
Le ministre suisse des Affaires étrangères Ignazio Cassis se demande si son pays doit continuer à financer l’agence des Nations Unies pour les « réfugiés » palestiniens.
Le nouveau ministre suisse des Affaires étrangères a redoublé de critique à l’égard de l’UNRWA, l’agence de l’ONU pour les « réfugiés palestiniens », a rapporté The Associated Press.
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Ignazio Cassis a déclaré que la communauté internationale doit réaliser que l’UNRWA est devenu un « État dans un État », et il se demande si les Suisses devraient continuer à contribuer à son financement.
- En mai dernier, Cassis a déclaré que l’UNRWA nourrit des espoirs « irréalistes » auprès des Arabes avec ce qu’ils appellent le « droit au retour », ce qui contribue à maintenir une plaie ouverte dans le conflit du Moyen-Orient et à le garder en vie au lieu de le régler.
- Il a également déclaré que l’UNRWA « est devenu une partie du problème ».
- Puis Cassis a déclaré sur la radio RTS que c’est son travail de remettre en question le financement public suisse pour l’UNRWA. La Suisse a donné à l’agence plus de 20 millions de dollars par an au cours des cinq dernières années et prévoit de poursuivre un financement similaire jusqu’en 2020, a noté AP.
Les États-Unis ont annoncé en janvier qu’ils réduiraient une partie du financement de l’UNRWA, invoquant la nécessité d’entreprendre un réexamen fondamental de l’organisation, tant dans son mode de fonctionnement que dans son mode de financement.
L’UNRWA a alors reçu des promesses de financement supplémentaire de 100 millions de dollars de la part du Qatar, du Canada, de la Suisse, de la Turquie, de la Nouvelle-Zélande, de la Norvège, de la Corée, du Mexique, de la Slovaquie, de l’Inde et de la France afin de compenser l’aide coupée par Washington.
Le représentant de l’UNRWA à New York a averti que l’organisation est confrontée à une « crise financière existentielle » à la suite de la coupe des États-Unis.
Mais l’UNRWA est bien connu pour ses activités anti-israéliennes.
- En 2014, lors de l’opération antiterroriste Protective Edge, des roquettes du Hamas ont été découvertes à l’intérieur d’un bâtiment scolaire géré par l’UNRWA.
- De même, une clinique de l’UNRWA piégée a explosé, tuant trois soldats israéliens. Outre les quantités massives d’explosifs cachés dans les murs de la clinique, il a été révélé qu’elle cachait des dizaines de tunnels pour les activités terroristes, ce qui montre à quel point l’UNRWA est étroitement lié au Hamas.
- Plus récemment, le directeur des opérations de l’UNRWA à Gaza a exprimé son soutien aux « marches anti-israéliennes » le long de la frontière israélo-gaza, et il s’est engagé à ce que les centres médicaux de l’organisation fournissent des soins aux « réfugiés palestiniens » qui pourraient subir des blessures pendant ces marches.
- Enfin, très récemment, une vidéo a surgi montrant comment les écoles maternelles de l’UNRWA enseignent aux enfants comment procéder à des kidnappings et des exécutions d’Israéliens.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
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Les pays donateurs de l’UNRWA contribuent au terrorisme CQFD.
L’URNWA a failli dans ses buts et dans ses objectifs.
L’UNRWA au-lieu de venir en aide aux populations en détresse en les aidant à retrouver une vie normal, du travail, une vie sociale, un retour à la vie active, une éducation conforme aux standards internationaux, des conditions humaines de soins et de santé, un niveau de vie acceptable, etc …
L’UNRWA maintient depuis 70 ans des populations en situation « d’Éternels réfugiés »
Il est impossible pour l’UNRWA de se réformer, puisque en se réformant elle perd son « fonds de commerce ». Son seul moyen d’existence c’est d’avoir à s’occuper de réfugiés « Ad vitam æternam ».
Plus les pays occidentaux subviennent à l’UNRWA et plus des « générations de réfugiés » sont soit crées, soit maintenues.
L’UNRWA puisqu’elle ne peut pas se réformer, elle doit disparaître.
Il est absolument ridicule de parler de « Paix » avec des ONG, puisque le jour où il y a « Paix », ces ONG n’ont plus lieu d’être. Elles doivent disparaitre.
Pourquoi ne parle-t-on plus des 40 à 45 millions de réfugiés Européens qui fuyaient de partout, à la fin de la dernière grande guerre en 1945. Il y eut des mouvements de populations énormes, jusqu’aux Amériques.
Et pourquoi des 720 000 réfugiés de Palestine de 1948 (Soit 3 ans après 1945), nous en parlons encore et toujours 70 ans après ?
Non seulement de la faute de l’UNRWA, mais aussi de la « Ligue Arabe » qui, réunie en 1950, interdit à tout pays Arabo Musulman de recevoir ces populations de réfugiés, de les intégrer à leurs propres populations, et d’en faire des citoyens à parts entières.
Là dessus, est venu se greffer l’Europe qui à partir de 1973 et du Dialogue Euro Arabe DEA. Qui s’est mise à inonder à coups de centaines de millions d’Euros, un « Peuple Palestinien » dont personne n’avait encore entendu parler. Les parties en présence étaient la Communauté économique européenne et la Ligue des États arabes.
Le côté arabe exigeait un engagement politique de l’Europe contre Israël puisque le volet économique du dialogue était subordonné au contexte politique de la guerre arabe contre Israël. Le domaine économique s’inscrivait ainsi dans une solidarité politique euro-arabe contre Israël.
Dans les années suivantes, cette collaboration fut renforcée par des réunions chaque six mois et diver-ses activités au niveau mondial (Rome, 24/7/1975 ; Abu Dhabi, 27/11/75 ; Luxembourg 18-20/5/1976 ; Bruxelles, plusieurs réunions en 1976 ; Tunis, 10-12/2/1977). Les membres du Secrétariat permanent pour la Coopération Euro-Arabe, effectuèrent de nombreux voyages aux États-Unis pour orienter la politique américaine vers les thèses de l’OLP. Les Arabes réclamaient de l’Europe la reconnaissance de Yasser Arafat et d’un État palestinien, le boycott d’Israël au niveau international et une stratégie de pressions politiques et économiques mondiales pour forcer l’État hébreu à reculer dans les lignes de 1948. Des groupes de travail étudièrent les méthodes propres à conditionner l’opinion publique européenne et internationale pour l’amener à soutenir l’OLP. Selon al-Mani, l’OLP « utilisa avec succès le patronage du DEA pour améliorer son statut diplomatique en Europe ».
Israël n’est pas du tout responsable de ces « réfugiés de Palestine » puisque jamais dans le monde, des pays concernés par des vagues de réfugiés n’ont été contraints de rendre des comptes. Tel les réfugiés venant de Syrie, d’Irak et d’Afghanistan qui ont trouvé refuge en Europe. De même que tous ces réfugiés venant d’Afrique.
Aucune responsabilité n’est retenue, pour les pays concernés.
Encore une vidéo qui montre à quel point l’islam est une religion de paix, qui endoctrine les enfants de 5-6 ans pour faire le jihad contre les Juifs… l’UNRWA doit être dissoute. D’ailleurs, les près de 900.000 réfugiés juifs des pays arabo-musulmans suite à l’indépendance d’Israël sont-ils, eux, soutenus par une quelconque organisation internationale ? Bien sûr que non, ils ont travaillé et se sont intégrés là où ils se sont installés. Mais c’est vrai que travail, initiative et responsabilité d’un côté, et islam de l’autre, ne vont pas vraiment ensemble.
la Suisse devrait faire comme Trump …. couper les finances au fatah et au hamas car ils sont des organisations qui entraine a tuer …. rien d’autre
De 730,000 en 1948, ils sont maintenant plus de 5 millions!
5 millions à glander dans le désert en fomentant les pires atrocités avec l’aide financière des nations!
Les pays musulmans qui ont généré cette situation et ceux qui l’ont financée sont criminellement responable devant Dieu (le vrai) de TOUS les morts occasionnés depuis 1948 : « …L’UNRWA a alors reçu des promesses de financement supplémentaire de 100 millions de dollars de la part du Qatar, du Canada, de la Suisse, de la Turquie, de la Nouvelle-Zélande, de la Norvège, de la Corée, du Mexique, de la Slovaquie, de l’Inde et de la France afin de compenser l’aide coupée par Washington… ».
Dès l’instant où on en prend conscience, on peut obtenir le pardon si on cesse IMMÉDIATEMENT.
Sinon, c’est l’enfer… de Gaza pour les uns et celui de Dieu pour tous.