Publié par Michelle d’Astier de la Vigerie le 6 septembre 2018

Une sorte de panique croît, à juste titre, face à l’invasion brutale d’immigrés qui n’ont aucune volonté de s’intégrer et qui nous haïssent, et le cas échéant, agressent ou massacrent ceux qui sont à leur portée.

Nous sommes comme groggy, estomaqués, ne comprenant pas pourquoi notre pays, cette si belle France chantée par bien des poètes, devient aujourd’hui un pays où la paix fait place, progressivement, à la peur, malgré les efforts dérisoires de politiques en mal de sièges pour déclarer merveilleux le « vivre ensemble » entre des gens qui ne partagent ni les mêmes valeurs, ni les même objectifs, ni les mêmes racines, ni la même culture, ni la même langue.
Et pourtant, c’était si prévisible…
Cet article s’articule en trois parties : un rappel politico-historique, tel que je l’ai vécu dans les cinquante dernières années, certainement incomplet car c’est un témoignage à partir de ce que j’ai vu, entendu et appris. La deuxième partie traite des causes sociologiques, politiques et des bouleversements législatifs qui ont conduit à cette catastrophe humanitaire. La troisième partie parlera des causes morales et spirituelles qui ont produit inexorablement leurs effets, et qui démontrent que la tendance pourrait s’inverser, de manière surnaturelle, sous réserve qu’il reste des gens de foi.

1 – La catastrophe migratoire

On parle de gestion migratoire face à ce qui est devenu strictement ingérable, terme trouvé par les politiques pour faire croire qu’ils contrôlent encore quelque chose. Des décennies d’aveuglement volontaire sur la volonté affichée  de l’islam à conquérir les peuples et les nations pour les soumettre à leur propre loi. Pourquoi cet aveuglement apparent ? La volonté de conquête du monde et de soumission à l’Islam est pourtant ordonnée par le Coran et cette religion a démontré sa nocivité depuis 1500 ans, via massacres et mises en dhimmitude de millions de personnes là où l’islam était la religion dominante et ses leaders religieux maîtres des pays.
Nos nations ont la mémoire courte. À moins qu’elles ne jouent à être sans mémoire, faute d’avoir une solution. Car tous les politiques savent bien – ce n’est pas faute que des signaux d’alarme aient été lancés depuis 40 ans par des « sages » et des observateurs ou politiques lucides – que nos nations étaient en train de s’asphyxier, avant de se suicider, du fait que les générations autochtones ne se renouvelaient plus. De moins en moins de « remplaçants » français pour payer les retraites des aînés, et tout simplement faire les boulots pénibles. Alors, bon gré, mal gré, nos nations ont accueilli à bras ouvert les immigrés, pour remplir les caisses de retraite et vider nos poubelles.
Tous nos politiques ont été confrontés à ce constat : les Français ne faisant plus d’enfants (idem dans les autres pays développés [NDLR : à l’exception notable d’Israël et de sa moyenne de plus de 3 enfants par famille]), il fallait une population de remplacement pour combler les trous. Cela a pu être géré quasi convenablement durant 40 ans ou presque. La France a commencé à changer de couleur, l’immigration alors n’était pas hostile, elle s’intégrait plus ou moins bien, mais elle s’intégrait, tout en s’emparant insidieusement des quartiers.
Avec la gauche de Mitterand, une grande vague de ces immigrés a obtenu la nationalité française, le droit du sol et le regroupement familial. la France est devenue championne européenne de la natalité, grâce au « baby boom »  des immigrés, baby boom fortement incité par les allocations multiples et alléchantes que la France a offertes. On sait bien entendu qu’en arrière-plan, des alliances renouvelées avec les pays pétroliers contraignaient à ce choix. Les mosquées se sont multipliées. Mais les accueillis, pas encore en pourcentage suffisant de population pour imposer leurs diktats, se tenaient à peu près tranquilles, craignant des contre-mesures politiques s’ils faisaient trop de bruit. Quand leur nombre a commencer à peser fortement, ils sont devenus de plus en plus exigeants. Nécessités électorales obligent, les accords souterrains avec les musulmans de France se sont multipliés.
Avec l’apparition de l’Etat islamique, soutenu par l’Iran et sans doute bien des pays arabes (difficile de démêler la vérité du mensonge tant les leaders de ces pays, passés maîtres dans l’art de manipuler l’opinion occidentale, ou de l’acheter, s’ingénient à faire régner le flou), un bouleversement est arrivé qui a changé cet équilibre déjà précaire. L’Occident n’entend pas les avertissements de Khadafi et de leaders égyptiens, irakiens, algériens, lucides parce que connaissant les poussées migratoires qu’eux-mêmes parvenaient tant bien que mal à juguler, et ce par des moyens coercitifs. Tous ont prévenu qu’une déstabilisation du Moyen-Orient entraîneraient vers l’Europe des flux migratoires monstrueux. Aucun de nos va-t-en guerre n’a voulu les écouter, et ce n’est pas un Obama qui allait leur ouvrir les yeux : en tant que musulman dissimulé, qui avait su berner toute l’Amérique, il ne pouvait qu’encourager fortement le printemps arabe.
Faute de connaître de l’intérieur l’esprit qui règne dans ces pays musulmans dont la majorité parle arabe mais n’est pas arabe (Ils ne sont pas descendants d’Ismael et de Sem, mais de Cham et Canaan, voir Genèse 9 et 10), ils n’ont pas prévu ce qui était prévisible quand on sait que les vrais Arabes traitent par le mépris ces populations musulmanes qui ne sont pas des leurs. Avez-vous entendu parler d’un de ces pauvres immigrés trouvant refuge en Arabie Saoudite ou dans les Emirats Arabes Unis ? Ce ne sont pourtant pas les moyens qui leur manqueraient pour aider leurs malheureux « frères ». Justement, ils ne les considèrent pas comme des frères, mais seulement comme des outils pour envahir l’Occident, (et de la chair à canon contre Israël),  pour imposer au monde entier – s’ils le pouvaient – leur religion mortifère et la charia, et ainsi tirer les ficelles en Occident. Ils sont en passe d’y arriver.
Nos dirigeants politiques, en bons apprentis sorciers fort ignorants mais pensant tout savoir, à commencer par Nicolas Sarkozy, n’ont eu cure des avertissements des tyrans lucides, et sont allés assassiner ces tyrans qui, à défaut de pouvoir être approuvés, n’en étaient pas moins le dernier rempart au déversement islamique en Occident. Ce fut le « printemps arabe ». Derrière les belles envolées humanitaires proclamées pour justifier ces actions se profilaient souvent des intérêts financiers égoïstes, quand il ne s’agissait pas de sordides motifs personnels : Irak; Egypte, Côte d’Ivoire, Tunisie,… la France s’est ingérée partout, dans la pétaudière du Moyen Orient et dans les sphères de certains pays africains, notamment ceux qui ont des richesses minières ou pétrolifères, avec le soutien du copain musulman Obama et celui de la charmante dame Merkel. Il est vrai que les dirigeants des pays européens étaient tous ligotés par un mille-feuille d’alliances secrètes avec les producteurs de pétrole, alliances accumulées au cours des décennies par leurs prédécesseurs et repris par leurs successeurs qui rajoutaient, pour des motivations rarement patriotiques, leur propre couche au mille-feuille.

2 – En parallèle, la déchéance morale

J’y étais, en mai 68, alors que nous faisions craquer ce que nous croyions être des carcans  moraux obsolètes venus du fond des âges. nous proclamions l’interdiction d’interdire, et nous étions fous de joie : c’était nous qui allions changer le monde.
Oh oui, il a changé, le monde ! Ce sont toutes les vieilles règles judéo-chrétiennes que nous avons fait exploser, ces règles qui avaient fait de nous des pays civilisés et prospères, qui ont été littéralement « renversées »
La Bible l’avait annoncé : Ils appelleront le mal bien …
Esaïe 5:20
Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume !
Nous y sommes.
Tout ce que j‘avais appris dans ma jeunesse dans nos milieux judéo-chrétiens allait bientôt être remplacé par une autre vérité, une autre morale, et ce, par paliers. Aujourd’hui, je le sais, c’était sous la pression des franc-maçons qui déjà, et surtout après de Gaulle, s’emparaient de tous les postes clés de la société, médias compris. Cela allait s’accélérer avec l’arrivée de la Gauche et de la pensée unique gauchiste-humaniste-maçonnique. Bientôt ce serait l’islamo-gauchisme, bien que l’Islam réprouve la plupart des « avancées » sociales plébiscitées par la France (après bien d’autres pays), tels le mariage gay, l’avortement, etc. Leurs « VALEURS » sont souvent diamétralement opposées aux valeurs socialistes, et pourtant, ils sont parvenus à faire une alliance contre nature. Une force les unissait bien plus puissamment : le désir de gouverner les pays, le monde entier de fait, par l’argent (les pétrodollars), et ils ont en commun le même mépris de la vie et de ceux qui ne font pas partie de leur cénacle.
Beaucoup vont rétorquer : « Mais la même chose se passe dans tous les pays européens, hormis quelques exceptions, et dans bien des États de l’Amérique, nord et sud. Ne parlons pas du Japon, de la Chine … »
Oui, certes, mais voici, la France a toujours eu un statut à part en ce qui concerne la propagation des idées, des philosophies, des religions, et des idéologies, bonnes ou mauvaises. Le communisme est parti de LA COMMUNE, en 1871 (https://fr.wikipedia.org/wiki/Commune_de_Paris_(1871)). Les révolutions sanguinaires, avec assassinat des gouvernants des pays, et surtout des rois ou empereurs, c’est parti de France.  Mai 68 a fait des émules dans le monde entier. Le « siècle des lumières » (XVIII ème), un mouvement philosophique et littéraire, avait déjà bien contribué à faire de la France un modèle mondial pour sortir « des préjugés et de l’intolérance, et faire progresser les hommes vers le bonheur, la liberté et le savoir. », ce qui s’est traduit par la décapitation du Roi de France, de milliers d’aristocrates, d’ecclésiastiques et de récalcitrants ! La pensée gauchiste-maçonnique, et sa propension à faire croire qu’elle remplaçait la tyrannie par la liberté, venait de donner une grande orientation à la France : donner des libertés pour mieux voler la liberté de pensée et museler les opposants.
Notre responsabilité ? Nous ne sommes plus un empire mais l’esprit de la France imprègne encore fortement toutes nos anciennes colonies. Ne parlons pas des DOM-TOM, sous tutelle. De fait,

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