« Je n’ai jamais été un agresseur sexuel », c’est le titre introductif du témoignage que le journaliste Frédéric Haziza a publié sur le site la Règle du jeu.
Le milieu des journalistes est un marécage puant, sans foi ni loi, sans honneur, sans morale, sans vertu. Tous les coups y sont permis parce que des hordes de lâches ont le pouvoir de se lâcher, et lyncher médiatiquement n’importe qui sans jamais rien risquer en retour.
Avec ce démentiel pouvoir, lorsque ces déments se jettent sur une proie, ils la dépècent jusqu’à la tuer socialement s’ils le peuvent. Et ils ne s’excusent jamais, les médiocres, si les faits leur donnent finalement tort.
Mensonges, accusations sans preuve, haine féroce, transformation de ragots en information, invocation de sources qui n’existent pas, présentation inversée des faits, refus d’accorder à leur proie l’élémentaire présomption d’innocence qu’ils revendiquent pour leurs alliés, procès sans tribunal et condamnation sans procès, voilà leurs armes, voilà comment ils s’acharnent – toujours à plusieurs. En meute.
Nous avons vu cela il y a quelques années lorsque Philippe Karsenty est tombé entre leurs pattes sales. Ils se sont déchainés sur lui pendant 48 heures. Ils ont réussi à déclencher une convocation à la police. Qui n’a rien donné, car Karsenty n’avait rien à se reprocher. Ils avaient trouvé un prétexte futile, un tweet humoristique, pour se venger de lui, de ce Karsenty qui avait courageusement affronté France 2 et le puant marécage pour dénoncer les mensonges de Charles Enderlin dans l’affaire de l’enfant al Dura.
Il est essentiel de publier le témoignage de Frédéric Haziza, qui ne fait pas partie des journalistes que nous comptons parmi nos amis, car il montre le comportement de la meute des médias et lève le voile sur l’humain derrière les Fake News qu’ils publient, et permet de comprendre un peu mieux pourquoi ils ne reculent devant aucune fausses nouvelles, aucune propagande et désinformation. Meute et moutons à la fois, ils sont la chambre d’écho de la haine et de la paresse de la profession.
– Jean-Patrick Grumberg.
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L’affaire qui m’a été reprochée et a fait tant de bruit dans la presse et sur les réseaux sociaux depuis le dépôt de plainte, le 21 novembre 2017, d’Astrid de Villaines est désormais close, depuis le 11 juillet.
Au terme de huit mois d’enquête judiciaire, alors que le dossier se résume à la parole de l’un contre la parole de l’autre (c’est-à-dire, une main aux fesses d’une part, un pincement aux mollets blagueur d’autre part) et à quelques témoignages contradictoires ou indirects, il a été décidé de ne pas me poursuivre. Il m’a juste été rappelé, le 11 juillet, qu’il valait mieux éviter désormais les blagues vaseuses. Cela s’appelle un rappel à la loi.
Une «affaire» qui débute en réalité le 18 août 2017. Ce jour-là, Alain Soral, condamné à quatre reprises pour propos antisémites contre moi, poste un tweet ainsi libellé : «Alors on harcèle plus @adevillaines @frhaz ? En vacances ?». Ce tweet, où figurent mon adresse Twitter et celle de ma consoeur, annonce étrangement la plainte qui sera déposée par elle trois mois plus tard.
Soral avait d’ailleurs été le premier en février 2013 à lancer une pétition pour mon «renvoi» de cette chaîne, du fait notamment de mon «tribalisme». Comprendre de ma judaïté.
Et puis, le 19 novembre 2017, en plein mouvement «Metoo» et «Balance ton porc», ma consoeur Astrid de Villaines décide subitement – à la veille de la prescription –, de déposer une plainte pour «agression sexuelle» pour une prétendue main aux fesses que je lui aurais portée 3 ans plus tôt, date à laquelle elle avait pourtant considéré que «l’incident était clos».
Une main aux fesses remontant donc au 20 novembre 2014 que j’ai toujours contestée. J’avais en effet présenté à l’époque mes excuses pour un geste déplacé, une plaisanterie certes lourdingue, en l’occurrence le pincement de son mollet. Depuis cette date, et donc pendant 3 ans, j’ai continué à travailler à la Chaîne parlementaire, à y croiser notamment Astrid de Villaines, à échanger avec elle.
C’est donc avec stupéfaction que j’ai découvert le 21 novembre 2017, sur le site Buzzfeed, de larges extraits de la plainte qu’elle venait de déposer contre moi pour agression sexuelle!
Le jour même de cette publication, le Parquet annonçait l’ouverture d’une enquête préliminaire.
Ce fut ensuite la curée.
Mon nom a été jeté en pâture dans la presse écrite (notamment Le Monde), les radios (France Info en fait le titre principal de ses flashs pendant une grande partie de la journée du 22 novembre), certaines chaînes d’info en continu qui ont même proposé à des heures de grande écoute des débats à charge autour de mon cas, sans oublier les insanités et la haine colportées par les réseaux sociaux, sur «le juif Haziza».
Cette «affaire» aura pourtant été instrumentalisée sans relâche par la Société des journalistes (SDJ) de LCP qui, dès le 21 novembre, demande mon retrait de l’antenne ainsi qu’une mise à pied à titre conservatoire, puis carrément mon licenciement auprès du Président de l’Assemblée nationale François de Rugy, bafouant ainsi les principes les plus élémentaires de la présomption d’innocence.
Le combat pour l’égalité entre femmes et hommes et pour le respect dû aux femmes, est un combat nécessaire mais il ne peut ni justifier le lynchage dont j’ai fait l’objet, ni être instrumentalisé à d’autres fins. C’est cette instrumentalisation malsaine qui a favorisé le torrent de boue aux relents abjects qui s’est déversé sur moi dans les réseaux sociaux. Un torrent de boue quotidien depuis 8 mois qui n’a ni ému, ni choqué mes confrères de la SDJ.
Je n’ai jamais été un agresseur sexuel et je ne le serai jamais. C’est la seule vérité.
Frédéric Haziza
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https://laregledujeu.org/2018/07/14/34074/frederic-haziza-je-n-ai-jamais-ete-un-agresseur-sexuel/
Je n’aime pas M. Haziza. Cependant le lynchage médiatique dont il a été victime, comme d’autres, est intolérable. Nous devons lutter contre cette tendance à transformer les médias en arène médiatique où l’on jette régulièrement en pâture une personnalité plus ou moins connue à une foule prompte à hurler à la mort. Il y a là une dérive médiatique grave dont il nous faut mesurer les conséquences profondes sur notre société.
Le milieu des journalistes est un marécage puant, sans foi ni loi, sans honneur, sans morale, sans vertu. Tous les coups y sont permis parce que des hordes de lâches ont le pouvoir de se lâcher, et lyncher médiatiquement n’importe qui sans jamais rien risquer en retour.
Tout est résumé en deux phrases.
Le monde des journalistes, le monde politique …
Que reste-t-il ?
La meute puante de hyènes enragées qui emboîte le pas à la pourriture Alain Soral, tout est dit.
La secte des journalistes bien-pensants vautrée dans la servilité envers les « puissants » et dégoulinante de dhimmitude ressemble de plus en plus à un mélange de gang et de mafia… il faut se retenir pour ne pas vomir.
Cette meute de vieux chacals galeux et pouilleux – dont certains sont clonés, élevés, dressés et engraissés par le Service Public – ressemble bigrement à une autre meute qui pratiquait aussi cette dénonciation, avec les conséquences que l’on sait, dans les années 1940.
Et si Mr Frédéric Haziza peut démontrer que ces journafiottes ont utilisé – voire détourné – la justice pour balancer ces accusations mensongères, diffamatoires et calomnieuses dans le but de lui nuire personnellement, il peut contre-attaquer.
Il a une belle marge de manœuvre, et des têtes peuvent tomber.
Franchement, je ne suis pas du tout mécontent de ce qui arrive à F. HAZIZA. Y compris du classement sans suite, de cette énième affaire à relent antisémite, dans la propagande.
En effet, en avril 2008, se présentant « chef du service politique de Radio J », la radio juive parisienne qui se prétend la plus à droite, F. HAZIZA choisit le torchon gauchiste, organe de propagande nazislamiste du matin, avec l’immonde saloperie du soir, pour supplier SARKOZY de dissoudre la Ligue de Défense Juive. Coïncidence dans un article publié hier, DREUZ soutient la LDJ. Je fus mis au courant de cette ignominie, par un courriel du rédac-chef de Radio J. Dans mon style « emporté » habituel, je répondis que nous serons plusieurs à lui faire bouffer sa saleté.
Or HAZIZA tomba « par hasard », sur ma réponse électronique au rédac-chef de la station, Monsieur s’en offusqua et durant deux jours, il fit beaucoup de bruit à l’antenne de Radio J. Bien sûr, la propagande se délecta des « menaces » proférées par des Juifs « d’extrême droite ». N’étant heureusement plus à l’époque de la sinistre affaire « Am Israël Haï », plusieurs dirigeants communautaires demandèrent à HAZIZA de se calmer, et même de s’excuser pour sa saloperie. Mais il refusa. Et donc, alors que l’affaire s’envenimait en direct à l’antenne, je décidai d’appeler Radio J pour me dénoncer. Je présentai aussi mes excuses, pour la grossièreté de ma réponse. La rédaction de la radio me remercia et tout le monde crut que cela en resterait là. Mais HAZIZA s’entêta. Il exigea que Radio J lui donne mes coordonnées et contre les conseils de son entourage, il porta plainte contre moi. Plusieurs dirigeants communautaires tentèrent de lui faire retirer sa plainte, y compris le regretté Grand Rabbin SITRUK, mais aussi, l’un de ses amis d’enfance, vivant aujourd’hui à Jérusalem. Il refusa.
Ce que n’avait pas réussit, ni les hackers payés par la propagande, ni une commission rogatoire, pour révéler la véritable identité de Charles DALGER, F. HAZIZA le réussit. Donc, comme beaucoup, je fus convoqué et interrogé par la brigade spécialisée pour ce genre de choses. Le très courtois et compréhensif officier de police qui enregistra ma déposition instruisit l’affaire pour la transmettre au parquet, sans tenter de me charger, malgré quelques soupçons, sur le reste de mes activités sur la toile. Et c’est là qu’intervient la Providence.
DREUZ connait bien les condamnations iniques et disproportionnées, infligées par la 17èmee Chambre Correctionnelle du TGI de Paris, aux infortunés accusés « d’islamiquement incorrect ». A l’époque, les chroniques de Charles DALGER agaçaient la propagande et les collabos coupables du soutien aux nazislamistes. A l’époque, le valeureux Clément WEILL RAYNAL n’avait pas encore révélé l’abjection du sinistre « murs des cons » des rats de palais. Ces sales bestioles se seraient régalées de condamner, le plus lourdement possible, un affreux juif « d’extrême droite ». Or, la plainte d’HAZIZA fut instruite, par le seul procureur capable d’apprécier la situation. Bien sûr, je ne révèle pas son nom. Mais l’affaire fut classée.
Les tourments ressentis par HAZIZA pour la vétille dont il est accusé, sont du même ordre que ceux qu’il m’a fait subir, pour un courriel, un peu leste, qui ne lui était pas adressé.
Charles DALGER
un journaliste est accusé et voila qu’il pleure sur son sort mais pas sur le sort de tous ceux qui ne sont pas journalistes. Mais c’est beaux messieurs oublient qu’ils ont eux mêmes soumis à la « Questions » dont la formulation était presque accusatrice pour ne pas dire plus que douteuse, à nombre de personnage qui étaient pris dans ces tempêtes de la médisance et de la calomnie. Tous ces » médiapartistes » ne se sentent jamais concernés par les Fakenews mais hautement visés par une loi anti fakenews au nom de la liberté de la presse, comme c’est bizzzzare ! Précisément ce sont eux qui sont responsables de la génèse de cette loi. Cher Monsieur HAZIZA, j’ai bien en mémoire, vous avoir vu et entendu tirer sur l’ambulance.
Je lis que la vilaine a été engagée par Le Monde au service politique « pour y renforcer la couverture de la gauche » (sic). Comme s’ils ne relayaient pas déjà quasi exclusivement les sottises de la gauche, et comme si, à mesure qu’elle fond, il fallait embaucher plus de gens pour la contempler…
Dans la fonction publique, une circulaire récente promet des sanctions expéditives et des horreurs comme la circulaire Dear Colleague en a causé sur les campus américains (Title IX). Je m’attends à ce qu’il y ait des suicides.
Je ne connais pas M. Haziza. Je déteste qu’on lynche les gens. Je m’interroge simplement sur les faits.
Une main aux fesses, c’est trivial, déplacé et vulgaire mais à la portée de n’importe quel mec salace normalement constitué.
En revanche un pincement du mollet nécessite une souplesse de contorsionniste, ou des membres supérieurs de babouin voire d’atèle que ne semble pas posséder ce monsieur sur ses photos…. Je reste dans le doute…. sauf à démontrer que la de Villaines dame était perchée sur un piédestal dont elle n’est visiblement pas redescendue……
Trop facile de se présenter comme un juif pourchassé quand on a profité ( sans aucun talent ) des positions offertes par sa situation… va falloir trouver mieux comme défense .pour un type qui a aussi tapé sur d’autres journalistes ans un passé pas lointain
Que le milieu des journaleux français et britanniques est un marécage puant cela ne fait aucun doute. Tous ces journaleux de gauche anti Israel sont à jeter à la poubelle et brûler l’intérieur et bien sûr une main aux fesses n’est PAS une agression sexuelle mais une plaisanterie de mauvais goût. Cepezndant haziza se comporte de la même manière envers les mensonges sur Israel : pourquoi ne dit-il pas que tout ce que la gauche reproche à Israel est une inversion venant du propagandiste göbbels disant après la pr française que la meilleure pr consiste à reprocher à la victime ses propres délits? ce sont les faux palestiniens du mufti de Jérusalem qui sont responsables du génocide des Juifs et non Israel de celui inexistant des … »palestiniens ».
Voilà ce qui arrive lorsque l’on tire à vue une organisation de la communauté et l’un de ces membres , le retour du bâton fait mal , même très mal