Initialement publié le 14 septembre 2018 @ 17:37
En reconnaissant la responsabilité de la France dans la mort du militant communiste Maurice AUDIN, engagé dans la défense de la cause algérienne, le président E. Macron vient de rouvrir le dossier compliqué des rapports avec cet épisode douloureux de notre histoire.. Il nous offre par la-même l’occasion de réfléchir sur la nature de ce conflit et ses retombées actuelles.
La France avait jeté toutes ses forces dans une bataille qui avait pour but de conserver comme territoire de la République -une et indivisible- cette importante partie du Maghreb, grande comme 14 fois la France continentale.
En dépit de la disproportion manifeste des forces en présence sur le terrain, la France a perdu cette bataille dans des conditions dramatiques, abandonnant à son triste sort le million d’Européens, français pour la plupart.
Pourquoi cet échec cuisant ?
Aussi incroyable que cela paraisse, on doit constater qu’aucun des protagonistes engagés dans ce conflit n’a vu ce qui en était réellement l’enjeu.
La France, toutes composantes politiques et idéologiques confondues, n’a jamais été capable de dire qui était son ennemi principal.
Les dirigeants algériens eux-mêmes n’avaient qu’une conscience limitée des causes réelles de leur engagement. Dans leurs interventions officielles, ils luttaient pour l’indépendance du peuple algérien ; pour la naissance de la « nation algérienne » ; pour un nationalisme teinté de socialisme de type soviétique.
Pourtant, l’élément qui allait rendre possible la « rébellion », transformant une aspiration des élites arabes (dont la plupart furent formées dans les écoles ou dans l’armée française) en un mouvement de masse structuré, était présent dès l’origine.
Mais, une sorte de leurre est parvenu à masquer la cause fondamentale de ce combat, y compris à ses principaux acteurs.
L’interprétation officielle de ce long conflit a évolué. On peut en distinguer deux phases.
1) Pendant le conflit
Les attentats terroristes de novembre 1954 ont été initialement attribués à une poignée de criminels, de fanatiques, d’extrémistes, sans lien réel avec la population. La masse était composée de bons, loyaux, gentils musulmans qu’il ne fallait surtout pas confondre avec les « tueurs » du FLN. Déjà le « pas d’amalgame » tenait lieu de doctrine officielle.
L’aspect politique du problème a été minimisé, voire n’a pas été vu.
On a mobilisé toutes les ressources d’une grande nation, jeté toutes les forces armées dans la bataille… pour combattre une poignée de criminels !
L’indigence de l’interprétation officielle des « événements d’Algérie » laisse sans voix l’observateur actuel.
Pourtant.
L’efficacité de l’intervention militaire est évidente. L’action de Challes a conduit à un démantèlement effectif des forces du FLN.
La France a gagné militairement la bataille sur le terrain.
Face au mouvement international d’émancipation des peuples colonisés, elle a été incapable de justifier la pérennité de sa présence en Algérie, de l’inscrire dans un nouveau cadre compatible avec les principes internationaux.
Elle a donc perdu au plan politique et idéologique.
2) Après la proclamation d’indépendance en juillet 1962
Le porte-parole officiel du scénario « Guerre d’Algérie » est Benjamin Stora.
C’est l’interprétation issue de la vulgate marxiste qui triomphe. On nous explique que ce conflit prend sens dans le schéma général d’éveil de la conscience nationale des peuples, plus précisément celui du nationalisme arabe :
« L’Algérie est née d’une volonté politique apparue au début du XXème siècle, et poursuivie par une longue guerre d’indépendance contre la puissance coloniale française. »
(B. Stora, Histoire de l’Algérie depuis l’indépendance, éd. la Découverte).
La France est décrite comme une puissance coloniale qui exploitait et opprimait le peuple algérien. Elle était donc en guerre contre ce dernier et c’est ce dernier qui l’a battue.
Ce scénario hyper simpliste fait l’impasse sur l’élément clé du processus d’éveil de la conscience nationale du peuple algérien, à savoir la composante religieuse islamiste. Celle-ci est soit sous-estimée, soit ignorée. Elle fait l’impasse également sur le fait que le « peuple » n’a jamais été « libéré ». Il est passé d’une domination à une autre.
L’islamisme est l’élément clé de ce conflit.
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La France pouvait se retirer d’Algérie sans subir cette cuisante défaite. Si elle a perdu lamentablement, c’est tout simplement parce qu’elle n’a jamais su percevoir que la religion était au cœur de la genèse du sentiment national algérien. Pourtant cela était évident. Le journal du FLN ne s’appelait-il pas « El-Moudjahid » qui vient de « djihad », qui signifie « guerre sainte » ?
Plus évident encore. Dans les dix commandements de l’ALN, il est précisé explicitement :
« Se conformer aux principes de l’islam… dans la destruction des forces ennemies. »
Certains étaient parfaitement conscients du double-jeu des élites modérées et du rôle central joué par les religieux, tel Soustelle qui dans une lettre restée secrète, décrit lucidement la situation. (citée par Yves Courrière, La Guerre d’Algérie, Fayard, t.1,p.534)
Cette juste perception, jamais prise en compte officiellement, était en outre masquée par le fait qu’un hiatus important existait entre les « élites arabes » européanisées, politisées, plus ou moins éloignées de la religion, et le peuple totalement dominé par cette dernière. La manie du secret, la pratique permanente d’un double langage, le mensonge, l’extrême frilosité quand ce n’est pas la peur… qui caractérisent la vie politique française, ont largement contribué à l’égarement des esprits.
Sur ce point, le regard français est radicalement différent de celui des Anglais.
Le colonel Lawrence, qui a participé pendant la Première guerre mondiale à l’éveil du nationalisme arabe au Moyen-Orient, a parfaitement conscience que ce mouvement a pour moteur la religion musulmane. C’est par elle qu’il parvient à unir et soulever les tribus arabes contre les Turcs.
Le Coran et la langue arabe constituent l’épine dorsale, l’âme de l’éveil national, la « patrie de chaque musulman ».
Il écrit :
« les Arabes sont convaincus d’être le sel de la terre…évidemment cette foi nationaliste ne s’établit pas sans effort. Le corps des chérifs –huit à neuf cents princes- l’adopta aussitôt et la prêcha partout. On écouta ces nouveaux missionnaires parce qu’ils descendaient du Prophète ; ce prestige religieux leur permettait d’agir sur l’esprit des hommes et de ployer leurs fantaisies à une obéissance calmement consentie. »
(T.E. Lawrence, Les Sept Piliers de la Sagesse, t.I, p.115, éd. Payot.)
Les dirigeants français n’ont rien compris au conflit algérien. Ils ont globalement attribué cet éveil du nationalisme à l’influence communiste dont Nasser était le porte étendard.
C’est le monde communiste que la France pensait combattre en Algérie. C’est l’influence soviétique qu’elle voulait endiguer :
« Les officiers supérieurs de l’armée française considéraient alors le Front (FLN) comme une des formes du communisme international… »
(Pierre Miquel, La Guerre d’Algérie, Fayard éd., p.363.)
Les chefs de la rébellion O.A.S. partageaient cette même croyance, aveuglés par la haine paranoïaque du communisme, ils ont ignoré l’impact immense du religieux.
« Lutte anticommuniste sur tous les fronts » proclame Edmond Jouhaud, ( in « O mon pays perdu » éd. Fayard)
Tous entonnent le même refrain :
« Traiter avec le FLN est impossible. Ses cadres sont en majorité des criminels. Ce serait en outre une nouvelle victoire du communisme sur le monde libre… »
(Bigeard, « Pour une parcelle de gloire, éd. Plon, p.388).
Conséquence de cette funeste erreur d’appréciation, la France, prisonnière de cette croyance, a encouragé et soutenu le mouvement religieux. Exactement comme elle le fait aujourd’hui.
Elle n’a jamais compris que si le nationalisme algérien s’exprimait dans une phraséologie marxiste, il tirait son pouvoir sur les masses par ses références à la pratique religieuse. Cette propagande passait principalement par les mosquées.
La conscience nationale est ici comme au Moyen-Orient inséparable du sentiment religieux.
Le Janus Bifron que sont tous les états musulmans, (à l’exception de l’Iran et de Daech) présente deux visages antagoniques: il se veut algérien ou irakien, ou syrien… donc nationaliste mais également musulman donc internationaliste et conquérant.
Il se bat pour deux objectifs distincts et opposés : la nation et la Oumma.
Cette contradiction insoluble maintient tous les pays confrontés à ce phénomène, dans un état de guerre civile permanent, rendant impossible l’établissement de régime démocratique respectueux des libertés fondamentales.
La preuve ?
Passée la période d’euphorie qui a suivi l’indépendance, les religieux n’ont pas tardé à exiger le pouvoir. Ils l’auraient pris légalement si la junte militaire et le parti unique, le FLN, qui dirigent l’Algérie, avaient respecté le suffrage universel en 1992 et si la France n’avait pas volé au secours de ces derniers. Conséquences de ce désastre, au moins 100 000 morts !
En agissant ainsi, la France s’est inscrite, tout comme l’Algérie (et d’autres pays arabo-musulmans), dans une guerre de religion dont elles ne peuvent sortir car elles refusent de voir que l’Islam et son corps de doctrines est le cœur de cette machinerie sanglante.
L’Egypte exécute actuellement en masse les chefs de la confrérie des « Frères musulmans ».
C’est la deuxième fois qu’elle procède à une répression de cette ampleur. Cela ne règle nullement le problème. La parole qui circule dans les mosquées nourrit, entretient nécessairement la révolte contre l’Etat, lequel soutient le religieux.
Comme le montre l’exemple de l’Iran (et celui de la Turquie d’Erdogan qui semble prendre le même chemin), dans le monde musulman, le religieux aspire toujours à dominer sans partage le domaine politique, à instaurer son règne totalitaire. D’où la nécessité pour les politiques d’instaurer une dictature pour se maintenir au pouvoir.
Confrontée au phénomène d’un terrorisme massif (250 morts, des milliers de blessés en trois ans), la France combat le terrorisme islamiste dans des termes identiques à ceux qu’elle utilisait pour combattre à ses débuts la « rébellion algérienne ».
L’Etat reproduit quasiment à l’identique ses errements. Voilà qu’il préconise l’enseignement de l’Arabe par l’Education Nationale, comme il le faisait hier en Algérie…Il pense qu’en mettant en œuvre un mécanisme de financement interne du culte musulman, il va l’adoucir, le franciser.
Dérisoire fuite en avant. Illusion désarmante. De tels remèdes ne sont que des placébos. En outre, loin de diminuer la charge explosive dont l’Islam est le porteur, ils ne font que l’alimenter.
Comme l’avait parfaitement énoncé le Président Hollande, au bout de cette logique, il y a la partition du pays.
La France ne sait toujours pas contre qui elle s’est battue hier en Algérie. Elle ignore délibérément contre qui elle se bat aujourd’hui. La confusion règne et le leurre initial perdure. La religion musulmane demeure pure et sans tache.
L’ennemi n’étant ni vu, ni désigné, ni compris, la guerre d’Algérie était perdue d’avance.
Il en est de même aujourd’hui.
Confrontée au terrorisme islamiste, la France est en guerre sans être en guerre ; elle se bat contre un ennemi dont elle ignore la réalité. Une nouvelle fois elle ne peut que perdre. Elle perd. L’islam politique étend chaque jour son emprise sur des pans entiers du territoire.
Comme en Algérie hier, la France contribue activement au triomphe de l’Islam dont les responsables du pays ignorent à peu près tout, à l’instar d’Alain Juppé qui avoue n’avoir jamais lu le Coran.
Hier la France luttait contre les terroristes-fellaghas-bandits à la solde des communistes…
Elle se proclamait l’amie des gentils musulmans et de l’Islam.
Aujourd’hui elle lutte contre les méchants terroristes à la solde de Daech ou autres…
Elle se proclame amie des gentils musulmans et de l’Islam.
Par application du principe « Une histoire qui s’ignore est une histoire qui se répète », à terme, un immense drame se profile.
La France et les dirigeants algériens ne savent toujours pas que nationalisme/islam/terrorisme-islamiste sont intrinsèquement et indissolublement liés.
Il faut « privatiser » la pratique religieuse, seule manière de combattre l’Islam politique et son corolaire le terrorisme, comme le font les Chinois ou les Japonais.
Or, la politique actuelle a tendance à le « nationaliser » chaque jour davantage en en faisant une force politique incontournable.
Si l’aveuglement perdure, alors des mouvements de type « FLN » fleuriront.
A quand la constitution d’un Front de Libération National Français, Allemand, Suédois… ?
La révolte gronde en Europe. Il faut certains ingrédients pour la transformer en « révolution », la cécité et la surdité des hauts responsables en font partie. Quand les peuples ne sont plus entendus par leurs dirigeants, quand le mépris règne, le désespoir l’emporte et ils se précipitent dans le vide.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Article criant de vérité, à faire hurler de rage tant nos dirigeants sont aveugles ! J’aime beaucoup la phrase sur l’ennemi qui est ni vu, ni désigné, ni compris, c’est exactement ce qui se passe. Un peu comme si on combattait l’alcoolisme tout en laissant les bouteilles à portée de main. Efficacité garantie.
Je pense au combat contre l’Allemagne pendant la dernière guerre mondiale. Si on avait sombré dans cette schizophrénie visant à combattre les nazis et pas les Allemands, comment la guerre aurait-elle été gagnée ?
Touati est toujours excellent.
On pourrait ajouter que, du côté des généraux du FLN, était déjà présent le projet de poursuivre le jihad sur le sol de la France, après avoir chasser d’Algérie les ‘mécréants’. Le fameux discours de Boumediene aux Nations Unies le 10 avril 1974 (‘Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud…’) le laisse supposer. Les exigences de la Ligue arabe à la même époque, afin d’obtenir pour ses immigrés des droits identiques aux nationaux français, le confirme.
Il semble que la cécité française trouve sa source dans un mépris de l’intelligence arabe. Le truc manichéen du Coran (‘Nous les purs, vous les impurs’) est puissant, aussi parce qu’il dépasse la subtilité de l’intelligence française.
E n 1957, le FLN est l’ennemi de la France et des français qu’il assassine , des femmes des enfants avec couteaux, armes, explosifs . Alger est un enfer .L’armée intervient dans l’urgence avec ses moyens et sur ordre .Elle gagne la bataille et sauve beaucoup de vies humaines .Curieux comme la sauvagerie FLN est passée toujours sous silence ! Audin fait partie de ces “français”qui passe facilement à l’ennemi, le FLN : aide aux messages, transports de”valises”, d’armes, d’explosifs; il savait à quoi li s’exposait . Pendant la résistance, les executions sommaires était nombreuses Qui s’en est plaint ? A rappeler le fait d’armes odieux du traitre aspirant maillot, lui aussi communiste hélas :vol d’un camion d’armes de l’armée pour le livrer au fln qui s’en ait servi sans tarder: une vingtaine de bidasses bien de chez nous au tapis dans une embuscade !
Qui fera le proces d’Audin ?
“Pourtant, l’élément qui allait rendre possible la « rébellion », transformant une aspiration des élites arabes (dont la plupart furent formées dans les écoles ou dans l’armée française) en un mouvement de masse structuré, était présent dès l’origine.”
L’état Français n’a pas retenu la leçon du passé, les mêmes erreurs produisant les mêmes effets, l’élite musulmane que la France forme aujourd’hui à tous les niveaux, sera notre ennemi de demain.
je crois que notre président se fout de tout cela comme de l’an 40, il cherche des voix pour les prochaines élections.
Merci monsieur
Merci Monsieur Touati pour ces éclairement .
Quelle est la solution ?
Interdire l’islam en France, cette religion de conquête doit être combattue et limitée à son territoire hors de France et d’Europe et des qu’ils sortent de ces territoires les forcer à les réintégrer, le mieux serait de rayer ce dogme barbare de la surface de la planète mais nos gouvernants macron en tête est complice alors?
Dans un premier temps procéder à la dissolution de tous les groupes qui se réclament de l’islam radical (frères musulmans, UOIF et autres).
Et, à terme déclarer l’islam contraire aux valeurs républicaines et donc faire fermer tous les lieux de culte. Bref, faire comme les birmans avec les Rohingyas et les chinois avec les Ouïghours.
Exactement…!
C’est exactement ce que nous devons faire !
Il faut ne plus essayer de ménager la chèvre et le chou puisque la chèvre mangera in fine le chou !
Nous devons – C’est un devoir – protéger la République française. Cette France qui n’a jamais été musulmane mais Chrétienne. Chrétienne par tous les Rois qui l’ont faite jusqu’à la Révolution. Rien ne doit nous détourner des fondements de la République française.
L’apport des musulmans par les invasions ou migrations dans notre pays doit rester dans le domaine privé et uniquement ne dépendre que du domaine privé.
La France n’a pas à marchander avec quiconque de sa Constitution. Elle est établie pour tous ceux qui ont la citoyenneté française et ils doivent la respecter.
Pour ça il faut des c… qui manquent cruellement au pouvoir
La nature de l’islam est parfaitement connue de nos dirigeants.
Il ne s’agit plus d’ignorance mais de collaboration.
L’ignorance est seulement feinte.
qui dit encore que c’est un gouvernement socialiste (guy mollet, f mitterrand, p menès-france ) qui a donné à l’armée les pleins pouvoirs y compris celui de torture!
Comme en 40, si la France gagne c’est grâce aux politiques, si elle perd on accuse les militaires et dans tous les cas les politiques s’exonèrent de leurs fautes ! Weygand l’avait compris qui refusa la capitulation.
Non, elle n’est pas finie: il suffit de voir le nombre de prisonniers dans nos rues.
Excellent et révolutionnaire article sur le sujet de la guerre d’Algérie
Comment distinguer dans le monde arabo musulman , révolte prétendue nationaliste et Djihad ?
C’est vrai aussi que l’URSS existait et mettait de l’huile sur le feu , Nasser le grand leader anti occidental et nationaliste , combattait son opposition islamiste(F. M . ) mais aussi les “conservateurs ” Arabie s. ou Yémen du sud et animait La ligue arabe .
Mais avec l’explosion démographique du monde musulman ( entre autres Egypte passant de 25 millions à près de 100 , idem de l’Algérie , du Maroc , de la Syrie ) et la chute du communisme qui appuyait les nationalismes , cette situation a totalement changé .
Pour autant , les dirigeants français (ou opposants OAS ) ne pouvaient pas ne pas se tromper .
Personne n’a pris la mesure , y compris Israel, de la bombe démographique musulmane , laquelle n’a pas explosé sur un lieu précis mais sa déflagration est ininterrompue et ses effets sont imprévisibles et nous submergent .
Comment cela va t il nous amener ?
le problème de la démographie musulmane est la conséquence de la caractéristique PRINCIPALE des populations (mâles) arabes, l’obsession sexuelle. Il est vrai que leurs interdits (causes ou conséquences) sont aggravantes.
Magnifique article, qui fait comprendre ce qui s’est passe d’une facon qui n’a jamais ete (de loin) aussi claire, et ce qui nous menace a present. J’ai particulierement apprecie le paragraphe suivant, qui va au-dela d’une explication:
“Il faut « privatiser » la pratique religieuse, seule manière de combattre l’Islam politique et son corolaire le terrorisme, comme le font les Chinois ou les Japonais.
Or, la politique actuelle a tendance à le « nationaliser » chaque jour davantage en en faisant une force politique incontournable.”
Article qui fait comprendre, a qui? a ceux qui lisent Dreuz, pas a la Grande France avec ses dirigeants imbecils, qui savent tout, et le grand Rien Combattre l`islam? aucune raison. Les mizilmons sont tellement gentils et pacifique. Au contraire, on va apprende l`arabe a l`ecole pour mieux comprendre le torchcoran avec les istructions du tuerie et terrorisme. Par malheure la France a toujour perdu, et va perdre encore, car le cretinisme prone
Constat très lucide de M. Touati.
Et je crois que si nos dirigeants ne voient pas que fondamentalement c’est d’une guerre contre l’islam conquérant qu’il s’agit, c’est qu’ils NE VEULENT PAS VOIR.
En d’autres termes, c’est surtout la lâcheté qui les caractérise. Guy Millière parlait tout récemment d’esprit de capitulation, de type pétainiste, chez Emmanuel Macron, je crois que c’est cet esprit qui est à l’oeuvre ; et que cet esprit de capitulation produira le même résultat : la défaite, la honte, l’asservissement.
Merci à Dreuz de continuer à nous informer, de telle sorte que nos compatriotes aient la possibilité, s’ils le veulent, de prendre conscience de ce qui se joue, et de congédier les dirigeants pétainistes actuellement en fonction ; de telle sorte que cette fois-ci, nous ne nous trompions pas de guerre et d’ennemi.
“Guy Millière parlait tout récemment d’esprit de capitulation, de type pétainiste, ”
Notez que Pétain et Weygand ne capitulèrent pas mais demandèrent l’armistice (qui est une suspension des combats). Ils gagnèrent du temps non sans prendre des lois ignobles mais dans le contexte de l’époque (toujours se mettre dans le contexte de l’époque et les systèmes de pensée), justifiées.Aujourd’hui tous nos politiques hésitent car il faut s’en prendre à une RELIGION et celle ci est animée par un nombre conséquent de divisions comme aurait dit Staline !
CHRONIQUE ALGERIENNE
1976
Mohammed
Mohammed lors de nos longs déplacements en voiture devient disert.
La promiscuité de l’habitacle partagé au milieu de nulle part, les yeux rivés sur le ruban d’asphalte qui serpente dans les immenses paysages des plateaux de l’Atlas, lui fait oublier nos différences. Les paysages traversés lui font remontés les souvenirs.
Mohammed a gardé de ses postes diplomatiques en Extrême Orient, récompense après l’indépendance de ses services d’ancien moudjahid, le goût de l’emphase et des discours châtiés.
Un ancien moudjahid, ce n’est pas un « résistant » au sens occidental du terme, comme notre presse nous le traduit et le donne à penser, mais un combattant de la foi, un fanatique lancé dans le djihad (guerre de religion). Un djihadiste donc, candidat au chaïd (martyr), pour qui, à l’aune du Coran, le crime le plus abominable est d’abord de ne pas être musulman.
Il me raconte SA guerre.
Il a rejoint le maquis lors de sa dernière année du secondaire, à Constantine.
Son premier test de moudjahid, la preuve de sa loyauté envers « la cause », envers l’Islam, il du l’accomplir peu de temps après son arrivée au maquis par sa participation à un attentat dans une paisible petite localité de l’est algérien sur la route de Guelma*1 : le mitraillage depuis les fenêtres d’une maison située face à l’église, des villageois au sortir de la messe dominicale. Parmi les victimes, toutes civiles, nombre de femmes et d’enfants.
En récompense, seul lettré de sa katiba, il reçu dès lors le rôle éminent de défendre le moudjahid accusé au sein même de la cellule combattante de n’avoir pas respecté strictement la charia.
Il m’explique maintenant doctement la peur des hommes devant l’égorgement.
Il me dit comment les hommes peuvent monter à l’assaut sans hésiter face aux balles et comment on peut se tenir les yeux ouvert face au peloton d’exécution*2
Mais insiste t’il, aucun homme ne peut accepter d’être égorgé sans résister ou tenter de fuir.
Il poursuit
« Au bivouac ceux qui n’ont pas respectés les consignes et les enseignements du prophète sont passés en jugement et la sentence est dite après avoir écouté mon avis sur la gravité de la faute ».
« Les groupes de moudjahidine se déplacent avec armes et bagages en permanence, cette mobilité étant notre meilleure sécurité. Aussi la fatigue le soir se fait sentir et le temps accordé au jugement est bref.
Moi-même, comme tous, je n’ai qu’une idée : m’allonger sur le sol et sombrer dans le sommeil que l’épuisement écrase sur nous ».
« Un compagnon d’armes a été pris à se masturber derrière un pin, ou à fumer*3, ou à chaparder une ration supplémentaire, il doit en répondre ! »
« Pour ces crimes, la sentence de mort est parfois prononcée. L’exécution, rituelle, est l’égorgement. L’avantage au maquis est qu’elle ne gaspille pas de cartouche et ne fait pas de bruit. »
La sentence est donc appliquée promptement pour que tous puissent enfin s’étendre !
« Le plus lourd, le plus costaud du groupe se tient derrière le condamné qui se recroqueville et baisse la tête sur la poitrine pour se protéger le cou. L’homme alors lui applique le chien d’un fusil sur l’arrête nasale, au droit des sinus. Il tire violemment avec ce levier la tête en arrière pour découvrir la gorge.
Ces hommes rudes ne relèvent jamais la tête avant que la cloison nasale ne s’effondre avec un craquement sinistre. Le bourreau peut alors trancher la gorge, d’une oreille à l’autre. »
« Allahou akbar ! »
*Notes :
1. Sans certitude car je ne m’en souviens plus suffisamment, ce village était peut-être El Khroub ?
2. Après l’échec de coup d’état des tankistes de Blida en 1967, en raison de liens de parenté avec le colonel Tahar Zbiri, il fut collé au mur pour y être exécuté. Finalement il fut épargné.
3. Fumer une cigarette était jugé comme un crime extrêmement grave, à plusieurs titres :
– La fumée (le jour), le bout incandescent (la nuit), étaient les risques pris de se faire repérer. Les mégots au sol, également une trace et donc un risque.
– Allumer une cigarette comportait le danger de bouter le feu au maquis, couverture indispensable à la guérilla.
– L’achat de cigarettes enrichissait directement l’ennemi, l’Etat Français par la régie des tabacs.
elle l’a bien dit avant hier juste avant de recevoir l’expert taffarin sur la séparation des pouvoirs selon notre pdt, pour rappeler les illuminations de notre pdt :”la guerre d’algérie a été un crime un crime contre l’humanité”.
La solution aux graves problèmes que crée la présence en France de tous ces aliens est pourtant simple : on fout dehors à grands coups de pieds dans le derche tous ceux qui n’ont pas la nationalité française, “intégrés” ou pas, et on conseille aux nationaux de se couler dans le moule républicain s’ils ne veulent pas être les suivants… Ce n’est pas aux français de s’adapter, c’est aux “visiteurs” !
La guerre d’Algérie dont la France est encore malade, n’est pas finie.
C’est le début du déballage. Tout le pus va sortir de l’abcès enkysté.
Déjà les Harkis se plaignent…avec raison. Pourrait-on ne pas les entendre ?
C’est pourquoi les livres et mémoires détaillés concernant cette période sont indispensables à connaître pour ceux qui n’ont pas vécu ces évènements capitaux.
Or dans les salons, on voit la désaffection du public pour les titres traitant de la guerre d’Algérie.
Ce paradoxe montre bien la perte de repères et de conscience politique et historique des Français. Non la guerre d’Algérie ne fut jamais terminée, et la censure des ouvrages écrits par des témoins clés ou des historiens ayant vécu les évènements sont si indispensables.
Et bien sûr, les documents et les témoignages illustrent cet article: l’islam est à la racine du rejet des européens d’Algérie qui fut aussi brutal que surprenant de la part des Berbères islamisés, donc des colonisés de l’islam.
Monsieur Touati,
Je vous félicite pour cet article qui dit enfin ! enfin ! ce que nous craignons depuis 50 ans. Rares étaient ceux qui avaient compris, en Algérie, que leur guerre était la Djihad et non une guerre d’indépendance. Parce que nous avons vécu avec les musulmans qui étaient autant visés et tués que nous : uniquement parce qu’ils n’étaient pas de bons musulmans ! Et non parce qu’ils étaient “du côté de la France”. Mais simplement que, à s’occidentaliser, ils rejetaient leur religion islamique. Ils tournaient le dos à l’islam.
Et, aujourd’hui, l’histoire se répète. On nous dit “pas d’amalgame”. Quelle erreur !
On oblige les Français à distinguer “les bons, des mauvais musulmans” selon une vision non musulmane, non islamique, puisque le Français européen n’est pas musulman. Donc, elle est complètement erronée. De ce fait, nous encourageons les islamiques (ceux que l’on dit à tort : islamistes) à imposer la loi musulmane, seule loi reconnue par eux, à tous les musulmans de France.
Et oui, s’ils persistent, il y aura un jour cette fameuse partition dont parlait l’odieux Hollande.
Une loi pour diriger et juger les musulmans et une loi pour les Républicains non-musulmans.
Monsieur Touati, votre magnifique article est très important pour moi. Il me montre que je ne suis pas seul dans se que je pense sur la guerre d’Algérie. Je suis un Français appelé “sous les drapeaux ” de fin 1959 jusqu’au début de 1962. Vingt huit mois dans l’Armée, dont 24 en Algérie dans l’Infanterie et un commando de chasse. J’ai donc vu et vécu beaucoup de choses. J’ai aussi beaucoup parlé avec mes Harkis et avec des Français d’Algérie. Longtemps après la guerre, j’en ai revu et côtoyé après en métropole. Tout ce dont j’ai été témoin m’a fait rejeter la version officielle, celle véhiculée par Benjamin Stora et acceptée par la classe dirgeante, l’Université et les Médias. J’ai trop d’anecdotes dans ma mémoire pour les raconter toutes, mais certaines parlent toutes seules. Un jour dans le bled nous avions capturé un drapeau algérien, avec une inscription en arabe. Un harki m’avait dit alors que c’était “du Coran “. Une autre fois un Européen originaire de Sétif m’a dit que quand l’ émeute de 54 avait commencé, les gens dans les rues ne criaient pas “indépendance” ou “liberté” , mais ” Djihad! Djihad”. Après j’ai lu quelque part que dans un de ses discours, Ben Bella s’était écrié : ” Ce que nous voulons c’est l’Islam, l’Islam, l’Islam”. Enfin, d’après un Français d’Oran capturé lors des massacres d’Européens du 5 Juillet 62, il a finalement été libéré par la décision ” d’un grand chef, supérieur aux officiers de l’ALN présents, et qui présidait mon procès habillé en religieux, avec seulement un Coran posé sur son grand bureau”. ( Je cite de mémoire)
G,race à votre article, je vois donc, M. Touati, que je ne suis pas seul à penser que le moteur véritable de ce conflit était, au fond, l’Islam… Vous avez raison, la Guerre d’ Algérie n’est pas finie. En fait une guerre avec l’Islam n’est jamais finie, puisque l’objectif final de l’Islam est de conquérir le monde entier. Elle ne sera finie que lorsqu’il aura réussi et que nous serons tous Musulmans ou Dhimmis, ou bien lorsque l’Islam se sera réformé pour devenir une religion comme les autres, ou bien lorsque l’Islam aura été éradiqué de la surface du globe.
Merci aussi à Dreuz d’avoir publié cet important article, qui m’a également permis, en lisant les commentaires de Fleur de Lys, Jacques Ady, Maujo, Danièle Lopez, Barakat et d’autres que nous étions quelques uns à avoir ces convictions. Si de nombreux Français partageaient notre point de vue, la situation ne serai pas aussi grave aujourd’hui.
Les Français qui été reconstruire en Arabie Saoudite, ont tous récités la chahada avant de rentrer dans le pays. Les militaires US ont été obligés de prendre leur base au Koweit, lors de la guerre en Irak, la Turquie n’a pas permis aux Américains de bombarder de leur territoire (en Irak et en Afghanistan), les bombardiers partaient de Londre. Ceci parce qu’ils étaient des Kouffars.
Tous ces accommodements font que ces pays musulmans ne tolèrent pas le non-musulmans. Alors lorsque c’est une occupation par des non-musulmans le coran est clair et la charia est force de loi. Cela soulève le jihadisme et même les tièdes muzz y on leur compte. La France a sous-estimé (?) l’islam, comme aujourd’hui sur son territoire, c’est de l’arrogance.
“Conséquence de cette funeste erreur d’appréciation, la France, prisonnière de cette croyance, a encouragé et soutenu le mouvement religieux.” A la décharge des généraux et militaires de cette époque, ils étaient imprégnés des manières d’agir des grands anciens tels LYAUTEY ou DE FOUCAULD qui admiraient cette religion. En avaient ils perçu la perversion ?
L’Occident est en guerre contre l’Islam depuis l’an 711, depuis les invasions Ommeyades, repoussées au 15e siècle, puis par les invasions Ottomanes, qui prirent fin avec le démantèlement de l’Empire.
Il a fallu démanteler et controler les terres islamistes pour qu’ils nous laissent en paix, une sorte de paix romaine (et tout comme Israel fait avec la menace palestinienne).
La grande erreur a été de prendre pitié pour eux, de considérer qu’ils étaient victimes de l’impérialisme européen, en se persuadant qu’ils sont nos amis. Eux ne se considèrent pas comme tels…
Maintenant, ils reviennent en force…
Mon père, disparu en 2011 était cadre moyen en Algérie.Il a partagé les bancs de l’école avec ses camarades algériens.Il a combattu avec ceux qui avaient choisi la France qui les a trahis.
Dès les années 80, il avait peur pour notre pays, craignant une prise de pouvoir des “frères” face à une crasse incompréhension métropolitaine de la mentalité nord africaine.Seuls les pieds noirs avaient compris et essayé d’alerter, ils ont été accueillis comme des “colons exploiteurs”par une population habilement propagandée.
Mon père aimait les arabes, a travaillé aux Telecoms avec eux mais les connaissait et il était respecté d’eux car ils savaient jusqu’où ne pas aller trop loin.Cela s’appelle le respect mutuel et un sain équilibre des forces.
“Poignez vilain il vous oindra, oignez vilain, il vous poindra”Maximes de Loysel 16ème siècle……
Merci à vous, Sydney TOUATI, brillant avocat, d’avoir le courage de rappeler que nos dirigeants politiques ne connaissent rien de l’islam tout en prétendant vouloir régler le sort de l’ islam alors qu’ils ignorent que les Arabes sont des adeptes de la “Ouma ” qui désigne le territoire du Peuple islamique sans frontière ayant pour vocation de s’étendre à la Planète toute entière par la conquête de nouvelles terres par la ruse et la violence “au nom d’Allah, le miséricordieux” .
Il manque cependant un rappel sur la colonisation du Maghreb qui n’a pas été entreprise pour des motifs mercantiles, comme le prétendent les Arabes, mais pour mettre en sécurité cette région aride, infestée de bandits et de pirates malfaisants qui écumaient la Méditerranée depuis plus de huit cents ans, en abordant les navires marchands pour voler leurs cargaisons, faire des incursions en France pour se livrer à des razzias, kidnapper des femmes et des enfants qui étaient revendus à Tunis, Alger et Rabat comme prostituées et comme esclaves.
Il ne faut pas oublier, non plus, que c’est grâce à l’Amérique qui envoyé des centaines de navires équipés de canons pour bombarder ces capitales Arabes que les musulmans ont cessé leurs razzias.
Cela, on n’en parle jamais et c’est dommage quand on voit l’ingratitude de Emmanuel Macron qui veut constituer une “armée européenne pour nous défendre contre les Etats-Unis alors que les Américains sont venus nous sauver plusieurs fois des Arabes et des Allemands; l’ignorance est le pire des maux disait La Fontaine et c’est toujours d’actualité…..
Intéressant. Mais …. Si les communistes n’avaient pas été si puissant en France, s’ils n’avaient pas été rejoint par les Jeanson, les Sartre & Cie pour soutenir les porteurs de valises, si le FLN n’avait pas reçu le soutien politique et matériel du bloc communiste, de Cuba, de la Chine populaire, si les intérêts de la France n’avaient pas été torpillés par l’avidité pétrolière américaine, si De Gaulle avait eu une autre vision de Monde et de la France, les choses se seraient passées très différemment. Et tout ce que je viens de dire plus haut a peu à voir avec l’Islam. Un soutien du FLN était le nationalisme arabe, dont Nasser était le champion. Or ce nationalisme était l’ennemi acharné des Frères Musulmans…
La montée en puissance de l’Islam me semble postérieure à l’indépendance algérienne et je la daterais de la guerre du Kippour puis de la révolution iranienne et enfin de l’effondrement du bloc communiste soviétique en Afghanistan.
Excellente analyse. Pour l’avoir expliqué en 1958 j’ai été expulsé d’Algérie. S’il ne s’était pas s’agit d’une guerre de religion, les Français d’Algérie auraient eu une chance de rester en Algérie et de poursuivre avec les Algériens une trajectoire brillante, mais “La valise ou le cercueil” était l’objectif des islamistes. Plus aucun chrétien ne devait rester en Algérie et ils ont gagné. Encore bravo !
“La religion musulmane demeure pure et sans tache” – aux yeux des gouvernements français (et européens). L’erreur est bien plus grave. Car l’islam n’est pas une religion, c’est une idéologie totalitaire maquillée en religion. L’erreur tragique qui a permis à l’islam de ravager une bonne partie du continent vient de là. Nombre de rectifications, de mises en garde ont été émises, y compris récemment, sans que quiconque ouvre les yeux sur cette vérité.
Il n’y a pas d’erreur tragique, il n’y a pas de cécité, ce “laxisme” est programmé de longue date. Il s’agit de briser les sociétés traditionnelles par le développement incontrôlable du multiculturalisme, il s’agit de préparer une gouvernance mondiale.
Bonne idée d’avoir rediffusé ce texte d’une brûlante actualité en 2023…