Mensonge numéro 1 : dans un éditorial publié sous l’initiative du Boston Globe, 300 journaux ont défendu la liberté de la presse qu’ils disent attaquée par le président Trump.
300 médias américains ont publié simultanément un éditorial pour défendre leur liberté d’expression en danger disent-ils. Le Wall Street Journal et le Los Angeles Times (mon quotidien papier du week-end), font notablement exception. Ces journalistes qui revendiquent leur indépendance d’esprit pensent donc comme un seul groupe, ce n’est pas à leur honneur. Surtout pour abuser de leur liberté d’expression pour se plaindre qu’ils n’ont pas de liberté d’expression ! Et ces clowns de journalistes francophones, avec le recul du fait qu’ils sont en France et en Belgique, reprennent l’info sans même remarquer cela… ils ne valent pas mieux.
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Mensonge numéro 2 : John Brennan
L’ex-directeur de la CIA d’Obama John Brennan s’est vu retirer son habilitation Secret défense. “Le président Trump veut me faire taire” a-t-il déclaré sur Twitter, avant de courir répéter la même ânerie au New York Times, qui l’a reproduite sans se rendre compte que dans “secret défense” il y a le mot “secret”, puis il s’est rendu à MSNBC, qui l’a embauché comme commentateur politique il y a quelques mois, pour se plaindre que Trump l’empêche de parler ! Encore un clown.
Le New York Times, 3 millions de lecteurs, n’a pas hésité à publier que la liberté d’expression de Brennan lui a été retirée parce qu’il a perdu son habilitation à recevoir les secrets du gouvernement. Car évidemment, si vous n’êtes pas accrédité aux secrets défense de l’Etat, votre liberté d’expression est confisquée… Permission de sourire.
L’accréditation de John Brennan était une anomalie. Il ne devait plus l’avoir, puisqu’il ne travaille plus pour l’Administration américaine, mais pour un média d’opinion. Sans oublier que récemment, il a demandé que le président soit présenté devant un poteau d’exécution pour haute trahison. Parce qu’il a eu une réunion avec Vladimir Poutine ! Et ce voyou mérite de conserver son accréditation ?
C’est ce même Brennan qui sous la présidence Obama a menti au peuple américain en déclarant sous serment que la NSA ne collecte pas d’information sur les citoyens américains… puis il y a eu les dossiers de la NSA divulgués aux médias par Edward Snowden.
Mensonge numéro 3 : le livre d’Omarosa bourré de mensonges
Les journaux font leurs gorges chaudes du dernier livre anti-Trump écrit par l’ex-collaboratrice de la Maison-Blanche, Omarosa Manigault. Le livre, à peine sorti, est déjà dénoncé pour les mensonges qu’elle fait dire aux personnes qu’elle cite.
France Info, indifférent, lui a consacré ses gros titres. C’est donc comme cela qu’il faut interpréter la neutralité du service public : se jeter sur tous les livres anti-Trump qui paraissent, et passer sous silence les livres pro-Trump (Guy Millière n’a jamais été invité aux grandes heures d’audience pour parler de son excellent ouvrage Après Obama, Trump ?*, ou La Révolution Trump ne fait que commencer*, pas plus que Didier Godefridi pour sa Révolution Trump*)
- Omarosa a accusé Trump d’avoir utilisé le mot “nigger” (nègre, un mot insultant que seuls les rappeurs noirs emploient) sur le plateau de l’émission “The Apprentice” et d’en posséder un enregistrement. Puis elle est revenue sur ses déclarations.
- “Je suis cité dans le livre d’Omarosa à la page 149,” a tweeté Frank Luntz.
“Elle prétend avoir entendu quelqu’un qui m’a dit que j’ai entendu Trump utiliser le mot N…”“Non seulement c’est faux (je n’ai jamais rien entendu de tel), mais Omarosa n’a même pas fait l’effort de m’appeler ou de m’envoyer des emails pour vérifier “, a-t-il ajouté. “C’est très mesquin.”
I’m in @Omarosa’s book on page 149. She claims to have heard from someone who heard from me that I heard Trump use the N-word.
Not only is this flat-out false (I’ve never heard such a thing), but Omarosa didn’t even make an effort to call or email me to verify. Very shoddy work.
— Frank Luntz (@FrankLuntz) August 10, 2018
- Sur Twitter, Cheryl Burns a réagi en écrivant :
“En tant que femme afro-américaine vivant en Californie du Sud, et à travers la destruction de Los Angeles et des zones environnantes par GWBush et Obama, je dirais que Bush et Obama ont fait preuve de plus de racisme en détruisant les communautés américaines que tout ce qui est jamais sorti de la bouche du président Trump.”
As a African-American woman living in SoCal & thru the destruction of the LA & surrounding areas by the GWB and Obama Administrations I would say Bush & Obama displayed more racism by destroying American communities than anything that has ever come out of President Trump’s mouth.
— Cheryl Burns (@cburns926) August 11, 2018
- Omarosa a également accusé Trump de dénigrer régulièrement le mari à moitié philippin de sa collaboratrice Kellyanne Conway, l’appelant “Googoo”, un terme raciste qui veut dire négro en référence à la guerre entre les Etats-Unis et les Philippines.
George Conway a répondu aux allégations à son sujet comme étant “absurdes”, a rapporté le Daily Mail.
“L’accusation n’est pas crédible et est même ridicule, surtout à la lumière du fait qu’elle correspond au moment où elle a été licenciée de la Maison-Blanche, le 12 décembre 2017. Tout cela est absurde”, a-t-il écrit.
- L’avocat Michael Cohen, également cité dans le livre, a déclaré sur Twitter :
“Des dizaines de journalistes m’ont appelé, m’interrogeant sur @OMAROSA, qui affirme dans son nouveau livre que @POTUS @realDonaldTrump a mis une note de moi dans sa bouche et l’a mangée….Je n’ai vu JAMAIS vu telle chose, et je suis choqué que quiconque prenne cela au sérieux.”
LTo the many dozens of #journalists who called me, questioning @OMAROSA claim in her new book that @POTUS @realDonaldTrump took a note from me, put it in his mouth and ate it…I saw NO such thing and am shocked anyone would take this seriously.
— Michael Cohen (@MichaelCohen212) August 12, 2018
- Puis Omarosa a accusé Trump d’avoir eu connaissance du scandale des emails d’Hillary Clinton avant leur publication par Wikileaks. A cela, l’avocat et ancien maire de New York Rudy Giuliani a répondu, sur CNN : “elle ment, je sais qu’elle ment, parce que j’étais avec Trump presque 24 heures sur 24 lorsque l’affaire a éclaté, et elle, était très loin de la campagne”, et elle aurait su cela comment ?
- C’est “encore pire que les médias lui ouvrent maintenant les bras, après avoir refuser de la prendre au sérieux et ne pas avoir voulu publier ses déclarations lorsqu’elle n’avait que des choses positives à dire sur le président quand elle était employée à la Maison-Blanche”, a déclaré Sarah Huckabee Sanders, la porte-parole de la Maison-Blanche.
On se demande pourquoi Donald Trump se serait entouré d’une collaboratrice noire, s’il était raciste. Encore une histoire que les clowns reproduisent sans vérifier, puisque cela peut accabler Trump.
Mensonge numéro 4 : le procès Paul Manafort
L’ex-directeur de campagne du président Trump passe en ce moment en jugement devant un tribunal de Virginie. Les médias en font des gorges chaudes. “Enfin un collaborateur proche de Trump devant les tribunaux” écrivent-ils, sans préciser qu’il a été mis en accusation par l’enquêteur spécial Bob Mueller non pas contre une collusion entre les Russes et Trump, mais pour fraude fiscale ! Le verdict devrait être prononcé dans les jours qui viennent. Il risque jusqu’à 300 ans de prison (la peine de prison moyenne pour fraude fiscale est d’un an et demi, mais c’est sans doute le prix que fait payer un juge de gauche pour avoir été le collaborateur de la campagne électorale de Trump).
Ce que vous ne lirez pas donc, ou alors enfoui au fond d’un paragraphe, est que le procès Manafort n’a strictement rien à voir avec l’élection de Trump ou une quelconque interférence de la Russie dans l’élection de 2016, mais pour des faits d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent non déclaré au fisc, qui remontent à très longtemps avant que Trump ne songe à se présenter un jour pour devenir président.
Les vieux médias sentent la poussière, et ils vont la mordre
Les médias qui ont titré que “300 médias s’unissent contre Trump” veulent que vous pensiez que finalement, après presque 2 ans de présidence Trump, ils jettent l’éponge. Ils ont juste oublié de vous préciser un tout petit détail : en 2016, ces journaux endossaient Hillary Clinton. Oh, un si petit détail…
C’est pour moi, et je suis sur, pour vous aussi, le témoignage le plus formidable que ces vieux médias (vous me verrez souvent employer ce terme à l’avenir), les journaux papier, appartiennent à la préhistoire. Tout leur écosystème est en train d’exploser.
Jusqu’à Facebook, qui vient d’envoyer un électro-choc aux salles de rédaction en déclarant qu’ils ne sont plus pertinents (1) :
“Nous ne sommes plus intéressés à vous parler de votre trafic…. C’est l’Ancien Monde et il n’y a pas de retour en arrière. Ce tuyau d’incendie ne s’ouvrira pas de sitôt.”
Campbell Brown, le responsable mondial des partenariats avec les médias, a déclaré lors d’une réunion avec des responsables de médias australiens à Sydney la semaine dernière :
“Mark [Zuckerberg] s’en fiche des publications, il me donne beaucoup de latitude et de concessions pour faire ces changements.
Nous allons vous aider à revitaliser le [métier de] journalisme…. dans quelques années, l’inverse ressemblera à moi qui vous tiens la main, à vous à et vos business à l’agonie, comme dans un hospice.”
Les vieux médias sont les premiers fournisseurs de Fake News. S’ils voulaient vraiment les combattre, ils commenceraient devant leur porte. Ils ont depuis trop longtemps abandonné les règles les plus élémentaires de l’éthique journalistique, et ont oublié qu’un jour, la fonction de la presse était de rechercher les faits et les publier. Ce sont des clowns, je vous dis.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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(1) http://www.niemanlab.org/2018/08/facebooks-message-to-media-we-are-not-interested-in-talking-to-you-about-your-traffic-that-is-the-old-world-and-there-is-no-going-back/
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Pour reprendre le slogan KFC, les journalistes français et américains de gauche doivent se pourlécher les doigts, genre “Obam’asslicking good”.
Comme souvent sans le reconnaître la France copie l’Amérique .. et c’est le cas avec nos “vieux” médias, anti-Trump, anti-Israël, pro-migrants etc … Ils se tirent une balle dans le pied, et s’étonnent de la désaffection du public pour leurs torchons, public qui subit une overdose de censures, de mensonges, de propagande issue d’une idéologie dépassée.
Ils sont là pour nous é-du-quer . Pour nous dire ce qu’il faut pen-ser. Pour expliquer quels mots on doit u-ti-li-ser. Avec les gentils qu’ils aiment beaucoup (Clinton, Obama, Sanders) et les méchants qu’ils haïssent très fort (Poutine, Trump, Netanyahu).
On attend l’ultime étape: leur signer une procuration afin de bien voter. Autrement dit voter comme ils le souhaitent.
Le New York Times, 3 millions de lecteurs…Pour une population de 325,7 millions…
En admettant que la moitié sache lire on n’arrive même pas à 2%…
“Omarosa Manigault” ===> Omar Osama Nigaud…
Le constat que je fais ce matin est terrifiant, abominable : le chaos universel que nous pouvions prédire dans quelques années, voire quelques mois, est actuel, contemporain, là! Nous y sommes ; nous sommes dans l’oeil du cyclone et ses ravages ne font que commencer. Terrifiant je vous dis.
Alors que notre monde subit des invasions barbares sans précédents, les donneurs d’alertes sont crucifiés sur la place publique par ceux-là même (les journalistes) qui devraient sonner du tocsin à s’époumoner, tel Roland assailli par les mêmes fous de son époque.
Deux exemples criants, indiscutables, cataclysmiques :
Alors que Donald Trump alerte sa population sur les manipulations inqualifiables des média américains suivis par la presse internationale, les journalistes pondent la plus énorme fake news de tous les temps, insurpassable en terme de dénie d’information, en laissant “entendre clairement” que Trump bâillonne les média et nuit à la démocratie par ses dénonciations ; ceux-là même qui escamotent savamment ses discours de Varsovie et de l’ONU dignes d’un immense Chef d’État ; ceux-là même qui dénigrent inlassablement tous ses faits et gestes ; ceux-là même qui montent en épingle des fait de société sordides indémontrables et qui trouvent même le moyen d’affirmer avec une délectation manifeste que son épouse et sa fille Ivanka s’opposent à lui sur la séparation des familles de migrants illégaux, alors qu’il partage précisément leur avis et qu’il y a remédié diligemment… Ce n’est plus de l’information, c’est mensonges sur mensonges sur mensonges…
Maxime Bernier, ministre conservateur sous Harper et député fédéral de Beauce mets en garde ces jours-ci les Canadiens contre le multiculturalisme “extrême” (si c’est extrême… c’est extrême!) en indiquant qu’une mosaïque de cultures disparates non intégrés aux valeurs occidentales mène droit à la création de ghettos de non droit, au chaos et à LA DIVISION de la société canadienne : les média locaux, Radio-Canada et TVA en tête, s’emparent de ses propos, en inversent carrément le sens pour enfin taxer Maxime Bernier de raciste, de délirant et DE DIVISER la population!!! Ils appuient même leurs avanies par des “micro-trottoir” triés en direction de leurs inclinaisons politiques perverses. Une insondable honte journalistique! Pures charognes.
Et le chef conservateur Andrew Schear de suivre la vague électoraliste en désavouant son député publiquement.
Quand un organisme ne transmet plus au cerveau les informations sur son état de santé, celui-ci est en danger de mort imminente. S’il lui transmet de fausses informations, il se tue. Voilà ou nous en sommes aujourd’hui mi-août 2018, à l’agonie par cancer inoculé en surdose par intraveineuse. On peut désormais parler d’INFORMATIONS LÉTALES.
Ne dite pas à ma mère que je suis journaliste, elle croit que je taille des pipes dans un bordel.
Le constat que je fais ce matin est terrifiant, abominable : le chaos universel que nous pouvions prédire dans quelques années, voire quelques mois, est actuel, contemporain, là! Nous y sommes ; nous sommes dans l’oeil du cyclone et ses ravages ne font que commencer. Terrifiant je vous dis.
Alors que notre monde subit des invasions barbares sans précédents, les donneurs d’alertes sont crucifiés sur la place publique par ceux-là même (les journalistes) qui devraient sonner du tocsin à s’époumoner, tel Roland assailli par les mêmes fous de son époque.
Deux exemples criants, indiscutables, cataclysmiques :
Alors que Donald Trump alerte sa population sur les manipulations inqualifiables des média américains suivis par la presse internationale, les journalistes pondent la plus énorme fake news de tous les temps, insurpassable en terme de dénie d’information, en laissant “entendre clairement” que Trump bâillonne les média et nuit à la démocratie par ses dénonciations ; ceux-là même qui escamotent savamment ses discours de Varsovie et de l’ONU dignes d’un immense Chef d’État ; ceux-là même qui dénigrent inlassablement tous ses faits et gestes ; ceux-là même qui montent en épingle des fait de société sordides indémontrables et qui trouvent même le moyen d’affirmer avec une délectation manifeste que son épouse et sa fille Ivanka s’opposent à lui sur la séparation des familles de migrants illégaux, alors qu’il partage précisément leur avis et qu’il y a remédié diligemment… Ce n’est plus de l’information, c’est mensonges sur mensonges sur mensonges…
Maxime Bernier, ministre conservateur sous Harper et député fédéral de Beauce mets en garde ces jours-ci les Canadiens contre le multiculturalisme “extrême” (si c’est extrême… c’est extrême!) en indiquant qu’une mosaïque de cultures disparates non intégrés aux valeurs occidentales mène droit à la création de ghettos de non droit, au chaos et à LA DIVISION de la société canadienne : les média locaux, Radio-Canada et TVA en tête, s’emparent de ses propos, en inversent carrément le sens pour enfin taxer Maxime Bernier de raciste, de délirant et DE DIVISER la population!!! Ils appuient même leurs avanies par des “micro-trottoir” triés en direction de leurs inclinaisons politiques perverses. Une insondable honte journalistique! Pures charognes.
Et le chef conservateur Andrew Schear de suivre la vague électoraliste en désavouant son député publiquement.
Quand un organisme ne transmet plus au cerveau les informations sur son état de santé, celui-ci est en danger de mort imminente. S’il lui transmet de fausses informations, il se tue. Voilà ou nous en sommes aujourd’hui mi-août 2018, à l’agonie par cancer inoculé en surdose par intraveineuse. On peut désormais parler d’INFORMATIONS LÉTALES.
Ne dite pas à ma mère que je suis journaliste, elle croit que je taille des pipes dans un bordel.
“Plus une société dérive de la vérité,plus elle haïra ceux qui parlent vrais!”Georges Orwell
Le mal est très profond et touche surtout ceux qui sont payés pour nous diriger,juger,ou informer !il est vital de nous éloigner de ces charognards !!!Le peuple américain l’a bien compris en élisant Donald Trump.
enfin les médias sont honnête que les 300 médias sont unis contre Trump …. a l’exception de FOX … a la dernière élection c’était tellement évident qu’ils étaient tous des collabo a la solde de l’équipe clinton/soros bref je sais que de plus en plus le citoyen moyen Américain réalise la manipulation et nous auront l’heure juste le 1ier Novembre
LA PRESSE !
Le lobby le plus puissant
Le plus charlatan
Le plus faussaire, mystificateur, menteur
Le plus calomniateur
Le plus hypocrite, imposteur, trompeur
Le plus perfide, insidieux, sournois
LE PLUS DANGEREUX POUR LA TERRE !
Le comble dans tout cela, c’est que les journaleux disséminateurs de fake news ne se rendent même pas compte qu’on ne leur prenne plus au sérieux tel un clown ne se rendant pas compte qu’il ne fait plus rire personne.
Certes les “vieux médias” sont en sérieuse perte de vitesse, mais si l’alternative, c’est Facebook et Google, n’est-ce pas pire ? Vu que les “réseaux sociaux” que ces sociétés dirigent sont quasi-hégémoniques ? Et vu la propension qu’elles ont à favoriser les infos allant dans le sens du “progressisme”, et à censurer celles allant dans le sens du conservatisme ?
Par ailleurs, que Manafort soit inculpé (et sans doute condamné) de fraude fiscale n’est pas une bonne nouvelle ; cela montre que ce n’était pas un personnage très recommandable, et cela entache forcément Donald Trump, puisque dans l’esprit des gens, c’est : “dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es”.
Je préférerais voir des gens comme Comey, ou Brennan, ou Clinton ou Obama inculpés – pour des faits autrement plus graves, puisqu’ils touchent à la subversion et à la Haute Trahison – que de savoir que Manafort n’est coupable “que” de fraude fiscale.
300 journaux qui se revendiquent comme démocrates que les lecteurs républicains vont boycotter. Pas fort malin.
L absence de sanction contre ces dangereux clowns est inadmissible.
300 journaux idiots à supprimer. Quelques cretins å expulser de l Union assainirait l ambiance.
Qui ne se fait pas respecter est mėprisable!
Richard,
Non, ce ne sont pas des idiots, ils mènent une véritable guerre psychologique pour monter l’opinion contre Donald TRUMP.
Ces gens là ne s’embarrassent pas de scrupules pour arriver à leurs fins, les fausses informations, ou les informations tronquées, c’est leur déontologie à eux.
Pour ces donneurs de leçons, l’homme politique à abattre est une cible permanente, ils cherchent dans toutes les poubelles l’info pourrie pour faire la une de leurs journaux.
Ils chassent en meute, ils blessent, ils égratignent, ils salissent la réputation de Donald Trump et de ses plus proches collaborateurs pour tenter de les affaiblir, de les user.
300 vieux-médias unis pour la chasse à courre et on connaît tous le nom du gibier, tant leurs flots de haine sentent mauvais.
J’espère que sa vengeance sera terrible et qu’ils seront pulvérisés.
A propos de Trump, mais sans rapport direct avec cet article, une info flash défilante indique :
« Effet Trump : l’emploi des jeunes est au plus bas depuis 50 ans – quel horrible président ce Trump »
Il y a une erreur ou bien je ne comprends pas la formule.
C’est au second degré.