Je me propose dans cette série d’articles de partager avec les lecteurs ma compréhension des évènements historiques et de leur impact sur le monde d’aujourd’hui.
Il est difficile, dans la cacophonie quotidienne, de faire le tri entre les faits significatifs qui auront un impact sur notre futur, et ceux qui, charriés dans le flot continu des nouvelles, relèvent de l’anecdote.
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L’Histoire est rarement statique, sauf exception (catastrophes naturelles, pandémies meurtrières, etc.) elle est invariablement façonnée par l’homme, par ses idées et par ses passions. L’Histoire contemporaine, la nôtre, obéit aux mêmes lois, mais elle a ceci de particulier, que les bouleversements qui ont lieu en un point du globe, n’ont pas uniquement des effets locaux, leur impact à distance, même faible, peut être significatif.
L’année 2018 est-elle ou sera-t-elle une année charnière? Telle est la question que je me suis posée en examinant d’une certaine distance, la série d’évènements, passés et présents, qui pourraient avoir une empreinte profonde sur notre futur. Je me penche dans chaque article de cette série sur une région du Globe, afin d’en dégager les éléments qui me paraissent les plus significatifs, pour la compréhension du monde d’aujourd’hui et pour l’anticipation de l’avenir.
Première partie
L’Europe
Cent ans après la fin de la Première Guerre mondiale, l’Occident se trouve à la croisée des chemins. Il y a cent ans exactement prenait fin ce conflit qui a broyé dans ses tranchées la fleur de la jeunesse européenne. Guerre éminemment évitable, mais qu’aucun dirigeant politique n’a pris le risque d’empêcher, tant l’hostilité et la belligérance, nées d’un nationalisme exacerbé, rendaient futile tout appel à la raison. Le monde occidental ne s’est jamais vraiment remis de cette hécatombe, la blessure, en apparence guérie, a laissé des séquelles permanentes dans le subconscient collectif. Les évènements historiques subséquents ont été à divers degrés, influencés par la crainte chez les vainqueurs de reproduire le traumatisme, et par la volonté du vaincu de prendre sa revanche.
En Europe la Seconde Guerre mondiale, fruit de la volonté d’un seul homme, a mis fin à un intermède d’à peine vingt ans. La crainte de reproduire le traumatisme a paradoxalement contribué à accélérer son retour. Le second acte de la pièce a dépassé en horreur le premier : cette fois les civils, autant sinon plus que les militaires, ont été profondément éprouvés, en particulier les millions de gens, juifs pour la plupart, qui ont été intentionnellement désignés à disparaître. Deux guerres mondiales en une seule génération ne pouvaient faire autrement que meurtrir l’âme collective en Europe. L’apparente insouciance et l’hédonisme des années d’après-guerre étaient trompeurs, ils servaient à recouvrir le sentiment de culpabilité et le mal-être spirituel. Alors que la paix et la prospérité matérielle, se donnaient la main pour mettre au monde une société riche de ses droits, de ses libertés, de ses valeurs et de ses réalisations, la confiance en soi et dans l’avenir s’est révélée étonnement faible.
Une Europe dépressive et sans défense
Pour cette Europe démoralisée, le poids de l’identité nationale et de l’autorité morale est devenu trop lourd à porter. Les carnages et les destructions des deux guerres mondiales ont convaincu les Européens de se méfier de leur attachement affectif à leurs propres pays. Le sentiment de honte, plus ou moins refoulé, les a convaincus de renoncer de prétendre à toute autorité morale. Pour avoir décimé sa jeunesse dans les conflits, l’Europe s’est infligé une punition, elle s’est laissé vieillir en faisant de moins en moins d’enfants. Au sortir de la guerre, quelque chose s’est brisé dans l’âme des Européens, quelque chose que ni la prospérité matérielle, ni la protection de l’État-providence, ni les libertés individuelles, ni les progrès scientifiques et techniques ne pouvaient réparer.
Il n’est donc pas étonnant que les nations européennes aient cru bon de se protéger d’elles-mêmes. Elles ont graduellement évolué vers la création d’une instance supranationale qui les tient à présent sous tutelle. Certes l’Union Européenne a pour raison d’être la mise en place et le maintien d’un espace économique unique à l’échelle du continent, mais il ne s’agit pas là du seul objectif, on pourrait même se demander si l’objectif principal n’est pas de dresser des obstacles insurmontables à un possible retour du nationalisme. Aussi étonnant que cela puisse paraître, l’Union Européenne semble avoir enfin réalisé ce que deux guerres mondiales ont tenu en échec, soit la suprématie de l’Allemagne. Pour autant le peuple allemand n’est pas moins assujetti aux entraves que les autres peuples européens. La suprématie allemande est uniquement d’ordre économique, le peuple allemand, à l’instar des autres peuples européens, a pratiquement perdu le pouvoir de décider de lui-même et de son avenir.
Et il n’est pas surprenant de réaliser que ce qui affecte les nations, touche profondément les individus. De la même façon que l’idée de nation est combattue sur le plan politique, le sentiment d’appartenance à la nation est dénigré; le patriotisme est assimilé au racisme, voire au fascisme. Au nom des droits et de l’autonomie individuelle, les valeurs, la culture et le mode vie traditionnels subissent systématiquement des attaques à l’école et dans les médias. Le christianisme est délibérément évacué de la constitution européenne, et le dénigrement continu de la foi chrétienne ampute les individus de leurs racines religieuses. Tout est fait pour que les populations perdent leurs repères et leur cohésion, à travers des débats sur des sujets proprement polarisants, tels que le mariage homosexuel, l’avortement libre et gratuit, la théorie du genre, l’écriture inclusive, etc. Débats qui se terminent toujours par l’écrasement des coutumes et des valeurs traditionnelles, face à des groupes militants, jouissant du soutien déclaré de l’État.
Mais le plus étonnant est que la majorité qui assiste à ces débats demeure silencieuse et impuissante, envahie par le doute et la culpabilité. Il ne lui vient pas à l’idée que ces valeurs et cette civilisation, qu’elle laisse filer entre ses doigts, sont édifiées sur des siècles de foi, d’étude, de réflexion, de labeur, de luttes, de sacrifices et de souffrances. Que ce patrimoine irremplaçable dont elle est la dépositaire ne lui appartient pas en propre, mais qu’elle a le devoir de le préserver et le transmettre aux prochaines générations. Tout le drame de l’Europe contemporaine est là : face aux tragédies des deux guerres mondiales, elle peine à se sortir du deuil qui la mine et qui la pousse à subir en silence les assauts répétés du gaucho-mondialisme et de l’islam.
Le poison du mondialisme gauchisant
Ce qu’il est convenu d’appeler la crise migratoire est l’ultime conséquence de la tragédie des deux guerres mondiales. Un continent riche, industrieux et pacifique, mais qui doute de lui-même, jusqu’à ne pas s’aimer et jusqu’à flirter avec le suicide, s’est laissé envahir sans opposer de résistance. Mais la crise migratoire a ceci de particulier qu’elle a suscité chez les peuples européens une prise de conscience du danger que représentent les millions de migrants présents sur leur territoire. Des migrants inassimilables, non seulement parce qu’ils sont culturellement et religieusement hostiles à la société d’accueil, mais également parce que cette dernière, taraudée par la culpabilité, ne se reconnait pas le droit de les assimiler.
Il est cependant utile de souligner le rôle qu’ont joué les élites et l’idéologie mondialiste dans l’édification de l’Union Européenne, l’exacerbation de la crise migratoire et l’insécurité qui en découle. Ce sujet a fait l’objet d’un article intitulé “l’islam les élites et le séisme géopolitique qui s’annonce” et publié le 11 mai 2017, il se trouve sous ce lien: dreuz.info.
Les élites européennes ont épousé la cause du mondialisme et adopté son programme d’élimination des frontières et d’effacement des identités nationales, culturelles et religieuses des peuples en Occident, particulièrement en Europe. Le système immunitaire des Européens était beaucoup trop faible pour résister à cette attaque systématique et bien coordonnée, qui plus est les médias, à la solde du mondialisme, ont tout fait pour entretenir le sentiment de culpabilité des Européens et détourner leur attention des vrais enjeux. En France la manipulation médiatique a permis l’élection du candidat Macron, ouvertement mondialiste, pour qui la France ne représente rien de plus qu’un espace géographique où on s’exprime en français. Élire un homme qui n’éprouve aucun sentiment d’appartenance à la nation qu’il est appelé à diriger, en dit long sur la perte de repères et l’état de confusion dont les électeurs sont atteints; mais cela met également en relief le pouvoir maléfique des médias, dont le rôle désormais ne consiste pas à informer le public, mais à l’amener à voter contre ses intérêts vitaux.
Le mondialisme fait cause commune avec la gauche islamophile, leur alliance, jusqu’à tout récemment, avait réussi à paralyser les peuples, en criminalisant toute critique et tout effort de résistance face à l’envahisseur islamique. Ce dernier est l’instrument de choix aux mains des mondialistes et des gauchistes, dans leur effort commun visant à gommer les identités nationales, et à imposer des changements profonds et irréversibles dans le paysage ethnoculturel des nations européennes.
Mais nous n’en serions pas là si les Européens avaient su “exorciser les démons du passé”, et se libérer du remords qui les a conduits au bord du suicide. Ils tardent encore à surmonter leur désarroi spirituel; non désireux ou incapables de mobiliser leurs énergies, ils ont de la difficulté à contrecarrer les forces qui empoisonnent leur présent et assombrissent leur avenir.
Le réveil du nationalisme
Ce qui paraissait naguère comme un combat d’arrière-garde ou un baroud d’honneur précédant l’écroulement final du nationalisme, apparaît aujourd’hui comme le point ultime de sa retraite, étape à partir de laquelle il a mobilisé ses forces et lancé sa contre-attaque. Mondialistes, gauchistes et islamistes, n’ont pas tenu compte dans leurs calculs de la profondeur stratégique du nationalisme et encore moins de la profonde solidarité qui unit les nationalistes face à leurs ennemis. Également ils n’ont pas tenu compte des mutations profondes qui ont fait du nationalisme un courant de pensée qui encourage ses adeptes à se reconnaître et à s’entraider, indépendamment de leur appartenance : C’est ainsi que des gens de nationalités différentes se reconnaissent dans leur attachement à l’idée de nation, et se rendent compte de la nécessité d’unir leurs efforts pour défendre et promouvoir leurs idées.
Deux éléments ont permis au nationalisme de revenir en force dans l’arène : le danger islamique et le refus des élites d’en prendre acte et de l’affronter; il était plus facile pour ces derniers de réprimer les mécontents en les accusant de racisme, que d’appliquer les correctifs qui s’imposent. Du coup les populations, de plus en plus inquiètes, ont réalisé que dans l’ordre des priorités, leur sécurité physique et la préservation de leur mode de vie, se situent bien en dessous d’autres considérations, dont celles d’accommoder les musulmans et leur permettre de recréer en Europe le même type de société qu’ils avaient en apparence abandonnée.
Le retour du nationalisme à l’avant-scène n’est pas uniquement le fruit des politiques favorables à l’islamisation des sociétés. Le nationalisme en lui-même est porteur d’un programme politique qui se distingue de celui des autres courants idéologiques, il est centré sur l’intérêt national et sur la préservation de la culture et du mode de vie à l’occidentale. Les nouveaux nationalistes sont avant tout des patriotes qui aiment leur pays et qui tiennent à préserver son intégrité territoriale, son indépendance, ses valeurs et sa culture; d’où leur rejet du multiculturalisme et de la rectitude politique, en tant qu’instruments visant à étouffer l’expression de la volonté populaire. Leur patriotisme, leur capacité à traduire en langage politique les sentiments et les inquiétudes de leurs compatriotes, leur connaissance de l’Histoire, leur lucidité, leur courage et leur esprit de sacrifice, n’ont fait qu’accroître le capital de crédibilité qu’ils détiennent auprès des électeurs.
Le retour en force du nationalisme a sérieusement ébranlé les partis au pouvoir, sans toutefois les amener à remettre en question leurs politiques. Il ne leur est pas facile de changer de trajectoire, qui plus est l’idéologie gaucho-mondialiste dont ils se réclament, est réfractaire au questionnement et abhorre toute déviation du dogme établi. Il s’ensuit que les seuls choix qui s’offrent à eux pour contrer le nationalisme, sont la propagande négative et l’imposition de limites drastiques à la liberté d’expression, sous couvert de combattre le “discours de haine”. Mais ces mesures antidémocratiques produisent des effets opposés au but recherché, l’intimidation en tant que méthode est en apparence efficace, mais elle ne possède aucun pouvoir sur les esprits, en fait elle ne fait qu’accroître la méfiance et le ressentiment chez les électeurs, dont le silence, imposé par l’État et par les médias, se révèle éloquent dans les urnes.
Le coup d’envoi du BREXIT
Deux ans ont passé depuis le coup de tonnerre du BREXIT, référendum donné gagnant par tous les instituts de sondage, mais dont le résultat a été à l’opposé des prévisions. La victoire des nationalistes britanniques a en quelque sorte sonné le ralliement des forces patriotiques partout en Occident. L’élection de Donald Trump, patriote politiquement incorrect, à l’instinct sûr, à l’énergie débordante et à la volonté de fer, a été comme un séisme dont les secousses secondaires continuent de fissurer les assises du mondialisme. Depuis il ne s’est pas tenu une élection en Europe sans que les nationalistes, la France exceptée, fassent des gains majeurs ou prennent le pouvoir. Le “noyau dur” du nationalisme se situe en Europe de l’Est : Pologne, République tchèque, Slovaquie et Hongrie. À ce bloc inébranlable, l’Autriche et plus récemment l’Italie se sont ralliées, dans ce qui semble être une défaite majeure pour les gauchos-mondialistes.
Mais ce n’est pas tout Angela Merkel, chancelière de l’Allemagne et partisane déclarée de l’abolition des frontières, a essuyé une rebuffade sans précédent lors des dernières élections. L’AFD parti nationaliste et résolument opposé à l’immigration islamique, a obtenu des résultats plus qu’honorables, qui lui ont permis d’entrer au Bundestag et d’y occuper un nombre significatif de sièges. Mieux encore, la fragile coalition qui a permis à Merkel de former le nouveau gouvernement, est à présent menacée par la question de l’immigration. L’exaspération des Allemands est telle, que si l’afflux de nouveaux migrants n’est pas bloqué, et si les problèmes engendrés par les migrants en place ne sont pas sérieusement adressés, la coalition actuelle ne tiendra pas et de nouvelles élections devront être déclenchées. Merkel se trouve à présent sur le “siège éjectable”, son départ éventuel ne peut faire autrement que donner des ailes aux nationalistes.
Avec Macron et son parti au pouvoir, la France semble résister à la vague nationaliste. Mais le fait est que la participation aux dernières élections a été historiquement faible. Les électeurs ont massivement choisi de rester chez eux, attendu qu’aucun parti en lice ne reflétait leurs aspirations. Il manque à la France un parti et une personnalité politiques authentiquement patriotes, ayant un programme économique crédible et capable de rassembler une majorité d’électeurs. En attendant, la popularité de Macron s’affaiblit, son inféodation au mondialisme, sa complaisance à l’égard de l’islam et de la “diversité” suscitent le dégoût. Il est peu probable qu’il change d’orientation et choisisse de répondre aux préoccupations des Français. Ses allégeances sont ailleurs : on ne peut servir deux maîtres, la finance mondiale et le peuple.
Le retour du balancier
L’Europe semble vouloir récupérer son âme, mais il est encore tôt pour dire si elle y réussira. Ses forces propres ne semblent pas suffire à la tirer de la misère spirituelle où elle s’est laissée tomber. Mais on aurait tort de minimiser l’importance des sursauts d’énergie qui se manifestent un peu partout sur le continent.
Un tournant semble se dessiner cette année, il reste à espérer que les conditions gagnantes, tant internes qu’externes, seront opportunément réunies, pour permettre aux peuples européens de se réconcilier avec leur passé et de contempler avec espérance l’avenir.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.
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Je me demande les pays qui constitue le « noyau dur » du nationalisme en Europe de l’Est (Pologne, République tchèque, Slovaquie et Hongrie) ne sont pas justement des pays qui ont subi le communisme tout en essayant de préserver leur identité.
De même l’Autriche annexée malgré elle lors de l’Anschluss et l’Italie, alliée de mauvaise grâce de l’Allemagne (Mussolini avait commencé à s’opposer à Hitler) sont demeurées nationalistes.
Bonjour Magali,
Vous avez raison et il faut aussi tenir compte du fait que ces pays ont été dans le passé envahis ou à tout le moins menacés par les ottomans. Cette menace et la méfiance qui en résulte n’ont jamais tout à fait disparu, le souvenir de la cruauté turco-ottomane demeure vif à Budapest et à Vienne. D’ailleurs l’agressivité d’Erdogan et sa prétention à ressusciter le califat sont de nature à accroître la méfiance des européens de l’Est.
Pour ces pays le danger vient toujours de l’Est, soit de la Russie et de l’islam, c’est pourquoi ils se sont dépêchés après la chute de l’URSS de se joindre à l’OTAN et à l’UE. Le Hic pour eux est que le danger a récemment changé de direction. À présent il provient de l’Ouest c’est à dire de l’Allemagne, de la France et des fonctionnaires européens à Bruxelles, ce sont eux qui poussent ces pays à accepter davantage de migrants musulmans.
Comme d’habitude, exposé brilliant d’Hélios d’Alexandrie, quoiqu’il ne fasse pas allusion à deux facteurs qui ont puissamment contribué à la situation actuelle en Europe, et particulièrement en France : la Révolution française de 1789 et la révolution russe de 1917.
@ Atikva,
Vous avez raison sur un point principal: le fait que la révolution française et le communisme ont joué un rôle clé dans la déchristianisation de la France, et par conséquent dans l’affaiblissement de sa base identitaire. Cependant l’islamophilie de la gauche ne doit rien au communisme et encore moins à la révolution française, il s’agit d’un phénomène récent qui a suivi la chute de l’URSS, un recyclage de l’idéologie qui lui permet de revenir à l’avant-scène. Les vrais communistes ne s’y sont pas trompés, ils ont tourné le dos aux partis de gauche et ont voté pour le Front National.
@ Hélios d’Alexandrie
(1) Ce n’est pas seulement à la déchristianisation des Français du 18ème siècle que je pensais, mais également au rejet de leur histoire et de leur identité. Passons sur la rage des nouveaux maîtres de Paris à imposer à toute la nation un joug qui aboutit à la guerre civile et à l’émigration d’une partie de la population – comme le dit la chanson, “le sang sèche vite dans l’Histoire”.
Mais cette fureur qui conduisit le peuple à Saint Denis et dans les nécropoles de province pour y exhumer, profaner et détruire systématiquement les restes de ses souverains et de ses saints, à détruire les églises, les monuments, les châteaux centenaires, les documents historiques et les œuvres d’art (entre autres la Tapisserie dite de la reine Mathilde, cette merveille dont ils voulaient faire une bâche, sauvée in extremis par un érudit local), à débaptiser les lieux et les personnes, à comme s’il voulait effacer son passé millénaire et arracher ses racines, a laissé des traces malheureusement ineffaçables. Comment la population peut-elle garder son équilibre dans un pays qui renie dix siècles de son histoire?
Sans compter l’instabilité permanente (11 gouvernements différents et 3 révolutions supplémentaires entre 1789 et 1958) et pour finir, la Première Guerre mondiale – l’effondrement de juin 40 était inévitable, auquel fait suite celui des 4 dernières décennies.
(2) “l’islamophilie de la gauche ne doit rien au communisme…”
A mon avis, elle lui doit tout en réalité, puisque c’est Moscou qui a mis en marche le formidable lavage de cerveau entrepris en faveur des pays musulmans et qui a inventé, entre autres, le mythe palestinien des années 1960s ; et que ce sont les socialistes qui ont mis en place Eurabia. Je l’ai constaté dans ma propre famille, communiste/socialiste, très pro-Israël en 1967, et que j’ai vue virer de bord en faveur des musulmans quelques années plus tard, sans autre raison que le matraquage médiatique gauchiste.
@ Atikva,
Je crois que nous percevons, vous et moi, la réalité sous deux angles différents. En ce qui me concerne je cherche les “causes profondes” pour saisir le sens des événements. C’est la théorie de la pelure d’oignon, les causes apparentes se trouvent dans les pelures extérieures; quand on enlève une pelure, la suivante apparaît qui cache la prochaine et ainsi de suite.
Autre point: les révolutions sont presque toujours le fait de minorités agissantes, sur ce point la révolution française n’a pas fait pas exception, son oeuvre de destruction systématique du Christianisme et du patrimoine historique de la France a échoué. La France est demeurée profondément chrétienne et même profondément monarchique (les présidents français ne se comportent-ils pas comme des rois?) Il est difficile de changer le caractère d’un peuple, même à travers une révolution et un changement radical de régime politique: La Russie est demeurée profondément orthodoxe et tsariste même après 70 ans de bolchevisme!
Les gauchistes en France le savent c’est pourquoi ils s’allient avec l’islam conquérant pour enfin amener des changements irréversibles, non seulement sur le plan démographique mais encore plus sur le plan culturel. Les questions qui se posent sont les suivantes: pourquoi agissent-ils ainsi, et sont-ils conscients de leurs motivations profondes?
Objectivement les gauchistes sont des traîtres à la Patrie. Je ne connais personne qui trahit par devoir ou par conviction profonde. En fait les traîtres le sont par passion (la haine) ou par désir inconscient d’autodestruction, car détruire la société dans laquelle on est né et on vit, c’est se détruire soi-même. Derrière la rage destructrice des gauchistes il y a l’instinct de mort.
….”ont réalisé que dans l’ordre des priorités, leur sécurité physique et la préservation de leur mode de vie, se situent bien en dessous d’autres considérations,” …
Ne serait-ce pas plutôt EN DESSUS ? ;-)) quel excellente analyse ! Merci.
Il faut lire “l’ordre des priorités” des dirigeants européens (et pas des peuples européens).
Cela me paraît être une analyse et un résumé, selon mes perceptions.
Donc je ne peux la trouver que bonne et y adhérer.
Cependant, une question, est-ce que les responsables de Mai 68, qui ont continué à sévir dans des postes clés, n’ont pas également une responsabilité, pour imposer une vision nouvelle de la culture, des mœurs, et de la liberté ? Du moins en France, et à travers toutes les raisons énoncées dans l’article ?
À savoir que ceux-ci, auraient profité de faire passer leurs idées, en profitant du sentiment de culpabilité, consécutif aux guerres, et comme déjà ils désiraient un monde sans frontières, ils se sont engouffrés, dans les crédos de cette UE, dont on a pu voir, qu’elle n’a causé que des dégâts.
Trop tôt peut-être pour fédérer des pays qui même de culture occidentale, ont tout de mêmes, des us et coutumes et une identité propre, que peu désirent voir remplacer par une autre “uniforme”, décidé, non plus par les citoyens, mais par des Décideurs à Bruxelles.
Le forcing en toute occasion, ne peut qu’exaspérer un peuple. Ce que l’UE n’a cessé de faire depuis qu’elle existe, et en plus avec un manque de logique et d’équité, qui la fait s’enfuir de son emprise.
Et puis assimiler un sentiment d’attachement à son pays comme étant du fascisme, cela a été trop loin – Profitant pour cela d’un phénomène tel celui d’Hitler, que l’on assimile à forcément une extrême droite, cela aussi est une forfaiture mise à mal. Les deux extrêmes se valant dans le danger d’instaurer un régime de dictature.
@ Aline1
Vous avez tout à fait raison en ce qui concerne la responsabilité de la génération de mai 68. Mais cette génération est née après guerre, elle n’a donc pas été traumatisée, mais elle a été élevée et éduquée par la génération précédente, qui elle a vécu les horreurs de la guerre.
Il y a de ces héritages lourds qui se transmettent imperceptiblement de père en fils. J’en veux pour preuve la levée de boucliers qui dans les années 80 a suivi l’annonce de l’installation en Europe de fusées nucléaires américaines à moyenne portée, pour contrebalancer les fusées nucléaires soviétiques pointées sur l’Europe occidentale. Des manifestations monstres se sont déroulées en Europe et particulièrement en Allemagne contre la présence de ces armes sur sol européen. Les manifestants scandaient: “better red than dead”, “mieux vaut rouge que mort!” Ces manifestations organisées par le mouvement pacifiste ressemblaient étrangement aux manifestations pacifistes qui se sont déroulées durant les années précédant la seconde guerre mondiale, en France et en Angleterre, c’est à dire moins de cinquante ans plus tôt. Je ne crois pas que ce soit le fruit du hasard. La génération de mai 68 a simplement hérité le traumatisme de ses parents.
@Hélios d’Alexandrie,
Que ce soit traumatisme ou pas – Du fait de leur visibilité en cette période de mai 68, ils ont hérité de postes au pouvoir, et depuis de manière insidieuse, leurs désirs et volontés liberticides, leurs visions sociétales, sexuelles, etc. s’imposent progressivement.
En ce sens, ils ont réussi leur révolution.
Et dire qu’un type comme D. Cohn Bendit, avec ses idées sur la sexualité de tous jeunes enfants, puisse encore sévir, cela me dépasse.
@ Aline1
Permettez-moi de vous citer ce passage de l’Évangile de Mathieu:
“Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?…” (Mathieu 7: 15-16)
Notre époque est riche en faux prophètes, et c’est à eux qu’appartient le pouvoir comme vous le dites. Mais c’est nous qui avons choisi de ne pas les reconnaître comme tels, même si leurs “fruits empoisonnés” étaient offerts à la vue de tout le monde.
Il y a sûrement une raison pour laquelle nous avons laissé faire. Chose certaine, un peuple lucide et en pleine possession de ses moyens, les aurait mis à la porte sans hésitation.
@Hélios d’Alexandrie,
J’avoue qu’en cette période, je ne voyais que l’excitation des plus grands que moi. Ils semblaient vivre une aventure extraordinaire, dont je ne comprenais pas les enjeux.
Et puis entendre quand on est petit : “Il est interdit d’interdire”, faisait plutôt plaisir à pas mal de garnements en culottes courtes, et les petites filles idem.
@Hélios… “Héritage du traumatisme des parents” et de là des rages latentes qui perdurent éclatant ici et là où se trouvant camouflées par une expérience de nature religieuse, camouflage qui parfois se fendille et laisse exprimer la rage (cf. mes commentaires sur la rage gauchiste https://www.dreuz.info/2018/06/27/les-racines-religieuses-de-la-rage-gauchiste-par-helios-dalexandrie/#comment-620499 ). ,
Personnellement, mon père a été brutalement refusé à sa naissance par sa mère, son père décédant alors qu’il avait seulement trois ans. Et moi, d’être mis avec les appelés de l’assistance publique lorsque j’ai fait ce Service huMilitaire (lors d’un exercice de nuit, un gradé exigeant la mise en position de levrette pour un de ces appelés de l’assistance publique).
je partage l’analyse, sauf que je pense qu’il est trop tard. Beaucoup trop tard…
La démographie est la clé … et de ce point de vue les “souchiens” ont deja perdu la guerre…
J ai peur qu effectivement cela soit le lit de notre malheur. Ils le savent et accélèrent le nombre des acceptations de nationalisations.
Beaucoup de temps perdu…
Quel plaisir de lire ce genre d’analyse!
@Helios,
Merci pour ce brillant texte
Nous sommes d áccord pour l Éurope Centrale : les gouvernements en place s áctivent pour contrer l invasion
Je suis plus pessimiste pour l Éurope ex occidentale car qui va combattre?
Les berceaux sont vides et par consequent,dans un proche futur, les uniformes de l ármee ne sortiront plus de leurs depots…………………..
En outre , le deficit religieux est trop flagrant: au nom de qui/quoi combattraient ces trop maigres troupes???
En esperant sincerement avoir tort,
@ trump
Je vous cite: “…au nom de qui/quoi combattraient ces trop maigres troupes???”
Merci pour votre appréciation.
Votre question reflète un certain pessimisme qui se veut réaliste, et qui l’est bien entendu si la tendance actuelle se poursuit. Mais il faut se méfier des prophéties qui s’auto-réalisent. Si en effet la démographie détermine le destin des peuples, il n’est pas certain qu’elle soit elle-même prédéterminée, la raison en est qu’elle n’évolue pas dans le vide.
Le facteur économique doit être pris en compte comme d’ailleurs le facteur sécuritaire. Pour le premier, la plupart des pessimistes semblent croire que la France assumera toujours les coûts d’une immigration de peuplement improductive et dépendante en tous points sur la société d’accueil. C’est de toute évidence impossible et tôt ou tard la limite sera atteinte. Le second facteur est autant sinon plus important, je ne crois pas que les français accepteront que la violence islamique dépasse leur seuil de tolérance; les français n’auront pas le choix que de rendre les coups au centuple quand ils se retrouveront en état de légitime défense.
Dans une guerre civile c’est la partie qui possède les ressources les plus abondantes et les armes les plus meurtrières qui gagne. La dépendance des musulmans en France est leur talon d’Achille, ce ne sont pas eux qui produisent et qui détiennent le contrôle de l’économie. Leur force il la tire de la lâcheté des autorités et de la “patience stratégique” des français.
Le gouvernement collabo a réussi jusqu’à présent à garder le contrôle en intimidant les français, mais il se retrouvera tôt ou tard dépassé par les événements.
Je ne suis pas aussi assuré que vous le dites tant qu’a la capacité pour nous de combattre le virus les gouvernements se préparent a DÉSARMER LA POPULATION CIVILE, juste ici au Canada des lobbys presque insignifiants subventionnés par les gouvernements provinciaux culpabilisent les possesseurs légaux d’armes a feu et a partir du moment que vous en possédez vous êtes catalogués de criminels potentiels
Tout cela dans le but de n’avoir que les forces de l’ordre naturellement payées par
les gouvernements donc par nous citoyens. De plus toutes les statistiques sur la criminalité démontrent que la plupart des crimes sont commis a l’aide d’armes blanche et que les criminels, les vrais n’ont pas besoin de permis pour posséder des armes a feu on a aussi le culot de comparer les canadiens qui possèdent des armes a nos voisins du sud des mentalités complètement différentes. A noter tout cela dans un seul but ÉLECTORAL car toute la gauche est anti armes a feu.
Les journalistes sont de la partie et ne font que répéter les idioties gouvernementale.
Cher Hélios d’Alexandrie,
Je trouve votre texte magnifique. C’est rare de lire quelque chose d’aussi profond et d’aussi juste sur la situation actuelle de notre pauvre Europe. En ce qui concerne le nationalisme et son réveil sur notre continent, je pense qu’il s’est transformé peu à peu pour devenir … Européen. D’un nationalisme chauvin, circonscrit, étriqué et dangereux, et limité aux frontières des pays de l’Europe, il a subi une véritable mutation. Ce que les “nationalistes” et ” patriotes” veulent défendre et sauver n’est plus simplement leur nation d’origine, mais toute l’Europe. Une Europe dans laquelle ils se reconnaissent charnellement, et qui a une base commune: celle d’une longue histoire dans laquelle se mêlent des influences Celtiques, Nordiques, Ibériques et Gréco-Romaines. Tout cela a donné notre belle civilisation judéo-chrétienne. C’est cela que les “nationalistes ” européens veulent défendre aujourd’hui.
On peut etre contre l’Europe de Bruxelles dirigée par l’exécrable Merkel et les bureaucrates de Junker, et en même temps éprouver un profond attachement pour tout ce qui est Européen… Personnellement je suis Français ” de souche” , comme on dit, et un chrétien culturel de par mon éducation. Mon grand-père a fait la guerre de 14 contre les ” Boches” sans états d’âme et mon père celle de 40 contre les mêmes envahisseurs. Mais pour ma génération et la suivante, aller en guerre contre des Allemands est tout simplement impensable, inconcevable. Aujourd’hui, une guerre entre pays européens n’a plus de sens.
Par contre l’invasion migratoire arabo-musulmane programmée unit les patriotes de chaque pays d’Europe, autrefois ennemis, dans une cause commune: celle de la défense de la civilisation européenne. Les “Identitaires” de plusieurs pays d’Europe de l’Ouest ne s’y sont pas trompés, puisqu’ils ont appelé leur récent mouvement ” Defend Europe”.
Très modestement, à cette situation brillamment décrite, j’ose ajouter une cause omise par l’auteur et les commentaires érudits.
En effet, l’islamophilie des dégénérés au pouvoir en Europe occidentale, procède certainement, de leur volonté suicidaire, plus ou moins consciente.
Néanmoins, l’engouement massif pour l’islam véritable, c’est à dire cruel et hégémonique, procède à la fois d’une recherche désespérée, d’ordre et de rigueur, mais aussi, pour beaucoup, à l’antisémitisme extérieurement prôné par cet islam dur.
Quoique marginale en quantité, la position islamophile des mouvements LGBT occidentaux, incarne bien, l’absurdité et la volonté de suicide analysée par Hélios.
Et pour confirmer la convergence des nationalismes perçue par l’auteur, un petit clip, censuré sur Youtube : “Je suis populiste, comme ils disent…”
https://vk.com/video448638704_456239031
Cher Jacques Barrio,
Merci pour votre commentaire et votre appréciation. Je suis entièrement d’accord avec vous sur le fait que le nouveau nationalisme est enraciné à la fois dans le territoire national et dans le continent européen, il transcende désormais les particularismes et les langues.
Que l’invasion migratoire islamique soit perçue de plus en plus comme une menace existentielle par tous les européens, est un signe qui ne trompe pas de la fin prochaine d’une époque, celle où il était possible de culpabiliser à bon compte les peuples, pour leur faire accepter l’inacceptable.
La chevauchée mondialiste tire à sa fin et il n’est pas trop tôt, car le ciel s’assombrit à l’horizon. Les pays islamiques s’écroulent ou se décomposent et la démographie des africains est en expansion rapide. Les nationalistes, dès qu’ils prendront le pouvoir, devront se retrousser les manches, à la fois pour remettre de l’ordre et du bon sens dans leurs nations respectives, mais également pour prévenir le tsunami migratoire. Ils devront se donner les moyens d’endiguer pour ne pas dire bloquer l’immigration dans un premier temps, et par la suite il leur faudra aider et si nécessaire forcer les pays musulmans et africains à se sortir du trou.
Merci pour tous ces commentaires qui aident à prendre du recul face au lavage de cerveau réalisé jour après jour par nos médias collabos des islamistes….heureusement plusieurs Pays ( Europe centrale, Autriche, Italie) se dressent enfin contre tout cela….Mais, En France, on a du mal à voir Le bout du tunnel : Fillon avait écrit un livre ” comment vaincre le terrorisme islamique” … donc, Il Á été liquidé…qui pour le remplacer Et prendre les armes ? Á quand un véritable mouvement de Résistance ? Le pire, c’est l’indifférence des Français… qui ne sont plus du tout Français…
J’ai du mal à cacher mon pessimisme…Quand ma cousine d’Amérique s’inquiète pour nous…
C’est un suicide collectif assuré pour nous occidentaux et a moins d’une guerre ouverte contre ce fléau, nous périrons tous.
le danger islamique et le refus des élites d’en prendre acte et de l’affronter; il était plus facile pour ces derniers de réprimer les mécontents en les accusant de racisme, que d’appliquer les correctifs qui s’imposent. Du coup les populations, de plus en plus inquiètes, ont réalisé que dans l’ordre des priorités, leur sécurité physique et la préservation de leur mode de vie, se situent bien en dessous d’autres considérations, dont celles d’accommoder les musulmans et leur permettre de recréer en Europe le même type de société qu’ils avaient en apparence abandonnée.
Aline1
Vous êtes sur la coche, vous frappez dur et précis quand vous dites:
Profitant pour cela d’un phénomène tel celui d’Hitler, que l’on assimile à forcément une extrême droite, cela aussi est une forfaiture mise à mal. Les deux extrêmes se valant dans le danger d’instaurer un régime de dictature.
Hélios d’Alexandrie
Il faut vraiment être sur le site de DREUZ pour avoir l’heure juste et c’est avec des gens tels que vous que nous sommes bien informés.
MERCI A VOUS ET AUX INTERVENANTS qui ont les mots justes pour s’exprimer librement.
@Hélios d’Alexandrie,
Une autre belle analyse. C’est assez rare pour ne pas être souligné. Je puis comprendre qu’on ne soit pas d’accord avec le FN. Par contre la saisie de deux millions d’euros, les procès contre Marine le Pen ne sont pas le fruit du hasard. il s’agit d’affaiblir ce parti avant les élections européennes. Ce soupçon est renforcé par un procès contre la Ligue du Nord. Il leur est demandé quarante-neuf millions d’euros pour des remboursement de campagne électorale perçus par la Ligue du Nord de 2008 à 2010 par Bossi e l’ex-trésorier Belsito qui auraient (conditionnel) été détournés à leur profit personnel. Sans aucune preuve des magistrats peuvent saisir n’importe quel compte , bloquer toute opération. bancaire de la Ligue du Nord . Autant dire que ces deux partis sont dans une très mauvaise posture financière quelques mois avant les européennes. Cela fait beaucoup de coïncidences.
Tres juste analyse a laquelle je souscris entierement.
Mon probleme, est qu’en tant que juif, je regrette d’etre jete malgre moi dans les bras d’un parti comme le FN. Enfin bon, j’exagere, puisque je n’habite plus la France, mais je pense a mes correligionnaires qui doivent se poser la question.
Souvent l’identitarisme a puise sa force de cohesion dans l’exclusion, le juifs en etant souvent les victimes, c’est pourquoi je pense que ces partis ont un grand travail de recentrage pour ne pas rebutter les intellos juifs de France surtout.
Les beaux sentiers parcourus par les libres penseurs nous ouvrent les yeux sur la perte de nos repères. Nos vies déracinées nous ont coupé de nos terroirs, et la première crise migratoire revient de notre folie collective d’avoir migré en masse de nos campagnes et villages, vers des cités devenant des jungles urbaines.
Évolution décisive de nous voir abandonner la terre ancestrale, la ferme ou maison de famille, pour devenir des habitants anonymes et temporaires, empilés le long de rues asphyxiées, où les passages pour piétons sont déconseillés.
L’homme qui arpentait sa terre est devenu un migrant stressé, qui doit se frayer un passage sur le macadam d’un trottoir s’effritant á chaque coin de rue.
Aux enchevêtrurbains de ces jungles, décryptés désormais par les seuls GPS, ont correspondu ceux de l’Europe, qui ne sont plus décryptés par personne.
La patrie naissait dans les cours de ferme, où l’on apprenait jour après jour à aimer la terre, et à apprécier, bon gré mal gré, ses voisins,
Que nous apprennent les halls d’immeubles ?
Ce que nous appprennent les halls de départ des gares ou aéroports : l’annonce de notre futur départ.
Nous sommes devenus des migrants, à vie.
Qui peut en vouloir aux passeurs après cela, de nous entasser pour rejoindre l’Europe…
Le gaucho mondialisme est bien le rejeton de ce qu’as laisser comme héritage les deux guerres mondiales
La droite globaliste mondialiste est anti nation et anti nationaliste tout comme l’extrême gauche
Elle se situe économiquement a droite et socialement a gauche et elle est sensible au discours et aux revendications des gauchos anti nation et anti identité nationale
Un exemple de cette nouvelle forme d’alliance entre les globalistes mondialistes de la droite et ceux de l’extrême gauche comme partout en Europe c’est aussi au Québec
Le parti libéral de Couillard est aussi multiculturaliste et aussi anti nationaliste que le parti d’extrême gauche Québec solidaire a qui Couillard as accorder une commission sur le racisme systémique qui ne visait qu’ a s’en prendre aux de souches,aux nationalistes et a deux partis …la Caq d’une droite plus nationaliste et le PQ plus indépendantiste a gauche…. tout deux qualifier de partis racistes et intolérants par l’entourage de Couillard qui est un pur et dur de la droite globaliste mondialiste anti nationaliste
Couillard partage les mêmes points de vue que Québec solidaire autant sur l’immigration de masse que sur la présence de l’islamisme au Québec
Les québécois de souche souvent des nationalistes sont capables de s’apercevoir de ce qui se prépare a travers les discours des globalistes mondialistes anti nationaliste comme ceux de Couillard et ceux de l’extrême gauche anti nationaliste , anti laicité et anti identité de Québec solidaire
Présentement selon les sondages Couillard serais défait par une coalition nationaliste qui ne porte pas officiellement son nom…..celle entre Legault et des indépendantiste du pq et du peu de nationaliste qu’il n reste au parti libéral qui vont rejoindre le parti Legault en vue de faire battre Couillard aux élections d’octobre ,d’ou les attaques féroces du globaliste Couillard et de son entourage qui s’emploie a faire passer Legault et son parti pour raciste .
Les nationalistes québécois affaiblis et attaqués se toute part par les globalistes de la droite mondialiste, l’extrême gauche anti identité québécoise de Québec solidaire et les multiculturalistes n’ont pas dit leur dernier mot et ils en ont conclus que le meilleur moyen de se débarasser du plus grand danger qui les guettent présentement c’est Couillard , un globaliste mondialiste anti nation et qu’ils valaient mieux présentement rejoindre la Caq de F. Legault pour s’y stationner en attendant des jours meilleurs
Le clivage gauche droite vas se transformer de plus en plus partout en occident en une lutte entre mondialistes de la droite anti nation et les patriotes, les nationalistes qui tiennent a protéger leur traditions ,leur culture ,leur coutumes ,leur histoire,leur nation ,leur frontieres nationales et surtout leur identité nationale que les globalistes mondialistes de droite et leur idiots utiles de l’extrême gauche pro islam veulent éradiquer et voir disparaitre pour faire place a un mondialisme totalitariste diriger par trois ou quatre grands ensembles qui déciderons de ce qui est bon de faire a leur place et leur imposerons des politiques économiques et migratoires désastreuses qui ont pour but de saper de l’intérieur leur cohésion comme nation
@Yvan
Je suis d’accord avec votre analyse sur la situation du Québec. J’ai habité à St Léonard et je suis très souvent dans la Belle Province. Je me trouvais chez des amis à Montréal quand le sieur Couillard est arrivé au pouvoir, mon épouse a dit à nos amis: c’est une victoire pour les musulmans. Ce qui s’est avéré exact.
Mais ce qui compte pour le parti libéral de Couillard et donc de Jean Charest, est de faire disparaître l’identité québecoise et francophone ou du moins de la réduire à un rang très minoritaire.
Quant à l’article de Hélios d’Alexandrie, il est absolument remarquable de justesse. Notre culture judéo-chrétienne est devenue comme une étoile pâlissante, il n’y a donc plus de raison qu’elle soit.
Le retour à la foi et à la Parole de Dieu nous fera découvrir, ou redécouvrir nos racines. Seuls le christianisme et Israël ont les mêmes racines, pas l’islam.
TRES BON RESUME
l’europe peut et doit se reveiller.la situation empire et devient insupportable .certains pays de l’est ont compris comment survivre a ce raz de mare qu’est l’invasion musulmane qui ne veut pas s’assimiler et imposer ses coutumes inacceptables pour l’ensemble des europeens.
ces memes europeens commencent a comprendre et prennent conscience du danger doivent se constituer en groupes ou partis politiques pour contre les traites et les deserteurs de la civilisation.
il est cerrain que les prochaines elections seront bridees ( pour ne pas dire plus ) afin d’empecher les resistants a se manifester. la patience a des limites et un jour cela eclatera les armes a la main.
il faut arreter les ong ( TRAFIQUANTS D’ESCLAVES ) et couler leurs bateaux mettre leur equipage sur une barque et les laisser deriver