Le Quai d’Orsay suit toujours avec attention les informations que nous publions sur la situation au Moyen-Orient, car il n’a pas idée de ce que prépare l’Administration américaine.
Les rapports de la presse américaine de cette semaine suggèrent que l’Administration Trump se prépare à prendre des mesures, y compris éventuellement un retrait total des budgets alloués à l’Office de secours et de travaux des Nations Unies (UNRWA), l’organisation très controversée créée en 1949 pour fournir une assistance aux réfugiés palestiniens.
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Tout d’abord, les États-Unis vont réduire de plus de 200 millions de dollars l’aide économique aux Palestiniens et diriger l’argent vers d’autres projets, a annoncé vendredi dernier le département d’État.
Dans une déclaration, un haut fonctionnaire du département d’État a déclaré que l’administration réoriente les fonds “initialement prévus pour les programmes en Cisjordanie et à Gaza” vers des “projets prioritaires ailleurs”.
Le fonctionnaire a déclaré que la décision a été prise “sous la direction du président Trump” pour s’assurer que l’argent de l’aide est dépensé “conformément aux intérêts nationaux des États-Unis pour qu’il apporte une valeur ajoutée au contribuable américain”.
Ce changement intervient au moment où Trump et son équipe préparant une proposition d’accord de paix, dont son gendre et conseiller principal Jared Kushner, travaillent à la publication de leur plan tant attendu pour la paix entre Israéliens et Palestiniens.
Le département d’État a déclaré que la décision de couper les financements “tient compte des défis auxquels la communauté internationale doit faire face pour fournir une assistance à Gaza, où le contrôle du Hamas met en danger la vie des citoyens de Gaza et dégrade une situation humanitaire et économique déjà catastrophique”.
Puis l’ambassadeur à l’ONU, Nikki Haley, a convenu mardi que le droit au retour des réfugiés palestiniens – une demande critique pour les Palestiniens et un refus total pour Israël – devrait être retiré des sujets de discussion.
L’administration est peut-être en train d’augmenter la pression sur les Palestiniens avant de déployer le plan de paix de Trump. Mais la critique de l’UNRWA – un objet de dérision pour Jared Kushner et d’autres membres de l’équipe de paix de Trump – pourrait faire partie d’une campagne visant à réinitialiser complètement la politique américaine sur le conflit israélo-palestinien.
En effet, l’administration a depuis longtemps démontré une tendance à revenir en arrière – voire à dissocier – les États-Unis de leur adhésion passée à une solution à deux États, et a cherché à aligner sa position plus étroitement avec les points de vue plus raisonnables du gouvernement israélien.
Au-delà des réfugiés et du droit au retour (que les administrations précédentes ont évité d’accorder), deux autres règles de la posture américaine ont été fondamentalement remaniées :
- La solution à deux États dont Trump a refusé d’endosser l’idée, et encore moins de la baser sur les lignes de juin 1967, même avec des modifications territoriales substantielles. Au lieu de cela, l’administration semble favoriser une sorte de région palestinienne, Israël conservant une grande partie de la Judée Samarie.
- Jérusalem : La reconnaissance par Trump de Jérusalem comme capitale d’Israël et la décision d’ouvrir une ambassade des États-Unis, est un recadrage majeur de la politique traditionnelle des États-Unis fondée sur Jérusalem en tant que capitale indivise de deux États, et non d’un seul. En annonçant cette décision, l’administration a également appelé à la négociation sur les frontières et la souveraineté de la ville. Mais rien n’indique que Washington, et encore moins Israël, est prêt à soutenir Jérusalem-Est pour abriter une véritable capitale palestinienne, avec un contrôle palestinien sur certaines parties de la vieille ville et des quartiers palestiniens.
Dans l’ensemble, les actions récentes de l’administration reflètent l’intention de redéfinir les paramètres de la politique américaine d’une manière qui assurera pratiquement le rejet par les Palestiniens et les principaux États arabes comme l’Arabie saoudite, soulageant ainsi la pression sur Israël.
Cette redéfinition intervient à un moment où les chances d’une négociation sérieuse entre deux États sont déjà minuscules. Oui, mais c’est peut-être là le problème. Après tout, Kushner a souvent dit que rien n’a fonctionné auparavant et qu’il serait stupide de s’entêter comme le font les dirigeants européens à constamment pousser les mêmes propositions dans l’espoir qu’elles produiront soudain un résultat différent.
Alors, avec un peu d’espoir de relancer des négociations sérieuses, pourquoi ne pas faire bouger les choses ?
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Federica Mogherini va se faire une joie de leur envoyer l’argent. C’est financer une partie de la ambulance islamiste qui rêve de conquérir l’Europe (entre autre) par tous les moyens.
“L’étrange suicide de l’Europe” ou alors “Le dérèglement moral de l’Occident”…Les deux mon capitaine.
l’Europe, comme le chien de Pavlov, réagit à des stimulis.
Dès que la “diplomatie européenne” celle du quai d’Orsay surtout, entend le nom d’Israël, elle réagit comme si elle entend “attaque”
Pavlovien..
Et dire que nous acceptons cette hypocrisie aux commémorations de la Shoah, du Veldiv,
….de Sarah Halimi
Mais, bientôt, prise en étau entre islamisme et extrême-droite et gauche, l’Europe devra se trouver d’autres boucs émissaires !
Je sais sincèrement gré à Dreuz info de nous permettre de voir sous un autre angle l’actualité internationale, A l’heure où la presse européenne et même Suisse (mais où est donc sa soi-disant neutralité ???) nous anone les mêmes DÉSINFORMATIONS PROPAGANDISTES, DreuZinfo c’est notre RADIO LONDRES des années 1940. MERCI
trump réduit les financements, il devait les couper ! reculade ou tactique?
un plan de paix, mais les arabes ne veulent pas faire la paix! les accords d’oslo, signés à oslo puis abandonnés par arafat! iden avec le successeur, le plan de paix proposé par ehud barak, pourtant très favorable aux palestiniens, refusé!
C’était il y a un an, à propos de la “conférence de Paris”.
https://www.youtube.com/watch?v=9CvB_UKDK78
“Shalom ! Je suis Dikla, de “Boomerang”, et aujourd’hui nous allons voir pourquoi cette conférence ne pourra pas apporter la paix au Moyen-Orient.
Ce Lundi 15 Janvier 2017, les représentants de dix-sept nations se rassemblent à Paris pour une conférence pour la paix au Moyen-Orient.
Sérieusement ? Le Moyen-Orient ? Pas vraiment… La conférence de Paris pour la paix ne portera pas sur la guerre civile en Syrie et son demi-million de morts, ni sur ISIS (Daesh) qui viole, mutile et assassine des milliers de gens, ni sur la lutte à mort qui oppose la junte égyptienne aux Frères Musulmans.
Au lieu de cela, ces dix-sept nations vont-elles débattre du besoin “urgent” d’apporter la paix de Bagdad à Alger ? De Sanaa à Istanbul ? Non: Israël !
Mais parlons quand-même de cette paix et de cette “solution à deux Etats”: Voudriez-vous nous expliquer à nous, Israéliens, avec qui nous devrions faire la paix ? Avec ceux qui répriment la liberté d’expression, le doit de vote, les droits des femmes et des homosexuels ? Avec ceux qui nient l’holocauste ? Avec ceux qui se réjouissent du meurtre de nos enfants ? Avec ceux qui nomment leurs assassins des “modérés” ? Avec ceux qui rêvent d’un épuration ethnique des Juifs de “Cisjordanie” ? Avec ceux qui veulent effacer nos racines historiques de la Terre d’Israël, affirmant qu’ils en seraient eux-même les indigènes historiques ? Avec ceux qui ont inventé cette entité qu’ils appellent “peuple palestinien” ? Avec ceux dont la charte exige l’élimination de l’Etat d’Israël, jurant de ne jamais s’arrêter jusqu’à ce qu’ils nous jettent tous à la mer ? Avec ceux qui nous traitent de “descendants des singes et des cochons” ?
C’est un fait établi que nous, Israéliens, nos voulons vivre en paix avec nos voisins arabes. Mais pendant que vous faites votre futile conférence de Paris à propos de notre destin, permettez-nous de considérer que vos plans constituent une menace vitale contre nous. Au revoir.”
Je pense que Israël a compris depuis longtemps que le conflit avec
les arabes est une “guerre spirituelle”. Aucun accord laïc n’est donc
possible dans un tel cas.
Et je m’arrêterai là parce que je pense que peu me suivront sur le sujet.
Il n’en demeure pas moins que l’Islam envahit le monde avec son
cortège de malheur, sans qu’aucune armée ne soit capable de l’arrêter.
Sauf Israël, et encore….
@ Baba
C’est tout sauf une “guerre spirituelle” : Le Hamas et le Fatah font tout pour continuer à recevoir les centaines de millions de dollars de l’aide “humanitaire” onusienne qui fait carburer leur immonde corruption.
Pour cela, leur stratégie tiens en 3 volets :
– Saboter, torpiller et refuser catégoriquement tout accord de paix
– Terroriser les populations civiles israéliennes
– Maintenir à tous prix les faux “palestiniens” dans la plus grande violence et dans la plus grande misère, ils savent que les médias adorent ça.
Pour l’instant, ça a bien marché pour eux :
l’ONU leur verse environ $800 millions par an.
(Les Birmans, les Érythréens, les Rohyngas, les Kurdes, les chrétiens du Congo, les réfugiés du Yémen et du Soudan n’ont pas autant de chance…)
C’EST UNE GUERRE SPIRITUELLE ET EXISTENTIELLE!!! La seule existence d’Israel met à mal les dogmes de l’Islam. TOUS les pays arabes souhaitent la disparition d’Israel, même sans en avoir aucun avantage financier. En ce qui concerne les “palestiniens” ils veulent aussi la disparition d’Israel. Si par dessus le marché ils se font du pognon c´est tout bénèf…
C’EST UNE GUERRE SPIRITUELLE ET EXISTENTIELLE!!! La seule existence d’Israel met à mal les dogmes de l’Islam. TOUS les pays arabes souhaitent la disparition d’Israel, même sans en avoir aucun avantage financier. En ce qui concerne les “palestiniens” ils veulent aussi la disparition d’Israel. Si par dessus le marché ils se font du pognon c´est tout bénèf…
Guerre spirituelle, à mourir de rire, guerre drôle, amusante, du genre le père spirituel de l’islam est un papa rigolo, un père spirituel… Malheureusement, vu le nombre de crimes, de massacres en tout genre, il n’a rien de spirituel le momo à allah.
Arrêtez de donner dans la spiritualité avec une secte avide de pouvoir et de domination. Cela n’a rien de drôle, ni de philosophique…
C’est la haine et l’avidité qui dominent l’islam, rien d’autre ! Et vouloir y mêler de l’esprit saint n’est vraiment pas convainquant.
Depuis quand les assassins sont-ils devenus des hommes de prière ?
L’islam vous met l’esprit à l’envers.
Sans être chrétien, ou tout en l’étant, on peut se méfier des faux prophètes, non ?
Bref la secte à momo est destructrice, annihilante de civilisation, rien d’autre…
A combattre absolument, question de survie élémentaire !
“…le conflit avec les arabes est une « guerre spirituelle ». Aucun accord laïc n’est donc possible dans un tel cas.” – Vous avez probablement raison puisqu’il ne peut rien y avoir de laïc quand on a un arrière-plan islamique d’un côté.
Pourquoi continuez vous à les appeler “palestiniens” ???
Ils volent un territoire, une identité (car c’était les juifs qui étaient appelés ainsi), font croire qu’elle existe depuis toujours et en plus on leur donnent une légitimité !
Hormis ceci, je sais que le président Trump va faire encore des étincelles à en faire étouffer de rage le quai d’orsay… Quelle jouissance !!!
je vais sauter de joie quand Trump va couper les 200 millions aux palo. car les leaders du fatah comme du hamas donne un salaire aux criminels qui ont blesser ou tuer des Juifs …. en coupant le financement alors les attentats vont diminuer et peux être j’espère qu’ils vont reconnaître Israel
( j’ai le droit de rêver )
Le président Donal Trump est un dirigeant impulsif dont il est très difficile de prévoir les réactions. Donc attendons le fameux “plan”, qui d’emblée sera bien entendu refusé par les arabes descendants de migrants de travail arrivés en Israël au début du XXème et faussement appelés depuis la fin des années 60 “palestiniens” : la doxa islamique ne peut en effet tolérer l’existence du peuple juif en Israël, terre définie comme “Dar Es Salam”, c’est-à-dire l’espace où est imposé, ou a été imposé historiquement l’islam. Autres “exemples” de territoires définis comme étant Dar Es Salam : l’Espagne (“Al Andalous”), le sud de la France jusqu’à Poitiers et une partie des Balkans. (Cf. les écrits du professeur Guy Millière et du docteur Mordéchaï Kédar de l’université Bar Ilan en Israël). L’espace qui reste à conquérir est défini comme “Dar El ‘Harb”, l’espace du glaive. Tout le monde comprend très bien : tout rapport avec la réalité est purement fortuit…
Les fameux “réfugiés”, dont le nombre actuel réel est en fait d’environ 20.000 et non pas un demi-million, dont il est question sont les petits-enfants et arrière-petits-enfants, ad vitam aeternam, des arabes qui ont quitté volontairement en 1948 le territoire de l’Etat d’Israël suite aux exhortations des dirigeants des pays arabes avoisinants Israël promettant à ces derniers les maisons, les fermes et les usines des juifs qui leur fournissaient du travail et que les armées arabes éradiqueraient complètement. L’ONU avait généreusement octroyé le statut de “réfugié” à des migrants de travail arabes qui avaient résidé en Israël (avant 1948) … deux ans.
La vérité va peu à peu poindre. Cela énerve apparemment certains pays victimes vontairement ou nom du syndrome de la soumission…
David Pasder
“Le président Donald Trump est un dirigeant impulsif dont il est très difficile de prévoir les réactions.” C’est son fond de commerce… Et il s’en sert avec brio !
Pour un homme de pouvoir, être imprévisible signifie avoir au moins une longueur d’avance (voir plus).
Il faut arrêter de croire que D. Trump est un impulsif, c”est réducteur et relève de la propagande démocrate. Le président Trump est tout sauf un impulsif, c’est un stratège qui a conquis la présidence des USA.
Arrêtons de nous laisser manipuler par les médias. Laissons à ce Président le pouvoir de nous surprendre et pas que vous et moi, sinon il ne serait plus là depuis longtemps…
Monsieur Pasder, j’ai grand respect pour vos commentaires, mais cassons ces codes qui nous étouffent, je fais allusion au langage des média mainstream qui nous lobotomise.
Pour le reste, entièrement d’accord avec vous.
Christopher : je ne pense pas que quelqu’un puisse mettre en doute les qualités de décideur et de stratège de Donald Trump. Je suis un admirateur de sa politique : il fait réellement “America great again”. Il n’y a rien de péjoratif ni de négatif dans l’utilisation du vocable impulsif. Mon propos, en ce qui concerne Israël, est guidé par la méfiance. Attendons le fameux “plan” et je serai le premier à saluer une avancée positive qui respecte le droit absolu de l’Etat d’Israël, ancré dans les décisions des organisations internationales (SDN, puis ONU), à sa terre ancestrale d’une superficie de 27.500 km² (!) et qui surtout brise le paradigme mensonger d’un “peuple palestinien”, invention du KGB dans les années 60. Ils semble que la constellation d’intérêts tant stratégiques qu’économiques USA-Arabie Saoudite-Israël contre l’Iran soit basée sur une Real Politik : Israël est classé au 8ème rang de puissance tandis que le monde arabe est en phase de délitement. Wait and see.
David, perso je crois (cela n’engage que moi) que D. Trump a compris qu’un plan de paix n’est qu’un épouvantail, voire un doudou pour le politiquement correct.
Il n’y a rien à en attendre, du moins pour l’instant, trop de déjà vu. Le plan de paix est la martingale qui a permis aux arafat, abbas, de se faire un max de pognon en refusant tout accord, histoire de faire monter la mayonnaise islamique et antisémite européenne.
Perdre son temps à parler de paix avec l’AP et le Hamas, c’est leur garantir des rentrées substantielles d’argent pour la cause…
Non,il n’y a pas d’urgence pour un plan de paix, depuis le temps que les falestiniens (colons arabes) nous la font à l’envers, reconnaître Jérusalem comme capital indivisible d’Israël et ensuite détruire l’UNRWA, changera la donne du tout au tout.
Un accord de paix ne se fera pas sans réduire les prétentions falestiennes à la réalité d’une région qui est le berceau du judaïsme et qu’ils occupent indument pour bon nombre, vu que leur pays peut être la Jordanie s’ils n’aiment pas les Juifs au nom de l’islam. Paix aux hommes de bonnes volonté qui respectent Israël et le judaïsme. Basta pour les autres. Et certains chrétiens feraient bien d’y réfléchir aussi…
D’accord avec vous quant à un “accord de paix”. Notez qu’il n’y a pas réellement d’accord de paix avec l’Egypte et la Jordanie. Davantage un accord de non-belligérance, ce qui est très différent : c’est avant tout leur intérêt. L’UNRWA : les USA ont compris que ce mensonge avait assez duré, mais leur contribution financière au budget de cette “organisation” inutile n’est que d’un tiers, que s’empresseront de combler certains pays européens, tant par antisionisme=antisémitisme 2.0 (Danny Danon) que pour des intérêts économiques immédiats et surtout pour des raisons de clientélisme électoral porteur des graves problèmes auxquels se mesurent ces mêmes pays. De nouveau : la constellation d’intérêts tant stratégiques qu’économiques USA-Arabie Saoudite-Israël contre l’Iran soit basée sur des considérations de Real Politik : Israël est classé au 8ème rang de puissance tandis que le monde arabe est en phase de délitement. Israël, qui existe depuis près de 4000 ans, est devenu un état incontournable tandis que le monde arabe commence une nouvelle période de déclin. Wait and see.
Il faut toujours se méfier du quai d’Orsay si prompt à trahir Israël.
“Le fonctionnaire a déclaré que la décision a été prise « sous la direction du président Trump » pour s’assurer que l’argent de l’aide est dépensé « conformément aux intérêts nationaux des États-Unis pour qu’il apporte une valeur ajoutée au contribuable américain ».”
Quand je lis cela, j’en tremble et je pleure !
Cette règle simplissime devrait être une règle absolue pour tous les états, pour toutes les pseudo-aides.
Allez-y Monsieur le Président, laissez brailler les hyènes et les chiens, vous écrivez l’Histoire !
Trump est vraiment génial en suivant Kushner: il retire des négociations
Jérusalem définie comme capitale d’Israël
le droit au retour des “réfugiés”
l’aide aux réfugiés
le nombre des réfugiés
En cherchant bien, il pourra sûrement encore découvrir quelque mensonge falestinien: peut-être la Judée et la Samarie maquillée en Cisjordanie
D’ici là, Abou Mazen ne saura même plus qui est Trump, ni qui il est réellement, avant de disparaître dans les décombres des illusions antisémites de l’Islam
Attention aux pieges prepares par laquai d orsay !
Les francouillons et leurs is et allies arabes ont un plan B contre nous !