Publié par Piotr Stammers le 4 juin 2018

Le dictateur communiste nord-coréen Kim-Jong Un travaillerait d’arrache-pied pour ouvrir un restaurant McDonald’s au cœur de la capitale de son pays depuis quelques semaines, afin d’envoyer un « geste de bonne volonté » envers les États-Unis en prévision des pourparlers avec le président Trump.

Selon une information rapportée par Fox News et NBC, le dirigeant communiste veut ouvrir le Fast food emblématique des Etats-Unis à Pyongyang alors que les responsables nord-coréens et leurs homologues américains se préparent aux négociations de dénucléarisation.

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Cela fait suite aux remarques du conseiller sud-coréen Chung-in Moon qui fin avril, avait dit que la Corée du Nord pourrait être intéressée à accueillir un McDonald’s alors que les tensions s’apaisent.

Le défunt père de Kim-Jong Un était tellement fan du restaurant américain emblématique qu’il aurait fait venir les hamburgers en Corée du Nord à partir du restaurant McDonald’s le plus proche en Chine voisine.

« Comparé à la menace d’une guerre nucléaire, bien sûr, un McDonald’s à Pyongyang ressemble à de la petite friture. Mais les experts et l’histoire suggèrent qu’il y a plus ici qu’un symbole », écrit le Washington Post qui parle lui d' »assez grosse affaire ».

McDonald’s a longtemps été considéré comme un symbole de la culture occidentale et du capitalisme, et maintenant du mondialisme – particulièrement dans les pays communistes – qui, c’est un paradoxe, adorent manger du McDo’, tout comme les antiaméricains et les ennemis du mondialisme.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Piotr Stammers pour Dreuz.info.

 

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