Publié par Piotr Stammers le 24 juillet 2018

Ils sont délinquants, dealers ou même drogués. Ils sont mineurs. Ce sont des illégaux, des marocains, et ils infestent la Goutte d’Or, à Paris et la France n’ose rien faire.

En désespoir de cause, des policiers marocains, vous lisez bien des policiers marocains, ont été appelés en renfort à Paris. Leur mission première, “identifier” une soixantaine de violents Marocains (la moitié sont mineurs), les appréhender et les faire expulser.

Ils sont six agents marocains, arrivés à Paris le 18 juin.

La maire de Paris a parlé d’une «avancée indéniable», mais dans une lettre au Premier ministre, elle réclame «des moyens supplémentaires».

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  • Les premiers voyous marocains sont arrivés en 2016, et ils détruisent la vie des citoyens de plusieurs villes de France.
  • L’association Trajectoires a réussi à montrer qu’ils transitent entre Paris, Montpellier, Brest, et Bayonne, voire même d’un pays à l’autre. On les retrouve en Suède, en Espagne, en France et même en Allemagne.
  • De février 2017 à février 2018, plusieurs centaines de mineurs marocains seraient passés par la Goutte d’Or, vivant de vols, de prostitution et de trafic de drogue.

«Ces jeunes représentent une part très importante de l’activité de la permanence pénale du parquet des mineurs de Paris, puisque 813 d’entre eux ont été placés en garde à vue en 2017 et 482 ont été déférés au parquet,” indique le ministère de la Justice qui s’étonne qu’en les relâchant dans des familles d’accueil, ils se sauvent et recommencent immédiatement.

Dans son courrier à Édouard Philippe, Anne Hidalgo dénonce «ces jeunes, toujours plus violents et sous l’emprise de la drogue” et “la situation extrêmement tendue sur le quartier».

L’un des principaux problèmes rencontrés par la France est l’identification des mineurs. Et encore moins les réseaux qui les coachent et les contrôlent, et c’est là qu’entre en jeu les fonctionnaires marocains.

Et bien entendu, les associations de soutien aux immigrés font barrage, car elles se fichent du sort des victimes françaises comme de leur dernière chemise brun rouge.

Me Emmanuel Daoud, de l’association Gisti tient ainsi ce langage totalement anti-français, car il se soucie peu du danger qu’ils représentent pour les enfants des habitants de ces villes : «Ces enfants étaient déjà dans la rue avant d’arriver à Paris, victimes de violences intrafamiliales, voire aux mains de réseaux de traite d’êtres humains: ils vont devenir quoi si on les renvoie au Maroc?»

En garde à vue au commissariat du XVIIIe, les jeunes sont désormais auditionnés par un binôme franco-marocain. Du coup, certains se planquent… tandis que d’autres sont brusquement devenus algériens!

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Piotr Stammers pour Dreuz.info.

Source : lefigaro.fr/la-police-marocaine-au-secours-de-la-ville-de-paris

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