Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 4 juillet 2018

Avec la France LREM de gauche socialiste, les valeurs révolutionnaires : “Liberté, égalité, fraternité” ont été transformées en haine de l’excellence avec ses nouvelles références : “Égalité, médiocrité, paresse”.

Lu sur le bloc-notes de Philippe Bouvard : “Quand inscrira-t-on en lettres d’or sur les frontons de nos monuments publics : “impôts, taxes, prélèvements” ? Ces trois vocables prometteurs devraient composer la devise historique de la République socialiste En Marche vers le racket fiscal. Philippe Bouvard propose aussi :

“Abêtissement, enlaidissement, appauvrissement” (le drapeau arc-en-ciel LGBT imposé par de Rugy partisan a scandaleusement défiguré l’Assemblée nationale), ou, si l’on préfère : “Suspicion, jalousie, (bêtise), médisance”… On tiendra compte de la circonstance aggravante que constitue l’augmentation de l’espérance d’une vie facile (des politiciens corrompus et des milliardaires de gauche) avec : “Sexe, bouffe, pognon”.

Pour contrer la haine de l’excellence, voici un bref rappel des valeurs du Rabbin Loubavitch de New York à l’origine d’une expansion sans précédent du mouvement Loubavitch dans le monde et en France :

Premier principe, la “Habad”, c’est “l’excellence intellectuelle” avec un très haute exigence d’érudition pour les textes de la tradition. Ce concept de la “Habad” réunit la notion de “sagesse”, de “compréhension” et de “reconnaissance”, une vision mystique juive qui s’attache à voir le rôle du “Créateur” en toute chose.

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Ensuite le concept “d’imitation” : seuls l’exemple et la disponibilité du rabbin vont faire progresser sa communauté et non ses discours. Arrive alors la notion de “sensibilisation” : on envoie des émissaires dans le cadre d’une politique d’expansion revendiquée et assumée afin de diffuser le judaïsme là où il s’est endormi.

Un développement qui ne va pas sans la “constance”, une autre marque des Loubavitchs.

La France socialiste de Macron veut imposer la médiocrité pour tous et la haine de l’excellence :

Lu sur dreuz.info : “Un couple de Japonais menacé d’expulsion alors qu’il produit un vin d’exception”. La préfecture des Pyrénées-Orientales met en avant l’absence de rentabilité de l’exploitation de Rié et Hirofumi Shoji. À Banyuls-sur-Mer, le couple japonais produit pourtant un vin rouge “nature” d’exception. Le 6 septembre prochain, les magistrats du tribunal administratif de Montpellier (Hérault) vont avoir à décider s’il convient d’expulser du territoire national Rié et Hirofumi Shoji, un couple de vignerons japonais de Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales), arrivé en France en 2011. Dans un dossier ahurissant, c’est ce que réclame la préfecture des Pyrénées-Orientales. Rié et Hirofumi Shoji vivent dans la perspective d’avoir à quitter ce qu’ils ont construit sur les hauteurs de Collioure avec patience, détermination et talent : des parcelles sur 3,5 ha pour donner Pedres Blanques, un vin rouge “nature” d’exception, désormais référencé chez El Celler de Can Roca, à Gérone, en Catalogne (Espagne), (classé) plus grand restaurant du monde en 2016.

“Pour demander à ces deux travailleurs de la terre de quitter la France, la préfecture met en avant l’absence de rentabilité de leur entreprise. Les experts de l’administration estiment que leur exploitation n’est pas viable, qu’ils n’auront pas les moyens de subsister alors que le prix de leurs bouteilles s’envole et alors qu’ils sont à jour de toutes leurs cotisations et versements. (Source : Christian Goutorbe, Le parisien)

“Dans ce dossier (LREM) on marche sur la tête ! Alors qu’ils ont investi 100 000 € sur leurs deniers personnels et empruntés 50 000 € à la banque, le vin d’excellence produit par Rié et Hirofumi Shoji a sa place sur les meilleures tables et dans les meilleures caves, comme celle de Paul Delliaas à Banyuls-sur-Mer /topsud news… Pedres Blanques le fruit du génie nippon et de la terre vertigineuse de la Côte Vermeille.

“C’est la caricature de ce que vivent les jeunes qui s’installent”. “Ce vin ? On pourrait en vendre des dizaines de milliers de bouteilles. D’ailleurs, on ne les vend plus. On les réserve à nos clients du restaurant.

“On ne doit pas laisser partir Rié et Hirofumi”, ajoute Jan Paul Delliaas du caveau des 9 caves à Banyuls où une mobilisation prend corps. “Cette affaire est ubuesque. C’est la caricature parfaite de ce que vivent aujourd’hui les jeunes vignerons qui s’installent pour faire des vins nature. Ils sont au four et au moulin pour créer un modèle économique”, estime Alain Potié, auteur de la bible des vins du Roussillon.

“Un parcours exemplaire de passionnés de vin”. La (bureaucratie médiocre de la) préfecture dit que Rié et Hirofumi Shoji ne pourraient jamais sortir 2 000 € pour vivre de leur vin. Mais, ils ne sont pas les seuls en Roussillon”, poursuit Jean Codognès qui met en avant le parcours exemplaire de ces passionnés de vin.

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“Ils se sont livrés à un véritable tour de France, comme ouvrier agricole ou employé de cave pour se former dans les grands domaines de Bordeaux et de Bourgogne, pour devenir œnologue et exploitants agricoles diplômés. Ils ont posé “un talent incontestable” sur les parcelles séculaires de la Côte Vermeille.”

Au sujet de “l’absence de rentabilité de leur entreprise”, savoureux quand on se rappelle les centaines de milliers de “migrants” ne vivant que des prestations sociales, selon un commentaire lu sur le web !

Jean-Paul Saint-Marc : “Japonais, ils bossent et produisent : le Préfet des Pyrénées-Orientales veut les expulser ! Un mauvais exemple (de l’excellence) que ces deux immigrés du pays du soleil levant.

“Ce couple accumule les tares… ils ont préféré faire 5 années d’études, d’emplois et de formations, pour décrocher des diplômes et s’installer en tant que vignerons dans le Pays Catalan.

“Ils ont investi leurs économies 100 000 € et n’ont pas sollicité d’aides sociales…

“Plus impardonnable, une banque leur a fait un prêt de 50 000 €…

“Qui a dit que les entreprises et les particuliers avaient des problèmes pour emprunter ?

“Sis à Banyuls-sur-Mer, ce couple de Japonais produit un vin rouge d’exception.

“Mais depuis quand nos campagnes “ont du talent” ?

“Comment peut-on avoir l’outrecuidance de produire un vin star au dernier salon Indigènes, référencé chez El Celler de Can Roca, à Gérone Catalogne (Espagne), plus grand restaurant du monde en 2016 ? Sûr, à 25 € la bouteille, le Pedres Blanques 2017 ne se vend aux particuliers qu’à l’unité tant la demande est grande ! Malheureusement, ils sont japonais et le Japon a réussi une magnifique prestation au Mondial de Foot 2018, ce qui augure d’un avenir radieux pour le Japon, comme on le voit avec les virtuoses japonais dans tous les plus grands orchestres du monde ! Ils ont le culte de l’excellence, ce qui est LREM haïssable !

Moralité, plus ça va mal dans la France LREM de Macron socialiste, plus il y a des raisons d’espérer !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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