Jeudi dernier, l’administration Trump annonçait que les tarifs de faveur accordés à l’UE, au Canada et au Mexique sur les droits de douane sur les métaux, c’était terminé. La décision a été rapidement condamnée par les dirigeants de l’UE.
Pas par tous…
[dreuz-paypal]
Le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto, a déclaré lors de sa visite à Paris que critiquer les Etats-Unis ne fera que se retourner contre les pays européens, et il a expliqué qu’un engagement positif est le seul moyen d’éviter les difficultés économiques provoquées par les tarifs douaniers.
« J’exhorte toujours nos amis de l’Union européenne à ne pas jouer ce nouvel art sportif qui est créé et qui s’appelle le « bashing des États-Unis, vous savez, parce que plus nos amis européens attaquent les États-Unis, plus ils subiront un impact négatif », a-t-il dit à CNBC.
L’administration du président Trump a annoncé que l’UE, le Canada et le Mexique ne seront plus exemptés des droits de douane sur les métaux, et va imposer des droits de 25 % sur l’acier et de 10 % sur les importations d’aluminium. Les dirigeants de l’UE, qui s’opposent évidemment à cette mesure, ont critiqué les États-Unis et ont prévu des mesures de rétorsion sur les produits américains.
Le président Trump a également l’intention de limiter les importations de voitures de luxe allemandes aux États-Unis. C’est très inquiétant pour le ministre hongrois, car la Hongrie dispose d’importants flux d’investissements grâce à son importante base manufacturière, en particulier l’automobile, pour laquelle l’Allemagne est son plus grand marché d’exportation. Les États-Unis sont le plus grand partenaire commercial de la Hongrie en dehors de l’UE.
Le leader nationaliste hongrois, Viktor Orban, réélu pour un troisième mandat au poste de Premier ministre en avril, a affirmé que la « démocratie gauchiste » est terminée. Des questions telles que la migration, la sécurité des frontières et les valeurs familiales traditionnelles l’ont rendu extrêmement populaire en Hongrie et auprès de l’administration Trump.
M. Szijjarto a évoqué une récente réunion à Washington, au cours de laquelle il a déclaré au secrétaire d’État Mike Pompeo que « nous n’avons jamais chanté en chœur avec les Européens qui s’en prennent aux États-Unis ».
[dreuz-newsletter]
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
J’ai cette conviction que cette « Europe » des vingt… (allez savoir combien?) implosera comme tous les corps creux qui subissent des pressions extérieures ou explosera lorsque les déchainements de colère, de frustration interne arriveront à leurs combles.
Mais quand? Je ne saurais le dire!
J’ai le même sentiment. L’Europe telle qu’elle est ne peut continuer à fonctionner comme cela et c’est tant mieux que certaines populations aient le courage, par les urnes, de se rebeller. Espérons qu’ils seront pris en exemple et qu’un jour les français cesseront de se comporter en zombies.
L’Angleterre, l’Italie, la Suède, les pays de l’est…. l’Autriche, un bon début. Il faut les suivre !
La Suède ? L’Angleterre ? Ces deux pays sont pourris de politiquement correct, d’immigration massive et d’islamisation galopante… les pays de l’Est d’accord, Suède et RU certainement pas.
@ Jacques Ady. Exact, hélas. Encore aucune raison objective de se réjouir trop vite. Le gouvernement italien a seulement trois jours et une « réplique » de l’UE dans cette zone sismique est hautement probable. Cette organisation mafieuse possède encore des moyens coercitifs considérables.
Je ne suis pas d’accord : en suède il y a déjà pas mal de signaux contre leur gouvernement. En UK (RU c’est UK?) pas encore mais le Brexit a été quand même un signal important. A mon avis ça va continuer. Quant à l’Italie l’ue ne peut rien faire contre elle mais il y a tout de même d’autres problèmes difficiles à régler mais QUAND ON VEUT ON PEUT. Le budget italien est quand même très gros, il n’y a pas de déficit et la grande dette est entre les mans des italiens pas des étrangers comme en grèce. On parle en trillons, qu’est ce que l’ue peut y faire? même en ruinant l’ue, ce qui la ferait disparaitre encore plus vite, ce n’est pas quelques milliards dépensés en vain qui vont y changer grand chose!
Des signaux c’est bien, mais ça ne fait pas forcément une majorité et ça ne change pas une politique ; une élection comme en Hongrie ou en Autriche, c’est mieux, beaucoup mieux, parce que la politique change.
En Suède il y a peut-être des signaux, mais en France aussi, et pourtant, nous avons Macron au pouvoir… mais si les prochaines élections changent la donne, tant mieux !
Quant au Royaume-Uni (UK), le Brexit n’empêche pas l’islamisation galopante du pays et l’emprisonnement, par exemple, de Tommy Robinson. D’ailleurs, Theresa May fait partie du concert des anti-Trump, Guy Millière par exemple le rappelle régulièrement. Que les rosbifs organisent un nouveau référendum, comme ils en parlent régulièrement, et ils réintégreront l’UE, et la boucle sera bouclée. J’aimerais me tromper…
Bravo au ministre hongrois et à son excellent gouvernement : tout ce que sait faire la France est d’insulter ses adversaires et propager des mensonges à leurs sujet, tradition depuis les années 30 qui a abouti à Hitler, göbbels et le nazisme. Tout ce que la France voudrait faire de mal elle le fait faire par les autres par le bourrage de crâne de leurs médias de m. Depuis 50 ans elle s’acharne contre Israel maintenant c’est contre le Président Trump dont elle n’a pas su empêcher l’élection cette fois et pour quel résultat? La France s’approche de plus en plus du gouffre qui ne va pas manquer de l’engloutir.