Publié par Guy Millière le 13 août 2018

La désinformation concernant tout ce que fait Donald Trump continue en France.

Les journalistes français continuent, à de rares exceptions près, à reprendre à leur compte les diverses vomissures émanant de leurs sordides collègues de la gauche américaine, qui semblent avoir attrapé la rage le soir de la défaite de Hillary Clinton.

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Quand la désinformation semble s’interrompre un peu, c’est pour être remplacée par des “analyses” consternantes tant elles sont ineptes, voire par des crachats et des trépignements. Des analystes qui furent honorables s’abaissent désormais au niveau de l’égout. Ran Halevi, autrefois historien, a ainsi parlé récemment, sans le moindre argument à l’appui, de “la grossièreté du personnage”, de “son inculture” et de son “incuriosité”, de son “usage pathologique du mensonge”, de son mépris pour les “procédures démocratiques”. En lisant, j’ai cru avoir affaire à un gauchiste ayant fumé des substances illicites et recopiant un tract ramassé sur le sol crasseux d’une université de banlieue. Guy Sorman, Dominique Moïsi et Nicolas Baverez sont tombés à un niveau d’indigence mentale semblable. Je pourrais allonger la liste, et elle deviendrait aisément interminable. La désinformation existe aussi aux Etats-Unis, mais elle n’est pas hégémonique. Les crachats et les trépignements d’intellectuels de pacotille existent eux-mêmes aux Etats-Unis, mais il reste dans les médias américains des gens capables d’analyses intelligentes et fondées.

Il me faut donc, en attendant la sortie de mon livre Ce que veut Trump, rétablir une fois de plus certains faits.

Au bout de dix-huit mois de présidence, Donald Trump atteint les cinquante pour cent d’avis favorables au sein du peuple américain, et le pourcentage d’avis favorables à Donald Trump ne cesse de monter, bien que 90 pour cent des journalistes américains désinforment autant que 99,5 pour cent des journalistes français (Obama au même moment de sa présidence, et avec le soutien de 90 pour cent des journalistes américains était loin d’atteindre ce score). Il en est ainsi parce que l’économie américaine ne s’est, grâce à la baisse des impôts et à la déréglementation voulues par Trump, jamais aussi bien portée depuis les années Reagan : plein emploi, derniers chiffres de croissance à 4,1 pour cent (les Américains n’ont pas la chance d’avoir un Macron, un maintien des prélèvements obligatoires à 57 pour cent du PIB, et un chiffre de croissance à 0,2 pour cent en données trimestrielles : quel génie ce Macron !). Il en est ainsi aussi parce que la sécurité ne cesse de s’améliorer. Et le nombre d’Afro-américains qui ont un avis favorable concernant Trump et qui seraient prêts à voter pour lui a presque doublé depuis novembre 2016. Le nombre d’Hispaniques qui ont un avis favorable concernant Trump et qui seraient prêts à voter pour lui a fortement augmenté lui aussi. L’optimisme des Américains et leur confiance en l’avenir sont au beau fixe et, montrent les sondages, n’ont pas été aussi élevés depuis longtemps. Des entreprises se créent, des investissements se font. Les Etats-Unis sont devenus exportateurs de ressources énergétiques et seront bientôt la première puissance pétrolière du monde, devant l’Arabie Saoudite (les restrictions imposées par Obama ayant été supprimées). Il fait chaud là où il fait chaud en juillet-aout (dans ma ville, Las Vegas, il fait, au moment où j’écris, 45 degrés), mais personne ne parle de “canicule”, personne ne souffre, car il y a de la climatisation partout (chez moi, j’ai réglé la température à 23 degrés), et presque personne sinon quelques gauchistes indécrottables ne parle du “réchauffement global anthropique” qui n’existe pas, ou des dangers de la climatisation.

L’immigration clandestine a diminué de 70 pour cent, et seules les villes sanctuaires où des immigrants illégaux vivent en rendant des quartiers entiers insalubres en souffrent encore : à Los Angeles, tous les ponts abritent des habitations en tôle ondulée ou des tentes de camping, à San Francisco, la saleté du centre ville devient repoussante et je me réjouis de ne pas vivre dans une ville de ce genre (Las Vegas est impeccablement propre). Tout un chacun comprend, sauf les gauchistes indécrottables qui croient au “réchauffement global anthropique”, que le pays ne peut pas accueillir tous les immigrants clandestins qui veulent entrer (les gauchistes indécrottables détestant les Etats-Unis devraient d’ailleurs se demander pourquoi tant de gens veulent entrer dans le pays). Tout un chacun comprend que des immigrants clandestins commettent un délit en franchissant illégalement la frontière, que certains d’entre eux viennent accompagnés d’enfants qui ne sont pas les leurs, que des délinquants arrêtés ne vont pas en centre de rétention avec des enfants (les centres de rétention pour délinquants, comme les prisons, ne sont pas des pensions de famille ou des clubs de vacances), et que séparer des enfants de gens qui ne sont pas nécessairement leurs parents aux fins de procéder à des vérifications et d’éviter le trafic d’enfants est une procédure légitime et indispensable.

 

Il y a un juge conservateur de plus à la Cour Suprême, Neil Gorsuch. Il y en aura bientôt deux, car Brett Kavanaugh sera confirmé cet automne. Et la Cour Suprême garantira, grâce à Trump, la Constitution et le Bill of Rights pour les trente années à venir.

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En politique étrangère, Trump répare les dégâts laissés derrière lui par Obama. Et il avance aussi.

Au Proche-Orient, le rapprochement entre Israël, l’Arabie Saoudite et le monde sunnite progresse. Les réformes enclenchées en Arabie Saoudite par Mohamed ben Salman, avec l’appui de Trump, progressent aussi (ne déplaise aux Frères Musulmans et à leur porte-parole officieux Justin Trudeau). L’asphyxie de l’Iran des mollahs se met en place (en ayant proposé à Rouhani de dialoguer, Trump n’a pas changé de ligne : il est prêt à accepter une capitulation des mollahs). La menace iranienne implantée en Syrie recule. Le Hezbollah est sur la défensive car il dépend financièrement de l’Iran des mollahs dont les caisses sont vides. Le Hamas est en décomposition, même s’il reste venimeux et ignoble, on vient de le voir (le Hamas dépend lui aussi financièrement de l’Iran des mollahs). L’Autorité palestinienne est aux abois. Israël est plus que jamais l’allié régional majeur des Etats-Unis. Erdogan reste une nuisance dont Trump commence à s’occuper (les sanctions américaines contre le régime Erdogan sont dures et la livre turque est en chute libre). Trump a fait comprendre à Poutine qu’il était de l’intérêt de la Russie d’accepter l’asphyxie de l’Iran si elle entendait garder un allié à Damas et ses bases à Tartous et Lattaquié, et Poutine a compris.

En Asie, Kim Jong Un ne procède plus à aucun essai nucléaire, ne se comporte plus de façon menaçante vis-à-vis du Japon et de la Corée du Sud. La Chine commence à se trouver endiguée, et ce n’est sans doute qu’un début.

En Europe, Trump renforce la position des pays d’Europe centrale et un axe Viktor Orban-Sebastian Kurz-Matteo Salvini se met en place contre le sinistre trio Merkel-Macron-May. Trump a fait comprendre que l’Alliance atlantique implique des dépenses militaires supplémentaires des pays européens qui ne peuvent rester indéfiniment des assistés se comportant avec ingratitude vis-à-vis des Etats-Unis. Il a fait comprendre aussi aux dirigeants européens que le libre échange implique une réciprocité et que si l’Europe persiste à maintenir des barrières protectionnistes anti-américaines, elle doit s’attendre à des décisions de taxation américaines en représailles. Trump crée des rapports de force avec l’Europe, en sachant que les Etats-Unis ont tous les moyens de l’emporter. (Il crée des rapports de force du même genre avec la Chine, et il sait là aussi que les Etats-Unis ont tous les moyens de l’emporter).

Si la désinformation n’était pas hégémonique en France, et si les journalistes français, à de rares exceptions près, ne reprennaient pas à leur compte les diverses vomissures émanant de leurs sordides collègues de la gauche américaine, on expliquerait en France la cohérence de la doctrine Trump. On expliquerait que Trump n’est pas protectionniste mais veut le libre échange, qu’il n’a jamais été isolationniste et veut la paix mondiale par la puissance américaine (peace through strength) et qu’il est le digne continuateur du grand Ronald Reagan. On dirait ce qu’accomplit Trump, car il accomplit immensément.

On dirait que le problème essentiel aux Etats-Unis aujourd’hui tient à la rage qui s’est emparée des journalistes de la gauche américaine, qui en fait des ennemis de la démocratie. On dirait que cette rage va de pair avec les conséquences de la subversion des institutions américaines par l’administration Obama et avec la transformation du parti Démocrate en un parti gauchiste aux dimensions totalitaires. On dirait que la gauche américaine a pris des dimensions fascistes (j’y reviendrai dans un prochain article).

Mais la désinformation est hégémonique en France. Et le colportage des vomissures règne.

Ceux qui veulent en savoir davantage sur ce que fait Trump et sur qui est Trump pourront lire bientôt Ce que veut Trump.

Ceux qui veulent ne rien savoir et s’intoxiquer le cerveau peuvent regarder la télévision française, et, pour prolonger les vomissures, lire Ran Halevi, Guy Sorman, Dominique Moïsi, Nicolas Baverez, jusqu’à l’ivresse. Je leur donnerai juste un conseil : les vomissures sont néfastes pour la santé mentale et en se vautrant en elles, on peut perdre la raison et en venir à penser que Trump est un psychopathe idiot élu par un peuple abruti (c’est parce que Trump est un psychopathe idiot qu’il obtient les résultats qu’il obtient, et c’est parce que les Américains sont abrutis que les Etats Unis sont la première puissance du monde). L’ivresse n’est pas meilleure pour la santé mentale.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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