moulin de l’idéologie radicale anti-française véhiculée par les prêcheurs de haine de l’islamisme et partagée par les terroristes de Gaza, de Ramallah ou de Naplouse, comme par ceux de Molenbeck, de Tunis ou du Rif marocain. Tous ont été biberonnés à cette même idéologie mortifère, teintée d’Islam et de palestinophilie pour masquer un antisémitisme et un anti-occidentalisme radical, inculqués dans certaines mosquées et sur Internet.
Le monde est en train de changer, la tectonique des plaques géopolitiques se réorganise et il serait regrettable de voir la France s’enfoncer dans une politique arabe ancrée dans le 20ème siècle qui, paradoxalement, n’a fait que le malheur des peuples arabes.
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Il est grand temps pour la France de suivre l’exemple donné par Donald Trump et de rejoindre le train de l’histoire. Et si la France de Macron ne le fait pas, espérons que la droite française – qui cherche toujours un angle pour se différencier du président jupitérien – saura marquer sa différence et définitivement tourner la page de cette politique arabe qui n’a apporté que malheur et désolation, en France comme ailleurs.
Source : Valeursactuelles
» Comment en est-on arrivé là » ?
Eh bien, il ne fallait pas appeler à voter Macron, comme l’a fait
Philippe Karsenty ( ce que je lui ai reproché, dans qqs mails
que nous avons échangés, avant la présidentielle, où j’ai ajouté
le terme de « félon »; à quoi, M. Karsenty a répondu qqch du
genre: » eh bien, je suis donc un « félon »..
Je ne connais pas particulièrement cet élu; je sais qu’il a agi
aux côtés de J. Tarnero, dans l’affaire du montage Al Dura.
Et, entendant son appel à voter Macron, je lui ai simplement
dit mon sentiment de révolte, et mon incompréhension.
L’ayant VU agir, dans le fatal gouvernement Hollande,
M. Karsenty ne POUVAIT, en conscience, ni pour les Juifs,
ni pour les Français, dans leur ensemble, appeler à voter
pour celui que les militaires de l’ASAF appelaient une
« marionnette ».
Macron a racolé les voix mahométanes.
L’ Allée de la naqba » à Bezons est la conséquence des appels
irréfléchis ( au mieux) de certains intellectuels et hommes
politiques qui empaument le peuple.
Je crois, par ce commentaire, répondre, aussi, à l’article de
M. Ferjeux Nérard.
@ saskia les juifs n’aurons plus a avoir peur du RN ,les musulmans ce chargerons de les éliminer!!!
Le calcul est simple:
L’unité du chiffre d’affaire avec les pays musulmans est le milliard.
L’unité du chiffre d’affaire avec Israël est le million.
Il y a environ six millions de musulmans en France.
Il y a environ quatre cent mille juifs en France.
Ce chiffres à eu seuls expliquent en bonne partie la « politique arabe de la France ».
On peut aussi y ajouter:
« Liberté » est devenue « Laxisme »
« Égalité » est devenue « Uniformisation »
« Fraternité » est devenue « Assistanat ».
Six millions de musulmans en France… dites plutôt 8 à 10, peut-être même jusqu’à 12 millions.
20% des bébés nés en 2015 en France étaient de parents musulmans (source stats INSEE).
20% des prénoms donnés aux bébés l’an dernier étaient des prénoms musulmans (quelques articles parus sur le sujet il y a quelques mois, dont, de mémoire, sur Dreuz).
– sur le fond évidemment, ça ne change rien à votre raisonnement ; mais ça explique que les choses ne vont et n’iront pas en s’arrangeant –
@Jacques Ady
Bonjour,
huit ou dix millions ne me parait pas impossible. Au-dessus cela me semble assez spéculatif. Aux USA ce genre de statistique existe et c’est une démocratie.
Par exemple le nombre de crimes inter-raciaux est minoritaire. La majorité de de meurtres concernant des blancs est commise par d’autres blancs et idem pour les afro-américains (informations officielles).
Dommage qu’on n’en fasse pas de même en France. Cela aurait pour avantage d’enfin d’aborder certains sujets avec plus de sérénité. En tout cas d’estimer des risques avec plus de recul. En France on reste sur l’égalité républicaine qui dans la réalité relève de la légende pour ne pas dire du déni de réalité.
Par exemple la communauté juive est estimée à 400 000 personnes +/- 10%.
Il y a eu en moyenne environ 5 000 départs en 2015 et 2016. Environ 3 800 personnes par année ont quitté la France depuis environ 10 ans. Ça ne compense pas le recouvrement des générations…La France reste le dernier pays européen comptant le plus grand nombre de juifs (en pourcentage c’est comparable à certains pays européens). Par contre dans certains pays la communauté juive à presque disparu (la Suède par exemple). Systématiquement on retrouve les mêmes causes: politique anti-israélienne et pro-palestinienne, islamisation, immigration massive et aveuglement des dirigeants. C’est désespérant.
Donc disposer de telles statistiques est extrêmement important. On peut hélas se demander s’il restera encore des juifs en Europe dans quelques décennies. Les chiffres disent clairement que non…
@ Cestmoi et @ Nicolas Carras :
Le débat sur le nombre de musulmans présents en France revient régulièrement, sur Dreuz (et ailleurs).
Cestmoi, vous avez raison de dire qu’il faudrait que statistiques ethniques et religieuses soient autorisées en France de la même manière qu’aux USA. (je connaissais les chiffres concernant les meurtres de Noirs commis majoritairement par d’autres Noirs, on en a discuté notamment avec Annika, qui est américaine).
Sur le nombre brut de musulmans en France, on en est réduit à des approches (effectivement dans mon raisonnement et celui de la plupart des gens, musulman = né de père musulman – sans compter les convertis)
– les stats de l’INSEE, trouvables par n’importe qui même si leur site est un peu déroutant : en 2015, en France métropolitaine, 588000 bébés nés de père né en France soit 77,3% ; sur les 22,7% nés de père né à l’étranger, 14,4% nés de père né dans un pays majoritairement musulman (pays du Maghreb et Turquie surtout, puis Mali, Sénégal, etc.) ; cela sans compter les bébés nés de père né en France et musulman lui-même ; un total de 20% environ tient la route.
– « 20% des enfants nés en 2016 portent un prénom musulman » : https://lesobservateurs.ch/2018/02/15/france-etude-exclusive-20-des-enfants-nes-en-2016-portent-un-prenom-musulman/
– Azouz Begag (ancien ministre de la ville de Chirac d’origine algérienne) parlait il y a un an ou deux de 15 à 20 millions de musulmans en France ; certes il avait intérêt à exagérer, pour favoriser sa communauté (obtenir des avantages…) mais entre ce chiffre et les 3 millions annoncés par l’institut Montaigne ou les 7,5% (tout juste 5 millions) du Figaro, il y a de la marge…
– Majid Oukacha, ce musulman apostat qui en connaît un rayon, estime entre 15 et 20% la proportion de musulmans en France : https://www.youtube.com/watch?v=ey17FVOpS-E&feature=youtu.be
– il est parfois évoqué une étude de la société Charal (papier, indisponible sur le net) faisant état d’un marché de 20% pour la viande halal en France
– le reportage réalisé il y a quelques mois (que j’ai vu intégralement) sur l’islamisation de la France tendance Frères musulmans, par le journaliste israélien infiltré, parlait de 8 à 10 millions de musulmans dans ce pays…
J’aurais pu ajouter les chiffres du dépistage de la drépanocytose, même s’ils amalgament toutes les populations d’origine extra-européenne, autrement dit surtout africaine, dont une partie ne sont pas musulmanes (mais la majorité le sont).
Bref, on est sans doute nettement au-dessus des chiffres officiels, sur ce sujet comme sur d’autres. 8 à 10 millions semble une fourchette raisonnable.
Sur les musulmans pratiquants ou non, je suis à la fois d’accord et pas d’accord :
– au niveau individuel oui, sans aucun doute, certains sont intégrés et attachés aux valeurs de notre pays ; des enquêtes l’ont d’ailleurs montré – j’en avais mis une en favori (de l’IPSOS) qui s’était entre autres intéressée aux préjugés antisémites selon la religion… mais ils ont effacé la page, donc je ne peux pas mettre de lien ; mais de mémoire, on peut dire que 50 à 70% des musulmans français sont bien voire très bien intégrés ; tout le monde connaît (moi aussi) des musulmans sympas et qui ne posent aucun problème…
– au niveau collectif, c’est une autre question, tant la notion d’Oumma est importante en milieu musulman ; et tant, quand les fondamentalistes commencent à s’agiter, les « modérés » ont tendance à ne rien dire/faire, car partagés entre la peur des fondamentalistes et le désir de ne pas trahir leur communauté : Brigitte Gabriel a bien résumé la chose : https://www.youtube.com/watch?v=28d04OHyhwU&t=11s
Quelques liens sur le rapport des musulmans au mode de vie démocratique :
http://www.atlantico.fr/decryptage/refus-homosexualite-polygamie-charia-interdiction-blaspheme-que-apprend-enquete-choc-attentes-musulmans-britanniques-guylain-2665308.html/page/0/1
http://www.rtl.fr/actu/debats-societe/la-laicite-plebiscitee-en-france-a-l-exception-des-musulmans-pratiquants-7775821124
https://www.causeur.fr/islam-philippe-iribarne-europe-antiracisme-147981?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=4cc0e0d51f-Newsletter&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-4cc0e0d51f-57755229&mc_cid=4cc0e0d51f&mc_eid=e3ff2d4c2a
c’est un peu comme les rats parisiens ; on en ignore le nombre et on s’en préoccupe quand ils arrivent aux yeux de tous et qu’il devient impossible de nier leur présence
Mais pour donner plus de force à l’article, il aurait été bon que Dreuz relate ce qui s’est vraiment passé en 1948 à savoir que ce n’est pas la création d’un État juif qui a provoqué le départ d’une quantité de gens se nommant à partir de 1965 « palestiniens », mais l’entrée en guerre de cinq armées arabes désirant jeter les juifs à la mer. Et bon nombre de ces derniers ont fui sur recommandations de dirigeants pensant pouvoir les faire revenir après que leur basse besogne eut été accomplie. Et quid de la « nakba » des 700’000 juifs qui ont été chassés des pays arabes ? voir aussi l’article de Joseph Farah Les Juifs n’ont pris la terre de personne. Par Joseph Farah
Publié le 9 Mars 2013
Voici un témoignage d’une rare lucidité de Joseph Farah, journaliste arabe américain, publié en anglais sur le site http://www.worldnetdaily.com
Nous savons déjà que Volney, Alexander Keith, J.S. Buckingham, Alphonse de Lamartine, Mark Twain et Arthur Stanley s’accordent tous sur le fait que la ‘Palestine’ était » un désert parsemé de rares bourgades ».
Gustave Flaubert nous rapportait même que « Jérusalem est un charnier entouré de murailles. Tout y pourrit, les chiens morts dans les rues, les religions dans les églises. Il y a quantité de merdes et de ruines. Le juif polonais avec son bonnet de renard glisse en silence le long des murs délabrés, à l’ombre desquels le soldat turc engourdi roule, tout en fumant, son chapelet musulman…«
En tant que critique arabe américain le plus en vue, en ce qui concerne Yasser Arafat et les objectifs-bidon « palestiniens », je reçois beaucoup de courrier haineux et plus que ma part de menaces de mort. La plupart de ces attaques – au moins celles qui se donnent la peine d’aller au-delà des insultes et de l’obscénité – disent seulement que je ne comprends pas ces pauvres Arabes qui ont été déplacés, chassés de leurs maisons et transformés en réfugiés par les Israéliens, ni n’ai de compassion pour eux.
« Permettez-moi d’affirmer clairement et simplement ceci: les Juifs en Israël n’ont pris la terre de personne.
Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert (1)
Au début du XXe siècle cela commença à changer. Des Juifs venus du monde entier se mirent à revenir dans leur patrie ancestrale, la Terre Promise que Moïse et Josué avaient conquise, des millénaires auparavant, ainsi que le croient Chrétiens et Juifs, sous les ordres directs de Dieu. Cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas toujours eu une forte présence juive sur cette terre, en particulier dans et autour de Jérusalem. En 1854, selon le compte-rendu publié dans le New York Tribune, les Juifs représentaient les deux tiers de la population de cette ville sainte. Quelle est la source de cette statistique ? Un journaliste, envoyé spécial au Moyen-Orient pour le Tribune. Il s’appelait Karl Marx, oui ce Karl Marx là.
Un guide de la Palestine et de la Syrie, publié en 1906 par Karl Baedeker, illustre ce fait : alors même que l’Empire Ottoman musulman régnait sur la région, la population musulmane de Jérusalem était minime. Ce livre estime la population totale de la ville à 60.000 habitants, dont 7.000 Musulmans, 13.000 Chrétiens et 40.000 Juifs. « Le nombre de Juifs s’est considérablement accru durant les dernières décennies, malgré l’interdiction d’immigrer ou de posséder des terres qui leur est faite », déclare ce livre. Bien que les Juifs y soient persécutés, ils venaient quand même à Jérusalem et y représentaient la vaste majorité de la population, déjà en 1906. Et bien que les Musulmans proclament aujourd’hui Jérusalem comme la troisième ville sainte de l’Islam, quand la ville était sous régime musulman, ils ne lui manifestaient que très peu d’intérêt.
Lorsque les Juifs vinrent, drainant les marécages et faisant fleurir les déserts, un phénomène intéressant se produisit. Les Arabes suivirent. Je ne les en blâme point. Ils avaient de bonnes raisons de venir. Ils y trouvaient des emplois. Ils venaient pour la prospérité. Ils venaient pour la liberté. Et ils vinrent nombreux.
Winston Churchill observa en 1939: « Ainsi, loin d’y être persécutés, les Arabes sont arrivés en masse dans ce pays, s’y sont multipliés jusqu’à ce que leur population augmente même plus que les communautés juives de par le monde n’avaient pu mobiliser de Juifs. »
Puis arriva 1948 et la grande partition. Les Nations Unies proposèrent la création de deux Etats dans la région, l’un juif, l’autre arabe. Les Juifs l’acceptèrent avec gratitude. Les Arabes la rejetèrent férocement et déclarèrent la guerre.
Les leaders arabes demandèrent aux Arabes de quitter la zone pour ne pas être pris dans les échanges de tirs. Ils pourraient revenir dans leurs maisons, leur dit-on, après qu’Israël soit écrasé et les Juifs détruits. Le résultat ne fut pas celui qu’ils escomptaient. Selon les estimations les plus courantes, plusieurs centaines de milliers d’Arabes furent déplacés du fait de cette guerre, mais non par une agression israélienne, non par un accaparement des propriétés foncières par les Juifs, non par un expansionnisme israélien. En réalité, il existe de nombreux documents historiques montrant que les Juifs ont instamment demandé aux Arabes de rester et de vivre avec eux en paix. Mais, tragiquement, ces derniers choisirent de partir.
54 ans plus tard, les enfants et petits-enfants de ces réfugiés vivent encore beaucoup trop souvent dans des camps de réfugiés, et ce non du fait de l’intransigeance israélienne, mais parce qu’ils ont été abusivement utilisés comme outil politique par les puissances arabes. Ces pauvres malheureux auraient pu être installés en une semaine par les riches Etats arabes pétroliers, qui contrôlent 99,9% de la totalité des territoires du Moyen-Orient, mais ils sont gardés comme de véritables prisonniers, remplis de haine envers la mauvaise cible, les Juifs, et utilisés comme armes en tant que martyrs-suicide par les détenteurs arabes du pouvoir.
Telle est la véritable histoire moderne du conflit arabo-israélien. Jamais les Juifs n’ont arraché les familles arabes de leurs foyers. Quand la terre avait un détenteur, ils en achetaient les titres de propriété largement excessifs, pour pouvoir avoir un lieu où vivre à l’abri des persécutions qu’ils avaient subies partout dans le monde.
Dire que les Israéliens ont déplacé qui que ce soit est un énorme et flagrant mensonge dans d’une longue série de mensonges et de mythes qui ont amené le monde au point où il est prêt à commettre, encore une fois, une autre grande injustice envers les Juifs. »
Joseph Farah
(1) « La terre d’Israël (baptisée ‘Palestina’ par l’Empire romain et rebaptisée ‘Palestine’ par ses descendants anglo-saxons) était quasiment vide et désolée avant les grands mouvements migratoires de la fin du XIXe siècle, comme en témoignèrent tous les archéologues et écrivains qui la visitèrent à l’époque. Thomas Shaw, Constantin espondance
(http://expositions.bnf.fr/veo/cabinet/citation.htm)
Remarque du Collectif Arabes Pour Israël :
Enfin des personnes qui sont prêts à dire une vérité que d’autres non pas envie d’entendre de peur de représailles mais qui n’en pensent pas moins! Heureusement qu’il y a des hommes et des femmes qui défient l’ordre établit de ses gangs poussiéreux et primitifs qui justifient l’obscurantisme par la culpabilisation. Il est tant que cela change!! Cela fait plus de 2000 ans que ça existe.
A paru dans Arabes pour Israël, lien joint :
Source : http://arabespourisrael.unblog.fr/2009/04/09/les-juifs-nont-pris-la-terre-de-personne-par-joseph-farah/
Merci, Benadel, pour ce rappel !
On peut s’attendre à tout de la part d’une crapule stalinienne… mais trop, c’est trop !
Pourquoi cet acte abominable ne condamne pas ses auteurs au PENAL???
L’incitation à la haine est un DÉLIT !!
Je ne crois pas que la politique d’un pays et même de la France ne dépend que des exportations ou du nombre de citoyens de religion non chrétienne.Il y a d’autres éléments plus importants :imaginez que les mus s’en prennent au Québec. Croyez-vous que les gouvernements français s’aligneraient sur les arabes contre le Québec? je ne le crois pas.Je pense que les gouvernants français veulent IMPOSER leur volonté à Israel ce qu’ils ne font à aucun autre Etat. Evidemment c’est inacceptable et le seul moyen qui reste ,pour le leur faire comprendre est la violence. Seule la violence peut résoudre les problèmes actuels en ce qui concerne Israel à tout le moins mais probablement d’autres encore dans le monde. En tous cas les arabes, les socialistes et les communistes ne comprennent que ça car tous 3 veulent imposer leur volonté au monde et à Israel en particulier.
Lamentable errements de paléo-staliniens à la ramasse !
Je crois comprendre toutefois que le Préfet du département a envoyé à la municipalité de Bezons le retrait de la plaque. Bravo, et espérons que cela soit suivi d’effet. Sinon, il faudrait créer en parallèle une » Impasse de l’Aliya » (plaques en version bilingue français-hébreu), vus les départs vers Israël que la politique imbécile et irresponsable de ce maire risque d’engendrer.
Mon interprétation, concernant ce dévoiement du bon sens est un peu différente de la votre. J’observe les communistes depuis plus de soixante ans, et j’ai constaté que dans toutes les situations où leur prise de position pouvait gravement nuire à leur pays, ils s’employaient à rejoindre, toujours les ennemis de la France. Les musulmans ayant toujours été le ferment de la destruction et du terrorisme, souvenez-vous des porteurs de valise en Algérie, la haine de notre pays continue dans la même voie à conjuguer leurs forces à tous ceux qui veulent nous détruire.
ils n’en ont rien à foutre! jusqu’u moment où ils subissent les conséquences, aujourd’hui et de plus en plus souvent bientot
On connaît les crimes du communisme et son échec économique partout où on l’a imposé, mais ça ne suffit pas à ce traître qui ose encore s’en réclamer, et y rajouter l’islamophilie par pur calcul électoral… Je voudrais qu’on l’attrape et qu’on le tonde et le couvre de colle et de plumes !
Dans 5 ans la France chrétienne n’existera plus. Ce sera la France arabe et tous les Français qui ont soutenu cette religion vont en mourir.
Les arabes ne feront pas de quartier. Ils n’en ont jamais fait et ne commenceront pas maintenant. Ils n’ont qu’ingratitude et tuer leurs amis ne les dérangent pas
Tant pis pour la France mais elle l’aura bien cherché