Le conseiller très particulier d’Emmanuel Macron a fait l’objet d’une plainte pour violences volontaires sur une femme en août 2015.
Nous sommes en août 2015, et Alexandre Benalla, qui n’est pas encore ce jeune chargé de la sécurité d’Emmanuel Macron, fait l’objet d’une plainte déposée au commissariat de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).
Une femme, probablement membre de sa famille, l’accuse de « violences volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) supérieure à 8 jours ». Le 18 mars 2016, la 12e chambre correctionnelle du tribunal de Nanterre juge celui qui deviendra quelques mois plus tard conseiller au Palais de l’Élysée. Une décision de relaxe a été rendue, sans que les motifs du jugement en explicitent les raisons.
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L’équipe du candidat Macron au courant ?
Sollicité par L’Express, le cabinet du président de la République dément avoir eu connaissance des démêlés judiciaires d’Alexandre Benalla. En tous cas, il semble invraisemblable que la sécurité d’Emmanuel Macron ait été confiée à un individu ayant fait l’objet d’une plainte pour violences physiques, même si ce dernier a été relaxé, et donc bénéficie d’un casier judiciaire vierge.
Ce dernier, parfois surnommé « Rambo » par les équipes policières chargées de la protection et de la sécurité du président, auquel il est « dévoué » selon l’un de ses proches, est également décrit comme un personnage sanguin. « Il avait le sang chaud, s’énervait et montait le ton assez facilement quand il travaillait au service d’ordre du PS », rapporte à L’Express un cadre socialiste.
Le jeune homme, qui aura 27 ans en septembre prochain, est en garde à vue depuis ce vendredi matin. Il est visé par une enquête préliminaire ouverte pour « violences en réunion par personne chargée d’une mission de service public, usurpation de fonctions, port illégal d’insignes réservées à l’autorité publique, complicité de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection ».
Casque sur la tête, brassard police au biceps
On lui reproche notamment d’apparaître sur des images tournées le 1er mai 2018, casque de police sur la tête et radio Acropol à l’oreille, alors qu’il porte des coups et violente au moins deux manifestants, place de la Contrescarpe dans le Ve arrondissement de Paris. Sur d’autres images tournées sur la même place, il porte un brassard de police.
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Par ailleurs, trois gradés de la préfecture de police ont été suspendus pour avoir transmis à Alexandre Benalla, dans la nuit du 18 juillet, soit au soir des révélations du Monde, les images de la vidéo-surveillance, qui servent désormais de base à l’enquête. L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été co-saisie avec la Brigade de répression de la délinquance à la personne.
Source : Lexpress
Je sais qu’ils savent qu’il sait ce qu’il ne devrait pas savoir et qu’il peut faire savoir car il a des preuves et de la mémoire.
Donc, l’affaire sera enterrée en 1 classe avec Collomb dans le cercueil et peut etre quelques autres….
Pauvre Gégé qui, en bon toutou, va se faire un plaisir de ramper devant « sa majesté » alors que tout vient du Château et que l’Hotel de Beauvau n’a fait que suivre.
Je n’imagine pas ceux qui savent , lâcher leur moyen de chantage , ça semble trop gros !
Lorsque ton ennemi est en état de faiblesse , ne faiblit pas toi-même , achève-le !
Et benallah sera remplacé , la porte entrouverte ne se refermera plus …
Chokran , sidi Makhron !
Benalla ce n est pas benallahhhhh!!!?
Si, si: « Ben » veux dire fils, et « allah » maintenant tout le monde sais !!
Donc le fils de allah était à côté de notre président, avait tous les avantages dût à son »rang ». Comme quoi, « ils » sont infiltrés partout !!
Il me semble indispensable que le public soit informé des raisons de l’exceptionnelle mansuétude du pouvoir et de celui qui le représente à l’égard de ce qu’il est convenu de nommer un voyou. Il y a forcément un « cadavre dans le placard » comme disait mon père qui s’était spécialisé dans la recherche d’arnaques en tous genres, ce qui depuis soixante ans ne manque décidément pas dans notre beau pays de France
7 jours d’ITT, c’est énorme; et un juge l’a blanchi, quelle honte!
c’est ce laxisme (suggéré ou imposé par le politique?) qui a permis à ce type de croire qu’il pouvait faire ce que bon lui semble!
Décidément le socialisme est toujours en haut de l’affiche !
Cette racaille de seconde classe, lieutenant colonel de réserve dans la gendarmerie, ex ou futur sous préfet, protégé par une racaille de première classe, ex- meneur du PS, titulaire d’un badge du niveau président de la république à l’AN, employé à 10 000€/mois par l’état mafieux,… a bénéficié des largesses de la justice en 2016.
Je compatis au malheur de la police et de la gendarmerie devant son humiliation par la justice et ce gouvernement.
Il ne devait pas porter ce nom en 2015.
Comme quoi notre déclarée justice est bien pourrie !
Transes, ou trans ?… Votre question, Gérard Pierre, ouvre la porte à une autre question, on dirait.
je n’en reviens pas, cet homme a 27 ans et il est » conseiller » à l’Elysée????????? Conseiller pour faire quoi? Chauffer les biberons? Il fut un temps où l’on trouvait que les présidents et autres gouvernants étaient de vieux barbons, mais aujourd’hui, les présidents sont recrutés dans les maternelles et leurs conseillers dans les nurseries! Résultat, leur travail ne sont que des réactions d’enfants gâtés, cet homme ne connaît rien de la vie, la preuve, il enfreint la loi au mépris du respect de l’autre et de ceux qui essayent de l’appliquer au péril de leur vie, et en plus il reçoit l’aval de la plus haute autorité en place. PAUVRE FRANCE!!!!!!!