L’actualité est chargée. A peine ai-je eu le temps de songer à rédiger un article sur la façon dont a été fêtée la victoire de ce qui s’appelle équipe de France de football par une jeunesse de banlieue que le monde nous envie que Donald Trump était à Helsinki.
Ayant aussi peu de goût pour le football que pour l’huile de ricin, et craignant de répéter ce que j’ai déja dit sur la jeunesse de banlieue, je préfère traiter de Trump à Helsinki. Je devrais donc être convaincu, si je lis les journaux, que Donald Trump est un agent russe et un traitre à son pays, et que Vladimir Poutine le domine.
Et j’y pense. C’est vrai ! Bon sang, mais c’est bien sûr ! Trump a offert au ministre des Affaires étrangères de Poutine un gros bouton de plastique jaune sur lequel était censé être écrit le mot перезагрузка, redémarrage (en fait le mot écrit était перегрузка, surtension, mais il n’y avait apparemment personne qui parlait russe à Washington). Non, je me trompe. C’était Hillary Clinton agissant sur ordre d’Obama.
Je réfléchis davantage. Trump a dit à Medvedev, bras droit de Poutine qu’il aurait bientôt beaucoup de “flexibilité” et il a même, en parlant, caressé la main de Medvedev. Non, je me trompe encore. C’était Obama qui caressait la main de Medvedev.
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Je réfléchis encore. Trump n’a rien dit quand Poutine a annexé la Crimée et déstabilisé l’Est de l’Ukraine. Non, décidément, je ne cesse de me tromper. C’est au temps où Obama était Président que cela s’est passé.
Je me tromperais aussi si je disais que c’est Trump qui a signé un accord monstrueux avec l’Iran, allié de la Russie accompagné d’un chèque de 1600 milliards de dollars, et si j’ajoutais que c’est Trump qui après avoir laissé se créer l’Etat Islamique a laissé la Russie reprendre pied au Proche-Orient et s’installer en Syrie comme en pays conquis. Tout cela c’était Obama encore et toujours.
Quand on lit les journaux, on finit par avoir des idées aussi confuses que celles qui hantent la tête de la plupart des journalistes.
Je dois donc chercher des preuves de la collusion de Trump avec la Russie dans une période plus récente. Pendant la campagne électorale de 2016, un dossier destiné à déstabiliser Trump a été confectionné par un ancien agent britannique qui a utilisé pour cela des éléments (faux) fournis par les services de renseignement russes, et ce dossier a été confectionné sur demande et avec financement d’un candidat à l’élection présidentielle américaine. Ce candidat était une candidate et c’était Hillary Clinton. Je devrais penser que c’est une preuve contre Trump ? Allons…
Ce dossier a été utilisé par le FBI pour tenter de déstabiliser le Président Trump entré en fonction : le FBI, truffé de gens mis en place par Obama s’est donc fait l’instrument d’éléments venant des services russes, et quand Trump s’est aperçu que le FBI avait un comportement douteux, il a limogé son chef, James Comey, sur conseil du vice ministre de la Justice Rod Rosenstein. Je devrais voir là une preuve contre Trump ? Allons, vraiment…
Rod Rosenstein s’est révélé être un agent double et après avoir recommandé à Trump de limoger Comey, il a nommé, un procureur spécial, Robert Mueller pour qu’il enquête sur le limogeage de Comey (qu’il avait recommandé !) et sur la “collusion” de Trump avec la Russie, alors qu’il savait que la “collusion” n’existait pas, car il savait tout du dossier frelaté utilisé contre Trump. Robert Mueller mène donc une enquête fondée sur un dossier frelaté et le sait très bien. Tout comme il sait que ce dossier repose sur des éléments, faux, venus des services russes et destinés à salir Trump. Mueller s’emploie à disséminer des rumeurs puantes que la presse mondiale s’empresse de reprendre, et met en examen des gens dont il démolit la vie et dont le seul tort est d’avoir travaillé pour Trump. Cinq Américains sont mis en examen. Trois pour s’être légèrement contredits sur une heure de rendez-vous lors d’interrogatoires menés à plusieurs semaines d’intervalle (mais si vous me demandez ce que je faisais a dix-sept heures le 5 octobre de l’an dernier, je vous dirai que je ne sais plus, et si vous me dites qu’il était quatre heures et pas cinq, je vous dirai peut-être), deux pour des accusations de fraude fiscale remontant à il y a quinze ans. Les autres inculpés sont des Russes qui n’ont jamais mis les pieds aux Etats-Unis et dont rien n’indique qu’ils existent. Zéro mis en examen pour “collusion”. Et un dossier frelaté base sur des éléments, faux, venus des services russes. Je devrais penser que Trump est coupable ? Vraiment, oui vraiment. Qui prend-on pour un imbécile ?…
Si preuves de collusion il y a, ce sont des preuves de collusion entre Hillary Clinton et l’administration Obama finissante et la Russie, avec complicité de Rod Rosenstein et participation active de la direction du FBI sous Obama.
Vous voulez d’autres preuves de collusion de la part de Trump ?
Trump a envoyé de l’armement lourd à l’Ukraine pour que l’Ukraine puisse se défendre face à la Russie, ce qu’Obama n’a jamais fait.
Trump a expulsé soixante diplomates russes et fermé le consulat russe de Seattle après l’empoisonnement de Sergei Krispal et de sa fille au Royaume-Uni. L’insipide Theresa May a eu une réaction infiniment plus tiède.
Trump a organisé voici peu des manœuvres militaires conjointes avec la Pologne et les pays baltes aux fins de contrer fermement des menaces russes, ce qu’Obama s’est toujours refusé à faire.
Quand des forces russes ont tenté de s’emparer de positions kurdes tenues conjointement par les Kurdes et l’armée américaine en Syrie il y a trois mois, Trump a donné l’ordre de tirer. Il y a eu deux cents morts dans les forces russes. Vous n’en avez pas entendu parler ? Etonnant, non ?
Lors du récent sommet de l’OTAN, Trump a demandé fermement aux Européens d’accroitre leur budget de défense et rappelé que la Russie reste une menace pour l’Europe. Il a reproché à Angela Merkel d’acheter du gaz et du pétrole à la Russie, de se placer ainsi en situation de dépendance et de financer dès lors la Russie.
La “collusion” est évidente, non ? La domination de Poutine aussi.
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Et en quoi donc, Poutine a-t-il “dominé” à Helsinki ?
Trump à Helsinki a dit qu’il avait confiance en les services américains, mais a ajouté que Poutine niait toute ingérence dans les élections américaines. C’était un constat. Juste un constat : Poutine a nié toute ingérence. Trump n’a pas montré de défiance envers ses propres services et le constat qu’il a effectué n’était pas une approbation. Un constat n’est pas une approbation. (il a, ce mardi, corrigé une phrase en disant qu’on l’avait mal compris, mais qui voulait comprendre a compris d’emblée, qui fait l’âne reste un âne).
Trump à Helsinki a dénoncé la chasse aux sorcières menée par Mueller et il a eu raison. C’est une chasse aux sorcières. Mueller ne fait pas partie de l’administration Trump. Il est une tumeur cancéreuse au flanc de l’administration Trump, mise en place par un agent double au sein de l’administration Trump : Rod Rosenstein.
Trump a ajouté que ce qui s’est passé à la fin de l’administration Obama était très suspect, et il a raison. Il a parlé du serveur internet du parti démocrate que le parti démocrate a soustrait à toute enquête avec la complicité de James Comey et dit que cette soustraction était très suspecte, et il a raison. Il a évoqué d’autres éléments très suspects datant de cette période, à juste titre.
Poutine n’a rien dominé du tout. L’ensemble de ce que je viens de décrire concerne des manœuvres démocrates anti-Trump, et Trump a décrit ce que Poutine a dit.
Trump était venu à Helsinki pour parler de choses sérieuses : la Syrie et l’Iran, Israël, la Corée du Nord, l’Ukraine. Il a procédé comme il procède avec les adversaires des Etats-unis. Il leur tend la main tout en leur demandant des gestes concrets. Il leur donne la possibilité d’accepter l’offre qu’il leur fait sans les humilier. Il le fait tout en ayant mis sur eux une pression intense auparavant. Et il attend. Si cela s’avère nécessaire, il accentue la pression. Il a proposé des deals à Poutine, sans l’humilier et sans le traiter de menteur. Il sait qu’humilier Poutine ou l’insulter aurait été la meilleure façon d’échouer.
Les Démocrates et l’Etat profond auraient voulu que Trump échoue : que Rod Rosenstein ait annoncé publiquement vendredi dernier la mise en examen par Mueller (sans preuves) de douze Russes accusés d’avoir tenté d’influencer l’élection présidentielle de 2016 était une machination destinée à faire échouer Trump et à le contraindre ou bien de renoncer à rencontrer Poutine, ou bien d’humilier ou d’insulter Poutine. La troisième possibilité était que Trump fasse ce qu’il a fait, et je suis certain que les attaques vicieuses et hystériques contre Trump qui déferlent depuis étaient prêtes à être énoncées dès vendredi si Trump choisissait la troisième possibilité.
Les Démocrates s’agitent comme des animaux en rut. Les journalistes des grands médias se comportent comme s’ils avaient la rage. L’establishment républicain a rejoint la cohorte.
Le but de tous ces gens est non seulement que Trump échoue, mais qu’il soit destitué. C’est ce qu’ils cherchent depuis qu’Hillary Clinton a perdu.
Les conséquences de leur comportement délirant pour les Etats-Unis et pour le monde sont le dernier de leurs soucis.
Si Trump avait renoncé à la rencontre ou humilié ou insulté Poutine, ils auraient répété que Trump est un crétin. Dès lors que Trump a suivi sa voie, ils le traînent dans la fange, une fois de plus, mais en y rajoutant une exacerbation.
Lors de la conférence de presse à Helsinki, aucun journaliste de la presse internationale n’a posé de questions géopolitiques, aucun (les journalistes qui l’ont fait étaient des journalistes russes, c’est un fait). Ils n’ont posé des questions que sur la “collusion” (inexistante) entre Trump et la Russie, sur Mueller, sur ce qu’a dit Rosenstein. Un journaliste américain a demandé explicitement à Trump de dire à Poutine que c’était un menteur (donc d’insulter Poutine en direct). Un autre journaliste américain a demandé à Poutine s’il avait des documents “compromettants” sur Trump.
Ce qui se passe dans le monde n’intéresse pas ces gens-là.
Seule la haine frénétique qu’ils vouent à Donald Trump les motive. Et s’ils devaient provoquer une guerre mondiale pour se débarrasser de Trump, il semble presque certain qu’ils le feraient.
J’observe la vie politique américaine depuis une cinquantaine d’années. J’ai vu de la haine jaillir et des machinations se mettre en place. Ce qui a abouti à la démission de Richard Nixon a été empli de haine. La présidence de George Walker Bush a vu aussi des jets de bile incessants.
Je n’ai rien connu de comparable à ce qui se passe depuis que Trump est arrivé sur la scène politique américaine.
C’est la conséquence de la longue marche des gauchistes dans les institutions depuis les années 1960. C’est la conséquence de la présidence islamo-gauchiste d’Obama. Les Etats-Unis vivent un moment très dangereux. Le monde vit lui aussi un moment très dangereux.
Poutine peut avoir toutes les raisons de se réjouir de ce cirque. Mais il n’est pas le seul. Xi Jinping doit être très content. Ali Khamenei aussi. Kim Jong Un doit observer tout cela de loin et se dire qu’avec un peu d’aide supplémentaire des Démocrates, de l’Etat profond et des grands médias, il pourra bientôt reprendre ses activités nucléaires.
Que Trump ait accompli ce qu’il a accompli depuis qu’il est Président montre la force de cet homme. Aucun de ses prédécesseurs n’a subi ce qu’il subit de la part de ses ennemis intérieurs. Aucun. Et il avance quand même.
Juste un mot supplémentaire. Poutine et la Russie sont des adversaires des Etats-Unis et du monde occidental. Mais Poutine est un être rationnel, adepte de la realpolitik. Il est possible de passer des accords avec lui, sur la base de rapports de force. C’est ce que fait Trump. Poutine sait que la Russie n’est plus une grande puissance, mais c’est un patriote russe, et il n’acceptera pas d’être humilié. Le PIB de la Russie est aujourd’hui inférieur à celui du Canada et équivalent à celui de la Corée du Sud ou à celui du Texas, qui n’est que l’un des cinquante états américains. Mais la Russie reste une puissance militaire et nucléaire. Ces paramètres doivent être pris en considération.
Ceux qui trépignent au nom de leurs obsessions anti-russes et de leur haine de Trump pour que ne soient pas révélées les turpitudes abjectes de Hillary Clinton et de l’administration Obama finissante, et pour que Mueller n’apparaisse pas comme un imposteur sont davantage que des irresponsables et détournent les regards de ceux qui les écoutent des réels problèmes existant sur la planète. Ce comportement est criminel. La Russie n’est pas le problème majeur aujourd’hui.
Une phrase de Donald Trump peut être retenue en ce contexte : “Je préfère prendre un risque politique en recherchant la paix que de prendre un risque pour la paix en recherchant des intérêts politiques”. La paix dont parle Trump est la paix par la puissance. Ses adversaires veulent détruire toute stabilité. Ils veulent le chaos par l’impuissance.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
Bonjour Monsieur Millière,
accuser Poutine de tous les maux c’est indirectement trouver une excuse aux « politiciens » européens. Il n’en ont aucune. J’espère que Trump va réduire unilatéralement sa contribution à l’OTAN. Par contre pourquoi ne fait-il rien contre Erdogan? On ne vous entend guère à ce sujet.
Trump ne saurait être au four et au moulin. Chaque chose en son temps.
Avancer sur le terrain de la findanlisation de l’Amérique par la Russie, est le bouquet final du feu d’artifice des médias.
Trump a joué son match à huis-clos durant 2 heures, et nul des saltimbanques n’a eu accès à la fonction replay. Il est assez probable qu’il n’ait perdu la moindre seconde pour évoquer l’air du temps, pour préférer proposer un deal à Poutine sur le seul vrai sujet qui le préoccupe désormais à l’international, savoir la paix au Moyen-Orient.
La logique d’un bâtisseur qui construit étage après étage, est toujours organisée autour d’un plan complexe, précis et surtout préoccupée de la solidité et de la sécurité.
Trump veut bâtir la paix, quand les médias veulent nous communiquer leurs vertiges…
En bon maître d’ouvrage, il a su qualifier deux maîtres d’oeuvre (les deux présidents chinois et russe) susceptibles d’assurer sa bonne exécution.
On devrait tous espérer la livraison proche de cette paix certifiée conforme…
Bonjour m Miller
Heureusement que lorsque les tribunaux américains entendront les fausses preuves que Mueller et sa clique de gauchiste ont fabriquées pour attaquer sournoisement le President Trump, ils finiront eux aussi en prison avec cette canaille de Clinton.
J’ai tellement hâte au proces de Manafort qui est injustement traité par Mueller. Lorsqu’il sera innocente, j’espère qu’il sera Recompense par le President pour ses services
Merci Mr Millière pour cette belle accumulation de faits clairs et nets en faveur de Trump… qui avance lentement mais sûrement…
Ce qui me révolte, c’ est le comportement vicieux des Républicains qui relaient la propagande d’égout des démocrates…Quel intérêt ont-ils de déstabiliser Trump ? Ils veulent, eux-aussi le retour d’ Hillary ?
Avez-vous une explication ?
Cela me rappelle la trahison de plusieurs hommes de droite qui ont tiré dans le dos de François Fillon… ils sont maintenant dans le gouvernement Macron…
Excusez-moi un instant… je vais vomir… Puis je reviens…
Résistance
PRÉSENTEMENT RÉPUBLICAINS ET DÉMOCRATES sont du même bord facile a comprendre, d’abord ils se connaissent tous et toutes, ils font parti de l’establishment politique des USA depuis de nombreuses années pour la plupart, regardez la CLINTON seulement 35 ans a Washington c’est pas rien, MAC CAIN
même chose. ce sont presque tous les seuls propriétaires des USA. Mais, là ça les dérange de voir ce TRUMP qui n’est pas de leur SÉRAIL, il n’est pas de la GANG.
JAMAIS ils ne l’accepteront, ILS SONT LES ENNEMIS INTÉRIEURS DES USA.
Très bon article.
Les démocrates ne sont pas des gens intéressants.
cela me semble évident que Trump est un agent russe… et que Poutine est son chef….
@ azoi
Moi, il me semble évident, si vous êtes sérieux en émettant une pareille ânerie après avoir lu cet article (supposé que vous l’ayez lu), que vous avez complètement perdu les pédales, victime de votre TDS (Syndrome de Dérangement Trump). Comme on n’a pas encore trouvé l’antidote, vos chances de recouvrer la raison sont pratiquement inexistantes. Tough luck.
Je prends votre commentaire comme une ironie.
Ne soyez pas trop dur avec Obama, Monsieur Millière : il a quand même envoyé des couvertures en Ukraine au moment de l’offensve russe.
Merci pour cette mise au point, M. Milière.
Il est vrai qu’ici en France, c’est l’hystérie dans les médias dès qu’il s’agit de Donald Trump, et qu’il est nécessaire de venir s’informer sur Dreuz pour échapper à une atmosphère que les médias rendent littéralement oppressante.
Sur les propos du Président Trump au sujet de l’affaire de l’ingérence russe, un journal français, s’appuyant sur l’AFP, prétendait que ses déclarations ont fait l’unanimité contre lui aux USA.
Cet article citait trois personnes que je sais n’être absolument pas dignes de foi : John McCain, Chuck Schumer, chef de l’opposition démocrate au Sénat, et Nancy Pelosi.
Il citait aussi Paul Ryan, « chef de file des républicains au Congrès américain », celui-ci ayant semble-t-il déclaré « Donald Trump doit réaliser que la Russie n’est pas notre alliée ».
Évidemment, quand je lis un média français, spécialement à propos de Donald Trump, je suis toujours méfiant. Cela dit, l’unanimité contre Trump que semble montrer cet article va dans le sens de votre phrase : « Les Démocrates s’agitent comme des animaux en rut. […] L’establishment républicain a rejoint la cohorte. » Et je trouve cela inquiétant, 18 mois après l’entrée en fonction de Donald Trump…
L’establishment républicain a toujours été contre Trump, mais il y a aussi les Républicains issus des tea parties qui soutiennent Trump et, surtout, les électeurs de Trump, qui continuent a le soutenir massivement.
Il y a aussi des pro Républicains, des patriotes qui mettaient de la CAPCHA
Je ne suis pas un endémie du monde libre.
Je n’aime pas la nuit du Pédé Noir organisée par Macron , un sale mec aux mœurs plus que douteuses .
Alors Pourquoi me censurer ???????????????????????????????
Sur les télés européennes , Trump ( en traduction ) reconnait une intervention de la Russie dans la campagne des élections US !!!
Les gauchistes occidentaux ont patiemment construit un monde où l’occident et l’homme blanc sont les ennemis. Il faut que l’Europe devienne africaine et que les USA deviennent un puissance moyenne.Aux USA Républicains et Démocrates étaient d’accord sur l’essentiel pour cela, et montaient en chandelle leurs désaccords sur des sujets mineurs.En Franc idem entre la gauche et la droite, accord sur l’essentiel et faire semblant de ne pas être d’accord. Quand Fillon a voulu changer cela , il s’est vite trouvé écarté. D. Trump a réussi a passer , alors ils sont devenus fous aux USA et en Europe.D. Trump a une vision et j’espère qu’il finira par triompher. Merci encore à G. Millière de nous informer.
Merci beaucoup.
Chapeau monsieur Millière!
Une autre (rare) perspective intéressante : https://www.contrepoints.org/2018/07/18/320470-rencontre-trump-poutine-le-retour-en-grace-du-realisme-politique
Bonjour M. Millière,
Bon article où vous décrivez sans concessions, comme toujours, les manoeuvres de la meute médiatique. Ça m’intéresserait d’en savoir plus sur le faux dossier confectionné sur demande et avec financement d’Hillary Clinton par un ancient agent britannique sur Trump. Je ne suis pas au courant. De quoi s’agit-il, quelles sont les éléments de preuve? Merci.
J’en ai traite dans plusieurs articles et j’ y reviendrai. L’agent britannique en question s’appelle Christopher Steele. Hillary Clinton a passe commande du dossier a une entreprise appeler Fusion GPS, spécialisée dans ce genre de choses sales. Toutes les preuves existent, et peu a peu la justice va finir par s’en occuper.
Merci au Prof. Guy Millière pour cet article où il n’y a rien à redire. Je connais bien la mentalité russe. Très bien même. Trop bien parfois (tellement c’est prévisible). Je ne développerai pas mon affirmation car ce serait trop long. Ce que je peux dire est que eh bien non le Président Trump n’est pas du tout un agent russe. Cela est tout simplement IM-PO-SSI-BLE. Il n’y a pas de « oui, mais », ni de « non, peut-être ». Hillary et Obama ne sont pas non plus des agents russes. Mais accuser DJT de collusion avec Poutine à qui il devrait son élection est tout simplement du délire. Ce n’est pas comme ça que fonctionne le pouvoir en Russie. C’est à la fois plus simple et plus complexe. Mais je n’en dirai pas plus. Si maintenant dreuz souhaite un briefing sur la Russie, je peux le lui donner séparément. Mais je crois qu’ils n’en ont pas besoin. Ils en savent assez. Enfin, la citation de DJT qui sert de conclusion en dit long sur la courage et la détermination d’un Président US que j’admire de plus en plus. Sans blague!
Merci beaucoup. Je reviendrai sur le sujet.
Assez hallucinant de mauvaise foi, votre paragraphe bégayant sur la monumentale, astronomique, gigantisme bourde de Trump lors de ce sommet…
Le verbatim de la conférence de presse du POTUS est pourtant limpide.
« My people came to me, Dan Coates, came to me and some others they said they think it’s Russia. I have President Putin. He just said it’s not Russia.
I will say this: I don’t see any reason why it would be. But I really do want to see the server but I have, I have confidence in both parties. »
Son retro-pédalage ahurissant (une soi-disant erreur de syntaxe), contraint et forcé par son équipe et par le déluge de critiques (même Fox News, qu’on ne peut de bonne foi taxer de gauchisante…) est une disgrâce pour les États -Unis, dont l’image n’aura jamais été autant écornée, même sous Obama.
J’ai déjà dit sur ce site dans d’autres commentaires qu’il faut juger Trump sur ses actions et non sur ses prises de parole, mais au vu de cette récente prestation il est urgent qu’il use de ces dernières avec plus de parcimonie.
Compte tenu de tout ce que Trump FAIT, justement, ainsi d’ailleurs que l’article de Guy Millière le rappelle, on peut quand même accorder à Donald Trump, qui a tant et tant à dire et faire tout au long de la semaine, le bénéfice de la bonne foi, quand il indique qu’il aurait dû dire « wouldn’t » au lieu de « would ».
La véritable curée anti-Trump, l’hystérie médiatique déclenchée par cette -évidente, au regard des FAITS, encore une fois – erreur de syntaxe est, quant à elle, à mettre en relation avec la malhonnêteté foncière, la malveillance systématique, les actes hostiles innombrables, de ses adversaires.
Refuser que le Président Trump puisse, de temps en temps, commettre une erreur (qui n’en fait jamais ?) est au minimum peu charitable, au maximum de la mauvaise foi.
Trump n’a pas fait d’erreur. Il a répète ce qu’il a dit plusieurs fois. Il ne s’attendait pas a des reactions aussi délirantes, meme s’y a des reactions délirantes a chacun de ses propos. Il a trouve cette explication, would, would not, pour calmer la situation, C’est tout. Je vais revenir sur le sujet. Il n’a aucune raison pour avoir confiance dans les services de renseignes américains qu’Obama a farci de traitres.
Ah, d’accord… c’est une information très importante que vous nous donnez là, M. Millière. Impatient que vous reveniez sur le sujet !
Vous êtes en train de nous dire, Mr Millières, que Le Président Trump ment ouvertement et publiquement en inventant cette prétendue faute de syntaxe « pour calmer la situation » ?
Qu’il a de bonnes raisons d’accorder autant de confiance à la parole de Vladimir Putin, semi-dictateur à la tête de la principale puissance guerrière rivale des USA, qu’a celle de l’unanimité de ses agences du renseignement ?
Ouahouh.
Votre « petit doigt » doit vous en raconter, des trucs…
J’ai hâte d’en lire plus.
Un nouvel YALTA s’est dessiné à HELSINKI, … Avec au centre Israël !
Les deux super puissances atomiques ont décidé de soutenir Israël, au grand damne des Européens.
Juste après le sommet d’Helsinki, Donald TRUMP a déclaré !
‘POUTINE aide sérieusement NETANYAHU, ce qui est bon POUR NOUS TOUS’
Le président américain confie à Fox News, après son sommet, que le président russe aide Israël « ce qui est bon pour nous tous ».
De: World Israel News Staff
Le président américain Donald Trump a déclaré lundi après son sommet avec son homologue russe Vladimir Poutine que de « très bonnes conclusions » avaient été tirées concernant Israël.
Il a également déclaré que Poutine était un fervent défenseur d’Israël et du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
« Nous sommes arrivés à beaucoup de bonnes conclusions. Une très bonne conclusion pour Israël. Quelque chose de très fort « , a déclaré Trump à Fox News immédiatement après la fin du sommet à Helsinki.
Trump a déclaré que Poutine était « un croyant en Israël.
« Il est un fan de Bibi « , at-il ajouté, utilisant le surnom de Netanyahu. « L’aider vraiment beaucoup et l’aider beaucoup, ce qui est bon pour nous tous. »
Trump a déclaré que Poutine veut également s’attaquer au terrorisme, bien que le leader russe affirme que la sortie des Etats-Unis de l’accord nucléaire iranien représente un point de friction avec le Kremlin.
Trump n’a pas donné de détails sur ce qui a été discuté concernant Israël lors de la réunion d’Helsinki, où la présence de l’Iran en Syrie devait être un sujet de conversation principal entre les deux dirigeants du monde.
Netanyahu a rencontré Poutine à Moscou la semaine dernière pour discuter du retranchement iranien en Syrie. Samedi, Netanyahu a parlé à Trump par téléphone au sujet de la question. Israël a essayé de rallier la Russie pour soutenir le retrait des milices soutenues par l’Iran le plus loin possible de la région frontalière sur les hauteurs du Golan.
Lors d’une conférence de presse conjointe avec le leader russe, Trump a déclaré que Moscou « voudrait faire certaines choses avec la Syrie en rapport avec la sécurité d’Israël … Nous aimerions absolument travailler pour aider Israël, et Israël travaillera avec nous. Donc, les deux pays travaillent conjointement [à cette fin]. »
Trump a ajouté que « créer la sécurité pour Israël est quelque chose que Poutine et moi aimerions voir beaucoup ».
Lors de la conférence, M. Poutine a déclaré que lors de sa réunion en tête-à-tête « très réussie », Trump a mis un accent particulier sur le maintien de la sécurité d’Israël.
Il a déclaré que lui et Trump étaient d’accord pour sécuriser la frontière entre Israël et la Syrie , conformément à l’accord de désengagement des forces de 1974 suite à la guerre du Yom Kippour.
Quand les forces terroristes sont anéanties dans le sud et l’ouest de la Syrie, Poutine a déclaré: « La situation sur les hauteurs du Golan doit être rétablie à ce qu’elle était après l’accord de 1974 qui fixait les conditions du désengagement des forces entre Israël et la Syrie ».
Dans un communiqué publié lundi après la conférence de presse, M. Netanyahu a remercié les deux dirigeants pour leur engagement en faveur de la sécurité israélienne.
Il a fait l’éloge de Trump en disant que « l’amitié entre Israël et les Etats-Unis n’a jamais été aussi forte ».
Netanyahu « apprécie beaucoup la coordination sécuritaire entre Israël et la Russie et la position claire exprimée par le président Poutine concernant la nécessité de respecter l’accord de séparation des forces de 1974 entre Israël et la Syrie », ajoute le communiqué.
Beaucoup de choses positives discutera Helsinki, dont celles-ci. Effectivement
Merci à vous, Guy Millière, pour cet excellent article, j’apprécie votre analyse pertinente basé sur des faits.
Kiev, le 19 juillet 2018.
Eric
(Vivant et travaillant en Ukraine, et Russie depuis 25 ans)
Trump, que j’estime, m’a déçu, car il s’est tout de même montré incohérent et faible à ce propos, puisque sous la pression de toute une série de politicards hystériques et malintentionnés de son pays et d’ailleurs, il s’est dédit en revenant aux Etats-Unis, puisque, donc, il a désavoué la confiance qu’il avait mis en les assurances de Poutine.
Ce désaveu est nuisible à la fois à sa politique intérieure et à sa politique extérieure.
C’est juste une attitude tactique passagere. Pour calmer l’hystérie.
poutine est un nationaliste (make … great again)
poutine est conscient du danger des islamistes (la france disait que al nosra faisait du bon boulot) la gb et les usa fournissent des armes à l’armée syrienne libre (libre de tuer des chrétiens!)
les russes ont abandonné leur doctrine mortifère communiste mais les dirigeant occidentaux les considèrent comme des pestiférés! il serait temps que trump s’en fasse des alliés.
Bonjour,
en fait, pour l’Ukraine, pendant Maïdan, les US ont poussé la Lithuanie a déployé leurs troupes (5000 hommes) à la frontière avec la Russie.
La Russie a aligné 50 000 hommes, plus tanks, avions etc.
Là… La Lithuanie a compris que même avec le « support » des US (administration Obama), au moindre faux pas, leur pays n’existerait plus. Il me semble que c’est le discourt tenu par le ministre des armées russe.
Le but était clair : provoquer un conflit.
les US ont eu la main sur toutes les révolutions de couleurs y compris Maïdan.
Bonjour Mr Millère
Votre analyse est très explicite, nous explique très bien la politique étrangère du 45 ème Président américain et les changements radicaux qu’il se propose d’établir sur la scène internationale..
Je me souviens très bien de la crise de Cuba d’Octobre 1962 , j’avais 14 ans et nous avions eu très peur. Le danger de destruction planétaire était à notre seuil. Mieux vaut avoir de bons rapports avec la Russie que de nous les mettre contre nous..
A chacun son orbite d’influence géopolitique et les Russes ont la leur. La base navale russe de Tartus au Nord de la Syrie est stratégique pour la Russie et les ventes d’armes à l’Iran font partie de leurs mesures de contre-poids aux interventions militaires des Occidentaux en Afghanistan, Irak et Syrie .
Il faut être très naif pour ne pas reconnaître la puissance nucléaire de la Russie.
Avoir le Président Poutine de son côté c’est bien si Donald Trump veut finaliser la dénucléarisation de la Corée du Nord et mettre fin aux ambitions chinoises en mer de Chine ainsi que leur hégémonie dans le commerce mondial
Les Démocrates aux USA et leurs pseudo amis dans les médias ainsi qu’en Europe ont prouvé une fois de plus que leur haine terrible vis à vis de Donald Trump, sa famille et ses amis ( attaque d’hier sur NBC contre Juge Jeanine Pirro de Fox News ) les aveugle totalement. Cette haine maladive s’intensifie pour atteindre des limites jamais vues dans ce monde super hypocrite et souffrant de troubles mentaux , cet univers fou qu’est le groupe des NeverTrumper, un monde maléfique souffrant éternellement du Syndrome Trump Derangement !
Cette folie coutera très cher aux Démocrates aux élections Mid-Term de Novembre prochain . Donc à mon avis cela joue en faveur de Trump qui continue de créer des millions de Jobs ! Cette semaine nous avons acheté des sneakers New Balance totalement fabriqués aux USA ! L’administration Trump a rapatrié en un an beaucoup d’industries qui s’étaient implantées en Asie et au Mexique et aujourd’hui aux USA c’est l’embauche partout et demain ce sera encore mieux! Les électeurs votent avec leur poche en tête et le taux de croissance économique aux USA est de 4 % .
Israel est sécurisé , l’ONU a peur de Donald Trump, et les Coréens du Nord désirent beaucoup vivre comme leurs cousins de Corée du Sud.
Donc ciel bleu à l’horizon pour Donald Trump , comme d’habitude il a toujours beaucoup d’avance sur ses adversaires qui souffrent de myopie aigue.
A bientôt et merci
Amicalement
Et la nuit du pédé noir a l’Elysée ont en parle non bien sur