Publié par Magali Marc le 25 juin 2018

Certains commencent à se rendre compte que la séparation des enfants de leurs parents, immigrants illégaux, était une idée d’Obama.

D’ailleurs, il s’agissait surtout de ne pas mettre les enfants en détention avec des adultes arrivés illégalement et qui pouvaient mentir sur leur lien de parenté avec eux. Mais les Démocrates, inquiets de ce qui va leur arriver aux élections de mi-mandat, espéraient faire leur beurre avec ce «scandale» inventé et ces images d’enfants en pleurs.

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Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article de *Wesley Pruden, du Washington Times, paru le 21 juin.

 

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Les Démocrates sont furieux d’entendre de bonnes nouvelles

 

Barack Obama est super vexé parce qu’il pense que c’est grâce à lui si l’économie est en plein essor, alors que c’est le Donald qui s’en attribue tout le mérite. C’est un point de vue assez fantaisiste, comme la plupart des économistes vous le diront.

À présent, M. Obama peut regarder avec un certain plaisir le président Trump se faire dénoncer avec acharnement alors qu’il ne faisait que copier ses propres méthodes de traitement des enfants amenés par leurs familles à la frontière infernale.

Le président Trump s’est hâté de dire qu’il a hérité du dilemme frontalier, et qu’il s’en occupe de la même façon que l’a fait M. Obama, notamment en séparant les enfants de leurs parents et en les mettant dans des «cages» dans un supermarché Walmart abandonné. Il ne s’agit pas d’une simple figure de rhétorique.

Même certains Démocrates, y compris certains guerriers de la presse écrite et télévisée, commencent à prendre conscience que la séparation des enfants était d’abord une idée d’Obama.

Une intervieweuse de CNN a coincé la Sénatrice du Wisconsin, Tammy Baldwin, en lui rappelant que de nombreux critiques de Donald Trump, qui dénoncent maintenant le fait d’empiler les enfants sur des matelas à l’intérieur de clôtures de fer et d’acier, n’ont émis aucune critique lorsque M. Obama le faisait.

«Vous savez», a répondu la Sénatrice Baldwin, d’une voix aussi blanche qu’un bol de crème sûre, «à ce propos, nous arrivons à un moment où nous avons fait des progrès et puis quand un problème stagne nous y retournons. Je pense que nous devons tous continuer à nous concentrer sur le problème et aller jusqu’au bout».

L’intervieweuse de CNN, Brooke Baldwin (sans doute n’ayant aucun lien de parenté avec la Sénatrice) a essayé de l’aider à se concentrer, en reformulant la question. Elle a demandé à la Sénatrice, avec précision, si elle avait les mêmes sentiments au sujet de la façon dont M. Obama a fait les choses alors qu’elle et ses collègues démocrates sont si durs avec l’Administration Trump qui fait exactement pareil.

«Vous savez, dans un certain nombre de cas», a répondu la Sénatrice, «je me souviens qu’un de mes administrés était détenu à la frontière, sans doute de façon inappropriée, et nous avons élevé nos voix dans ce cas et bien d’autres».
La question que la sénatrice a évitée – elle aurait pu se contenter de répondre «c’était alors et c’est maintenant» – allait droit au but : s’agit-il d’une politique de «maltraitance des enfants» simplement parce que c’est Donald Trump qui la met en œuvre ?

Les amis des enfants à la frontière – qu’ils soient républicains, démocrates, gauchistes, conservateurs, juifs, musulmans, hottentots, anciennes premières dames, enseignants de l’école du dimanche, vicaires, rabbins, imams et de nombreux «experts» – ont remporté une victoire considérable pour les enfants en un bref délai.

Le Président a compris le message et a agi rapidement. C’est ainsi que les différends politiques devraient être résolus dans une République démocratique. Mais les Démocrates sont furieux. Le problème qui devait leur servir de planche de salut afin de triompher en novembre (NDT Les élections de mi-mandat) leur a été retiré.

La chicane commence.

Le Sénateur Chuck Schumer de l’État de New York, le chef de la minorité démocrate au Sénat américain, se moque de la suggestion de l’Administration selon laquelle il pourrait installer 20 000 enfants dans des bases militaires en Arkansas et au Texas.

«Est-ce seulement faisable ?»

Pourquoi pas ? L’ingéniosité des Américains étonne toujours le monde. Nous ne parlons pas ici de savoir si le Congrès pourrait le faire. Les militaires américains peuvent faire plus de choses que Chuck Schumer n’en a idée.

La sénatrice Elizabeth Warren du Massachusetts laisse entendre que «Trump est en train de mener l’Amérique dans un endroit sombre et laid». Les Indiens ont une réputation de courage et de féroce bravoure, mais Pocahontas (NDT Surnom que Trump lui a donné depuis qu’elle a prétendu mensongèrement avoir des ancêtres amérindiens) a l’air effrayé. Elle devrait prendre une gorgée d’eau de feu et s’allonger jusqu’à ce qu’elle se sente mieux.

Le secrétaire à la Défense, Jim Mattis, lui n’a pas l’air effrayé. «Nous avons hébergé des réfugiés», dit-il. «Nous avons hébergé des personnes chassées de leurs maisons par des tremblements de terre et des ouragans. Nous faisons tout ce qui est dans l’intérêt du pays.»

Le Pentagone dit travailler en étroite collaboration avec les services de santé et humanitaires pour déterminer ce dont ils ont besoin et comment l’acheminer.

Pendant ce temps, les enfants mis en détention par le gouvernement, dans ou hors des «cages», sont pris en charge.
Personne n’a contesté cela, mais ce n’est pas une bonne nouvelle pour Chuck Schumer et ses stratèges de campagne. Ils avaient compté sur l’obstination de Donald Trump, son habituelle insistance à dire qu’il ne commet pas d’erreurs, afin de maintenir des enfants qui pleurent dans les nouvelles tout l’été.

Les enfants sont en sécurité, dormant dans des couchettes propres et mangeant mieux que la plupart d’entre eux en Amérique centrale. Ils obtiennent des soins médicaux américains et pour la plupart d’entre eux, le premier rendez-vous de leur vie avec un dentiste.

Leur «épreuve» c’est d’être séparés de leurs parents, ce qui est toujours douloureux pour un enfant. Mais ils ne sont pas à Auschwitz, comme certains hystériques (tel un ancien directeur de la CIA) le prétendent. Les gardes dont ils ont besoin ne sont pas des nazis sortis de leur retraite pour servir à Buchenwald, malgré ce que disent certains experts souffrant de bouffées de chaleur.

C’est Donald Trump qui montre du découragement. «Ils se fichent pas mal des enfants», dit-il à propos de M. Schumer et des Démocrates. «Ils ne se soucient pas de leurs blessures. Ils s’en foutent.»

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* Wesley Pruden est rédacteur en chef émérite du Washington Times.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source :
https://www.washingtontimes.com/news/2018/jun/21/democrats-in-a-lather-over-the-good-news/

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