Publié par Guy Millière le 29 juillet 2018

Cela ne sera pas dit ailleurs que sur Dreuz, et ce doit donc être dit ici : il est prouvé par des documents que le Ministère de la justice américain à du divulguer que l’ensemble de ce qui se trouve encore appelé ici ou là le “dossier russe” repose uniquement sur un dossier commandé par Hillary Clinton et le parti démocrate à un ancien espion britannique, qui s’est servi pour confectionner le dossier d’éléments transmis par des officines de désinformation russe.

Toute personne informée et faisant honnêtement son travail sur le sujet le savait, mais ne disposait pas de tous les éléments de preuve.

Quand bien même tous les éléments de preuve ne sont pas disponibles, ceux désormais disponibles sont accablants.

Que ce ne soit pas dit en langue francaise ailleurs que sur dreuz est accablant pour les médias de langue française. Aux Etats-Unis ce n’est pas dit non plus par les médias de propagande de gauche, mais il existe fort heureusement des médias encore dignes de ce nom.

Ce qui apparait de plus en plus visiblement est la plus monstrueuse machination qui ait touché la politique américaine, et la plus grave perversion des institutions qu’aient connu les Etats-Unis.

Cette machination et cette perversion ont conduit à la pire déstabilisation qu’un Président des Etats-Unis ait connu, à une tentative de coup d’Etat contre le Président déstabilisé, et à une vague d’hystérie totalitaire et de désinformation sans précédent qui menace la sécurité du monde.

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Ceux qui lisent Dreuz ayant sans doute du mal à s’y retrouver dans les linéaments complexes de la machination et de la perversion, je vais tenter ici d’exposer point par point ce qui doit l’être (c’est un peu long,mais c’est indispensable) :

  1. Il y eut d’abord l’élection de Barack Obama, qui fut le point culminant de ce que l’essayiste Roger Kimball a appelé la longue marche de la gauche extrême dans tous les secteurs de la vie américaine aux fins de parvenir à l’hégémonie et de détruire les Etats-Unis de l’intérieur. En huit années de présidence, Barack Obama a placé des agents au service de ces fins partout où il l’a pu : administrations, médias, justice, services de renseignement. Nombre de ces agents sont toujours en place et n’ont pas pu être écartés. Ils constituent ce qu’on appelle aujourd’hui l’“Etat profond”.
  2. Il y eut ensuite la nécessité de gérer l’apres Obama et de parachever la mainmise de l’Etat profond sur les Etats-Unis. Hillary Clinton était chargée de parachever et devait devenir Présidente pour cela. La trajectoire était tracée. L’establishment républicain était tenu (ne me demandez pas comment, cela reste à découvrir), et acceptait par avance la défaite.
  3. La candidature de Donald Trump est venue perturber le projet, et lorsque Donald Trump est apparu susceptible de devenir le candidat républicain, de ne pas accepter les règles du jeu, et de devenir un danger susceptible de nuire à l’Etat profond, il est apparu urgent à l’administration Obama et à la campagne Hillary Clinton de détruire Trump.
  4. Un dossier a été commandé à un ancien agent britannique proche des services de renseignement russes, Christopher Steele, destiné à présenter Trump comme un candidat téléguidé par la Russie, et la campagne de Donald Trump comme truffée d’agents russes. Le dossier (dossier Steele) a été établi, et est constitué essentiellement d’éléments de désinformation et de propagande fournis par les services de renseignement russes. Avoir eu l’idée de présenter Trump comme téléguidé par la Russie en utilisant des éléments de désinformation et de propagande fournis par les services de renseignement russe relève d’une forme de génie absolument pervers, cette idée a été mise en oeuvre.
  5. Le dossier a été accrédité par John Brennan, un ancien communiste nommé à la tête de la CIA par Barack Obama, par Susan Rice, Conseillère nationale de sécurité d’Obama, par James Clapper, qui dirigeait les services de renseignement pour Obama, et par James Comey, qui dirigeait le FBI pour Obama. Il a été utilisé par la campagne Hillary Clinton pour diffamer Trump. Il a été utilisé aussi par James Comey pour demander une surveillance de la campagne de Donald Trump, au nom de “soupçons d’espionnage au service de la Russie” dont James Comey savait qu’ils étaient infondés. Une surveillance de la campagne Trump a eu lieu dont les éléments ont été transmis à la campagne Hillary Clinton. Qu’un dossier basé sur des éléments de désinformation et de propagande venus d’une puissance hostile ait pu servir à mettre sous surveillance la campagne d’un candidat à l’élection présidentielle, avec la complicité des dirigeants de la CIA et du FBI et de gens très haut placés dans l’administration au pouvoir, avec pour but de permettre l’élection du candidat (en l’occurrence la candidate) choisi par l’administration au pouvoir se passe de commentaires et est digne de pratiques communes dans des dictatures du tiers-monde ou dans des pays communistes.
  6. Tout ce que je viens de décrire n’aurait pas été découvert si Hillary Clinton avait été élue, et ces pratiques auraient pu alors continuer. John Brennan, Susan Rice, James Clapper, James Comey seraient restés en place. L’élection de Donald Trump a été une catastrophe pour tous ces gens. Il leur a fallu déstabiliser Trump, tout faire pour l’empêcher d’agir et si possible pour obtenir sa destitution et son élimination. Tout faire aussi pour que leurs pratiques criminelles ne soient pas découvertes et mises au jour.  Tout faire enfin pour que les crimes commis par Hillary Clinton elle-même ne soient pas incriminés (Hillary Clinton a utilisé un serveur internet privé non sécurisé et a transmis par celui-ci des documents classés secret défense, ce qui la fait tomber sous le coup de l’Espionage Act, et quand cela a été découvert et qu’une enquête a commencé elle a fait disparaître des preuves en effaçant des milliers d’emails, ce qui la rend coupable d’obstruction à la justice)
  7. Dès l’élection de Trump, des retranscriptions d’écoutes téléphoniques de gens faisant partie de son équipe de transition, réalisées par le FBI de James Comey, ont été publiées dans la presse, de manière totalement illégale. Un discours disant que Trump a été élu grace à l’aide de la Russie a été disséminé par les deux principaux responsables de la campagne Hillary Clinton, David Plouffe et John Podesta, aussitot repris par tous les médias de gauche, sans le moindre fondement, bien sûr. Des éléments du dossier Steele ont accompagné le discours Plouffe-Podesta. Toute personne de l’entourage de Trump croisant un Russe s’est trouvée accusée de crime. Les Démocrates ont eux pu continuer à fréquenter des Russes assidûment. Michael Flynn, premier conseiller national de sécurité de Trump a été interrogé par un agent du FBI de James Comey sur un appel téléphonique passé à l’ambassadeur de Russie. Il avait pleinement le droit de passer cet appel. Il a été accusé de s’être contredit, a du démissionner et a été inculpé. Les dossiers du FBI désormais publics montrent qu’en réalité il ne s’est pas contredit et est donc pleinement innocent. Il n’en a pas moins été éliminé.
  8. Des retranscriptions d’écoutes téléphoniques de gens faisant partie de l’équipe de transition de Trump, puis de l’administration Trump, après le 20 janvier 2017, ont continué à être illégalement publiées dans la presse. Le discours disant que Trump a été élu grâce à l’aide de la Russie a continué, toujours sans fondements. Les Démocrates ont demandé une enquête sur le sujet. Le Ministre de la justice nommé par Trump, Jeff Sessions, accusé d’avoir rencontré des Russes, s’est placé en retrait pour tout ce qui concerne la Russie et a laissé la responsabilité de la gestion de ce qui concerne la Russie à son adjoint Rod Rosenstein, qui se révélera plus tard être très lié à James Comey, ne rien ignorer du dossier Steele, et avoir le profil et le comportement d’un agent double.
  9. Les retranscriptions d’écoutes téléphoniques continuant à être illégalement publiées et James Comey ne faisant rien (et pour cause), Trump décida de limoger et de remplacer ce dernier. Rod Rosenstein avait, la veille du jour où Trump a limogé James Comey envoyé un courrier à Trump recommandant de limoger James Comey. Rod Rosenstein décida néamoins de nommer un enquêteur spécial chargé d’examiner les raisons pour lesquelles James Comey avait été limogé, et chargé aussi de découvrir si Trump avait effectivement eté élu grace à l’aide de la Russie(il connaissait les réponses!). Rod Rosenstein a choisi Robert Mueller, qu’il a doté de moyens illimités et a composé une équipe d’enquêteurs, tous Démocrates, la plupart venus de l’entourage de Hillary Clinton.
  10. Une enquête sans fondements, reposant seulement sur le dossier Steele et les accusations Plouffe-Podesta a été enclenchée. Elle a été censée découvrir une “collusion” entre Trump et la Russie, et n’a bien sûr rien découvert parce qu’il n’y a jamais rien eu à découvrir. L’enquête a néanmoins renforcé les rumeurs s’appuyant sur le dossier Steele et les accusations Plouffe-Podesta. Elle a conduit Mueller à inculper ou faire inculper par d’autres procureurs des gens dont le seul tort est d’avoir travaillé pour la campagne Trump. Des moyens de pression extrême ont été utilisés par Mueller pour pousser ces gens à accuser Trump, même si les accusations sont infondées. Des techniques dignes du KGB ont été utilisées. Paul Manafort, qui a dirigé la campagne de Trump pendant six semaines seulement, a été menacé d’être accusé de fraude fiscale et s’est vu promettre l’immunité s’il accusait Trump. Il n’a pas accusé Trump. Il est en prison, en violation complète de la présomption d’innocence et va passer en jugement. Les faits qui lui sont reprochés datent d’il y a une douzaine d’années et n’ont aucun rapport avec Trump ou avec la Russie. Deux ou trois autres personnes se sont vues demander d’accuser Trump, ne l’ont pas fait et ont été mises en examen elles aussi (Carter Page, George Papadopoulos, Rick Gates) : pour des faits qui n’ont aucun rapport avec Trump ou avec la Russie. L’avocat personnel de Donald Trump, Michael Cohen a vu tous les documents en sa possession saisis sur demande de Mueller et de Rod Rosenstein par un procureur de New York nommé par Obama et ami de Mueller. Une vingtaine de Russes, pour certains inexistants, ont vu leurs noms jetés en pâture aux médias par Mueller et Rosenstein aux fins de dire que la Russie avait effectivement influencé l’élection. Les grands médias américains n’ont plus parlé pendant des mois que de tout cela et de la “collusion” entre Trump et la Russie. Les politiciens démocrates ont fait la même chose et persistent à parler de “collusion” de manière entièrement calomnieuse et absolument immonde. Les grands médias américains ont ajouté ici ou là quelques scandales totalement préfabriqués: un actrice de films pornographiques un jour, une playmate du magazine Playboy un autre jour…

Donald Trump gouverne, malgré tout. Il a obtenu des résultats remarquables, malgré tout.

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Ces résultats sont occultés dans les grands médias américains qui n’en parlent pas ou les caricaturent de manière ignoble. Ils sont occultés de la même facon dans les grands médias européens. Aux Etats Unis la population peut s’informer par d’autres médias et, surtout, constate que le pays va de mieux en mieux (plein emploi, croissance à 4 %, retour à la sécurité). En Europe où les médias autres que les grands médias sont bien moins présents et puissants, et où une connaissance directe de la réalité américaine n’existe pas, l’occultation règne. Donald Trump passe pour une ignoble crapule.

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Bien que Donald Trump gouverne, la perversion des institutions reste en place, pour l’essentiel.

Plus le temps passe et plus le silence de Jeff Sessions parait suspect : il semble avoir laissé la gestion du ministère de la justice à l’agent double Rod Rosenstein.

Plus le temps passe, plus Rod Rosenstein apparait, même, être plus qu’un agent double : non seulement Rod Rosenstein était très lié à James Comey, mais il a des liens anciens et étroits avec Robert Mueller, et il a contresigné, donc avalisé, un renouvellement du mandat de surveillance de la campagne Trump obtenu sur la base du dossier Steele. Il a violé les règles de nomination d’un procureur spécial, qui doit être nommé lorsqu’un crime est avéré, et en aucun cas pour chercher si un crime a été commis, voire pour inventer un crime. Il a surtout nommé un procureur spécial en sachant  que l’enquête qu’il enclenchait  reposait seulement sur le dossier Steele.

Trump a le pouvoir de destituer Jeff Sessions, Rod Rosenstein et Robert Mueller. Il ne le fait pas parce qu’il sait que les grands médias qui l’accusent déja d’être Hitler redoubleraient d’ardeur dans leurs accusations, et parce qu’il sait que l’establishment républicain ne le soutient pas.

Le dysfonctionnement du ministère de la justice et l’enquête totalement biaisée, sans fondement, et sans limite menée par Mueller nuisent à l’exercice du pouvoir exécutif par Trump.

Les grands médias ne sont pas seulement des médias de gauche : ils sont des organes de désinformation et de propagande à temps complet.  Les chaines MSNBC et CNN perdent des spectateurs, mais continuent à jeter leur fiel mensonger avec une intensité croissante.

La déstabilisation et la tentative de coup d’Etat contre Trump se poursuivent : si les Démocrates gagnaient en novembre prochain, leur seul objectif serait d’obtenir la destitution de Donald Trump. Ils n’auront pas la majorité des deux tiers au Sénat et ne parviendront pas à leurs fins, mais ils espèrent au moins déstabiliser Donald Trump davantage encore. La gauchisation du parti démocrate voulue par Obama est quasiment chose faite : le parti démocrate a un programme désormais aussi radical que celui d’un Mélenchon en France et est peuplé d’admirateurs de Chavez et de Maduro.

Un climat de haine frénétique a été installé, et des comédiens, des présentateurs d’émissions peuvent insulter Trump, souhaiter son assassinat, brandir une tête coupée censée être celle de Trump, inciter à l’agression de tous ceux qui travaillent pour Trump, et des agressions ont eu lieu, dans la rue et dans des restaurants.

La gauche installée par Obama et les constituants de l’Etat profond n’admettent plus les résultats des élections et considèrent tout désaccord avec leur positions comme un crime qui doit être sanctionné. Il est à souhaiter qu’ils ne puissent revenir au pouvoir sans quoi c’en serait fini de la démocratie aux Etats-Unis, et, dès lors que des gens n’accepteraient pas l’abolition de la démocratie, une guerre civile serait envisageable.

L’hystérie totalitaire porte atteinte à l’image internationale des Etats-Unis. Le fait que les grands médias européens occultent ce qu’accomplit Trump, le font passer pour une crapule, et relaient la désinformation et la propagande de médias tels que CNN et MSNBC crée une haine des Etats-Unis au sein de l’Europe, et creuse dès lors un fossé qui s’élargit entre l’Europe et les Etats-Unis.

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Ce qui se passe menace la sécurité du monde pour des raisons précises.

Attiser des tensions incessantes avec la Russie, tenter d’empêcher tout dialogue avec celle-ci quel que soit l’objet du dialogue ne peut que nuire gravement à la diplomatie américaine dans un contexte où des accords tactiques avec la Russie sont utiles, voire indispensables : nuire à un accord sur la Corée du Nord, sur l’Iran ou sur la présence iranienne en Syrie est, de la part des Démocrates, inepte et criminel.

Que les Démocrates le fassent en tournant totalement le dos aux positions qui étaient les leurs il y a dix huit mois à peine ne peut que les faire passer pour des irresponsables ayant un degré de fiabilité nettement inférieur à zéro.

Déstabiliser, tenter sans cesse d’affaiblir le Président des Etats-Unis, le faire passer pour ce qu’il n’est pas, ne peut que nuire à l’action des Etats-Unis sur la surface de la planète, alors que des dictateurs et des déséquilibrés regardent sans cesse si une opportunité pour commettre le pire peut s’offrir à eux.

Des gens tels que Kim Jong Un, sur qui Trump a mis une pression maximale, ou tels que Rouhani et Khamenei en Iran, doivent percevoir que la détermination de Trump est sans faille pour que la politique poursuivie soit efficace. Chercher à créer des failles ne peut que fragiliser la politique poursuivie, donc faire le jeu de Kim Jong Un de Rouhani et de Khamenei.

L’obsession anti-russe fait oublier que le danger majeur pour le monde occidental aujourd’hui vient non pas de la Russie, mais de la Chine et on peut parfois se demander si les vecteurs de l’obsession anti-russe n’ont pas pour finalité ultime de faire le jeu de la Chine et de Xi Jinping (Hillary Clinton est soupçonnée par des membres du Congrès qui ont accès à des dossiers classés secret défense mais ne peuvent en parler explicitement d’avoir utilisé le serveur non sécurisé qu’elle utilisait pour vendre des dossiers classés secret défense à une puissance étrangère, et le mot Pékin leur a échappé des lèvres).

Avoir créé une haine de Trump ne peut que renforcer la haine anti-américaine sur la surface de la terre, et la haine anti-américaine est toujours une haine de la liberté. En Europe, ce qui se dessine est, sous couvert de discours disant faussement que Trump veut s’éloigner de l’alliance atlantique (c’est faux : Trump veut au contraire un renforcement de l’alliance atlantique et demande à des pays comme l’Allemagne de contribuer davantage à leur propre défense), une attitude d’apaisement envers Poutine, mais aussi envers Erdogan, une volonté de garder des liens privilégiés avec l’Iran des mollahs et un désir de glisser vers l’orbite chinoise. C’est très inquiétant. J’y reviendrai.

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Donald Trump gouverne, malgré tout, et a obtenu des résultats remarquables. Les élections de novembre prochain seront essentielles. Si les Républicains gardent la majorité dans les deux chambres et si l’establishment républicain perd du poids dans les deux chambres, Trump pourra enfin nettoyer le marécage et rétablir un fonctionnement normal des institutions (cela ne fera pas disparaître l’hystérie totalitaire, mais celle-ci sera sans importance majeure). Si les Démocrates l’emportent à la Chambre des représentants, l’hystérie totalitaire redoublera d’intensité. Trump ne sera pas menacé directement. Mais son action sera entourée de nuisances très persistantes, et dommageables.

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Ce qui se passe étant crucial pour le futur du monde, je publierai en septembre un livre qui donnera des détails bien plus précis que ceux que je donne ici sur “l’état profond”, sur les accomplissements de Trump, et  sur ce qu’il entend accomplir encore.  Le livre s’appellera Ce que veut Trump. Je peux dire d’ores et déja qu’il sera le seul à rétablir les faits face à un océan d’inepties.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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