La France reçoit, reçoit, reçoit… même quand elle n’en a plus les moyens il lui faudrait accueillir, encore. Quelques-uns à l’Est, quelques autres à l’Ouest, sans oublier ceux venant du Sud par centaines de milliers.
Le va-et-vient des bateaux « sauveurs de migrants » ne cesse pas en Méditerranée. L’inénarrable Aquarius revient narguer l’Italie et Malte après le précédent voyage qui a fait couler beaucoup d’encre et se manifester tant de mauvaise foi.
Mauvaise foi, lorsqu’on connait la loi maritime qui exige, du port le plus près, de fournir abri et soins urgents aux personnes en détresse. Et nous savons que ces gens n’ont pas pu être trouvés, dérivant près de l’Italie ou de Malte, dans leur embarcation de fortune. La Lybie et la Tunisie étaient, certainement, les ports les plus proches de leur point de départ. Point de départ d’où ils sont guettés par les Aquarius et autres navires d’ONG que les communistes de France et de Navarre encouragent.
Forts de leurs soutiens, certains capitans ont décidé de changer les règles selon leur bon vouloir.
Pour économiser de l’encre aux media et les insultes des bienpensants, la France décide donc, rapidement, de se partager la part du poison après que le communiste Gayssot (74 ans et toujours en activité !), président du Port de Sète, se soit porté volontaire pour accueillir ces gens.
Car il fallait, au moins, un communiste français, pour manifester sa solidarité envers les faibles et les déshérités de la planète, n’est-ce pas ?
Sauf que… les communistes, que l’on peut et que l’on doit compter au nombre des ennemis de la France, ont de tous temps, si non fomenté les guerres, encouragé et aidé le plus activement et militairement les ennemis qui nous livrent les guerres. Et, aujourd’hui, personne n’a plus besoin de nous prouver que l’accueil de ces clandestins venus du continent africain, est une arme de guerre contre la France et les Français. Une de plus que les communistes encouragent.
Parce qu’on ne peut pas avoir oublié la position et les actions des communistes français, dans les années 50/60, lorsque la France était engagée dans les guerres d’Indochine ou celle d’Algérie.
Si aucun Français de Souche Européenne d’Algérie, témoin encore vivant, n’a oublié quelle fut l’aide qu’ils apportèrent aux terroristes du FLN pendant cette horrible période, ils ont encore moins oublié les actions des communistes cégétistes des ports de Marseille et, peut-être, dans d’autres ports français, pour rejeter ces pauvres dépatriés français qu’on forçait à l’exode ou à la mort.
On se souvient des quelques mobiliers hâtivement entassés dans quelques rares cadres de fortune, plongés par les grutiers dans l’eau avant de les en ressortir quand ils savaient que tout était devenu inutilisable à l’intérieur. Comme c’était méchant, mesquin, sordide, misérable. A l’image d’un communiste, dirons-nous !
Mais, juste avant nous, juste avant l’Algérie, savez-vous ce qu’ils avaient fait aux Français combattant le Viet Minh ?
Ayant entendu mon ami Pierre, dire qu’il y avait eu un précédent à notre réception en France, avec notre armée en Indochine, en 1954, je lui demandai de me relater ce qu’il s’était exactement passé. La mémoire de Pierre est Parole d’Evangile parce qu’elle est toujours restée fidèle à la vérité sans fard. Et, aussi, parce qu’il était sous les drapeaux, à cette époque et que sa mémoire est phénoménale.
Et il me raconta qu’en décembre 1952 avait eu lieu, à Vienne, en Autriche, un Congrès mondial des peuples pour la paix.
La France était engagée, on le sait, dans sa guerre en Indochine contre les Viet Minh. Et, donc, contre l’URSS qui les soutenait et les fournissait en armes.
Immédiatement, à l’issue de ce congrès, tous les communistes que comptait la France dans les ports, les chemins de fer, dockers, marins, cheminots refusèrent de débarquer et de transporter les matériels de guerre indispensables à la survie de nos militaires engagés dans l’enfer indochinois. Au prétexte qu’ils étaient destinés à la lutte contre les Viets et l’URSS, ils n’ont pas hésité à priver notre armée de France d’avoir une chance de se défendre. Quelle trahison, n’est-ce pas ?
Mais ils ont fait bien pire, à ce moment-là.
Ces odieux communistes, antifrançais, qui sabotaient notre Armée leur ôtant les chances de s’en sortir en Indochine, empêchaient ses blessés de guerre de recevoir des soins. Dans les ports français, ils entravaient le débarquement de nos soldats qui étaient rapatriés pour blessures et décrochaient les wagons dans lesquels ils étaient installés pour les diriger au plus vite vers les hôpitaux qui devaient les prendre en charge.
Nos pauvres soldats blessés, fuyant l’enfer Viet-Minh, après quarante jours de traversée, dans l’impossibilité de se défendre, devenaient « otages » des communistes français qui déjouaient les transports à destination des hôpitaux, les vouant à une mort certaine par manque de soins.
Pour nos braves soldats, avoir enfin atteint le sol de la mère patrie ne voulait pas dire que la guerre était finie. L’ennemi ne se trouvait pas forcément à des milliers de kilomètres au-delà des océans. Et il n’avait pas forcément les « yeux bridés ». C’étaient des français que l’on croyait frères et qui ne l’étaient pas. Nous imaginons leur déception devant pareille trahison.
Et il en fut de même avec les « rapatriés » d’Indochine. Après Dien Bien Phu, en mai 1954, ces Français de Souche Européenne, qui n’avaient jamais mis le pied en France pour la plus part et ne connaissaient de la mère patrie que l’Histoire apprise en classe, furent empêchés, eux aussi, de débarquer dans les ports de France, toujours par cette même engeance communiste.
Ce ne fut qu’après quatre jours d’errance autour des différents ports de métropole, qu’ils durent être débarqués clandestinement, la nuit !
Quelle honte ! Comment des Français dignes de ce nom, peuvent-ils se comporter avec autant de haine et de barbarie envers leurs compatriotes au prétexte qu’ils n’ont pas la même idéologie ?
Quel scandale ! Oui, quel scandale, vraiment, de savoir que ce parti communiste, ennemi déclaré de la France, est encore présent au sein de notre Assemblée nationale, avec le droit de vote et de décision pour diriger les Français.
Une honte, un scandale, parce que ce parti existe toujours malgré ses positions et agissements contre les intérêts de la France. Et il a fait des émules. Si le plus ancien est la CGT, on ne compte plus les associations satellites qui se sont créées, surtout autour des « zones de non droit », associations soutenues et engraissées par les subventions des riches mairies, départements, régions ou, même, par l’État.
Et, aujourd’hui, Gayssot – qui sait tout cela puisqu’il est né en 1944 – Gayssot, dis-je, se permet d’inviter à Sète, 141 clandestins qu’il faudra loger, nourrir, entretenir, avec les deniers des Français qui se lèvent tous les matins pour gagner leur pitance. A-t-il, seulement, demandé l’avis des Sétois ?
Pourtant, les images que nous montrent, sans cesse, les media « non conventionnés par l’État », qui relatent les méfaits de ces gens venus d’Afrique et que l’on ne peut accueillir dignement, faute d’argent, faute de place, faute de travail ; ces images nous montrent des clandestins violents, qui cassent, brisent, violent, tuent, même, parfois ! Et ce sont les mêmes images qui nous viennent de France, d’Espagne, du Danemark, de Suède, d’Italie – pauvre Italie ! Que n’a-t-elle enduré !
Est-ce vouloir le bien de la France, le bien des Français, que de souhaiter les installer dans nos villes ?
Non ! Non ! Nous ne voulons pas de mal à ces gens qui viennent chercher une vie meilleure. Mais la preuve est faite qu’ils n’ont pas de vie meilleure en vivant chez nous. Et la preuve est faite que nous, ici, nous souffrons d’une vie moins bonne par les désagréments qu’ils nous occasionnent dans notre quotidien.
Alors, si les communistes français, ont besoin de cette misère autour d’eux pour croire qu’ils existent et qu’ils « sont le bien », nous leur suggérons de prendre les Aquarius qui sillonnent la Méditerranée et qu’ils se fassent débarquer dans les ports d’Afrique. Ils pourront mettre à profit chaque seconde de leur vie à faire le bien.
A moins qu’ils n’y fomentent, encore, quelque guerre ethnique pour se valoriser…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Danièle Lopez pour Dreuz.info.
Et les sabotages dans les usines d’armement avant la rupture du pacte germano-soviétique ? L’historien Berlière cite des cas prouvés d’hommes tombés au combat à cause de compatriotes ouvriers communistes.
Gayssot est coupable d’immixtion dans les affaires internationales et devrait être déposé par le préfet, et à défaut poursuivi.
Elle est loin cette année 1981 , quand le Secrétaire général du PCF Georges Marchais refusait toute immigration , légale ou clandestine . ( Vidéo : Georges Marchais/immigration .)
@ALPHA… OMEGA
Entièrement d’accord avec vous, oui mais Georges Marchais, était un communiste qui aimait la France et les Français…
Voir ici :
https://www.forumfr.com/sujet470635-quand-le-pcf-voulait-%C2%AB-arr%C3%AAter-l%E2%80%99immigration-%C2%BB.html
Si Georges Marchais était vivant aujourd’hui, nous n’en serions très certainement pas là où nous en sommes rendus…!!!
Merci à tous les collabos d’avoir tout fait pour transformer la France en un détritus et rien d’autres…!
Le problème est que les communistes actuels vous expliquent que leur communisme à eux n’est pas le même que celui de leurs pères, car ils ont appris de leurs erreurs.
La mauvaise foi est le pilier de cette idéologie malfaisante
je croyais que les communistes “français” était pour la retraite à 60 ans, en voilà un qui a 74 ans et squatte le travail au port de sète !
à force de dépfendre les étrangers, ce parti qui sous Marchais avait donné (une fois seulement) le bulldozer contre un foyer sonacotra , a été abandonné par la classe ouvrière, les petites gens sont moins idiots (utiles) que ceux qui prétendent les représenter!
@ patphil,
Travailler “pour de vrai” c’est usant.
Rares sont ceux qui sont encore aptes à travailler dur dès l’âge de 65 ans.
Mais à 74 ans ont peut refaire le monde, on peut parler du sexe des anges autour d’une grande table, le cul bien posé dans un fauteuil, juste entre amis blablateurs.
Blablater ce n’est pas très fatiguant et souvent, c’est bien rémunéré.
C’est très bon , ça ,
Si le P C F commence à défendre la cause des migrants , cause d’invasion pacifique par l’islam, cette cause deviendra définitivement détestable et sera encore plus vite …perdue .
C’est bien fini pour cet archéo parti, stalino- fasciste, pro Hamas , qui va s’effondrer encore plus bas et encore plus vite
Ni Kaddish, ni Te deum
Ce communiste de Sté squatte la mairie car il est comme ces con_ génères il aime l.argent des autres ce fainaint . Comme tous les communistes il est pourri jusqu.a la mouelle . Ce communiste a oublié de dire que ces ancêtres ont collaboré avec les nazies en livrant les apartrides à la Gestapo . Même ce cretin antisémite degaulle avant compris cela .
Vous pouvez traiter de Gaulle d’antisémite si vous voulez (de toute façon nous avons payé la facture avec mai 68), mais pas de crétin, c’est injurieux
Mais degaulle a fini par être un crétin.
Quand on ne sait pas reconnaître ses erreurs et qu’on brave le peuple comme il l’a fait (pas que en 68 !) refusant par fierté de l’écouter, je dis que oui, il a agit comme un crétin.
En 1968, il nous a légué la chienlit, lui qui ne l’aimait pas !
Et on en paie encore la facture.
Quand nous sommes jeunes, il peut être facile d’être pris dans les griffes de cette idéologie trompeuse.
Les concepts qu’elle prétend défendre, ne peuvent qu’attirer de jeunes personnes, qui au début de leur vie d’adultes aspirent à un monde idéal.
Mais celui qui reste dans ce mouvement, avec le temps, c’est soit que son cerveau est complètement lavé, je pourrais même dire ravagé, au point que son raisonnement est affecté. De plus le “compagnonnage” est difficile à quitter, il est possible que certains d’entre-eux, savent ensuite par expérience ce que représente leur Parti, mais tout comme dans l’Islam, ils se craignent les uns les autres et donc se suivent de manière idiote… Tout, plutôt que perdre ses camarades… Ce qui tient bien sur, de la pure connerie, mais tant de personnes sont lâches.
Et puis il y a les meneurs qui eux connaissent la fausseté de la valeur qu’ils défendent, mais ils ont acquis des avantages, des places, etc… S’ils les quittaient, ils risqueraient de redevenir les riens du tout qu’ils devaient être précédemment. Ce que peuvent arrivent à assumer.
C’est la même chose pour les élites, médias, artistes et toutes ces confréries. Je ne crois pas que tous soient aveugles à ce qui arrive à nos sociétés (quoiqu’ils en soient protégés par leurs richesses) – mais tout de même, c’est comme une coterie. Pour continuer à en faire partie, il faut en épouser les modèles et les préjugés voire, puisqu’il est question de médias, carrément : le politiquement correct !
Sinon on en est éjecté : Se rappeler la censure totale de Jean Ferrat, dans tous les médias pendant des années, parce que nombre de ses chansons sont engagées et ne cirent pas les pompes du Pouvoir dans le bon sens du poil :
déjà “Nuit et Brouillard”, mais pour d’autres :
https://www.nouvelobs.com/culture/20100313.OBS9743/jean-ferrat-chanteur-engage-et-censure.html
En attendant ceux qui restent dans ce Parti, convictions envolées ou non, restent néanmoins très nocifs dans la société. En fait leur principal trait de caractère étant un nihilisme délétère.
Pour le cas « Gayssot », sachant que son tout premier emploi fut à la SNCF, qu’il n’aura jamais quitté, malgré son travail en politique. Connaissant la place du Parti Communiste, prise par la CGT, dans cette entreprise… Les camarades que Mr Gayssot ne doit pas décevoir doivent être nombreux. Le fait qu’il ait 74 ans, n’y changera rien. Toute sa vie doit tourner principalement autour de cet axe : communisme/CGT/SNCF.