Publié par Dreuz Info le 15 août 2018

Un article de Jacques Guillemain paru sur le site de Riposte Laïque, le 11 août dernier, sous le titre : « La liste des Français égorgés par des musulmans s’allonge tous les jours » évoque avec une grande objectivité et une extrême précision cette terrible période que la France traverse aujourd’hui.

Nous étions loin de connaître cette extrême violence quotidienne, nous avons aujourd’hui atteint la même que celle que vivent nos amis israéliens depuis de très nombreuses années. La grande différence, chez eux, des hautes sphères de l’état aux couches les plus modestes de la population, ils ont pris conscience de ce fléau majeur et le combattent de façon appropriée.

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L’article commence par un constat sans appel : « La France s’enfonce dans la sauvagerie et retourne 15 siècles en arrière, au temps des Grandes Invasions barbares, quand déferlaient ces hordes sauvages, appelées pudiquement aujourd’hui les “Grandes Migrations”, dans le langage politiquement correct des illuminés et nullités qui nous gouvernent. »

Ce papier a suscité un nombre très élevé de vues – près de 15 000 – et de commentaires – plus de 950 – et à en lire certains, il est possible de mesurer le fossé qui sépare deux catégories de français, la première, réaliste, attentive et mobilisée et la seconde naïve, complaisante et certainement mal informée à l’égard de l’Islam. Certains de nos compatriotes ne comprennent pas, ne veulent pas comprendre ou – pire – prennent le parti idéologique des assassins, niant leur actions destructrices sur les sociétés occidentales telles que les nôtres, qui se vautre dans la désormais familière doxa du « pas d’amalgame ». D’autres commentaires, malgré certains pseudonymes utilisés, émanent clairement de la communauté musulmane qui s’infiltre insidieusement dans le fil de la discussion pour tenter d’imposer les coupe-feux habituels. Cette attitude récurrente, également adoptée en France par les pouvoirs publics, les médias et une partie des français, fausse les données réelles du problème et interdit toute solution adaptée à cette situation de guerre qu’ils ne veulent pas nommer comme telle.

Pourtant, le constat est accablant. L’auteur précise : « Deux français sur trois ne se sentent plus en sécurité sur notre territoire ». Et ce constat se retrouve dans les commentaires de l’article cités plus avant. Il reste quand même qu’un français sur trois est persuadé que tout va bien et que cette situation dramatique que nous vivons n’a rien à voir avec cette religion d’amour et de paix que l’on tente – de plus en plus vainement – de nous imposer. Ce tiers de la population fait le lit de la ligne politique, en France, comme on l’a vu avec l’élection de Monsieur Macron et celui des récupérations et instrumentations politiques et émotionnelles de toutes sortes qui visent à ne pas stigmatiser… l’évidence ! 

Ces morts violentes de nos enfants devenues fréquentes aujourd’hui sur notre sol, nous les devons bien à des « français » issus de cette partie de la population exogène par l’origine, la culture, la religion, la pensée, ou la migration récente. Cela nous montre chaque jour son impossible intégration aux valeurs gréco-judéo-chrétiennes de notre civilisation et de notre démocratie. N’en déplaise aux laudateurs d’une mixité « à la française », l’assimilation dans notre peuple d’hommes et de femmes capables d’égorger leurs concitoyens, même pour un différent futile est définitivement impossible. 

Nous ne sortirons de cette escalade mortelle qu’en prenant les justes mesures qui s’imposent face aux relents hégémonistes de cette idéologie religieuse qui a dépassé les limites infranchissables de la tolérance. Le fil des commentaires qui suivent l’article de Jacques Guillemain nous montre que le chemin à parcourir est encore long, même si une majorité de nos concitoyens – encore trop silencieuse, malgré le travail important et déterminant des sites de ré-information -, semble convaincue que les frontières ont déjà été franchies. On peut se demander dès lors si les Français n’ont pas encore assez souffert dans leur chair.

Pourtant, les parents du dernier de nos enfants assassinés, Adrien, après avoir donné toute la mesure de leur peine et de leur colère dans les medias ne viennent-ils pas, par la bouche de leur avocat, d’édulcorer leur position en « [condamnant] toute récupération » après la courageuse prise de position des Identitaires sur cette tragédie ? Il semblait pourtant que l’on avait dépassé les limites du supportable et que la France – surtout les parents de ses enfants disparus – avait assez souffert, le temps des marches blanches cruellement inutiles étant définitivement révolu. Mais le pouvoir veille, supporté par cette partie des français qui risque de nous mener tout droit vers un affrontement tragique – mais nécessaire ? – avec les populations culturellement et religieusement exogènes qui déstabilisent et détruisent de plus en plus violemment les fondements démocratiques de notre pays.  

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Louis Chollet pour Dreuz.info.

 

 

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