Publié par Danièle Lopez le 15 août 2018

La France reçoit, reçoit, reçoit… même quand elle n’en a plus les moyens il lui faudrait accueillir, encore. Quelques-uns à l’Est, quelques autres à l’Ouest, sans oublier ceux venant du Sud par centaines de milliers.

Le va-et-vient des bateaux « sauveurs de migrants » ne cesse pas en Méditerranée. L’inénarrable Aquarius revient narguer l’Italie et Malte après le précédent voyage qui a fait couler beaucoup d’encre et se manifester tant de  mauvaise foi.

Mauvaise foi, lorsqu’on connait la loi maritime qui exige, du port le plus près, de fournir abri et soins urgents aux personnes en détresse. Et nous savons que ces gens n’ont pas pu être trouvés, dérivant près de l’Italie ou de Malte, dans leur embarcation de fortune. La Lybie et la Tunisie étaient, certainement, les ports les plus proches de leur point de départ. Point de départ d’où ils sont guettés par les Aquarius et autres navires d’ONG que les communistes de France et de Navarre encouragent.

Forts de leurs soutiens, certains capitans ont décidé de changer les règles selon leur bon vouloir.

Pour économiser de l’encre aux media et les insultes des bienpensants, la France décide donc, rapidement, de se partager la part du poison après que le communiste Gayssot (74 ans et toujours en activité !), président du Port de Sète, se soit porté volontaire pour accueillir ces gens.

Car il fallait, au moins, un communiste français, pour manifester sa solidarité envers les faibles et les déshérités de la planète, n’est-ce pas ?

Sauf que… les communistes, que l’on peut et que l’on doit compter au nombre des ennemis de la France, ont de tous temps, si non fomenté les guerres, encouragé et aidé le plus activement et militairement les ennemis qui nous livrent les guerres. Et, aujourd’hui, personne n’a plus besoin de nous prouver que l’accueil de ces clandestins venus du continent africain, est une arme de guerre contre la France et les Français. Une de plus que les communistes encouragent.

Parce qu’on ne peut pas avoir oublié la position et les actions des communistes français, dans les années 50/60, lorsque la France était engagée dans les guerres d’Indochine ou celle d’Algérie.

Si aucun Français de Souche Européenne d’Algérie, témoin encore vivant, n’a oublié quelle fut l’aide qu’ils apportèrent aux terroristes du FLN pendant cette horrible période, ils ont encore moins oublié les actions des communistes cégétistes des ports de Marseille et, peut-être, dans d’autres ports français, pour rejeter ces pauvres dépatriés français qu’on forçait à l’exode ou à la mort.

On se souvient des quelques mobiliers hâtivement entassés dans quelques rares cadres de fortune, plongés par les grutiers dans l’eau avant de les en ressortir quand ils savaient que tout était devenu inutilisable à l’intérieur. Comme c’était méchant, mesquin, sordide, misérable. A l’image d’un communiste, dirons-nous !

Mais, juste avant nous, juste avant l’Algérie, savez-vous ce qu’ils avaient fait aux Français combattant le Viet Minh ?

Ayant entendu mon ami Pierre, dire qu’il y avait eu un précédent à notre réception en France, avec notre armée en Indochine, en 1954, je lui demandai de me relater ce qu’il s’était exactement passé. La mémoire de Pierre est Parole d’Evangile parce qu’elle est toujours restée fidèle à la vérité sans fard. Et, aussi, parce qu’il était sous les drapeaux, à cette époque et que sa mémoire est phénoménale.

Et il me raconta qu’en décembre 1952 avait eu lieu, à Vienne, en Autriche, un Congrès mondial des peuples pour la paix.

La France était engagée, on le sait, dans sa guerre en Indochine contre les Viet Minh. Et, donc, contre l’URSS qui les soutenait et les fournissait en armes.

Immédiatement, à l’issue de ce congrès, tous les communistes que comptait la France dans les ports, les chemins de fer, dockers, marins, cheminots refusèrent de débarquer et de transporter les matériels de guerre indispensables à la survie de nos militaires engagés dans l’enfer indochinois. Au prétexte qu’ils étaient destinés à la lutte contre les Viets et l’URSS, ils n’ont pas hésité à priver notre armée de France d’avoir une chance de se défendre. Quelle trahison, n’est-ce pas ?

Mais ils ont fait bien pire, à ce moment-là.

Ces odieux communistes, antifrançais, qui sabotaient notre Armée leur ôtant les chances de s’en sortir en Indochine, empêchaient ses blessés de guerre de recevoir des soins. Dans les ports français, ils entravaient le débarquement de nos soldats qui étaient rapatriés pour blessures et décrochaient les wagons dans lesquels ils étaient installés pour les diriger au plus vite vers les hôpitaux qui devaient les prendre en charge.

Nos pauvres soldats blessés, fuyant l’enfer Viet-Minh, après quarante jours de traversée, dans l’impossibilité de se défendre, devenaient « otages » des communistes français qui déjouaient les transports à destination des hôpitaux, les vouant à une mort certaine par manque de soins.

Pour nos braves soldats, avoir enfin atteint le sol de la mère patrie ne voulait pas dire que la guerre était finie. L’ennemi ne se trouvait pas forcément à des milliers de kilomètres au-delà des océans. Et il n’avait pas forcément les « yeux bridés ». C’étaient des français que l’on croyait frères et qui ne l’étaient pas. Nous imaginons leur déception devant pareille trahison.

Et il en fut de même avec les « rapatriés » d’Indochine. Après Dien Bien Phu, en mai 1954, ces Français de Souche Européenne, qui n’avaient jamais mis le pied en France pour la plus part et ne connaissaient de la mère patrie que l’Histoire apprise en classe, furent empêchés, eux aussi, de débarquer dans les ports de France, toujours par cette même engeance communiste.

Ce ne fut qu’après quatre jours d’errance autour des différents ports de métropole, qu’ils durent être débarqués clandestinement, la nuit !

Quelle honte ! Comment des Français dignes de ce nom, peuvent-ils se comporter avec autant de haine et de barbarie envers leurs compatriotes au prétexte qu’ils n’ont pas la même idéologie ?

Quel scandale !  Oui, quel scandale, vraiment, de savoir que ce parti communiste, ennemi déclaré de la France, est encore présent au sein de notre Assemblée nationale, avec le droit de vote et de décision pour diriger les Français.

Une honte, un scandale, parce que ce parti existe toujours malgré ses positions et agissements contre les intérêts de la France. Et il a fait des émules. Si le plus ancien est la CGT, on ne compte plus les associations satellites qui se sont créées, surtout autour des « zones de non droit », associations soutenues et engraissées par les subventions des riches mairies, départements, régions ou, même, par l’État.

Et, aujourd’hui, Gayssot – qui sait tout cela puisqu’il est né en 1944 –  Gayssot, dis-je, se permet d’inviter à Sète, 141 clandestins qu’il faudra loger, nourrir, entretenir, avec les deniers des Français qui se lèvent tous les matins pour gagner leur pitance. A-t-il, seulement, demandé l’avis des Sétois ?

Pourtant, les images que nous montrent, sans cesse, les media « non conventionnés par l’État », qui relatent les méfaits de ces gens venus d’Afrique et que l’on ne peut accueillir dignement, faute d’argent, faute de place, faute de travail ; ces images nous montrent des clandestins violents, qui cassent, brisent, violent, tuent, même, parfois ! Et ce sont les mêmes images qui nous viennent de France, d’Espagne, du Danemark, de Suède, d’Italie – pauvre Italie ! Que n’a-t-elle enduré !

Est-ce vouloir le bien de la France, le bien des Français, que de souhaiter les installer dans nos villes ?

Non ! Non ! Nous ne voulons pas de mal à ces gens qui viennent chercher une vie meilleure. Mais la preuve est faite qu’ils n’ont pas de vie meilleure en vivant chez nous. Et la preuve est faite que nous, ici, nous souffrons d’une vie moins bonne par les désagréments qu’ils nous occasionnent dans notre quotidien.

Alors, si les communistes français, ont besoin de cette misère autour d’eux pour croire qu’ils existent et qu’ils « sont le bien », nous leur suggérons de prendre les Aquarius qui sillonnent la Méditerranée et qu’ils se fassent débarquer dans les ports d’Afrique. Ils pourront mettre à profit chaque seconde de leur vie à faire le bien.

A moins qu’ils n’y fomentent, encore, quelque guerre ethnique pour se valoriser…

 

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Danièle Lopez pour Dreuz.info.

 

 

 

 

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