« En ces temps de tromperie universelle, dire une vérité est un acte révolutionnaire. » George Orwell
Le 7 juin 2018, le jeune journaliste fact-checker Jacques Pezet du quotidien Libération qui nous a habitué aux « fake news », les « fausses nouvelles » truquées à partir des « true news », les « vraies nouvelles », a écrit une note douteuse[1] sur le Père jésuite Henri Boulad. Le jésuite avait écrit en effet un article sur Dreuz « J’accuse l’islam » (4 mai 2017), fait une homélie sur « Les limites du devoir d’hospitalité… », recueillie dans une vidéo YouTube (18 juil. 2016), et une autre (16 oct. 2017) dans la quelle il exhorte les Français à se réveiller de leur torpeur face à l’islamisation forcenée de leur pays.
Le Père Boulad accuse le totalitarisme de l’islam en tant qu’idéologie politique génocidaire et nullement le musulman en tant que personne, prochain à respecter dans la charité et la miséricorde : « je ne suis pas musulmanophobe », avait-il martelé plus d’une fois.
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Big Borther is watching you…
Membre de l’équipe de fact-checking, « vérification des faits », du média d’investigation allemand Correctiv (2017, Berlin), Jacques Pezet s’emploie à la vérification des informations circulant sur les réseaux sociaux, entre autres, en Allemagne. Ce journaliste a été promu été 2015 au poste de « fact-checker » – en somme, censeur du genre « Big Brother » – pour Libé–Désintox, rubrique de fact-checking du quotidien Libération. Il en est de même pour la séquence « Désintox » de l’émission ‘28 minutes’ sur la chaîne télé franco-allemande de service public Arte, qui intoxique les braves citoyens au quotidien par le ‟bidouillage” de l’information et la désinformation à matraquer sur les crânes franco-allemands. Pezet exécute son boulot d’apprenti-sorcier de l’information et de délateur à merveille, avec beaucoup de zèle. Il maîtrise parfaitement les outils de vérification-manipulation et ceux de la « Novlangue », le « néoparler » sur les réseaux sociaux, tel que George Orwell les avait décrits dans son roman prémonitoire et visionnaire 1984 (Nineteen Eighty-Four), à savoir tout un nouveau lexique et une nouvelle syntaxe à matraquer au quotidien et à faire rentrer de force dans les crânes des citoyens que les médias prennent pour des ‟abrutis” !
Ce journalise franco-hondurien qui ne semble pas connaître grand-chose à l’islam s’emploie à notre « intoxication » avec la complicité habituelle de Libération, le journal de la Servitude idéologique (que je lisais à une époque lointaine et bien révolue) et d’interpréter (de Berlin) ce qu’il ignore de cette religion à 10 000 kilomètres de l’Amérique centrale.
De son nouvel emploi de rédacteur de réponses – filtrées – aux questions posées par les lecteurs en rogne sur le site de Libé, il nous a délivré une note, sorte de fiche d’identification-délation (photo d’identité à l’appui) de ce jésuite courageux, au parler vrai qui ne cesse de dire aux quatre coins du monde qu’il a parcouru inlassablement en globetrotteur pendant plus d’un demi siècle : « La vérité vous rendra libres » ! De plus, il est à l’origine d’une impressionnante liste de projets sociaux, humanitaires et médicaux (par exemple l’éradication de la lèpre en Égypte) qui sont venus durant un demi siècle à l’aide et au développement des pauvres et des jeunes, musulmans (près de 80%), comme chrétiens (20%) : pas de distinction, ni de discrimination, ni de racisme ; il n’a pas attendu les Œuvres françaises pour venir à son aide.
Le Père Henri Boulad n’est d’ailleurs pas le seul à dénoncer et condamner, entre autres, les impostures des médias et des politiques sur l’islam. Dans Dreuz.info, il y a le révérend Abbé Alain Arbez qui nous éclaire fort bien sur les arcanes des manipulations révisionnistes concernant l’islam, le judaïsme et le christianisme qu’on tente d’édulcorer à souhait pour le premier et dénigrer, dévoyer et rabaisser pour les deux autres.
Il suffit de lire l’Abbé Guy Pagès[2], et beaucoup de ses confrères prêtres (quelques rares évêques courageux en France et cardinaux intrépides ailleurs, surtout ceux d’Orient qui connaissent le sujet douloureusement dans leur chair[3]). Ils ont en effet un discours clair sur la (vraie) miséricorde et la (vraie) charité chrétienne mettant les points sur les i. Car, question hautement problématique, la miséricorde et la charité (dans le sens judéo-chrétien ; mot qui fait défaut dans le Coran) en islam ne concerne que les musulmans entre eux et pour eux, à l’exclusion de toute autre religion, révélée ou non… Bonjour le « vivre ensemble » dont le néoparler de la propagande médiatique nous rabâche les oreilles !
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Cette réalité devrait interpeller tout citoyen libre qu’il soit croyant ou sans religion, libre-penseur ou athée, mais surtout beaucoup de nos évêques et cardinaux, particulièrement en France, prélats qui se compromettent dangereusement avec un islamisme fondamentaliste sans savoir ou se faire avoir. Sinon, sans vouloir savoir et sans prendre conscience que c’est bien le cas ; Jésus ne leur a pas recommandé le déni et le compromis politique, encore moins la complaisance et l’aveuglement délibéré.
Cependant, les religieux courageux – qui font exception et France de dhimmitude rampante – ont rectifié les approximations du pape François à ce sujet, notamment sur les malentendus lexicaux/sémantiques dans les Évangiles concernant l’accueil de l’étranger. Car, le pape politisé – et qui s’occupe beaucoup trop des ‟affaires de César” – a curieusement réinterprété le message de Jésus pour le faire coïncider avec une aussi curieuse conception ‟islamique” de l’hospitalité, celle de la reconquête musulmane de l’Europe par l’immigration et la démographie galopante. Cette conception papale correspond paradoxalement, au final, à la politique mondialiste des financiers, des banquiers, des richissimes libre-échangistes à tout va et de l’immigration massive – terme que les médias ont intentionnellement substitué par « migration » en néoparler, la Novlangue d’Orwell[4] ; immigration qui risque de déstabiliser l’Europe occidentale à court terme et de changer à tout jamais son âme pour le pire, celui que nous constatons sous nos yeux en Orient arabe.
Rappelons que le cheikh égyptien Youssef al-Qaradaoui, chef spirituel des Frères musulmans – et président de l’Union internationale des savants musulmans, membre du Conseil européen de la Fatwa –, entre autres éminents dignitaires religieux musulmans s’exprimant en termes similaires, n’avait-il pas parlé de « conquête pacifique de l’Europe » par la da’wa, le prosélytisme religieux actif pour la diffusion de l’islam ? Il avait déclaré : « … que l’islam retournera en Europe. L’islam est entré deux fois en Europe, et deux fois l’a quittée… La prochaine conquête, avec la volonté d’Allah, se fera par la prédication et l’idéologie. Toute terre n’est pas obligatoirement conquise par l’épée… La conquête de la Mecque ne s’est pas faite par l’épée ou la guerre, mais par un traité [d’Houdaybiya[5]] et par des moyens pacifiques… Nous voulons qu’une armée de prédicateurs et d’enseignants présentent l’islam dans toutes les langues et tous les dialectes… »
Ne sommes-nous pas clairement prévenus de ce projet structuré, méthodiquement mis en exécution depuis déjà plus d’une cinquantaine d’années, notamment par les Frères musulmans en Europe, en commençant par Saïd Ramadan, le père de Tariq et Hani Ramadan, dès les années 1958-1964, et qui passe à une vitesse supérieure depuis quelques années ? Ceci est d’autant plus inquiétant que la déclaration de cheikh Youssef al-Qaradaoui est ambiguë, contenant intentionnellement une taqiya, dans la mesure où la conquête de la Mecque ne s’est pas faite « par des moyens pacifiques » mais à terme par la guerre ; le pacte (traité de paix) avec les Mecquois n’était qu’une façade, une stratégie de pacification de l’adversaire et tactique de guerre. À bon entendeur salut, européens !…
L’ « islamophobie » : une imposture du champ lexical et sémantique
Mis à part le terme méprisant et nébuleux du journaliste Jacques Pezet, adepte la Novlangue orwellienne, comme « cathosphère » – sur le modèle de la « double pensée » du néoparler dressé par Orwell – pour signifier « sphère/milieu catholique », il stigmatise de simples sites chrétiens ou conservateurs et prenant la défense des chrétiens les qualifiant de « très conservateurs » tels que Dreuz.info, Le Salon Beige, et Christianophobie.fr. Le procédé pervers en néoparler des médias est classique en propagande. Par exemple ici, il s’agit de suggérer au lecteur d’une manière feutrée par le superlatif absolu (précédé par l’adverbe intensif « très ») qui renforce un adjectif (« conservateur ») que l’autocensure est hautement requise ; c’est la persuasion inconsciente du lecteur par le non-dit.
Accusateur, il écrit : « Henri Boulad n’en est pas à sa première déclaration islamophobe ». Nous y voilà à la virale et contagieuse délation coutumière des islamo-gauchistes ! Même si le Père Boulad a utilisé ce terme ironiquement en ce qui le concerne (« je suis islamophobe »), c’est dans le sens défiant et provocateur de le jeter à la face des imposteurs, des crédules et des complaisants.
En effet, dans « Le spectre effrayant du totalitarisme rampant… », je m’étais attardé sur la définition de cette imposture d’ « islamophobie ». On s’étonne tout de même que les uns et les autres censeurs adeptes du néoparler orwellien, continuent encore d’utiliser dans leur vocabulaire politique, médiatique, juridique, éthique et religieux et de nous rabâcher ce faux terme d’ « islamophobie », pseudo notion impropre à la langue française
L’ennemi mortel des musulmans, ce ne sont ni les chrétiens ni les juifs mais l’Islam et son livre de mort le Coran.
Mais oui. Et à y regarder de plus près le Coran a fait bien plus de victimes que Mein Kampf et continue à en faire.
N’oublions pas monsieur Sweydan la mise à l’écart du pape Benoît XVI pour avoir osé faire remarquer aux musulmans qu’il fallait mettre leur coran à la page, ce qui a provoqué des violences et débordements comme à chaque fois avec ces gens-là.
C’est ainsi qu’on se retrouve avec ce pape indigne, mais conforme aux projets mondialistes et aux voeux des lobbies musulmans infiltrés à tous les niveaux et dans toutes les instances
La phobie qualifie une peur irraisonnée , je ne suis donc pas islamophobe , car ma peur de l’islam est tout à fait raisonnée , plusieurs versets du coran étant menaçant à mon égard , car :
– je suis chrétien le dimanche
– je suis juif le lundi
– je suis athée le mardi
– je suis incrédule le mercredi
– je suis homosexuel le jeudi
– je suis apostat de l’islam le vendredi
– je suis polythéiste le samedi
bref , je ne vis pas une seule journée tranquille , la mort coranique me guette !
….. j’ai donc une peur justifiée de l’islam ayant lu le coran ……. moi !
……………….c’est pourquoi je ne suis pas islamophobe !
Merci François pour cet article magistral. De la même façon que Machiavel n’a pas inventé le machiavélisme mais s’est contenté de le décrire, Orwell n’a pas inventé l’orwellisme mais l’a simplement anticipé.
Les gauchistes sont inconsolables depuis la chute de l’URSS et la trahison de la Chine communiste. Le spectacle de millions d’européens de l’Est défonçant le rideau de fer, et de milliers d’allemands de l’Est démolissant le mur de Berlin, les a profondément et durablement traumatisés. Ce fut pour eux une véritable catastrophe dont ils pensaient ne jamais pouvoir se relever. Orphelins et mis à l’écart pour cause d’insignifiance, ils ont continué à espérer qu’un jour leur idéologie totalitaire renaîtra de ses cendres.
Il leur fallait absolument une alternative, une autre idéologie totalitaire plus puissante et durable, avec laquelle ils pourraient faire alliance pour mieux détruire les droits et les libertés dont nous jouissions. Ils n’ont pas cherché longtemps, l’idéologie islamique s’est offerte à eux comme une bouée de sauvetage, ils ne perdirent pas de temps à s’y agripper solidement, c’est ainsi que l’islamo-gauchisme a vu le jour.
À présent islamistes et gauchistes se complètent et s’instrumentalisent mutuellement. Les gauchistes croient chevaucher l’islam dans leur lutte contre la démocratie, les droits et les libertés, mais en fait c’est plutôt l’islam qui les chevauche et qui en a fait ses idiots utiles. l’âne gauchiste devrait pourtant savoir que l’islam n’offre jamais d’alliance durable aux mécréants, braire et ruer comme il a l’habitude de le faire ne le mettra pas à l’abri de la dhimmitude.
Hélios d’Alexandrie
Les chutes de l’URSS et du mur de Berlin… voila les deux Naqba des socialo-communistes, par la suite mutés en islamo-gauchistes.
Donald Trump va les assécher. Nous assistons heureusement aux derniers soubresauts de cette bête immonde. Qu’elle crève et qu’elle disparaisse !
texte un peu long et très intéllo mais une chose qui est vrai est que le discours du Père Boulad a toujours été juste , précis et respectueux …. j’ai assisté a l’une de ses conférences et son opinion a jamais changer car il a toujours été clair que les musulmans ordinaire et non violent ont jamais été un problème par contre le Père Boulad a été le premier a critiquer la violence des frères musulman lorsque Obama leurs tendait la main + lorsque EI massacrait des Yazedis et des Chrétiens le Père Boulad était encore le premier a dénoncer cette ignominie … bref je n’ai pas connu Gandhi mais au moins Boulad qui est un grand Homme
Si ce n’était, effectivement, la loi « anti- fake news » qui pointe le bout de son nez, loi liberticide et très dangereuse, je vous aurais volontiers rétorqué, M. Sweydan : Libération, combien de divisions ?
Quelques voix s’élèvent bien, ici ou là, dans les médias ou le milieu politique, contre ce projet de loi scélérate, mais cela reste assez marginal, et il semble bien qu’une fois de plus, le peuple de France soit relativement indifférent à la question, autrement dit qu’il va se laisser faire sans broncher… cela semble énorme, et pourtant : nos concitoyens n’ont-ils pas élu l’imposteur Macron à la Présidence de la République ?
Il ne reste plus à espérer que le taux record d’abstention aux législatives se transforme enfin en offre politique alternative crédible… et le plus tôt sera le mieux !
Cette loi « anti fake news » fera pshiiit …
Elle est inapplicable dans la vraie vie au XXIème siècle.
De toutes les manières, 99,99% du contenu des médias mainstream est fake, transformé, augmenté, retouché, détourné, réchauffé, retoqué, falsifié. Alors bon courage pour s’attaquer à cet Himalaya de business de trafics d’influences !… Ce n’est pas ce petit maqueron rouge qui va réformer l’AFP, la BBC, CNN, le NYT et tous les autres bonimenteurs, soyez-en certains !
Et le bilan de la naqba Macron, en 1 an à peine, c’est :
– Carburants +12%
– Gaz +7%
– Assurances +5%
– Controle technique +23%
– Timbres +10%
– Mutuelles +5%
– Abonnement Bus +3%
– Abonnement Vélib à Paris +30%
– CSG +21%
– PV de stationnement +130%
– Tabac +10%
– Frais bancaires +13%
Et qui va broncher ? Personne, comme d’habitude…
Mein Kempf est tout petit en comparaison avec le Coran. Les gauchistes se nourrissent de toute cette merde. Chaque organisme est le résultat de ce qu’il consomme et distribue ses odeurs accompagnées de leurs idées. ELEMENTAIRE !!!!!
Voici ce que je retiens:
L’islam est entré deux fois en Europe, et deux fois l’a quittée…
FAUX elle en a été chassé.
La prochaine conquête, avec la volonté d’Allah, se fera par la prédication et l’idéologie.
VRAI. Cela c’est ce que nous percevons aujourd’hui.
Toute terre n’est pas obligatoirement conquise par l’épée… Cela reste a voir
La conquête de la Mecque ne s’est pas faite par l’épée ou la guerre, mais par un traité [d’Houdaybiya[5]] et par des moyens pacifiques… CECI A LA CONDITION DE DEVENIR MUSULMAN SINON C’EST LA MORT ASSURÉE »
Nous voulons qu’une armée de prédicateurs et d’enseignants présentent l’islam dans toutes les langues et tous les dialectes… »
ERREUR: CELA NOUS N’EN VOULONS PAS
CE SERA LA GUERRE et nous la ferons.
Si un jour la France se réveille, elle cessera de subventionner ces « journaux » de merde et ils disparaitront en peu de temps.
puisque la chaîne Arte est mentionnée, signalons une merveilleuse « fake news » : la diatribe de askolovitch sur l’attaque « raciste » contre la sportive noir Italienne, 48 heures après qu’on a prouvé que ce n’était aps raciste, et que l’auteur en était le fils d’un élu socialiste. Eh bien tant pis pour la vérité, Arte y va quand même de son petit sermon anti-blancs !