Trois membres d’une même famille ont été placés en garde à vue à Douai mercredi. Victime de leurs coups, la jeune fille gardera des séquelles irréversibles.
Quinze années de souffrances, et peut-être la libération pour la jeune Sophie*. Depuis mercredi, trois membres de sa famille – dont ses parents – sont en garde à vue à la suite des mauvais traitements qu’ils auraient commis sur l’adolescente. Selon les premiers éléments de l’enquête, la jeune fille s’est présentée au mois de septembre dernier devant les enquêteurs de la sécurité publique de Cambrai (Nord-Pas-de-Calais) en expliquant être victime « depuis toujours » de mauvais traitements de la part de plusieurs membres de sa famille. Des accusations qui visent ses parents, ainsi que l’un de ses frères aujourd’hui âgé de 21 ans.
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Signalements vains
D’après la déposition de la victime, les faits se seraient déroulés au domicile familial de Cambrai, entre 1997 et 2012, et ces violences volontaires (enfermement à la cave, coups répétés, sévices multiples) auraient provoqué des séquelles irréversibles : la jeune fille est aveugle d’un oeil et l’un de ses bras accuse un retard de croissance de 8 centimètres.
Selon une source judiciaire jointe jeudi après-midi, ces soupçons de maltraitance ont fait l’objet de plusieurs rapports de la part du corps enseignant de l’école que fréquentait la jeune fille. Des signalements demeurés lettre morte, car, à chaque fois, les parents de l’adolescente l’envoyaient en Algérie, dont ils sont originaires, afin de retarder les procédures de contrôle.
Mercredi matin, le procureur de la République de Douai a ouvert une information judiciaire pour « violences habituelles sur mineure de 15 ans ayant entraîné une infirmité permanente ». Le même jour, les parents et le frère de la victime ont été placés en garde à vue, dans l’attente de leur présentation vendredi à un juge d’instruction de Douai, qui devrait décider d’une mise en examen.
* Le prénom a été modifié
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Source : Lepoint
Pourquoi avoir modifier le prénom? Pour nous empêcher de savoir que sa famille est d’origine algérienne?
Ce n’est évidemment pas Dreuz qui a choisi ce prénom d’emprunt !
C’est un article du Point. Cet article est soit une info transmise par les agences et c’est alors les agences qui ont cru devoir changer le véritable prénom en un prénom d’emprunt (pour anonymiser une affaire en cours de jugement),et si non, par le journaliste du Point rédacteur de l’article. Mais les rédacteurs de ces média se sont empressés bien sûr de le « désarabiser » le prénom par la même occasion… Et on sait tous pourquoi !
Les journalistes ne vous font pas confiance et ont trop peurs que vous n’ayez une opinion par vous-même, non conforme à la bienpensance obligatoire. Le padamalgame et le cépaçalislam !
Le journalisme est devenu un exercice de propagande subventionné (donc payé par nos impôts) au service de la doxa étatique.
Ahhhhhhhhh j’me disais aussi que Sophie devait bien cacher khadija ou zouliha…
Pourquoi modifier son prénom quand plus loin vous nous dites que ses parents sont originaires d’Algérie … précision superflue; on avait deviné bien avant.
Lisez ma réponse à duran, ci-dessus-
pauvre jeune fille … je demande la loi du talion pour 15 ans a ses agresseurs
Mais c’est écrit dans le Coran, le livre sacré des abrutis !
Ces gens là évolueront ils un jour ,on ne peut qu’en douter c’est vraiment trop ancré dans leurs gènes.
Sophie, l’Algérienne! Cette presse doit bien reconnaître que c’est ridicule de l’appeler Sophie en disant que son pays est l’Algérie. Pourquoi ne pas dire X, plutôt?
La crédibilité des média est au plus bas. Faut-il s’en étonner ? Les journalistes sont devenus des propagandistes subventionnés de la doxa officielle.
Padamalgame et cépaçalislam sont leurs deux mamelles nourricières.
barakat, J’ai l’impression dans ce cas-ci que c’est une sorte de pied-de-nez de la presse de l’appeler Sophie (parce qu’on doit utiliser un prénom d’emprunt pour ne pas qu’on reconnaisse la victime) ET de parler de sa famille d’Algérie. Comme si la presse voulait souligner la stupidité de ces consignes. Mais je peux me tromper! La presse est peut-être encore plus crétine que ce que j’estimais… 😉
Vous avez peut-être raison. Ce serait un pas dans la bonne direction.
En fait, le message subliminal que Le Point essaie de faire passer, c’est que l’Algérie est peuplée de « Sophie » et de « Arnaud », et que ce pays n’a rien à voir avec l’islamisme puisqu’il n’y habite pas de musulmans.
Ces médias mainstream nous prennent de plus en plus pour des crétins, dans leur fuite en avant islamo-collaborationniste.
D’ailleurs c’est bien connu, les Maghrébins sont tellement bien intégrés qu’ils donnent tous des prénoms bien français à leurs chérubins : https://www.valeursactuelles.com/societe/mohamed-entre-dans-le-top-20-des-prenoms-masculins-qui-seront-les-plus-donnes-en-2018-89857
Ah zut : « Mohamed fait son entrée dans le Top 20 chez les garçons en France, et arrive même 10e à Paris »
Visiblement vous n’avez jamais lu qu’à la période de jahiliya dans ces contrées-là, on enterrait des nouveaux-nées. L’islam a apporté un énorme progrès par rapport à cela. Pouvez-vous le nier ? Sophie était-elle enterrée ?
Quelle bande d’ordures , j’espère qu’il le payerons trés cher , bordel§§
Gardons la petite et expédions toute la smalah dans son algérie chérie , vite , vite !
Les assoc,s gueulent ? On les envoie elles aussi en algérie !
Dehors la mherde !
Pauvre gamine.
Et dire qu’il y a des femmes de la même communauté, qui continuent à défendre ce système peu amène pour la gent(e) féminine.
À ce niveau c’est du masochisme.
J’ai ete temoin de sevices du meme ordre quand je vivais en France dans les annees ’60. De la part de parents francais envers leur progeniture. Le personnel des ecoles s’en moquait. Le mal n’est pas exclusif aux arabes.
Si cela arrive ou a pu arriver (il y a bien eu des Marc Dutroux et autres monstres en Occident), c(‘est quand même moins fréquent que dans la culture musulmane, où la femme/fille est souvent considérée comme inférieure, citoyen de seconde zone, voire dans certains cas, comme une pondeuse et une bête de somme.
Bonsoir Jacques Ady,
Je viens de terminer ma carrière dans une petite sous préfecture de la France « très »
profonde.
Un jour le commissaire de police (quand il y avait encore un commissariat ) m’ a dit
« Ici même les arabes n’osent pas venir « ,
C’est dire qu’on était entre blanc blanc
Tribunal pour 50000 habitants , une affaire d’inceste tous les jours .
Bonne soirée
Certes pas exclusif. Mais pas fréquent,et poursuivi en justice,car contraire a toute notre culture.
Sophie : fake new
Je pense que le decodeur du monde et Emmanuel vont le signaler
pauvre gamine!
même sa mère était complice! drole de famille, drole de moeurs! drole de religion! et on nous demande de vivre ensemble!
Attendez, bientôt on aura la suite, que le frérot utilisait la sœurette pour des exercices sexuel. Tant qu’a faire, il n’allait pas ce privé, peut être même qu’elle servait à Papounet aussi sous l’œil attendrissant de Moman.
bonne déduction! et qui sait si elle n était pas battue en plus car pas encore « pondeuse »
Je ne parviens pas à comprendre comment de telles situations peuvent se rencontrer.
Dans un cas, par exemple, comme Natasha Kampusch, qui était séquestrée, je peux comprendre. Mais un enfant qui va à l’école, est censé aller chez le médecin de temps à autre, etc., comment est-il possible que personne n’ait rien vu ?
J’en parle à mon aise car parmi mes locataires se trouvait une famille foncièrement malhonnête (ce que je n’avais pas détecté au départ), des tricheurs, des comploteurs de mauvais coups. J’ai signalé l’affaire aux services compétents de ma ville afin qu’ils gardent un oeil sur la petite de 10 ans, qui entendait et voyait tout ce qui se passait – et je sais qu’ils sont intervenus car j’ai eu droit à « des représailles ».
Fox 69: La maltraitance des enfants est entretenue par la honte et la peur. Ces deux stigmas lourds sont fortement ressentis par l’enfant maltraité, décourageant ainsi la dénonciation, tandis que l’enfant déploie de grands efforts pour présenter un front normal. Elle cachera ses hématomes, tout autant qu’elle cachera son chagrin, afin d’éviter d’autres abus à la maison, et la honte de l’humiliation publique pour ses parents, et par extension, d’elle-même. De leur côté, les membres du personnel scolaire sont peut-être moins enclins à attirer une attention négative sur eux-mêmes, surtout s’ils craignent des représailles, ou s’ils ne sont pas animés de plus d’intérêt pour le bien-être des autres que pour eux-mêmes. En vérité, il est plus facile de se cacher la tête dans le sable que de défendre une cause aussi tumultueuse.
Je tiens à vous féliciter pour avoir eu le courage de signaler cette enfant aux autorités. Vous êtes une femme admirable.
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