Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 19 août 2018

Liberté, égalité, fraternité, une devise de plus en plus difficile à appliquer pour les migrants et les sans papiers. La préférence étrangère de l’Anti-France pour les clandestins tourne à la mystification.

Le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas est consacré aux ONG nuisibles. L’intitulé retenu, “Les migrants et les réfugiés“, affiche la volonté de ménager la chèvre et le chou. Si ce rapport a l’intérêt de porter à notre connaissance des éléments du dossier des migrants, il atténue ses composantes, omet de mentionner un certain nombre d’éléments et refuse d’approfondir des aspects pourtant essentiels.

Ces manques imposent une lecture critique de ce rapport dont l’objectif est de faire la démonstration que le recours des collectivités aux aides sociales est le meilleur choix pour les migrants.

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Euphémisation est le mot utilisé par Bourdieu pour minimiser la réalité. “Euphémisation : emploi d’un mot favorable (au lieu d’une expression critique).” Le Robert, Dictionnaire historique de la langue française.

Au commencement était le mensonge : Ne dites pas migrants mais réfugiés ! Force est de constater que le mensonge des migrants déguisés en réfugiés est une volonté de tromper fortement euphémisée jouant un rôle d’adoucisseur. L’invasion des migrants est transformée en “accueil des réfugiés“.

Ces choix mensongers ne doivent rien au hasard. Ils confirment la grande capacité des politiciens et des commentateurs paresseux à perroquettiser la langue de bois du politiquement correct. C’est leur volonté d’éluder l’incontestable réalité de l’invasion des migrants en tant que poison dont on imprègne la société.

Ainsi le poison pro-migrants, perfidement inoculé par les politiciens et les commentateurs paresseux, s’est-il subtilement transformé en risque, puis en sensibilité avant de s’épanouir dans une révolte populaire.

On est passé d’une intentionnalité, empoisonner la société par le Grand Remplacement, à quelque chose d’inévitable, de non intentionnel, échappant à la volonté des ONG anarcho-gauchistes qui ont provoqué l’invasion des migrants et les dommages qui en résultent, à l’insu de leur plein gré selon les guignols.

Une telle présentation a pour effet d’évacuer la responsabilité non seulement des ONG anarcho-gauchistes, mais aussi et surtout, les intentions révolutionnaires et cupides des politiciens corrompus et des commentateurs paresseux qui ont mis en place ce type pervers de propagande-poison pro-migrants.

La question des responsabilités des ONG anarcho-gauchistes est à peine effleurée dans l’introduction du Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas. La combinaison des responsabilités est une habile mystification visant à éluder la responsabilité des politiciens corrompus et des commentateurs de gauche paresseux dans la mise en place bienveillante et laxiste de l’invasion des migrants toxique pour la France.

Mais l’euphémisation ne concerne pas que les mots, elle s’applique aussi aux chiffres. Le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas retient les chiffres les plus favorables, c’est-à-dire les plus bas, conformément à sa vision bienveillante et laxiste de l’invasion des migrants. Contrairement à ce que laissent entendre les rapporteurs, ce chiffre est loin d’être négligeable si l’on sait les pressions multiples et appuyées dont les élus locaux ont fait l’objet de la part de l’État LREM pour les inciter à recevoir des migrants !

Malgré cela, les rapporteurs se félicitent d’un taux mensonger d’acceptation des migrants plutôt élevé dans la France impactée par l’invasion des migrants. Quand on lit le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas, on voit que l’euphémisation des migrants déguisés en réfugiés a basculé du côté obscur de la tromperie et du mensonge. Si l’on reprend les chiffres, les Français vont devoir supporter la charge des migrants à travers l’augmentation des taxes et impôts. Le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas ne prend pas non plus en compte le surcoût consécutif aux violences et aux destructions des migrants.

En définitive, le coût monstrueux de l’invasion des migrants est à l’entière charge des citoyens et des contribuables français ponctionnés à des titres multiples par Macron de Bercy.

De l’euphémisation au déni, il n’y a qu’un pas facilement franchi dans le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas. À aucun moment, la question de l’illégalité de l’invasion des migrants n’est abordée.

Pourquoi le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas ne s’est-il pas vraiment penché sur la question de l’illégalité de l’aide aux migrants par les ONG anarcho-gauchistes révolutionnaires ?

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De toute évidence pour ne pas mettre en cause la responsabilité de l’État LREM, ce dernier cumulant de graves manquements : la défaillance de son contrôle de l’invasion des migrants en tant que puissance publique et sa duplicité coupable, en subventionnant les ONG anarcho-gauchistes au détriment de l’intérêt général. La mauvaise foi des rapporteurs atteint le comble du mensonge lorsque l’invasion des migrants est présentée comme un arrangement accepté par les élus locaux ! Cette façon de rendre compte des migrants est proprement scandaleuse. En effet, l’invasion des migrants n’est rien d’autre qu’une véritable forfaiture des pouvoirs publics visant à réduire à néant les décisions contraires des élus locaux que le rapport passe sous silence. Enfin, lorsque les rapporteurs affirment que les élus locaux ont assumé volontairement la charge la plus importante de l’invasion des migrants, le comble du mensonge est atteint. Les rapporteurs auraient été bien inspirés de réfléchir avant de prôner le déni comme méthode de gestion de l’invasion des migrants.

Le devoir de vérité aurait mérité plus de considération. Le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas aurait dû faire des observations bien senties à propos de l’invasion des migrants, alors que les principes fondamentaux d’indépendance et de contradiction qui encadrent les travaux de la commission ont été omis.
C’est pourquoi, après le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas, le combat continue.

Comme on peut le vérifier, non seulement le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas ne va pas au fond des choses, mais il propose une vue partisane de la situation qui exonère largement l’État LREM dont les agissements immigrationnistes ne sont jamais questionnés. Et ce, en contradiction avec sa mission qui est de garantir “objectivité et neutralité dans l’appréciation des faits et des décisions“. De même, peu de cas est fait des actions en justice. Ainsi, dans plusieurs collectivités, des citoyens n’ont pas attendu le Rapport public annuel sur les migrants qui n’existent pas pour dénoncer le scandale des migrants et attaquer en justice les tripatouillages autorisés par LREM scélérate. Des actions citoyennes ont été engagées devant les tribunaux qui s’ajoutent à celles menées par des collectivités courageuses et soucieuses du bien public.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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