N’essayez même pas, il est totalement impossible de faire comprendre à un ministre de l’Economie français et aux fonctionnaires du Quai de Bercy qu’une énorme baisse des impôts remplit les caisses de l’Etat et réduit le chômage.
Les pauvres égarés appliquent depuis 50 ans les méthodes keynésiennes qui ont plongé la France dans une régression économique, en espérant qu’elles produiront un jour, par magie, des résultats différents.
Même si leurs voisins ne sont pas en crise parce que leurs économies sont plus libres, les économistes français sont rigides et ne comprennent rien. Et les Français en souffrent en accusant le « libéralisme » – qui n’existe pas. Quand je dis, « les Français », cela inclut hélas beaucoup à droite et au Front national qui considèrent le capitalisme comme diabolique, le libéralisme comme « sauvage » et la globalisation comme mère de tous leurs maux (j’aimerai qu’ils réfléchissent à ce que deviendraient les grandes entreprises françaises sans la globalisation – les Renault, Total, BNP, Vuitton, Carrefour, Orange, Saint Gobain, Dior, Bouygues, les producteurs de vins et alcool, les grandes marques de parfumeurs etc…).
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Aux Etats-Unis, c’est tout l’inverse. Donald Trump sait que seul le capitalisme crée la richesse pour les classes moyennes, et que seul l’ « hyper-libéralisme » permet à une entreprise de se développer, d’innover, mais surtout de concurrencer les pays asiatiques et la Chine. Trump a donc pris deux mesures essentielles pour relancer l’économie moribonde sous Obama :
- Il a diminué le poids de la bureaucratie qui pèse sur les entreprises, un gaspillage qui coûte extrêmement cher, au rythme de deux réglementations supprimées pour une réglementation nouvelle.
« Les agences fédérales réduisent les réglementations de l’ère Obama et économisent de l’argent plus rapidement que ne l’exige le président Trump », a déclaré Paul Bedard, citant un nouveau rapport de l’American Action Forum. « Par conséquent, on s’attend à ce que l’administration respecte facilement l’ordre du président de supprimer au moins deux règlements pour chaque nouvelle réglementation publiée. »
- Il a fait voter la plus forte réduction d’impôts fédéraux que l’Amérique a connue depuis Reagan pour les sociétés et les particuliers.
Les résultats, évidemment, n’ont pas tardé à se manifester.
Le taux de chômage, à 3,9% est au plus bas depuis des décennies. Nous venons d’apprendre que le chômage des jeunes est au plus bas depuis 52 ans, et que l’optimisme des ménages, pendant que les médias s’acharnent quotidiennement contre le président Trump, est au plus haut depuis 17 ans, parce que, explique le Wall Street Journal, les Américains ne sont pas aveugles et ils ne se laissent pas influencer par les journalistes :
« Les Américains sont assez intelligents pour reconnaître une meilleure économie quand ils en voient une. Apparemment, les Américains font confiance à ce que leurs yeux leur montrent, et non pas à la propagande politique négative », peut-ont lire sur un éditorial du quotidien économique de référence.
Nous avons appris au mois de mai que le chômage des Noirs et des Hispaniques a atteint le plus bas chiffre de l’histoire.
La dernière bonne nouvelle concerne les petites entreprises appartenant à des entrepreneurs afro-américains. Leur nombre a explosé de 400 % en un an. C’est ce qu’a révélé une enquête menée par la société de financement des petites entreprises, Guidant Financial (1).
Guidant Financial a interrogé plus de 2 600 propriétaires de petites entreprises et entrepreneurs, hommes et femmes.
- L’enquête a révélé qu’en 2018, 45 % des propriétaires de petites entreprises appartiennent à des groupes ethniques minoritaires.
- C’est déjà en soi une augmentation spectaculaire par rapport à 2015, où le nombre n’était que de 15 %.
- L’augmentation la plus spectaculaire est toutefois le nombre d’Afro-américains. 400 % sur une période d’un an entre 2017 et 2018.
David Nilssen, PDG de Guidant Financial, a exprimé son enthousiasme face à cette progression :
« C’est passionnant de voir la croissance des petites entreprises appartenant à des minorités, une tendance qui n’a cessé d’augmenter depuis le début de notre enquête en 2015.
Cette croissance, y compris pour les femmes, est prometteuse en Amérique, car devenir propriétaire d’une petite entreprise devient plus facile à atteindre. Nous prévoyons et espérons une augmentation continue à mesure que l’impact de la réforme fiscale et de la croissance économique impacte les petites entreprises ».
L’étude a également montré certaines des raisons de la croissance des petites entreprises appartenant aux Afro-américains.
- Plus précisément, 62 % des propriétaires afro-américains ont cité leur désir de poursuivre leur passion comme raison de démarrer une entreprise.
- 53 % ont dit qu’ils l’ont fait parce qu’ils étaient prêts à devenir leur propre patron,
- 30 % ont dit qu’ils ont décidé de devenir propriétaires d’une petite entreprise parce qu’une « occasion s’est présentée ».
L’enquête a également révélé que 66 % des propriétaires afro-américains cherchent à développer leur entreprise existante.
Conclusion
Deux choses sont particulièrement intéressantes dans ces excellents résultats, et elles expliquent en partie la hargne des médias contre Trump.
- La première demande que l’on se souvienne des propos d’Obama, en juin 2016 lors d’une réunion publique organisée par PBS à l’entreprise Carrier (You Tube semble avoir fait disparaître la vidéo), en plein pendant la campagne électorale, où il s’est moqué de Trump qui promettait de créer des millions d’emplois s’il était élu. Obama a expliqué que « l’emploi ne reviendra pas aux Etats-Unis »
« …. Quand quelqu’un dit, comme la personne que vous venez de mentionner [Trump] et pour qui je ne vais pas faire de publicité, qu’il va ramener tous ces emplois [du Mexique], comment va-t-il faire exactement ? Qu’est-ce qu’il va faire ? »
« Il n’y a pas de réponse à cette question. »
« Il [Trump] dit juste : ‘Eh bien, je vais négocier un meilleur accord’. Comment – quoi – comment va-t-il négocier cela exactement ? Quelle baguette magique a-t-il ?
La réponse est qu’il n’a pas de réponse », a poursuivi Obama.
Qu’Obama n’ait pas été capable de faire ce que Trump a fait. Que Trump a tenu sa promesse. Qu’Obama se soit ridiculisé en se moquant des promesses de Trump, les journalistes – qui ont massivement appelé à voter pour Obama – l’ont en travers de la gorge, et ils ne le pardonneront jamais à Trump. En France, c’est encore pire, parce que les médias adoraient le discours perdant d’Obama : ce sont des anti-américains primaires.
- Le second point intéressant est que lorsque je discutais des bienfaits à attendre de la réforme fiscale avec mon ami gauchiste et ex-capitaine d’industrie, ex-numéro quatre d’Intel Avram Miller, il me répondait, parce qu’il vomit Trump, que seuls les grands patrons d’entreprises vont profiter des baisses d’impôts en s’offrant des tableaux de maîtres et en rachetant leurs propres actions.
Je ne sais pas si les grands patrons ont investi dans des tableaux de maître et s’ils ont massivement racheté leurs propres actions, et cela peut faire l’objet d’un autre débat, car cela dynamise aussi l’économie du pays. Mais les bons chiffres de l’emploi et de l’économie me donnent raison et lui donnent tort. Sans oublier que plus de 4 millions d’Américains ont reçu sous leur sapin de Noël des primes exceptionnelles et imprévues allant jusqu’à 2000 dollars, lorsque la réforme fiscale a été annoncée. Nancy Pelosi, la politicienne de gauche devenue milliardaire par la politique avait déclaré que « ce sont des miettes ».
Un autre couple d’amis, Elio et Jenny, qui se situent au centre gauche, et qui n’aiment pas non plus beaucoup le président Trump, ne sont même pas au courant des excellents résultats de l’économie, parce que les médias qu’ils regardent et qu’ils lisent, MSNBC, CNN, PBS, CBS, ne les publient pas, cela ferait augmenter la cote de popularité du président, qui, à 50%, est déjà bien trop élevée à leur goût – leur pire cauchemar serait qu’il soit réélu en 2020.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
(1) https://smallbiztrends.com/2018/08/african-american-small-business-statistics-2018.html
(2) https://townhall.com/tipsheet/leahbarkoukis/2016/12/02/flashback-obama-mocks-trump-asks-if-he-has-a-magic-wand-to-keep-carrier-jobs-in-us-n2253723
REMARQUABLES SUCCES DU PRESIDENT TRUMP,
GRAND AMI D’ISRAEL
KOL HAKAVOD PRESIDENT DONALD TRUMP !
Dans son article « Libéralisme et socialisme « en même temps » publié sur Contrepoints le 18 août 2018, un certain Patrick Aulnas déclare sans rire: « Le libéralisme des économistes classiques correspond à une vision naïve et purement théorique du marché. Une petite fonction mathématique simple suffisait à expliciter le prix comme point de rencontre de l’offre et de la demande. On sait aujourd’hui que le marché livré à lui-même dérive vers les monopoles ou les oligopoles et qu’un encadrement juridique est nécessaire. Le marché le plus proche de la théorie classique est le marché des bourses des valeurs (actions, etc.) et c’est aussi le marché le plus réglementé et le plus formalisé qui puisse exister ». Que voilà un postulat sorti de je ne sais où. Car même s’il paraît habile, il est faux et archi-faux. Quant aux marchés boursiers, ceux-ci sont en effet super-encadrés et c’est d’ailleurs pour ça qu’ils se cassent la gueule régulièrement (ce qui est très contradictoire, Herr Aulnas, pour prouver que libéralisme et socialisme/étatisme se complètent). Par ailleurs, contrairement au marxisme, le libéralisme n’est ni une idéologie (laquelle? quels sont ses piliers?), ni un « système » pour naïfs, bien au contraire. Il s’agit tout simplement d’un pragmatisme. Je parlais dernièrement avec un employé de la FNAC et représentant syndical (whaddelse?). C’était en France (where else?). Pour lui, on est toujours dans la lutte des classes et les patrons n’ont qu’à bien se tenir car les gens ne voudront plus travailler. Ah bon? J’ai eu beau lui expliquer calmement que l’état est le PREDATEUR et qu’il n’avait qu’à regarder sa fiche de paie, lui qui déclare aux impôts un net de 24.000 euros par an, alors qu’il « rapporterait » près d’un million d’euros (l’envie n’est jamais loin et c’est ça être employé) par an à son magasin (section musiiiique) sans oublier les retenues à la sources (prélèvements z’obligatoires) et autres lois chochiales. Mais non, rien n’y a fait. Il y a une seule chose sensée qu’il m’a dite, c’est que les travailleurs doivent avoir un meilleur revenu. Ben oui, mais quand c’est l’état qui se taille la part du lion, pourquoi se retourner contre les entreprises (les « patrons »)? Quel enfumage! En Belgique, si je veux rémunérer quelqu’un 1.500 euros net par mois, il m’en coûtera env. 4.500. Se rend-on compte du chiffre d’affaires à générer pour rémunérer rien qu’une seule personne? Bien sûr, la Wallonne Région « ultrrrra-libéraaaale » a instauré un système qui fait que les charges « sociales » sont supprimées pour un temps sur le premier employé engagé. D’abord, il s’agit d’un système ultra-complexe et ensuite il peut être modifié à tout moment (l’état adore changer les règles du jeu en pleine partie jusqu’à ce qu’il gagne) si ça part en grosses couilles (comme le scandale écolo-pyramidale des chèques verts « de mon compteur qui tourne à l’envers » comme la gôôôche salvatrice et omnisciente). Ensuite, tout ceci se fait avec l’argent et les entreprises des autres dans le cadre d’une solidarité aussi démagogue qu’inutile ((fascisme économique: des idées si bonnes qu’elles sont obligatoires). Les femmes ont pour slogan l’excellent « Ni putes, ni soumises ». Les entreprises devraient dire « Ni cadeau, ni subsides » (avec notre argent). Que Bercy et autres officines d’idiots utiles se le disent: c’est NOTRE argent, celui de NOTRE travail et de NOTRE prise de risques. Le respecter, c’est nous respecter. Sachez-le bien, l’état ne vous fait JAMAIS aucun cadeau et ne crée absolument RIEN (à part des impôts, des charges et des emplois fictifs et arbitraires genre « on a besoin », « y a pas assez de moyens » et patati et patata). « Contrepoints » se dit libéral, mais « assassine » régulièrement le Président Trump qui est plus libéral que ses auteurs et se prononce souvent pour l’accueil inconditionnel (càd. non-discriminatoire de parasites appelés « réfugiés » (y compris les « réfugiés climatiques » – sans rire). Remettre la fiscalité à plat avec une flat tax de max. 15% pour particuliers et entreprises, privatiser le système des retraites et la sécurité sociale avec mise en concurrence, dégraisser la fonction publique et faire reculer l’emprise injustifiée de l’état dans TOUS les domaines sauf régaliens, arrêter de subsidier l’économie et les ASBL (de ggggôôôche) et autres ONGs toutes anti-démocratiques (elles n’ont aucun mandat), et renvoyer nos nouveaux z’amis chez eux, c’est du pragmatisme et le seul moyen de s’en sortir. Où est la volonté politique? Sinon, le reste, c’est de la roupie de sansonnet. Vous aurez beau voter et revoter. Changer de président vers la pseudo-droite ou la vraie gauche ou le centre imbécile et hypocrite, rien ne changera, bien au contraire. La France est déjà devenue une vraie démocrassie populaire.
Excellent ! Et j’aime bien votre définition du libéralisme économique : du pragmatisme.
Foin de l’idéologie, c’est du pragmatisme qu’il faut !
https://www.youtube.com/watch?v=CKpso3vhZtw
Les socialistes ont le coeur à gauche et le porte monnaie à droite ( Ce que j’écris n’a peut être aucun sens mais je veux dire qu’ils sont les premiers à vouloir s’enrichir et souvent illégalement ).
Encore une fois vous sortez des âneries et mensonges sur le Rassemblement National, ex Front National.
Non, il ne considère pas le capitalisme comme diabolique !
Non il n’est pas contre la liberté d’entreprendre ni contre le financement par des capitaux privés (capitalisme). Bien au contraire.
Non, il n’est pas contre la libre circulation des biens et des capitaux, pourvu que cette circulation ne soit pas imposée mais soit le choix des Français !
Non, il n’est pas contre les multinationales, mais il dénonce leur fiscalité bien moins importante que la fiscalité des entreprises en France. Il dénonce leur pratique de faire fabriquer à faible coût dans des pays laxistes sur les conditions de production, à vendre au prix fort en France et à mettre leur argent dans des paradis fiscaux.
Il est amusant (ou consternant) de constater que ici le RN est considéré de gauche, et ailleurs de droite capitaliste ultralibérale ! Juste à cause de lectures partielle de son programme et d’interprétation fantaisistes présentées comme des vérités.
C’est évidemment une bonne nouvelle, et une nouvelle logique, puisque plus il y a de bureaucratie et d’État-providence, et plus les entraves aux entreprises, donc aux emplois, se multiplient – et inversement.
Cependant, cher Jean-Patrick, permettez-moi d’exprimer un désaccord – à moins que ce ne soit un malentendu : quand vous écrivez « cela inclut hélas beaucoup à droite et au Front national qui considèrent le capitalisme comme diabolique, le libéralisme comme « sauvage » et la globalisation comme mère de tous leurs maux (j’aimerai qu’ils réfléchissent à ce que deviendraient les grandes entreprises françaises sans la globalisation – les Renault, Total, BNP, Vuitton, Carrefour, Orange, Saint Gobain, Dior, Bouygues, les producteurs de vins et alcool, les grandes marques de parfumeurs etc…) »
Je suis un partisan du libéralisme économique, aucun doute là-dessus.
Pareil pour le capitalisme : « Le capitalisme désigne un système politique et économique reposant sur la propriété privée des moyens de production, du libre échange sur des marchés et de la libre concurrence » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Capitalisme)
En revanche, sur la globalisation, qu’on appelle en France mondialisation, quelque chose m’échappe. Je suppose que c’est une question de définition : wikipedia par exemple donne ceci :
« Le terme de mondialisation (l’anglicisme globalisation est parfois aussi employé) correspond à la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services, des personnes, des techniques et de l’information. Il désigne le processus d’intégration des marchés et de rapprochement des hommes qui résulte notamment de la libéralisation des échanges, du développement des moyens de transport de personnes et de marchandises, et des retombées des technologies de l’information et de la communication à l’échelle planétaire 1 »
D’autres sources donnent des définitions telles que : « Il est maintenant admis que le terme désigne le développement de l’interdépendance au niveau mondial. »
etc.
Du pain béni pour les No Borders et les gens comme Soros, ou je n’y comprends rien. Un formidable cheval de Troies.
Pourtant, je crois que les échanges commerciaux entre Nations sont utiles et même nécessaires. Mais ils doivent rester sous la maîtrise des gouvernements souverains, qui, en fonction de leurs intérêts et en fonction des pays avec lesquels ils ont affaire, mettent en place des barrières douanières ou non. C’est, ce me semble, ce que fait un Donald Trump, par exemple.
En d’autres termes, les Nations doivent rester souveraines, la politique commerciale au niveau international étant subordonné à cette condition première.
Du coup, je n’aime pas du tout le terme globalisation et ce qu’il sous-entend, à savoir le « village mondial ».
J’y préfère le concept de Nations, Nations avec des valeurs occidentales – i.e. fondamentalement judéo-chrétiennes – et si c’est vraiment le cas, ces Nations s’entendront sur la plan commercial, cela ne fait à mes yeux aucun doute.
Je suis pour la mondialisation, pour éliminer toutes entraves au commerce international, mais attention, seulement en condition de concurrence loyale !, et sans aucun dumping au moyen de monnaies sous évaluées.
En effet, nous les occidentaux, nous ne pouvons pas laisser nos industries entrer en concurrence avec celles des pays qui ne respectent pas les brevets, et qui paient des salaires de misère à leurs ouvriers qu’ils exploitent comme des esclaves ( pas de prestations sociales, pas de retraites, pas d’assurance maladie, pas de vacances, ) etc…
C’est cela le fond du problème…!, c’est celle là la cause principale du déséquilibre…! et vous n’en tenez pas compte pour expliquer les délocalisations et leur effet direct sur le chômage…., vous n’en dites rien.
1- je suppose que vous adressez votre commentaire à JPG ?
2- Je dirais les choses autrement : je suis contre la mondialisation, mais pour des échanges commerciaux libres de tout droit de douane entre pays dont les économies sont similaires, en vue de favoriser une concurrence loyale. Deux conséquences :
a- le hic, c’est que dans la pratique, des pays avec des économies fonctionnant sur des bases similaires, donc à même de respecter les règles d’une concurrence loyale, il n’y en a pas tant que ça, finalement,
b- ces échanges ne peuvent se faire que sur des bases bilatérales, et non « multilatérales », encore moins imposés par une quelconque entité supranationale (OMC, ONU ou autre), sinon on va droit vers la gouvernance mondiale appelée de leurs voeux par Soros et les mondialistes de tout acabit.
Bref, point d’idéologie en la matière, mais du PRAGMATISME ; avec pour fil conducteur l’intérêt de son pays – car jusqu’à preuve du contraire, un chef de gouvernement travaille à l’intérêt de ceux qui l’ont élu, i.e. ses compatriotes.
– ce qui bien sûr n’empêche en rien une politique économique intérieure libérale –
@Jaxques Ady, si vous permettez, voici une excellente citation de Charles Beigbeder qui remet les choses en place concernant le point que vous soulevez :
« Je ne suis pas libéral au sens où beaucoup l’entendent, je ne crois pas que le monde ne soit régi que par les lois du marché. Le libéralisme a sa pertinence mais uniquement dans le domaine de l’avoir, celui qui régit l’échange des biens et services. Dans le domaine de l’être, je suis pour la préservation de notre identité, de notre culture et de nos traditions ainsi que du cadre national dans lequel elles sont transmises au fil des générations. Oui à une économie de marché conquérante et ouverte sur le monde, non à une société de marché qui déboucherait sur une marchandisation des êtres spirituels que sont les personnes et les nations ! Je suis donc un libéral-enraciné ou un patriote défenseur des libertés, partisan d’un État fort mais réduit au domaine régalien. […] »
Il me semble qu’aussi bien Mr Grumberg que vous-mêmes serez d’accord à ce sujet. Ne pas être un « libéral-enraciné » c’est quelque chose de terrible et de contraire à l’essence de tout être humain.
Merci pour cette citation de Charles Beigbeder dans laquelle je me reconnais.
Le problème que les mondialistes béats ne voient pas, et ne veulent pas voir, c’est que nous vivons dans un monde dangereux – ce n’est pas d’hier et cela ne s’arrêtera sans doute pas demain – et que nous sommes OBLIGÉS d’en tenir compte, donc d’être pragmatiques et de gérer nos relations, y compris commerciales, au cas par cas.
En principe une communauté nationale est relativement homogène, donc facile à rassembler autour d’un projet commun, y compris économique ; en tout cas beaucoup plus qu’un ensemble hétéroclite de nations aux cultures et aux conceptions très diverses, y compris en économie. Ne pas en tenir compte est soit de l’idéalisme béat, soit de la folie furieuse.
Il faudrait déjà s’entendre sur les termes capitalistes et mondialisation. Keynes était capitaliste et pour le libre échange aussi.
Trump aura véritablement réussi son pari, s’il parvient à réformer la banque centrale et la création monétaire, ce qu’il a annoncé et que je souhaite.
En attendant, on reste dans un système capitaliste très étatisé avec un coup libéral salvateur mais qui sur le long terme ne résoud rien, il suffit pour cela de voir qu’après Reagan on a eu Clinton et ensuite Obama.
Problème structurel que la baisse d’impôt ne résoud que très partiellement, même si Très bénéfique à court terme.
Un bien n’est pas un humain.
Les néo-socialistes sont contre toutes les libertés SAUF celle d’importer une nouvelle classe d’hyper-prolétaire, parce que c’est le seul cheval de bataille qui fait encore recette. Cerise sur le gâteau pour les socialistes, ces hyper-prolétaires-là, contrairement aux autres seront toujours des assistés et d’excellents « clients », s’ils savaient créer de la richesse leurs pays ne seraient pas tous des trous à merde.
Les libéraux classiques depuis Milton Friedman sont claire: vous ne pouvez pas avoir un état-providence ET des frontières ouvertes. Dans un système socialiste, une frontière ouverte se traduit en pillage coercitif des ressources de ceux qui paient ces « nouveaux bénéficiaires » (qui sont très peu contributeurs dans le cas du continent africain toutes les études le montrent), c’est donc un « faux droit ».
+10 pour l’article de JP Grumberg
et aussi +10 pour le commentaire de Jacque Ady
@Dreuz
Attention, vous annoncez sur le « flash » : » Effet Trump : l’emploi des jeunes est au plus bas depuis 50 ans – quel horrible président ce Trump «
Non, l’emploi jeunes est au plus haut ! C’est le chômage des jeunes qui est au plus bas.
réparé – merci.
Vous écrivez ceci : » N’essayez même pas, il est totalement impossible de faire comprendre à un ministre de l’Économie français et aux fonctionnaires du Quai de Bercy qu’une énorme baisse des impôts remplit les caisses de l’État et réduit le chômage. »
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RSI : https://www.alterinfo.net/Qu-est-ce-que-le-RSI-Deux-catastrophes-trois-problemes-une-solution_a139984.html
Pardonnez moi , MAIS ….. »PU…N » ….. à quand un TRUMP en FRANCE à la place de cet énergumène d’incapable de Macron et de sa cour ……………..
Quand on lit votre article on comprend vite qu’ils sont vraiment « CONS » nos pseudos dirigeants …………………