Obama détestait la grandeur de l’Amérique. Ce tiers-mondiste considérait que la supériorité des Etats-Unis était un affront à la « justice sociale », une gifle aux pays sous-développés.
Donald Trump a été élu en partie parce qu’il a, lui et aucun autre candidat, parfaitement compris que les Américains, conscients d’habiter le plus pays le plus développé de la planète, et dont le monde entier envie la liberté, la réussite, la créativité, et la possibilité pour chacun de s’épanouir, n’aimaient pas être relégués au second rang. Il en a fait son slogan de campagne : Make America Great Again. L’Amérique d’Obama n’était plus un grand pays, Trump allait lui redonner sa place. Il a tenu sa promesse.
[dreuz-paypal]
Obama a œuvré pendant 8 ans à détruire les fondements du pays dont il avait la charge.
- Sur la scène géopolitique, il a placé l’Amérique, de très loin la première puissance militaire mondiale, à une place de second rôle, retranché derrière les décisions de l’ONU.
- Il a bloqué le secteur énergétique pour plaire à des groupuscules qui cachent leur désir de détruire l’Occident sous prétexte d’écologie (ils ne s’attaquent pas aux deux plus grands pollueurs du monde que sont l’Inde et la Chine), et empêché les Etats-Unis de devenir énergiquement indépendants en exploitant ses immenses ressources pétrolières, de gaz et de charbon.
- Il a entravé le développement économique en imposant des réglementations démesurées et irresponsables aux entreprises, en augmentant les taxes avec l’Obamacare, assurance santé obligatoire, et les entreprises ont arrêté de se développer, d’embaucher, d’investir, en attendant des jours meilleurs.
- Il a tout fait pour freiner les avancées technologiques que seul un système capitaliste permet de créer, nier ses racines judéo-chrétiennes en affirmant que l’Amérique devait beaucoup à l’Islam.
- Il a publiquement déclaré durant la campagne électorale que l’emploi ne reviendrait pas aux Etats-Unis, en réponse à Trump qui promettait de créer des millions d’emplois nouveaux. Suite à ses réformes, les chiffres du chômage sont au plus bas depuis 50 ans, merci à la réduction massive des réglementations ; les salariés reçoivent tous les mois un plus gros chèque de salaire, grâce à la très importante réduction des impôts sur les sociétés et la disparition de l’assurance maladie obligatoire ; et le montant de leurs retraites a gagné du gras, en raison de l’envolée du marché boursier, qui a battu tous ses records historiques.
NASA, symbole de la haute technologie et du génie américain
Un autre symbole des Etats-Unis a fait l’objet des visées destructrices d’Obama : la NASA, incarnation de la domination de l’espace et de la haute technologie par l’Amérique.
Obama ne supportait pas de savoir que le leadership américain dans l’exploration spatiale a contribué à créer et à alimenter le boom de la haute technologie, et a poussé la compétitivité mondiale des États-Unis depuis le début des années 1960.
La NASA se préparait à ramener les Américains sur la Lune et sur Mars, quand le président Obama a pris ses fonctions. Mais l’objectif qu’il avait à l’esprit était très différent.
La National Aeronautics and Space Administration était à la pointe de la science, elle ouvrait la voie à l’exploration spatiale. Elle a eu un impact immense sur le progrès technologique dans le monde entier (lire sur ce sujet Apollo*, de Charles Murray et Catherine Bly Cox).
Mais pour le gauchiste Obama, envoyer des Américains sur Mars ne fait pas avancer le combat de la gauche. Il ne donne aucun droit aux transsexuels. Il ne permet pas de favoriser l’implantation de l’islam. Il ne défend pas la cause des féministes, des végans, des militants pour l’avortement, des lois pour l’immigration illégale et l’ouverture des frontières. Au contraire, il met en avant la suprématie technologique du « Blanc occidental ».
Si vous avez l’âge, souvenez-vous, ce 20 juillet 1969. Le monde entier a retenu son souffle lorsque Neil Armstrong a posé le pied et fait son premier pas sur la Lune en proclamant : « C’est un petit pas pour un homme, un pas de géant pour l’humanité ». L’Amérique était la tête de pont de l’humanité.
- Au début de 2010, Obama a annulé le programme Constellation (qui avait déjà dépensé 10 milliards et avait sept ans d’activités) et ses fusées Ares I et Ares V. Annulé le vaisseau spatial Orion, l’atterrisseur lunaire Altair, et même l’objectif de l’Amérique de retourner sur la Lune et d’aller sur Mars. Avec ces mesures, l’exploration spatiale américaine était morte.
Mais ce n’était pas assez…
- En juillet 2010, Obama convoqua l’administrateur de la NASA, Charles Bolden, ancien astronaute, officier des Marine des États-Unis et pilote d’essai, et lui donna ses instructions :
« Quand je suis devenu administrateur de la NASA [le président Obama] m’a chargé de trois missions.
- Premièrement, que j’aide à inciter les enfants à se lancer dans les sciences et les mathématiques.
- Deux, que j’élargisse nos relations internationales ;
- Et troisièmement, et peut-être avant tout, il voulait que je trouve un moyen de me rapprocher du monde musulman, que la NASA s’investisse avec les Nations musulmanes dominantes pour les aider à se sentir bien par rapport à leur contribution historique aux sciences, aux mathématiques et au génie civil.
- Il était indiqué nulle part dans les objectifs imposés à Bolden, la mission d’exploration spatiale, ni le fait que la NASA demeure le chef de file mondial en matière d’innovation technologique.
Mais comme ce n’était toujours pas assez…
- L’activiste Obama a ensuite réduit le budget de la NASA de 20% en 2013, pendant qu’il augmentait de 41% le budget de la recherche sur l’étude du réchauffement climatique.
En 2012, 49 anciens astronautes de la NASA et d’éminents scientifiques écrivaient une lettre ouverte demandant à Bolden de cesser d’utiliser la NASA pour faire avancer des théories extrémistes sur le réchauffement planétaire.
Newt Gingrich : « Au lieu de construire un programme spatial robuste, nous avons construit une bureaucratie spatiale robuste »
« En 1969, il était raisonnable de s’attendre à ce que notre programme spatial continue d’évoluer au rythme du programme Apollo », expliquait le conservateur et ami du président Trump Newt Gingrich sur Fox News en juillet dernier.
Il était donc raisonnable de penser que d’ici 2018, nous aurions quatre à cinq colonies sur la lune, des avant-postes spatiaux sur diverses orbites lunaires et cislunaires, des opérations minières sur plusieurs astéroïdes et un habitat préliminaire sur Mars.
De plus, quand Arthur C. Clarke a écrit ‘2001 : Odyssée de l’espace’ en 1968, il était raisonnable pour les gens de penser que les scènes qu’il a écrites se seraient réalisées d’ici là, mais cela n’a pas été le cas.
Au lieu de construire un programme spatial robuste, nous avons construit une bureaucratie spatiale robuste.
Après avoir erré pendant près de 50 ans dans un désert de paperasserie pour la plupart terrestre – et dépensé environ 5555 milliards de dollars pour des projets d’observation spatiale sans pilote peu enclins à prendre des risques, nous n’avons pas vraiment fait le saut de géant qu’Armstrong a prédit.
Trump, Make NASA great again
A l’inverse d’Obama, Trump est un grand ennemi de la bureaucratie et des fonctionnaires inutiles. Le Président Trump a signé le rétablissement du Conseil national de l’espace après 25 ans, déclarant que « l’Amérique verra grand une fois de plus ».
Le 2 août 2018, le président Trump annonçait qu’un engin spatial américain va serrer la main du soleil.
La sonde solaire Parker de la NASA sera le premier engin spatial à « toucher » le soleil, à moins de 6 millions de kilomètres de sa surface (le record précédent, Helios 2, s’est approché de 43 millions de km du soleil).
Elle a été conçue pour affronter la chaleur solaire comme jamais auparavant, grâce à son bouclier thermique révolutionnaire capable de résister à 1 370 degrés Celsius.
« C’est la mission la plus cool [jamais lancée par l’homme], la plus chaude, baby, voilà ce que c’est », a déclaré Nicola Fox, le scientifique responsable du projet à l’Université Johns Hopkins.
De la taille d’une petite voiture, avec 11 cm d’épaisseur, Parker se rapprochera près de sept fois plus près du soleil que les vaisseaux spatiaux précédents. Pour cela, il passera devant Vénus sept fois en sept ans. Chaque survol fournira une impulsion gravitationnelle en forme d’orbite, l’attirant toujours plus près du soleil et directement dans la couronne – l’atmosphère la plus extérieure du soleil.
Un des mystères que les scientifiques espèrent résoudre : Qu’est-ce qui fait tourner le vent solaire, ce flux constant et supersonique de particules chargées qui explosent de la couronne et dans l’espace dans toutes les directions.
« Il y a des missions qui étudient le vent solaire, mais nous allons nous rendre au lieu de sa naissance », a dit Fox.
Les scientifiques s’attendent à ce que la mission de 1,5 milliard de dollars fasse la lumière non seulement sur la dynamique de notre soleil, mais aussi sur les milliards d’autres minuscules étoiles jaunes – et d’autres types d’étoiles – dans la Voie lactée et au-delà.
Tout en nous donnant la vie, le soleil a aussi le pouvoir de perturber les engins spatiaux en orbite, ainsi que les communications et l’électronique sur Terre.
« C’est ici que nous vivons », a expliqué Alex Young, astrophysicien solaire de la NASA. « Nous devons comprendre et caractériser cet endroit que nous traversons. »
Il s’agit du premier engin spatial de la NASA à porter le nom d’une personne encore en vie. Eugene Parker, 91 ans, professeur émérite à l’Université de Chicago, a prédit l’existence du vent solaire il y a 60 ans.
La Force spatiale
À la mi-juin, le président Donald Trump a annoncé le lancement d’une nouvelle branche des forces armées : la force spatiale.
« Je donne l’ordre par la présente au Département de la Défense et au Pentagone de commencer immédiatement le processus nécessaire pour établir une force spatiale en tant que sixième branche des Forces armées”, a déclaré le président durant une visite du Conseil national de l’Espace à la Maison-Blanche.
En mai dernier, le commentateur politique Mark Levin invitait l’expert mondial Peter Pry pour parler du danger que représente une attaque électromagnétique, ou EMP.
Selon un rapport d’un comité du Congrès, une forte impulsion électromagnétique (EMP) inondant l’Amérique causera la mort de 90 % des Américains sans provoquer aucune blessure. Et une attaque EMP est pour l’instant, aux Etats-Unis, inévitable (Israël a très tôt pris les mesures de protection qui s’imposent).
Le Dr Peter Pry est titulaire de deux doctorats et d’un certificat en conception d’armes nucléaires, il a travaillé à la CIA pendant une décennie, au Comité des forces armées de la Chambre des représentants, puis a été directeur de la Commission EMP du Congrès.
Lorsqu’il a remis son rapport sur le danger EMP au président Obama, celui-ci a refusé de le lire : il ne correspondait pas à l’agenda politique du moment, qui consistait à signer un accord de dénucléarisation avec l’Iran.
Au micro de Mark Levin, le Dr Peter Pry a félicité l’administration Trump pour avoir mis davantage l’accent sur la prévention d’une attaque EMP contre le réseau électrique américain, précisant que la politique de Trump est « le jour et la nuit » par rapport à celle de l’administration Obama.
Stratégiquement, Donald Trump ne parle jamais du danger que représenterait une attaque EMP. Il est pourtant au cœur des préoccupations qui ont précédé la création de la force spatiale américaine.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
[dreuz-newsletter]
* En achetant le livre avec ce lien, vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%. Cette information est fournie pour assurer une parfaite transparence des conséquences de votre action, conformément à la recommandation 16 CFR § 255.5 de la Federal Trade Commission.
Sources :
Hijacked! How Obama and the Left Killed NASA: The journey from the Moon to radical activism
https://www.tvnz.co.nz/one-news/world/space-project-60-years-in-making-see-parker-probe-touch-sun
http://insider.foxnews.com/2018/04/23/peter-pry-trump-policy-preventing-emp-grid-attack-night-and-day-obamas
Sujet et article passionnant, mais pourquoi le salire de transphobie? Quel est le message? En quoi stigmatiser ce groupe d individus etaye votre thèse sur la NASA?
Je suis une fidèle lectrice de dreuz depuis plusieurs années mais ce genre de propos gratuit hors contexte à répétition, me donne envie de ne plus l’être… Bien dommage car dreuz etait ma bouffee d oxygene mediatique…
Mais vouloir comme Obama les trans (et les LGBT + co) et l’islam est impossible! Les trans seront bien mieux traités en démocratie libérale qu’en terre d’islam…
Quel rapport entre les trans et les islamistes?
Les transexuels ne font pas le djihad que je sache… Mélanger les sujets ne mène à rien malheureusement…
Mais quelle mauvaise foi: c’est vous qui amener les trans dans cette discussion sur Obama et la Nasa!
Le rapport entre les trans (que vous mettez en avant dans l’article) et les islamistes est donc OBAMA.
Si pour vous la propagation de l’idéologie transgenre prime sur l’exploration spatiale, vous faites en effet mieux de vous contenter de la propagande des médias subventionnés par la dictature.
Bonjour Madame,
le culte de la toute puissance est suicidaire. Les anciens en avaient signalé le danger potentiel avec le mythe prométhéen. Des intellectuels actuels (je n’ai pas la moindre idée s’ils sont majoritaires ou non) ont argumenté les raisons pour lesquelles ils s’opposent à la transexualité. Il ne s’agit donc pas d’une simple phobie.
Cordialement
Chere « fidele » quittez. Dreuz ne va souffrire. Le dommage est votre
la prochaine guerre ce fera par le contrôle du ciel … a l’époque lorsque l’aviation nazie était éliminer alors toute les villes Allemande était bombarder pour détruire l’industrie de Guerre …. bientôt l’iran ou tout autre menace sera exterminer par le ciel et ainsi aucun soldat Américain tomber au sol… Trump sait qu’il ne peux faire confiance a aucun Pays de l’axe du mal bref j’approuve
Il est sidérant d’apprendre qu’Obama a demandé à Bolden, administrateur de la Nasa, de l’utiliser pour développer les relations avec le monde musulman, de tenter de donner une fierté, une histoire scientifique aux musulmans! Mais comment les Américains ont-ils pu le réélire, cet Obama? Ce risque existe-t-il encore après Trump?
Oui, c’est vrai. J’ai vu Bolden à la télé en interview et il avait l’air catastrophé. Obama a fait plus en 8 ans pour détruire les USA que l’URSS en 74 ans.
Non le risque n’existe plus avec Trump…cela va de soi.
Mais pourquoi plus de voyage sur la Lune , peut-être le lune est interdite aux humains, car sur la lune il y a beaucoup d’eau lourde molécules d’eau a 1 ou deux neutrons qui peut produire une Energie non polluante et infinie ???????????????????
Oui, car la terre est plate et la lune un hologramme rempli d’eau lourde par les Reptiliens qui contrôlent la système bancaire international.
Eh, c’est pas beau de se moquer.
Se moquer, se moquer…
Quand on commence avec les complots (extraterrestres?) qui interdisent la Lune aux Humains etc. … faut pas dec’!
Sans parler des plus qu’approximations scientifiques. Mais ce n’est pas le sujet.
Fernilmilliard,
La Lune est plus proche que le Soleil et que Mars , Obama voulait installer une base sur Mars , pourquoi pas sur la lune plus accécible
https://pleinsfeux.org/des-objets-extraterrestres-sur-la-lune/
Très intéressant, merci.
En lisant ce genre d’articles, nous apprenons l’ampleur, ainsi que le détail des actes anti-américains et anti-occidentaux du triste sire Obama.
Sous couvert de « progressisme », cet individu, tel le loup dans la bergerie, a sapé toutes les bases de l’identité occidentale, de sa liberté de sa prospérité.
Mr Trump, make America – and western civilization – great again !
and science great again!!!
L’Intelligentsia n’aime pas Trump parce qu’il n’est pas de chez eux. C’est un businessman qui a été habitué à tenir ses promesses pour ne pas être sorti du marché. Alors évidement la comparaison avec les politiques c’est désagréable ! En plus il appelle un chat un chat…quel grossier personnage ! Seulement voilà, il a des résultats et le lancement de Parker, même s’il est loin d’en être à l’origine, est symbolique du redressement. (Reagan disait : « America is back »).
Favoriser la reprise des programmes spatiaux est la cerise sur le gâteau.
Merci à Trump qui s’affirme vraiment comme un visionnaire.
Obama a vraiment agi contre les USA. Il a imposé l’islam partout, ses discours ne laissent aucun doute (déjà son discours au Caire). Les services de renseignements ont été particulièrement malmenés. La lutte contre le terrorisme sous obama consistait à traquer les évangélistes à la place des islamistes…
Selon un rapport d’un comité du Congrès, une forte impulsion électromagnétique (EMP) inondant l’Amérique causera la mort de 90 % des Américains sans provoquer aucune blessure. Et une attaque EMP est pour l’instant, aux Etats-Unis, inévitable (Israël a très tôt pris les mesures de protection qui s’imposent) Du toc ! Même pour une impulsion de qques millisecondes, si on veut une distribution de champs électriques et magnétiques oscillants réparties sur toute la surface des États-Unis, il y faudrait une source ( une antenne !? ) d’une puissance de quelques milliards ds Watt. .
Avant de prétendre s’engager sur un sujet, encore faudrait-il en maîtriser les bases les plus élémentaires : pour couvrir tous les USA par une IEM, il ne faut pas une « antenne » mais une source en haute altitude, genre bombe nucléaire. FYI, c’est connu depuis 1945 et surtout juillet 1962, lorsque les essais « Starfish Prime » de l’armée américaine, lorsque des essais à 400km d’altitude (donc plutôt bas pour ce genre d’application) firent sauter 300 lampadaires (plus divers autres choses) à Hawaï, à 1 445 km du point de détonation.
Le plus cocasse, à vous voir pontifier, c’est que vous ne relevez même pas ce qui est plus discutable : les 90% de mortalité. Une IEM grille l’électronique mais n’a que très peu d’effet sur les organismes vivants. Quand bien même les résultats seraient catastrophiques sur une société moderne et provoquerait une mortalité induite, 90% me semble complètement délirant comme chiffre.
Bravo à Trump qui décidément se bat sur tous les fronts.
La liste de ses réalisations bienfaitrices est déjà longue pour une seule année.
Il continue avec la Nasa. Il ne laisse pratiquement guère de sujets de côté.
Tandis qu’un Obama, élu, alors que ce n’était qu’un illustre inconnu et j’avoue avec grande honte, que j’en ai eu de l’admiration pour les États-Unis, quand cela avait été fait – ne voyant, comme probablement beaucoup d’autres, que l’on avait élu un noir et que l’on trouvait cela bien.
Si l’expérience n’avait été aussi désastreuse sur le monde, cela aura été un ballon d’essai, sans gravité. Mais après Obama, je suis guérie totalement de cette manière de réfléchir qui se veut humaniste. En fait, déjà, c’est un humanisme dévié, car si on y réfléchit bien, il y a un zeste de condescendance dans cette manière d’agir. Elle ne fait honneur à personne et surtout pas à la personne que l’on soutient pour des raisons ambigües.
S’il avait été élu pour des actions bénéfiques réalisées, avant qu’il n’arrive de nulle part… L’élire n’était plus l’acte de complaisance que cela a représenté. Il aurait tout simplement mérité l’élection par le choix de ses capacités et mérites. Comme n’importe quel autre élu compétent.
Ne parlons pas du prix Nobel de la Paix, donné avant même qu’il ait commencé a travaillé… Ce fait tient du surréalisme. D’autant plus, qu’après ses mandats, lui tout seul, aurait donné envie d’inventer un prix Nobel du pire incitateur aux guerres.
Mais pourquoi reste t-il encore dans les parages politiques ? Cela devrait donner une leçon aux peuples avant d’élire.
Voter quelqu’un de plutôt jeune, à moins d’une sorte de Messie, envoyé par le Tout puissant, c’est faire une erreur. Il est évident que l’âge et l’expérience sont nécessaires pour être le dirigeant d’un pays.
Ensuite quand on voit Obama, qui refuse de se retirer de la circulation et qui ne veut pas se ranger des voitures, et bien c’est une preuve supplémentaire qu’il ne faut pas voter quelqu’un de relativement jeune.
Jusqu’ici, j’avais toujours vu, que les anciens Présidents ou Dirigeants, plus âgés, après deux mandats, dans presque toutes les démocraties, se retiraient et cessaient d’être dans les médias, du moins au niveau politique. Quand on a un certain âge, c’est le mieux à faire.
Malheureusement, Obama est encore jeune, et ne voudras pas lâcher la rampe avant bien longtemps.
Donc compréhension : VOTER VIEUX ! Je plaisante un peu, mais quand je vois Hollande qui nous joue le même scénario, je fais par avance des cauchemars en pensant à Macron.
Pardon, lire :
« Avant même qu’il ait commencé a travaillER…
Correction que je n’ai pu faire qu’avec retard, du fait que l’on n’attend pas toujours d’être publié, avant d’aller sur d’autres articles… Souvent nous ne revenons même pas…
Alors le reproche de laisser des erreurs, comme me l’a fait une certaine personne, est nul est non avenu…
Comprenne qui veut et qui a suivi.😛😛
UBJECT: Moon Sightings FILE: UFO50
I’m not to sure of this as i dont have the book to
hand (Above Top Secret), but wasn’t there a report that the crew
of the eagle (Armstrong et al), when they left the module,
turned round and found themselves looking at alien craft at the
top of a crater?
(The following file was posted on InfoNet London
Ontario)
Alien Moon Base
by UFO Joe, InfoNet
Is there an « Alien Base » on the Moon. More and more people
are coming forward with stories of an Alien presence on the
Moon. Rumors are that their « Moon Base » is on the dark side
of the moon, the side we never see from Earth.
Did you ever wonder why the Moon landings stopped and why
have we not tried to build a Moon Base. It seems a better and
easier idea than a floating space station?
According to Neil Armstrong the Aliens have a base on the
Moon and wanted us to get off and stay off the Moon! Milton
Cooper a Naval Intellegence Officer tell us that the
Intellegence community calls the Alien Base « Luna »:
LUNA: The Alien base on the far side of the Moon. It
was seen and filmed by the Apollo Astronauts. A base, a mining
operation using very large machines, and the very large alien
craft described in sighting reports as MOTHER SHIPS exist there.
– Milton Cooper
* * *
Did Apollo 11 Encounter UFOs on the Moon?
from the Book « Above Top Secret » by Timothy Good
According to hitherto unconfirmed reports, both Neil
Armstrong and Edwin « Buzz » Aldrin saw UFOs shortly after that
historic landing on the Moon in Apollo 11 on 21 July 1969. I
remember hearing one of the astronauts refer to a « light » in
or on a crater during the television transmission, followed by
a request from mission control for further information. Nothing
more was heard.
According to a former NASA employee Otto Binder, unnamed
radio hams with their own VHF receiving facilities that bypassed
NASA’s broadcasting outlets picked up the following exchange:
NASA: Whats there?
Mission Control calling Apollo 11…
Apollo11: These « Babies » are huge, Sir! Enormous!
OH MY GOD! You wouldn’t believe it!
I’m telling you there are other spacecraft out there,
Lined up on the far side of the crater edge!
They’re on the Moon watching us!
In 1979 Maurice Chatelain, former chief of NASA
Communications Systems confirmed that Armstrong had indeed
reported seeing two UFOs on the rim of a crater. « The encounter
was common knowledge in NASA, » he revealed, « but nobody has
talked about it until now. »
Soviet scientists were allegedly the first to confirm
the incident. « According to our information, the encounter
was reported immediately after the landing of the module, » said
Dr. Vladimir Azhazha, a physicist and Professor of
Mathematics at Moscow University. « Neil Armstrong relayed the
message to Mission Control that two large, mysterious objects
were watching them after having landed near the moon module.
But his message was never heard by the public – because NASA
censored it. « According to another Soviet scientist, Dr.
Aleksandr Kazantsev, Buss Aldrin took color movie film of the
UFOs from inside the module, and continued filming them after
he and Armstrong went outside. Dr. Azhazha claims that the
UFOs departed minutes after the astronauts came out on to the
lunar surface.
Maurice Chatelain also confirmed that Apollo 11’s
radio transmissions were interrupted on several occasions in
order to hide the news from the public. Before dismissing
Chatelain’s sensational claims, it is worth noting his
impressive background in the aerospace industry and space
program. His first job after moving from France was as an
electronics engineer with Convair, specializing in
telecommunications, telemetry and radar. In 1959 he was in
charge of an electromagnetic research group, developing new
radar and telecommunications systems for Ryan. One of his
eleven patents was an automatic radar landing system that
ignited retro rockets at a given altitude, used in the
Ranger and Surveyor flights to the Moon. Later, at North
American Aviation, Chatelain was offered the job of designing
and building the Apollo communications and data-processing
systems.
Chatelain claims that « all Apollo and Gemini flights
were followed, both at a distance and sometimes also quite
closely, by space vehicles of extraterrestrial origin – flying
saucers, or UFOs, if you want to call them by that name.
Every time it occurred, the astronauts informed Mission
Control, who then ordered absolute silence. » He goes on to
say:
« I think that Walter Schirra aboard Mercury 8 was the
first of the astronauts to use the code name ‘Santa Claus’
to indicate the presence of flying saucers next to space
capsules. However, his announcements were barely noticed by the
general public. It was a little different when James Lovell
on board the Apollo 8 command module came out from behind the
moon and said for everybody to hear: ‘PLEASE BE INFORMED THAT
THERE IS A SANTA CLAUS.’ Even though this happened on
Christmas Day 1968, many people sensed a hidden meaning in those
words. »
Rumors persist. NASA may well be a civilian agency, but
many of its programs are funded by the defence budget and most
of the astronauts are subject to military security regulations.
Apart from the fact that the National Security Agency screens
all films and probably radio communications as well. We have the
statements by Otto Binder, Dr. Garry Henderson and Maurice
Chatelain that the astronauts were under strict orders not to
discuss their sightings. And Gordon Cooper has testified to a
United Nations committee that one of the astronauts actually
witnessed a UFO on the ground. If there is no secrecy, why has
this sighting not been made public?
A certain professor, who wished to remain anonymous, was
engaged in a discussion with Neil Armstrong during a NASA
symposium.
Professor: What REALLY happened out there with Apollo 11?
Armstrong: It was incredible, of course we had always
known there was a possibility, the fact is,
we were warned off!(by the Aliens). There was
never any question then of a space station or a
moon city.
Professor: How do you mean « warned off »?
Armstrong: I can’t go into details, except to say that
their ships were far superior to ours both in
size and technology – Boy, were they
big!…and menacing!
No, there is no question of a space station.
Professor: But NASA had other missions after Apollo 11?
Armstrong: Naturally – NASA was committed at that time,
and couldn’t risk panic on Earth. But it really
was a quick scoop and back again.
Armstrong confirmed that the story was true but refused to
go into further detail, beyond admitting that the CIA was behind
the cover-up.
—