Des terroristes musulmans masculins ont tué des innocents à Paris, Nice, Londres, Boston, Orlando, Berlin, Madrid et bien d’autres endroits. Mais attention aux femmes.
C’est l’un des messages d’un nouveau livre, “Invisible Martyrs: Inside the Secret World of Female Islamic Radicals“*, par Farhana Qazi, la première femme musulmane et la première musulmane américaine à rejoindre le Centre antiterroriste du gouvernement américain.
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En moyenne, les femmes ont tué quatre fois plus de personnes que les terroristes hommes
Abigail R. Esman, sur le site Web du projet d’enquête sur le terrorisme, a lu le livre :
“Comprendre la menace des femmes terroristes n’a jamais été aussi critique”, écrit Esman. “Non seulement un plus grand nombre de femmes se joignent aux groupes djihadistes, grâce en grande partie aux recruteurs sur Internet et aux agents d’ISIS, mais les femmes, selon Qazi, peuvent être encore plus destructrices que les hommes.
Non seulement elles sont moins visibles, en partie grâce aux burqas et autres vêtements corporels, mais en moyenne, les femmes ont tué quatre fois plus de personnes que les terroristes hommes.”
Tashfeen Malik est devenue la première femme musulmane terroriste à frapper sur les côtes américaines lorsqu’elle et son mari, Syed Farook, ont tué 14 personnes à San Bernardino, en Californie, en 2015.
L’auteur du livre écrit :
“J’ai découvert que certaines voyaient la violence comme une arme de choix. Elles croient aux interprétations radicales de l’Islam. Ces femmes ont rejoint des groupes extrémistes pour donner un sens à leur vie et effectuer des changements : réécrire l’avenir, pouvoir dire ‘je suis dans les limites fixées par les hommes’, nettoyer un passé non désiré, tomber dans les faveurs de Dieu, rejeter quelque chose de cassé ou de meurtri, repousser les limites de leur sexe, trouver un amant aux vues similaires, ou pour expérimenter la connexion qu’une femme ressent quand elle rejoint une fraternité.”
Le livre affirme que certaines femmes s’engagent dans le jihad violent à cause de l’ostracisme qui accompagne les crimes dits “d’honneur” et leurs droits étant “dictés par un patriarcat d’hommes irrationnels et ignorants, dont beaucoup soutiennent l’interprétation radicale de l’Islam – la barbarie, l’action bestiale et une culture de l’humiliation et de la honte racontée par des extrémistes violents”.
Qazi dit que ces mêmes hommes “s’attaquent aux femmes vulnérables, qui sont mal guidées, mal informées et dans l’erreur, incapables de différencier les valeurs universelles de l’amour que le Coran promeut, des enseignements d’hommes corrompus et malhonnêtes avec du sang sur les mains”.
Certaines femmes, dit encore l’auteur, choisissent la violence pour venger la perte d’un mari ou d’un enfant.
“Qazi explore les histoires de plusieurs femmes, de Rania Ibrahim, qui avait 15 ans en 2008 lorsque sa tante et sa mère – toutes deux membres d’Al-Qaida – lui ont attachée un gilet suicide à Bagdad, aux trois jeunes filles soudanaises et somaliennes américaines de Denver, au Colorado, appréhendées en 2014 alors qu’elles tentaient d’atteindre l’État islamique”.
Les autorités pensent que les adolescentes de Denver ont été radicalisées en ligne, et le livre examine si “l’isolement social que les filles et les femmes musulmanes ressentent souvent” est un facteur de radicalisation à l’islam.
“C’est également le cas des converties, qui peuvent être particulièrement vulnérables aux prétendants islamistes, recruteurs de groupes terroristes qui s’attaquent à des jeunes femmes naïves et peu informées, leur promettant amour et bonheur si elles ne se donnent qu’à Allah”.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : traduction et adaptation © Piotr Stammers pour Dreuz.info.
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Cela confirme donc ce que l’on savait déjà en la matière, une femme terroriste est beaucoup plus radicale qu’un homme !
Là c’est quantifié !
Et, il me semble, josick, que les converties sont encore plus radicales. Pour prouver qu’elles ont bien adopté cette secte mortifère.
“incapables de différencier les valeurs universelles de l’amour que le Coran promeut, des enseignements d’hommes corrompus et malhonnêtes avec du sang sur les mains”
Hum…
C’est drôle, mais les “valeurs universelles de l’amour que le coran promeut”, je n’arrive pas moi non plus à les discerner.
Quant aux “enseignements d’hommes corrompus et malhonnêtes avec du sang sur les mains”, il me suffit de considérer la vie du pseudo-prophète Mahomet pour être frappé par la ressemblance.
C’est ce système mafieux et criminel déguisé en religion nommé islam qui pousse ces tarées à devenir des criminelles, et rien d’autre. Leur déséquilibre personnel les y prédispose, mais c’est bien l’islam qui les fait passer à l’acte criminel.
Je me faisais exactement le même raisonnement!
Il est vrai que les femmes peuvent être de drôles de pestes…
Pourtant, je me disais dernièrement que clairement l’insécurité venaient des hommes.
Mais je sais aussi que les femmes, lorsqu’elles obtiennent un Pouvoir, peuvent se transformer en de véritables loups-garous.
Comme le dit l’auteur de l’article, Piotr Stammers, la frustration de certaines peut les amener au pire.
Et surtout quand j’entends des mères dire leur désir, honneur et plaisir de donner leurs enfants pour qu’ils meurent en martyrs… Là mon cœur n’y résiste pas !
Ce ne sont pas des femmes ni des mères. Elles sont possédées par le démon certainement.
Pouah !
Les plus connes sont les plus dangereuses…
ce qui prouve que mahomet disait juste dans les versets sur les femmes “égales de l’homme mais qui a une prééminence sur elles”
ces femmes sont elles persuadées d’avoir 72 vierges quand elles iront au paradis?