Samedi 2 juin, sur la route al-Sad, dans la région de Misari en Syrie, un Palestinien a été assassiné par des hommes armés. Son corps a été retrouvé dans le quartier de la route al-Sad.

Il s’appelait Abu El-Nour et était résident du camp de réfugiés palestiniens de Deraa au sud de la Syrie.

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Aucun média n’a parlé de lui. Et pourquoi faire ? Il n’est pas possible d’accuser les juifs.

Razan al-Najjar est connue dans le monde entier comme l’infirmière palestinienne de 21 ans abattue par l’armée israélienne lors des manifestations de vendredi dernier 1er juin.

La version des Palestiniens est déjà remis en question, la soldate accusée d’avoir tirée est une assistante sociale qui a quitté l’armée depuis plusieurs années.

Enième mensonge palestinien ou pas, là n’est même plus la question. Que les journalistes acceptent sans vérifier les accusations du Hamas, parce qu’ils ne s’intéressent plus du tout à la recherche de la vérité, nous avons depuis longtemps dépassé ce stade.

Nous en sommes rendus à ceci : le traitement inégal par les médias et les officiels concernant les morts palestiniens et tout ce qui touche à Israël est le nouveau visage de l’antisémitisme en col blanc.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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