Publié par Jean-Patrick Grumberg le 12 août 2018

Obama détestait la grandeur de l’Amérique. Ce tiers-mondiste considérait que la supériorité des Etats-Unis était un affront à la “justice sociale”, une gifle aux pays sous-développés.

Donald Trump a été élu en partie parce qu’il a, lui et aucun autre candidat, parfaitement compris que les Américains, conscients d’habiter le plus pays le plus développé de la planète, et dont le monde entier envie la liberté, la réussite, la créativité, et la possibilité pour chacun de s’épanouir, n’aimaient pas être relégués au second rang. Il en a fait son slogan de campagne : Make America Great Again. L’Amérique d’Obama n’était plus un grand pays, Trump allait lui redonner sa place. Il a tenu sa promesse.

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Obama a œuvré pendant 8 ans à détruire les fondements du pays dont il avait la charge.

  • Sur la scène géopolitique, il a placé l’Amérique, de très loin la première puissance militaire mondiale, à une place de second rôle, retranché derrière les décisions de l’ONU.
  • Il a bloqué le secteur énergétique pour plaire à des groupuscules qui cachent leur désir de détruire l’Occident sous prétexte d’écologie (ils ne s’attaquent pas aux deux plus grands pollueurs du monde que sont l’Inde et la Chine), et empêché les Etats-Unis de devenir énergiquement indépendants en exploitant ses immenses ressources pétrolières, de gaz et de charbon.
  • Il a entravé le développement économique en imposant des réglementations démesurées et irresponsables aux entreprises, en augmentant les taxes avec l’Obamacare, assurance santé obligatoire, et les entreprises ont arrêté de se développer, d’embaucher, d’investir, en attendant des jours meilleurs.
  • Il a tout fait pour freiner les avancées technologiques que seul un système capitaliste permet de créer, nier ses racines judéo-chrétiennes en affirmant que l’Amérique devait beaucoup à l’Islam.
  • Il a publiquement déclaré durant la campagne électorale que l’emploi ne reviendrait pas aux Etats-Unis, en réponse à Trump qui promettait de créer des millions d’emplois nouveaux. Suite à ses réformes, les chiffres du chômage sont au plus bas depuis 50 ans, merci à la réduction massive des réglementations ; les salariés reçoivent tous les mois un plus gros chèque de salaire, grâce à la très importante réduction des impôts sur les sociétés et la disparition de l’assurance maladie obligatoire ; et le montant de leurs retraites a gagné du gras, en raison de l’envolée du marché boursier, qui a battu tous ses records historiques.

NASA, symbole de la haute technologie et du génie américain

Un autre symbole des Etats-Unis a fait l’objet des visées destructrices d’Obama : la NASA, incarnation de la domination de l’espace et de la haute technologie par l’Amérique.

Obama ne supportait pas de savoir que le leadership américain dans l’exploration spatiale a contribué à créer et à alimenter le boom de la haute technologie, et a poussé la compétitivité mondiale des États-Unis depuis le début des années 1960.

La NASA se préparait à ramener les Américains sur la Lune et sur Mars, quand le président Obama a pris ses fonctions. Mais l’objectif qu’il avait à l’esprit était très différent.

La National Aeronautics and Space Administration était à la pointe de la science, elle ouvrait la voie à l’exploration spatiale. Elle a eu un impact immense sur le progrès technologique dans le monde entier (lire sur ce sujet Apollo*, de Charles Murray et Catherine Bly Cox).

Mais pour le gauchiste Obama, envoyer des Américains sur Mars ne fait pas avancer le combat de la gauche. Il ne donne aucun droit aux transsexuels. Il ne permet pas de favoriser l’implantation de l’islam. Il ne défend pas la cause des féministes, des végans, des militants pour l’avortement, des lois pour l’immigration illégale et l’ouverture des frontières. Au contraire, il met en avant la suprématie technologique du “Blanc occidental”.

Si vous avez l’âge, souvenez-vous, ce 20 juillet 1969. Le monde entier a retenu son souffle lorsque Neil Armstrong a posé le pied et fait son premier pas sur la Lune en proclamant : “C’est un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité”. L’Amérique était la tête de pont de l’humanité.

  • Au début de 2010, Obama a annulé le programme Constellation (qui avait déjà dépensé 10 milliards et avait sept ans d’activités) et ses fusées Ares I et Ares V. Annulé le vaisseau spatial Orion, l’atterrisseur lunaire Altair, et même l’objectif de l’Amérique de retourner sur la Lune et d’aller sur Mars. Avec ces mesures, l’exploration spatiale américaine était morte.

Mais ce n’était pas assez…

  • En juillet 2010, Obama convoqua l’administrateur de la NASA, Charles Bolden, ancien astronaute, officier des Marine des États-Unis et pilote d’essai, et lui donna ses instructions :

“Quand je suis devenu administrateur de la NASA [le président Obama] m’a chargé de trois missions.

  1. Premièrement, que j’aide à inciter les enfants à se lancer dans les sciences et les mathématiques.
  2. Deux, que j’élargisse nos relations internationales ;
  3. Et troisièmement, et peut-être avant tout, il voulait que je trouve un moyen de me rapprocher du monde musulman, que la NASA s’investisse avec les Nations musulmanes dominantes pour les aider à se sentir bien par rapport à leur contribution historique aux sciences, aux mathématiques et au génie civil.
  • Il était indiqué nulle part dans les objectifs imposés à Bolden, la mission d’exploration spatiale, ni le fait que la NASA demeure le chef de file mondial en matière d’innovation technologique.

Mais comme ce n’était toujours pas assez…

  • L’activiste Obama a ensuite réduit le budget de la NASA de 20% en 2013, pendant qu’il augmentait de 41% le budget de la recherche sur l’étude du réchauffement climatique.

En 2012, 49 anciens astronautes de la NASA et d’éminents scientifiques écrivaient une lettre ouverte demandant à Bolden de cesser d’utiliser la NASA pour faire avancer des théories extrémistes sur le réchauffement planétaire.

Newt Gingrich : “Au lieu de construire un programme spatial robuste, nous avons construit une bureaucratie spatiale robuste”

“En 1969, il était raisonnable de s’attendre à ce que notre programme spatial continue d’évoluer au rythme du programme Apollo”, expliquait le conservateur et ami du président Trump Newt Gingrich sur Fox News en juillet dernier.

Il était donc raisonnable de penser que d’ici 2018, nous aurions quatre à cinq colonies sur la lune, des avant-postes spatiaux sur diverses orbites lunaires et cislunaires, des opérations minières sur plusieurs astéroïdes et un habitat préliminaire sur Mars.

De plus, quand Arthur C. Clarke a écrit ‘2001 : Odyssée de l’espace’ en 1968, il était raisonnable pour les gens de penser que les scènes qu’il a écrites se seraient réalisées d’ici là, mais cela n’a pas été le cas.

Au lieu de construire un programme spatial robuste, nous avons construit une bureaucratie spatiale robuste.

Après avoir erré pendant près de 50 ans dans un désert de paperasserie pour la plupart terrestre – et dépensé environ 5555 milliards de dollars pour des projets d’observation spatiale sans pilote peu enclins à prendre des risques, nous n’avons pas vraiment fait le saut de géant qu’Armstrong a prédit.

Trump, Make NASA great again

A l’inverse d’Obama, Trump est un grand ennemi de la bureaucratie et des fonctionnaires inutiles. Le Président Trump a signé le rétablissement du Conseil national de l’espace après 25 ans, déclarant que “l’Amérique verra grand une fois de plus”.

Le 2 août 2018, le président Trump annonçait qu’un engin spatial américain va serrer la main du soleil.

La sonde solaire Parker de la NASA sera le premier engin spatial à “toucher” le soleil, à moins de 6 millions de kilomètres de sa surface (le record précédent, Helios 2, s’est approché de 43 millions de km du soleil).

Elle a été conçue pour affronter la chaleur solaire comme jamais auparavant, grâce à son bouclier thermique révolutionnaire capable de résister à 1 370 degrés Celsius.

“C’est la mission la plus cool [jamais lancée par l’homme], la plus chaude, baby, voilà ce que c’est”, a déclaré Nicola Fox, le scientifique responsable du projet à l’Université Johns Hopkins.

De la taille d’une petite voiture, avec 11 cm d’épaisseur, Parker se rapprochera près de sept fois plus près du soleil que les vaisseaux spatiaux précédents. Pour cela, il passera devant Vénus sept fois en sept ans. Chaque survol fournira une impulsion gravitationnelle en forme d’orbite, l’attirant toujours plus près du soleil et directement dans la couronne – l’atmosphère la plus extérieure du soleil.

Un des mystères que les scientifiques espèrent résoudre : Qu’est-ce qui fait tourner le vent solaire, ce flux constant et supersonique de particules chargées qui explosent de la couronne et dans l’espace dans toutes les directions.

“Il y a des missions qui étudient le vent solaire, mais nous allons nous rendre au lieu de sa naissance”, a dit Fox.

Les scientifiques s’attendent à ce que la mission de 1,5 milliard de dollars fasse la lumière non seulement sur la dynamique de notre soleil, mais aussi sur les milliards d’autres minuscules étoiles jaunes – et d’autres types d’étoiles – dans la Voie lactée et au-delà.

Tout en nous donnant la vie, le soleil a aussi le pouvoir de perturber les engins spatiaux en orbite, ainsi que les communications et l’électronique sur Terre.

“C’est ici que nous vivons”, a expliqué Alex Young, astrophysicien solaire de la NASA. “Nous devons comprendre et caractériser cet endroit que nous traversons.”

Il s’agit du premier engin spatial de la NASA à porter le nom d’une personne encore en vie. Eugene Parker, 91 ans, professeur émérite à l’Université de Chicago, a prédit l’existence du vent solaire il y a 60 ans.

La Force spatiale

À la mi-juin, le président Donald Trump a annoncé le lancement d’une nouvelle branche des forces armées : la force spatiale.

“Je donne l’ordre par la présente au Département de la Défense et au Pentagone de commencer immédiatement le processus nécessaire pour établir une force spatiale en tant que sixième branche des Forces armées”, a déclaré le président durant une visite du Conseil national de l’Espace à la Maison-Blanche.

En mai dernier, le commentateur politique Mark Levin invitait l’expert mondial Peter Pry pour parler du danger que représente une attaque électromagnétique, ou EMP.

Selon un rapport d’un comité du Congrès, une forte impulsion électromagnétique (EMP) inondant l’Amérique causera la mort de 90 % des Américains sans provoquer aucune blessure. Et une attaque EMP est pour l’instant, aux Etats-Unis, inévitable (Israël a très tôt pris les mesures de protection qui s’imposent).

Le Dr Peter Pry est titulaire de deux doctorats et d’un certificat en conception d’armes nucléaires, il a travaillé à la CIA pendant une décennie, au Comité des forces armées de la Chambre des représentants, puis a été directeur de la Commission EMP du Congrès.

Lorsqu’il a remis son rapport sur le danger EMP au président Obama, celui-ci a refusé de le lire : il ne correspondait pas à l’agenda politique du moment, qui consistait à signer un accord de dénucléarisation avec l’Iran.

Au micro de Mark Levin, le Dr Peter Pry a félicité l’administration Trump pour avoir mis davantage l’accent sur la prévention d’une attaque EMP contre le réseau électrique américain, précisant que la politique de Trump est “le jour et la nuit” par rapport à celle de l’administration Obama.

Stratégiquement, Donald Trump ne parle jamais du danger que représenterait une attaque EMP. Il est pourtant au cœur des préoccupations qui ont précédé la création de la force spatiale américaine.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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Sources :

Hijacked! How Obama and the Left Killed NASA: The journey from the Moon to radical activism

https://www.tvnz.co.nz/one-news/world/space-project-60-years-in-making-see-parker-probe-touch-sun

http://insider.foxnews.com/2018/04/23/peter-pry-trump-policy-preventing-emp-grid-attack-night-and-day-obamas

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