
Suivre de près le président Trump présente des challenges et des avantages uniques.
Chaque jour, je vois apparaître sur mon écran une centaine d’alertes qui annoncent la fin de la présidence de Trump, sa mise en accusation imminente, la preuve irréfutable qu’il a trafiqué les élections avec la Russie, que de nouvelles call-girls l’accusent de harcèlement, que le Congrès va déclencher une mesure d’impeachment, que Trump est au bord du gouffre, qu’il est le nouvel Hitler, que la dictature est à la porte des Etats-Unis, qu’il censure les médias, et qu’il se conduit comme un parrain de la mafia…
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Avec le dernier plaidé coupable de son ex-avocat Michael Cohen, les médias éructent !
Bien sûr, aucun média ne dira que personne ne sait si ce que dit Cohen est vrai ou faux, car Michael Cohen cherche à obtenir une peine d’emprisonnement moins lourde en échange d’allégations contre M. Trump.
Personne ne dira que M. Cohen a plaidé coupable de divers délits qui n’ont aucun rapport avec Trump, des délits que personne ne l’a forcé à commettre. Et, maintenant, afin d’alléger son châtiment, il accuse son ancien ami. Je n’ai aucun doute que Donald Trump a déjà été trahi dans le passé, et qu’il a le cuir épais.
Ces mêmes médias, il faut le rappeler car certains pourraient être tentés de leur accorder quelque crédit s’ils ne sont pas au courant de tout, ces mêmes médias ont déclaré :
- que Trump n’avait aucune chance d’être élu (je confirme à ceux qui refusent de l’admettre que Trump a remporté la présidentielle),
- que la bourse allait s’écrouler (elle n’a jamais été aussi haute de toute son histoire),
- que l’économie allait s’enfoncer dans le rouge (la croissance est à 4,1% alors qu’Obama n’a jamais réussi à atteindre 3% en 8 ans),
- que l’emploi ne reviendrait jamais (le chômage est à 3,8%, chiffre le plus bas depuis 1975),
- que la Chine allait manger l’Amérique tout cru si Trump osait déclencher un bras de fer économique (la Chine va de compromis en compromis, elle a pour la première fois depuis 14 ans laissé entrer la viande de bœuf américain sur son marché de 2,6 milliards de dollars, et elle est en train de revoir tous ses tarifs douaniers à la baisse),
- que jamais Trump n’oserait déplacer l’ambassade américaine à Jérusalem,
- qu’il n’arrivera à aucun accord de dénucléarisation avec la Corée du Nord (Kim est en train de démanteler ses installations nucléaires, il n’a pas tiré un seul missile depuis les dernières menaces de Trump), que Kim ne voudra jamais le rencontrer (ils se sont rencontrés et une autre réunion est déjà prévue),
- qu’il ne pourra pas démanteler l’Etat islamique, car Obama avait affirmé qu’il ne serait que capable de le « contenir » (Trump a éjecté ISIS de tous ses territoires en quelques mois)
- qu’il ne serait pas capable de faire la très importante baisse des impôts qu’il a promis durant sa campagne (la baisse des impôts a bien eu lieu, et c’est la plus importante depuis Reagan)
Je m’arrête, mais la liste des promesses que Trump a faites, et que les médias ont juré qu’il ne pourrait pas réaliser, et qu’il a effectivement tenues est impressionnante.
Et maintenant, ils sont tous à faire marcher les turbines à intox, les Fake News, pour dire que Trump est fini, en raison des deux procès qui viennent de se produire, simultanément, l’un concernant Paul Manafort son ancien directeur de campagne, et l’autre Michael Cohen un de ses anciens avocats.
Le cas Manafort
Paul Manafort a été jugé coupable de fraude fiscale et de fraude bancaire. Les faits remontent à 10 ans avant la campagne présidentielle de 2016. Ils ne concernent pas du tout le président. Bien-sûr, vous ne lirez pas la presse américaine, mais s’il vous arrivait de la parcourir, vous verriez que même les plus radicalement anti-Trump de tous, comme le NYT et le Washington Post reconnaissent dans leurs articles, mais au 4e ou 5e paragraphe, que la condamnation attendue de Manafort ne concerne pas les élections de 2016 ou la collusion avec la Russie.
Michael Cohen
Michael Cohen a plaidé coupable de huit chefs d’accusation devant la cour Fédérale de Lower Manhattan, hier mardi. S’il s’est retrouvé devant une cour Fédérale, alors qu’il a été mis en accusation par Robert Mueller pendant le cours de son enquête dans le dossier russe, c’est parce que Mueller n’a rien pu extraire des 4 millions de documents saisis au cabinet de l’avocat qui puisse accuser Trump de collusion.
Le professeur de droit Jonathan Turley, invité au Special Report de Fox news a expliqué que le président Donald Trump pourrait dans le pire des cas devenir un « co-conspirateur non inculpé » dans cette affaire.
- M. Cohen a plaidé coupable de cinq chefs d’accusation de fraude fiscale à hauteur de 4 millions (qui ne concernent pas Trump), un chef d’accusation de fausses déclarations pour obtenir un crédit (là encore, sans rapport avec Trump), un chef d’accusation de contribution illégale d’une entreprise lors d’une élection et un chef d’accusation de contribution excessive à une campagne électorale (il s’agit d’un paiement à une star du porno, Stormy Daniels, et à Karen McDougal, une ex Playmate de Playboy, qui pourraient constituer un délit de tentative d’influencer une élection)
« Si les procureurs acceptent ce qui figure dans cet acte d’accusation, le président vient de devenir un co-conspirateur non inculpé », a déclaré M. Turley, « s’ils croient que ce qu’il y a dans cet acte d’accusation est vrai, c’est-à-dire qu’on lui a ordonné de faire ce paiement. »
Ce qui suit, vous ne l’avez évidemment lu nulle part, car les médias ne croient au principe de présomption d’innocence que pour leur camp politique :
- Rien ne prouve que Cohen dise vrai.
- Cohen accuse Trump de lui avoir donné l’ordre de faire des paiements à deux jeunes femmes qui pour nuire à Trump, ont été poussées par les Démocrates à déclarer avoir eu des rapports sexuels avec Trump (il ne s’agit pas de harcèlement sexuel comme certains médias le laissent entendre, mais de rapports entre adultes consentants. Il ne s’agit pas de détournement de l’argent de la campagne comme le disent d’autres médias, puisque Trump a financé sa campagne avec ses propres fonds).
- Cohen doit rapporter la preuve que Trump lui a donné l’ordre, et à supposer qu’il l’apporte, il restera encore à convaincre un jury qu’il s’agit d’un acte illégal.
- Daniel Petalas, ancien procureur de la section Intégrité publique du ministère de la Justice, a déclaré que « le président a certaines protections pendant qu’il est président en exercice, mais si c’était vrai, qu’il était au courant et a essayé d’influencer une élection, cela pourrait être un délit fédéral. »
- L’avocat de Donald Trump et ancien maire de New York Rudy Giuliani, a fait remarquer lors d’une déclaration que la lecture des charges retenues contre Cohen par le juge montrent « qu’il n’y a aucune allégation de faute contre le président dans les charges du gouvernement contre M. Cohen ».
- En vertu de la loi fédérale, les dépenses visant à protéger les chances politiques d’un candidat peuvent être interprétées comme des contributions à la campagne électorale, selon les lois fédérales qui interdisent les dons des sociétés et fixent des limites quant aux montants pouvant être donnés.
Conclusion
Le Président possède une résilience légendaire.
Sa cote de popularité, pendant que les médias faisaient leurs choux gras matin midi et soir pendant près de 15 jours du « scandale » Stormy Daniels, n’a cessé de monter.
Donald Trump préside un pays dont l’économie est en plein essor, avec un taux de chômage à des niveaux historiquement bas, un marché boursier qui a grimpé en flèche, un optimisme des ménages jamais vu depuis 20 ans, l’allègement des réglementations qui ont permis d’atteindre l’indépendance énergétique, et le nombre de créations d’entreprises explose.
Trump a promis de nommer un pur juge constitutionnaliste à la Cour suprême, et il s’apprête à en nommer un autre. Il a tenu parole, ce qui était un test très important pour les électeurs conservateurs.
Il est parti en guerre, comme il l’a promis, contre les laïcards qui tentent de détruire les racines judéo-chrétiennes des Etats-Unis, et attaquent la chrétienté partout où elle est traditionnellement présente dans la vie publique, et il a gagné le respect indéfectible des évangélistes, qui ont déclaré, à propos de l’affaire avec l’actrice porno, qu’ils ne sont pas des enfants de chœur et qu’ils savent très bien qui est Trump dans sa vie privée, mais que sa promesse tenue de défendre la chrétienté est pour eux ce qui compte. Il a d’ailleurs attaqué de front les pro-choix en défense des pro-vie, chose qu’aucun politique n’ose faire avec autant d’aplomb.
- Lorsque Trump, lors des primaires, a traité sa concurrente Républicaine Carla Fiorina de « face de craie », les médias ont publié son arrêt de mort : il était le misogyne, le sexiste, le grossier personnage vulgaire qui allait se ramasser lors des primaires. Trump a remporté les primaires.
- Lorsqu’un enregistrement digne d’une salle de garde, où Trump se vantait qu’une célébrité comme lui pouvait caresser les parties intimes d’une starlette, ajoutant qu’elles aiment ça, a été rendu public pendant la campagne, les médias ont prédit qu’il était terminé. Les conseillers du parti Républicain lui ont conseillé de se retirer de la course pour éviter la honte et la débâcle…
- Lorsqu’un journaliste a tenté de lui refaire le coup porté à Mitt Romney lors de la présidentielle contre Obama, en lui reprochant d’être riche, là où Romney a bredouillé des excuses en expliquant qu’il a travaillé dur pour y arriver, Trump a répondu : « je ne suis pas riche, je suis vraiment très riche ! », et c’est le journaliste qui s’est retrouvé tout bête et a bredouillé.
- Lorsque devant toute l’Amérique, la journaliste Megyn Kelly a demandé à Trump s’il était exact qu’il utilisait des mots comme « gros porc », « cageot », « gros lard » pour décrire certaines femmes, Donald Trump, sans sourciller, a répondu: « Je n’ai pas le temps d’être politiquement correct. Mais je n’emploie pas ces mots – sauf pour [l’actrice] Rosie O’Donnell. » Là, il était fini.
- Lorsque Trump a violé un tabou en attaquant le très respecté sénateur John Mc Cain qui a été prisonnier de guerre, en disant « ce n’est pas un héros, j’aime les gens qui n’ont pas été fait prisonniers » ; lorsqu’il a dit que Bush n’avait pas de quoi être fier parce qu’après tout, c’est sous sa présidence que 9/11 s’est produit ; lorsque Trump s’est moqué du juge Gonzalo Curiel qui l’attaquait, en déclarant : « qu’un juge d’origine mexicaine représente un conflit d’intérêts », à chaque fois les médias, les experts les plus respectés, les personnalités politiques en vue et les commentateurs ont déclaré que pour Trump, la course électorale est terminée…
Et pourtant, ce matin, Trump est certainement confronté à un moment périlleux de sa présidence. Mais ce n’est pas parce que pendant toute la nuit dernière, les réseaux de télévision ont hyperventilé les deux procès en faisant croire que c’est le début de la fin pour Trump – ce qu’ils vont continuer à faire pendant toute la semaine : l’Américain moyen, qui n’est pas très politisé, va vite se sentir gavé de vivre dans ce chaos puant fabriqué par les journalistes et va vite changer de chaîne.
Le défi pour Trump est inchangé : cette affaire va forcément détourner certains de ses électeurs, et si les Démocrates reprennent la Chambre ou le Sénat ou les deux en novembre, Trump sera entravé dans ses réformes, et il ne pourra probablement plus les effectuer autrement que par décret (« avec mon stylo et mon téléphone », s’était vanté Obama pour expliquer comment il allait contourner le Congrès).
Michael Cohen a plaidé coupable de violation de financement des campagnes électorales et il a dit à la cour que les paiements qu’il a faits aux deux accusatrices de Trump ont été faits en « coordination avec et sous la direction d’un candidat ». Mais le juge n’a intentionnellement pas nommé Trump dans les actes d’accusation.
Tout ceci n’empêchera pas Trump de nommer un second juge constitutionnaliste à la Cour Suprême en octobre prochain. Et cela va recentrer positivement la politique de l’Amérique pour les 30 ou 40 ans qui viennent, soit bien après la fin des deux mandats de Donald Trump.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Il faut comprendre le contraire de ce que les médias diffusent, et l’on approche de la réalité …. ou bien plus radical ne pas les lire ! Les sujets Trump, Israël etc … sont tous de la propagande, rien à voir avec de l’info. Mais cela détourne l’attention de sujets aussi grave sinon plus à traiter ici. Les soi-disant réformes envisagées par Macron, son pote Benalla .. allez les journalistes creusez un peu … Oui je sais je rêve ….
J.P. erreur Trump A fini, non e fini netoye le marecage, (j`espere)
Ces pisscopies n’ont vraiment aucuns scrupules ,au lieu de faire leur job honnêtement et informer les citoyens ils passe leur temps à persécuter celui qui remonte l’économie et joue franc jeu avec les pays menaçant !!Obama et sa bande est derrière tout ça!
Les journagueux, si experts en prédictions, devraient se reconvertir dans le métier genre Elisabeth Teissier, qui après tout, ne se trompe que 100 fois sur 100.
Merci Mr Grumberg de nous informer réellement car avec le matraquage de la mafia journalistique concernant ces 2 affaires j’avais peur que ça ne tourne mal pour Trump! Ouf ! Me voilà rassurée mais frustrée car les véritables délinquants sont toujours impunis de Clinton a toute la clique d’Obama ! Sont-ils intouchables au point qu’ils ne seront jamais inquiétés un jour?
Trump a les mains ligotées par son mauvais choix de ministre de la Justice, Jeff Session, un trouillard qui se cache sous son bureau.
Politiquement, Trump ne peut pas mettre les pieds dans le plat en ce moment. Mais Session va dégager. Trump a appris la leçon, un peu comme Rex Tillerson, un très mauvais secrétaire d’Etat heureusement remplacé par un sacré bonhomme, Mike Pompeo.
Session sera remplacé, à mon avis juste après les midterms si elles tournent bien, pas un ministre de qualité, et là… si les MidTerm apportent une vague rouge, je parie que Clinton et la clique d’Obama va passer un sale quart d’heure…
Certes, avec tout ce que vous nous avez dit Jeff Session est vraiment un trouillard pas à la hauteur sur le sujet « recherche de collusion », mais j’ai compris aussi qu’il été très bon sur la lutte contre les drogues et dans la mesure du nombre épouvantable de morts par overdose aux États-Unis, sans compter que l’état précédent la mort, est déjà une mort sociale, économique, familiale et que cela pèse très très très lourd dans le destin d’un pays… il n’est pas si inutile que cela Jeff Session.
Trump peut peut-être lui tailler un costume plus petit ?
La RTS fait assez fort dans cet article que je me permets de partager :
http://www.rts.ch/info/monde/9791741-l-ex-avocat-de-trump-se-met-a-table-et-fox-news-en-parle-le-moins-possible-.html
J’ai du mal à comprendre comment payer une femme (avec son propre argent si je comprends bien) pour qu’elle taise un rapport sexuel puisse être un délit suffisamment grave pour destituer un président. On est dans une chasse au sorcières délirante.
Merci M. Grunberg de nous éclaircir sur cette histoire Trump et ces attaques incessantes des crasseux de l’information américaine et française ainsi que des politiques américains tout aussi pourris. Ils sont l’exacte réplique des gauchistes fossoyeurs chez nous ainsi que de la bande de ripoux LERM. Je suis rassuré par votre article et apporte tout mon soutien au président Trump, ce président que nous aimerions voir à la tête de la France. Vive M. Trump.
Comme vous dites …Lorsqu’un enregistrement digne d’une salle de garde, où Trump se vantait qu’une célébrité comme lui pouvait caresser les parties intimes d’une starlette, ajoutant qu’elles aiment ça, a été rendu public pendant la campagne, les médias ont prédit qu’il était terminé
Une conversation de vestiaire qui remontait a une décennie et avec laquelle le clan Clinton Obama avait tenter de mettre hors jeu Donald Trump avec leur complices des médias gauchistes
Quand on sais aujourd’hui comment la gauche artistique anti trump d’Hollywood qui appuyait et finançait la campagne électorale d’Hillary Clinton et qui n’as rien vu , ni rien entendu durant des décennies sur toute les agressions commises a Hollywood ,on prend la mesure de l’ hypocrisie des démocrates qui ont tenter de faire chuter Trump avec une conversation de vestiaire enregistrer a son insu
Politicologues et sociologues gauchiste des milieux universitaires , experts ,observateurs et journalistes gauchistes défilaient dans les médias de la coalition anti Trump pour annoncer sa fin imminente et leur verdict…..Trump ne s’en sortirais jamais ,c’était terminer pour lui .
2 ans plus tard ces mêmes médias mondialistes gauchistes comme Radio Canada assoiffés de haine anti Trump et les politicologues gauchistes comme Pierre Martin nous parle en salivant de l’étau qui se resserre sur Donald Trump
Donald Trump a déjà perdu l’élection, selon Rafael Jacob, chercheur à la Chaire Raoul-Dandurand de l’UQAM
A écouter sur Radio Canada ..c’est fini pour Donald Trump
https://ici.radio-canada.ca/info/videos/media-7610985/donald-trump-a-deja-perdu-lelection-selon-rafael-jacob
Merci Mr Grumdberg pour votre analyse tres eclairante. Mais je me pose la meme question que Francois: comment le fait de payer une femme avec son propre argent, peut etre un delit? Merci de votre reponse!
Hector, le sujet est juridiquement complexe, je vais tenter de le simplifier.
Cohen paye, avec 2 sociétés différentes, les deux femmes pour qu’elles ne rendent pas public leurs aventures. Trump rembourse Cohen avec son propre argent.
Cohen a déclaré être coupable de fraude électorale en échange d’un allègement de peine sur ses dossiers de fraude fiscale et de fraude bancaire. Cela ne veut pas dire qu’il ait commis une fraude électorale.
La fraude électorale de Cohen serait :
1- les paiements qu’il a effectué constituent des dépenses de campagne.
2- ils ont été faits par des sociétés, au delà des montants que les sociétés ont le droit de payer directement pour un candidat.
Les questions importantes qui changent toute l’affaire :
1- Trump a-t-il donné l’ordre à Cohen de payer, ou Cohen a payé de sa propre initiative, et demandé le remboursement ensuite.
2- Stormy Daniels a t’elle fait un chantage et demandé de l’argent en échange de son silence, ou a t’elle reçu la proposition de se taire en échange d’argent.
3- Trump savait-il que Cohen a payé au travers de sociétés.
4- Si Cohen a violé le code électoral en payant les 2 femmes par des sociétés, et que Trump l’a remboursé, ce délit de Cohen passe t-il à Trump.
5- Si Trump a payé avec son argent, il n’est pas certain que ce soit pour lui une infraction électorale.
6- Le fait de payer les deux femmes n’est pas nécessairement considéré comme une contribution électorale – les juristes spécialisés que j’ai entendu sont divisés.
Je rêve d’un Trump en France ; Mais bon !!….Faut pas rêver !
Nos politique ne sont que des pleutres incompétents qui ne pense qu’à leur portefeuille.
hier c’était hallucinant tout les conneries dit au Canada contre le Président Trump … l’expression dur coup a été redit dans tout les médias … après Manafort et Cohen en prison …. des Chroniqueurs ont affirmer que le prochain sera Trump …
A votre connaissance a t’on entendue parler d’un président Américain aussi souvent au Canada que de Trump ? Y-a t’il un autre président Américain a qui les journaliste Canadien on fait une si mauvaise presse ?
Moi personnellement je ne me souviens pas d’avoir jamais rien vue de semblable.
Me souviens du watergate de Bill Clinton au bureau ovale mais ce ne fut jamais jour après jour après jour c’est tu une façon qu’ils utilise pour ne pas critiquer Trudeau leur bien aime.
plus j’entends les journaleux « révéler » la dernière heure de trump plus il me parait sympathique
Ce qui me surprend est que Mueller contrevient sans aucune opposition au but de son enquête c-à-d la recherche de preuves d’une collusion avec les russes pendant les élections présidentielles de 2018.
2016.
la dernière connerie en liste est d’un enseignant de l’Université de Montréal Pierre Martin qui affirme une fois de plus que la fin du Président Trump est pour bientôt car dans sa chronique du Journal de Montréal d’aujourd’hui 23 août , il donne comme exemple bill clinton qui avait perdu son droit de pratiquer comme avocat dans l’affaire Lowensky …. mais ce qu’il oublie de dire est que les histoires de baise de Trump sont en date de 10 à 15 ans donc bien avant son parcours politique
Avec sa tribu de gauchistes formatés
La tribu du Martinhistan représentent bien ce qu’est devenu ce journal anti Trump
Les journalistes de Radio Canada sont en pleine jouissance céleste Quand ils parlent de Trump et Cohen apparrait un bandeau qui défile dans le bas de l’écran ..intitulé en lettres noir sur fond blanc……l’ÉTAU SE RESSERRE …lol
Les médias anti Trump ne sont que des tribunaux médiatiques pervers infiltrés par des gauchistes et les juges rouges de ces tribunaux ne sont que sont des gauchistes qui sont aller se chercher une carte de presse