Deux jours après la sévère mise en garde de la Cour des comptes, qui a appelé le gouvernement à des «mesures fortes» pour améliorer l’état des finances publiques françaises, la note de l’Insee publiée ce matin vient enfoncer le clou. La dette publique de la France – celle de l’ensemble des administrations publiques du pays – a augmenté au premier trimestre 2018 de 36,9 milliards d’euros, révèle l’institut statistique à l’occasion de la publication des comptes nationaux trimestriels. Mesurée selon les critères de Maastricht, elle s’établit à 2255,3 milliards d’euros au premier trimestre 2018, contre 2226,1 milliards au trimestre précédent. Rapportée à la richesse nationale, elle représente 97,6% du PIB (Produit intérieur brut).
Comment expliquer cette hausse? Par la contribution de l’État à la dette, qui a augmenté de 40,7 milliards d’euros sur les trois premiers mois de l’année, selon l’Insee. Alors que la contribution à la dette des administrations de sécurité sociale a de son côté reculé de 2,6 milliards d’euros, «surtout du fait de l’Acoss», organisme collecteur des cotisations de sécurité sociale dont les comptes se sont améliorés de 1,8 milliard d’euros. De même pour les administrations publiques locales, dont la contribution a reculé de 1,4 milliard d’euros, notamment grâce aux efforts des communes (-1,3 milliards) et des départements (-0,8 milliard), contrairement aux régions, qui ont creusé légèrement leur endettement (+0,4 milliard). Enfin, la «dette publique nette», qui tient compte de la trésorerie présente dans les caisses des administrations publiques, a pour sa part augmenté de 16 milliards d’euros pour atteindre 2039 milliards d’euros.
Dans son rapport sur les perspectives des finances publiques dévoilé mercredi, la Cour des comptes s’est montrée méfiante quant aux promesses du président Macron et du gouvernement Philippe d’équilibrer, d’ici à 2022, les comptes de la France. La France est certes «sortie de la procédure de déficit excessif» en ramenant l’an dernier son déficit sous la barre des 3% du PIB, pour la première fois depuis 2007, soulignent les Sages dans leur rapport annuel sur les perspectives budgétaires françaises. Mais sa situation «s’est détériorée par rapport à celle de ses partenaires européens», la dette publique française ayant grimpé de près de 32 points en dix ans.
Rebond de la consommation des ménages
Toutefois, l’Insee relève un rebond (0,9%) des dépenses de consommation des ménages en biens en mai, après une chute le mois précédent de 1,8%. Cette progression a été favorisée par la hausse des achats de biens alimentaires, de voitures, de téléviseurs ainsi que de la consommation d’énergie. Dans le détail, la consommation alimentaire a rebondi de 1,8%, celle de l’énergie s’est redressée modérément de 1,7% après avoir baissé de 5% en avril, un mois où les températures ont été «très supérieures aux normes saisonnières». Du côté des biens durables, «les dépenses en matériels de transport augmentent, portées par les achats d’automobiles d’occasion, et dans une moindre mesure par les achats de motocycles». Les dépenses en biens d’équipement du logement ont augmenté de 1,2%, «majoritairement en raison des achats de téléviseurs», à l’approche notamment de la Coupe du monde de football qui a démarré le 14 juin et se termine le 15 juillet. En revanche, les dépenses en habillement – textile se sont nettement repliées en mai, de 3% après avoir connu une hausse de 3,4% en avril.
Source : Lefigaro
Contrôle serré des aides sociales, suppression de l’aide à l’ONU et toute autre ONG qui est censée défendre les droits humains mais qui n’en ont que l’étiquette, arrêt des aides à gogo aux pays d’afrique du nord, réduction des salaires astronomiques de la fonction publique, suppression des aides à Abou Mazen le terroriste…ce serait un bon début
On pourrait ajouter quelques bricoles, même si cela semble mesquin:
Ne pas remplacer la vaisselle vu qu’il y en a suffisamment.
Ne pas faire de projets de piscine à Brégançon. On peut se baigner dans la mer.
Réduire le train de vie à la fameuse Lanterne.
Ne parlons pas des frais de maquillage de monsieur.
Il ne faut surtout pas demander à la France de faire un effort…elle en est incapable à part déblatérer à longueur de journée et dépenser l’argent par les fenêtres grâce à nos gaucho islamo……avec leur utopie complètement dégénérative!!!!
C est ça la France qui donne des leçons aux autres mais ne fait surtout rien pour elle même….tout ça va se payer cache un jour et nous verrons alors sortir du bois nos syndicats beugler à l injustice!!!!!!!!!
Il faudra alors se préparer à payer encore plus d impôts et taxes…..et la la France se pauperiser encore d avantage….merci nos gauchistes!!!!!!!!
Télés payées par les allocs..
Donc on “vole” l’argent aux retraités, mais la dette publique continue à augmenter…
Macron est pourtant un spécialiste de la finance on m’a dit !
Je pense qu’il faudrait limiter la vitesse à 70 km/h…. 🙂
On “vole” de l’argent aux retraités et la dette publique augmente ?
Macron est un spécialiste de la finance pourtant ?
Je pense qu’il faudra limiter la vitesse à 70 km/h…. :-))
On n’en sortira jamais, les dépenses continuent comme si tout allait bien…les communes , si chères au coeur des Français, sont également bien impliquées dans cette dette astronomique, bientot en France pas un village n’aura sa salle des fètes neuve, ou médiathèque, salle polyvalente, etc…
La dette public a encore augmenté ! Sans Blague !!!! Ca alors !!!!!!!!
Je suis saisie par la somme de travail effectué par Gaïa !
Et ce rapport chiffré m’impressionne d’autant plus, que pour moi les chiffres, c’est très pointu, et qu’un rapport de ce genre n’est pas simple.
Alors la dette du Pays a augmenté ? Qui saura un jour la faire baisser ou même la faire stagner ?
À tel point que des personnes comme moi, nulle en économie se demandent quelle importance cela peut avoir qu’elle augmente, puisque cela n’affole aucun dirigeant ?
Ce qui m’importe c’est le pouvoir d’achat, et c’est un mensonge de prétendre que celui-ci aurait augmenté, même d’un petit rien du tout.
Il a considérablement augmenté plutôt, et c’est de la volonté de Mr Trump de faire avaler encore plus de couleuvres aux plus précaires, à qui il trouve que l’on donne encore trop de « pognon ».
@ Aline1 : ce n’est pas Gaïa qui a écrit cet article, c’est le Figaro 😉 (voir lien en bas de page)
Jacques Ady,
En effet, je viens de voir ceci.
Cependant, je ne sais pas si je ne l’ai remarqué seulement hier, Gaïa nous rapporte beaucoup d’infos.
J’avoue que déjà s’agissant du Figaro, (excepté Rioufol) et bien d’autres endroits, je n’y vais plus, du fait que je ne gobe pas tout ce qui s’y dit dans les articles. Et, lol, je défaillis, lorsque je lis certains commentaires, que ma curiosité me pousse à aller lire…
Mais c’est bien si c’est repris par Dreuz, cela donne une crédibilité à des notes que je n’aurais pas vues.
Servis à Domicile, sans trop se perdre dans les dédales du Net, sans savoir où l’on met les pieds, c’est encore un avantage.
C’est déjà du temps et du boulot, de chercher l’info cachée, et pour cela d’y aller en se bouchant le nez.
Alors je remercie Gaïa, tout de même.👏🏻
Bonne soirée,
C’est très important, cette dette publique Aline (et encore, sauf erreur le déficit de la Sécu n’est pas inclus dans ce total), pour une raison simple : l’État est pieds et poings liés devant ses créanciers, les banques, fonds de pension et autres, parfois étrangers ; lesquels peuvent avoir des exigences de plus en plus importantes vis à vis de l’État-débiteur.
Malheureusement je n’ai jamais réussi à trouver précisément, de façon chiffrée, qui étaient ces créanciers de la France. Mais il semble bien que des pays comme le Qatar ou l’Arabie saoudite fassent partie du lot. Et on sait très bien les exigences que ces pays peuvent avoir vis à vis de notre pays : plus d’immigration d’origine musulmane, des facilités pour l’islam en France, etc.
Sans compter, en matière de niveau de vie, les intérêts qu’il nous faut payer à ces créanciers ; d’où l’augmentation de la CSG, la baisse des retraites… mais aussi la rentabilité devenue quasi-nulle de nos placements bancaires.
Cette dette a bien plus d’incidences sur nous, notre mode de vie, notre niveau de vie, que nos politiciens irresponsables ne (semblent) le croire – j’ai mis “semblent” entre parenthèses parce qu’en réalité, ils le savent très bien, mais leur spécialité est de repasser la patate chaude à leurs successeurs, leur devise pouvant se résumer à : “après moi, le déluge”…
@Jacques Ady
Vos explications m’ont intéressée.
Nous sommes donc pris dans une spirale infernale dont logiquement nous ne pourrons nous dégager.
Affolant.
Cet article de J.-B. Noé est excellent, il illustre remarquablement ce que je disais dans mon commentaire plus haut, et qui est tellement évident si on réfléchit un peu. (et peut-être, si on a fait un minimum d’économie)
La dette publique est vraiment une calamité ; d’autant plus quand ce sont les citoyens eux-mêmes qui la réclament sans s’en rendre compte, exigeant toujours plus de “services publics” et autre promesses du type “demain on rasera gratis”. Or on ne rase jamais gratis !
Ce sur quoi j’aimerais bien avoir des éclaircissements, d’autant que j’en entends parler depuis plusieurs années, c’est la dette américaine, détenue par la Chine, laquelle possède, si je ne m’abuse, des réserves de centaines de milliards de dollars. La politique menée par les dirigeants américains successifs, durant des décennies, ne semble pas, elle non plus, avoir échappé à cette règle funeste de la démagogie et de l’endettement de l’État…
@Jacques Ady,
Je vous remercie pour toutes ces précisions dont je n’avais pas conscience.
C’est tout de même affolant de réaliser dans quelle gadoue se trouve le pays.
J’ai donné, selon mes impressions, déjà la piste que le fonctionnement de l’État et d’une soi-disant démocratie coûtait cher, et pouvait déjà, si c’est revu à la baisse, améliorer l’économie. D’autres ont évoqué d’autres pistes, telles que des subventions allouées, qui ne se contentent pas de servir à rien. Elles nuisent en plus.
Maintenant, vu la situation actuelle, je ne vais pas réclamer maintenant une réduction de la dette, si cela doit se faire aux dépens des plus précaires. C’est toujours la solution que prennent les Gouvernements.
Je n’ai jamais eu l’idée de critiquer tous ceux qui gagnaient beaucoup, parce que j’estimais que je n’avais pas à être jalouse du fruit de leur travail. Maintenant je me rends compte tout de même, que certains dont mêmes des fournisseurs d’emplois, gagnent tellement d’argent que cela en est choquant, alors même qu’ils sont protégés d’impôts plus adéquats.
Et il y a des professions individuelles où c’est la même chose. Avoir de quoi se payer des Maisons et domaines, des bateaux, des avions, partout à travers le Monde, en étant souvent plus exonérés que les simples travailleurs, commencent à me faire changer d’avis. D’autant plus, que ce sont ceux-là, qui se permettent de jouer aux humanistes, par-dessus le marché.
Et avec le Monde ouvert que l’on a créé avec une grande béatitude, tous. Même moi, je n’y voyais que des avancées et un bienfait pour l’humanité… Alors qu’en fait, c’est surtout la possibilité, pour les plus favorisés, de se dérober, et aller là où ils seront moins taxés. Ce qui dans un premier temps, paraît humain, pour tous ceux qui n’ont pas l’habitude d’envier les plus chanceux, mais lorsqu’à la longue, cela fragilise davantage les plus précaires… À notre grande désolation, on commence à penser que c’est injuste. Tout en ayant honte d’en arriver à penser ainsi.
Le fait, c’est que ces personnes, qui maintenant gagnent toujours davantage n’ont pas à transformer des personnes non envieuses. C’est à eux d’être conscient et honnête et de réaliser l’iniquité du système.
Eh bien entendu, les Législateurs devraient agir en tenant compte de ces inégalités.
Mince, me voilà avec un discours de gauche. Celui que je honnissais, n’y trouvant que jalousie et rancœur.
Triste de nous faire arriver là !
Le problème, Aline, est ce que Guy Millière appelle le capitalisme de connivence : quand les capitaines d’industrie et plus généralement les très riches bénéficient de passe-droits de la part des gouvernants, lesquels sont généreusement rétribués en retour.
C’est cette connivence, cette complicité même, sur le dos des citoyens, qui pose problème et doit susciter notre indignation ; pas le fait d’être riche en lui-même, ni la réussite par le travail, encore moins ce qu’on appelle l’ascenseur social et qui est le symbole des USA : à savoir, si on travaille dur, on peut réussir (voir par ex. le cas de la famille Trump) ; et aux USA, on ne jalouse pas ceux qui réussissent, en espérant qu’ils tomberont bientôt de leur piédestal ; non, on les admire. C’est l’attitude normale, qui ne peut exister que si le capitalisme/libéralisme économique n’est pas compromis avec les les gouvernants, bref si le libéralisme est authentique, et non frelaté par des passe-droits financiers (moins d’impôts pour les grandes entreprises que pour les PME) ou réglementaires (des facilités pour les grands groupes pour s’agrandir encore, au détriment des PME et de monsieur tout-le-monde qui veut créer sa propre entreprise).
C’est parce que le libéralisme économique authentique a été corrompu, que la concurrence a été faussée, que nous arrivons à des situations comme celles que nous connaissons ; ce n’est certes pas la faute au libéralisme économique en lui-même, ce que croient trop de gens mal informés, particulièrement en France.
Non, nous ne souffrons pas de l’hyper-libéralisme : nous souffrons de l’absence de vrai libéralisme, lequel a été abîmé par la corruption de politiciens alliés à quelques chefs d’entreprise et milliardaires, qui ont verrouillé le système à leur seul profit, sur le dos de la grande majorité.
@Jacques Ady
J’avais téléchargé en audio, les deux ouvrages d’Alexis de Tocqueville, « De la démocratie en Amérique », intéressée par lui, parce que soucieuse de comprendre, ce qu’était vraiment devenu le système, après la Révolution Française.
Il évoque surtout la sociologie dans l’Amérique des années 1930, mais la sociologie englobe beaucoup de domaines politiques et infailliblement l’économie. Il s’est donc prononcé sur le Droit au Travail, le paupérisme, etc.
« Pour Tocqueville, la science politique nouvelle à laquelle il entend contribuer, doit donc non seulement lutter contre les effets dévastateurs du paupérisme existant, mais encore tenter de prévenir son installation afin d’assurer la pérennité du fait démocratique. »
Sinon, son discours sur la société est celui de l’égalité des hommes. En le résumant rapidement.
Il pensait déjà que l’Union Soviétique et les anglo-saxons/Usa, étaient les deux grands pôles économiques prépondérants.
Il avait influencé les démocraties à aller vers le libéralisme
La révolution de 1917 et le marxisme n’étaient pas encore passés par là.
Je sais qu’aujourd’hui, bien que ses ouvrages ne fussent pas strictement d’ordre économiques, sont observés sous cet aspect et ses avis sont pris au sérieux. Il est même taxé de prophétisme quand il s’agit d’économie.
Mais le soi-disant libéralisme d’aujourd’hui n’a rien de celui que proposait De Tocqueville. Il est largement perverti, en faveur des plus riches, comme vous le dites si bien.
@Nicolas Carras
Merci, j’en prends note. Comme je l’ai dit par avance, l’Économie, j’ai du mal à la comprendre.
Je copie ce long commentaire et tâcherai de le comprendre au mieux;
@Jacques Ady@Nicolas Carras,
Mon sens cognitif m’amène selon vos réponses, à penser comme ça au
” Libertarianisme ”
Système dont j’ai entendu parler, mais que dont je ne connais que ce que j’appellerai le crédo (mot peut-être un peu fort) principal, qui serait :
La diminution de la participation de l’État, voir sa disparition.
Est-ce que ce concept peut se rapprocher du libéralisme, et ou Capital et connivence ?
Se rapprocher de l’un deux ?
Où bien une notion totalement éloignée qui n’a rien à voir ?
Merci
@ Aline1 : je ne connais pas bien ce courant politique, le libertarianisme. L’économie – même si je l’ai étudiée, et pratiquée – n’est pas ma première matière.
À voir rapidement ce qu’en dit Wikipedia, l’idée de base est intéressante et je la partage : à savoir, limiter l’action de l’État à ses missions régaliennes (justice, police, armée) : autrement dit, que l’État se contente d’assurer la sécurité des citoyens, ainsi que la Justice, et ne se mêle pas d’économie, laissant ce soin aux entrepreneurs, autrement dit à chaque citoyen qui souhaite entreprendre (et embaucher, le cas échéant).
Le principe est bon, même si dans la pratique, ce n’est jamais aussi simple. Il y a les voies de communication, par exemple : propriété de l’État, ou des collectivités locales ? Voire propriété privée (sociétés d’autoroutes, de chemin de fer…). Un mix à trouver.
Autre exemple : l’autosuffisance alimentaire. dans un monde instable, n’est-il pas plus sûr d’avoir une agriculture forte ? De même pour l’énergie. Tous les pays cherchent à devenir autonomes en ressources énergétiques. les USA le sont devenus récemment, Israël vient de découvrir des gisements au large de ses côtes… la France n’a ni pétrole, ni idées (si ce n’est Eurabia).
Le patriarche Joseph fut premier ministre du Pharaon : il organisa le stockage de céréales récoltées durant 7 années d’abondance, pour pouvoir les distribuer à la population durant les 7 années de disette qui suivirent, (et à un prix raisonnable). Intervention de l’État donc dans les affaires économiques ; mais avec un homme d’une intégrité morale remarquable – ce qui n’est hélas pas souvent le cas de nos jours…
Vaste sujet, passionnant mais qui demande du temps !
Cet article de Charles Gave est très intéressant, caustique mais si juste. – j’ai bien l’institut des libertés dans un coin de ma tête et de mes favoris, mais comme on ne peut pas être partout… –
Sur les banques devenues beaucoup trop grosses et de facto en situation de monopole (ou oligopole, ce qui revient à peu près au même), lequel monopole est accentué par la complicité si bien décrite par Gave entre banquiers et politiciens, cela fait au moins 10 ans que je pense la même chose ; ayant à l’époque pris quelques cours de comptabilité/droit des entreprises, j’avais constaté que pour créer un organisme de crédit (une banque), il est nécessaire d’injecter une somme considérable dans l’entreprise, de l’ordre de 10 millions d’euros. Dès lors, il est impossible au citoyen lambda de créer une banque, aujourd’hui. Ce qui était possible il y a 100, 200 ans et tout au long de l’Histoire humaine, ne l’est plus ; les banques en place ont donc le monopole – et comme tout citoyen est censé avoir un compte bancaire… on observe un phénomène assez similaire dans le commerce avec les Grandes surfaces : quand on voit comment sont attribuées les autorisations d’installation par les pouvoirs publics (les copains coquins peuvent s’en donner à coeur-joie), on se dit que la liberté d’entreprendre, en France, est décidément bien mal en point. Et on pourrait continuer, les exemples sont légion. La mainmise de l’État est partout, omniprésente dans ce pays, avec des passe-droits continuels. Le vrai libéralisme a été complètement phagocyté par les politiciens et hauts fonctionnaires (lesquels sont de plus en plus interchangeables)…
Hélas, les Français n’y comprennent rien à l’économie ; il faut dire que les médias et autres démagogues passent leur temps à les enfumer.
Et bien sûr, cet État rempli de ripoux se détourne de sa mission de départ, régalienne : protéger les citoyens, leur assurer la Justice et la sécurité. Tout à l’envers.
@Jacques Ady, @ Nicolas Carras,
Exact Jacques, Joseph a organisé le stockage, avant le problème de récolte. Mais lol, il en a été informé par des présages… Tout de même, compensés aujourd’hui, par le savoir et la technologie, jusqu’à un certain point.
Je vous remercie tous deux des explications données et je pense saisir un peu mieux… Mais voilà qu’en vous lisant ce matin, m’est revenu en mémoire le terme Keynésien…
J’ai lu rapidement pour revoir ce que c’était. Il faut bien avouer, que d’intégrer tous ces modèles, tout en essayant de comprendre ce que l’un apporte ou soustrait à l’autre, c’est décidément pour des spécialistes !
Mais c’est déjà bien de connaître certaines bases. Savoir qu’elles existent, ce qu’elles représentent sans pour autant en arriver à tout maîtriser sur ce sujet, comme vous semblez aptes à le faire tous deux.
Cela m’empêchera de la ramener, connaissant mes limites.
@Nicolas Carras,
Je connais les problèmes et l’injustice que subissent les PME, mes frères s’y étant frottés. Il ne vaut pas mieux développer, cela découragerait tous les petits entrepreneurs potentiels.
Bonne fin de journée à tous deux,
une bonne balance commerciale
exemple du gouvernement
dépense
migrants + banlieue = déficit
recette // tu taxe
C.S.G. + retraité + radar + gazoil + gaz + alimentation = recette pour migrants et les pourris