L’Université Brown (Rhode Island) a retiré de son site internet une étude scientifique selon laquelle les adolescents étaient plus susceptibles de devenir transgenres s’ils ont des amis qui étaient eux-mêmes en transition sexuelle, et s’ils étaient influencés par les vidéos YouTube et les médias sociaux.
Nous vivons une période de folie, où la gauche renoue sous nos yeux avec ses pratiques totalitaires.
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Ainsi, la communauté transgenre et transsexuelle a contraint l’Université Brown à supprimer une étude scientifique, car elle contredit le narratif imposé par les progressistes. Au Moyen-âge, l’Eglise brûlait les scientifiques pour sorcellerie lorsque leurs travaux contredisaient le dogme. La gauche a pris le pouvoir, et c’est elle maintenant qui supprime les travaux scientifiques qui la dérangent.
“L’apparition de la ‘dysphorie de genre’ semble se produire dans le contexte de l’appartenance à un groupe où un, plusieurs ou même tous les amis sont devenus ‘dysphores de genre’, ou identifiés transgenres au cours de la même période” dit la chercheuse en introduction de son étude.
En suggérant que la décision des jeunes de passer d’un sexe à l’autre est influencée par leurs amis et les médias sociaux, Lisa Littman, la chercheuse qui a mené son étude avec une rigueur scientifique impeccable, ne s’imaginait pas déclencher la colère de la communauté transgenre, réputée ouverte d’esprit et tolérante, qui n’a eu aucune hésitation à révéler les pires penchants haineux.
L’université a publié les travaux scientifiques de Lisa Littman (1), professeure de sciences comportementales et sociales, sur la dysphorie de genre à développement rapide chez les adolescents et les jeunes adultes, révélant que les étudiants et les jeunes qui envisagent une transition peuvent être affectés par leurs pairs.
Littman a mené son étude en affichant un sondage de 90 questions sur trois sites Web où les parents avaient signalé des signes rapides de dysphorie de genre. Les réponses ont été enregistrées de façon anonyme et 256 questionnaires remplis par les parents respectaient les normes de l’étude.
- 41% des enfants et jeunes adultes ont exprimé n’avoir aucune prédisposition non-hétérosexuelle avant d’être identifiés comme transgenres.
- Selon les résultats de l’étude, plus de 60% des adolescents transgenres ont reçu un diagnostic d’au moins un trouble de santé mentale ou une déficience neurodéveloppementale avant l’apparition de leur dysphorie de genre.
- Dans 36,8% des groupes d’amis mentionnés par les répondants, la majorité des membres sont devenus transgenres.
Après la publication de l’étude le 16 août dernier, l’université a reçu des commentaires insultants de la communauté transgenre, et a plié.
“Les membres de la communauté ont exprimé leurs préoccupations quant au fait que les conclusions de l’étude pourraient servir à discréditer les efforts visant à soutenir les jeunes transgenres et à invalider les perspectives des membres de la communauté transgenre”, a déclaré Bess H. Marcus, doyen de la Brown University School of Public Health, selon The Telegraph. Marcus a également dit que des membres de l’université s’étaient plaints.
Littman parle sans détour d’une “contagion sociale et par les pairs” dans son étude. Elle parle de “flambées de dysphorie de genre survenant dans des groupes d’amis préexistants, et suite à une exposition accrue aux médias sociaux/internet précédant l’annonce par un enfant d’une identité transsexuelle, et elle conclue à l’augmentation de la possibilité de contagion sociale et par les pairs”.
Littman note également que la contagion par les pairs joue un rôle dans d’autres maladies dysmorphiques du corps comme les troubles alimentaires.
Autant de constats que les activistes transgenres ont rejetés, car ils ont décidé qu’il n’existe qu’une seule vérité : la leur.
Des universitaires ont accusé l’université d’avoir cédé aux pressions des militants, après qu’elle eut retiré l’article de presse et le lien vers les recherches de Lisa Littman. Un tweet faisant la promotion du journal a également été supprimé.
“Brown et l’École de santé publique accordent une grande importance à la liberté académique et soutiennent nos chercheurs dans leur quête de connaissances et de découvertes. Nous sommes profondément attachés à la liberté d’enquête et nous appuyons également un débat rigoureux pour faire progresser la compréhension de questions importantes et complexes”, a déclaré le porte-parole de l’université Brian Clark pour justifier… la censure de l’étude.
“Nous sommes convaincus que les chercheurs ont la responsabilité d’être vigilants dans la conception et l’analyse de la recherche, surtout lorsqu’il y a des implications pour la santé des communautés au centre de notre recherche… C’est cette responsabilité – et non le sujet de la recherche – qui a éclairé la décision de retirer l’article”, a ajouté Clark.
Après la vague de protestation, l’université, pour couvrir sa couardise, a soutenu que “la conception et la méthodologie de recherche de l’étude étaient imparfaites” et que le retrait de l’article de la distribution était la “ligne de conduite la plus responsable”, a déclaré Clark à la Fondation du Daily Caller.
Le corps professoral et le personnel de l’université Brown sont “à la fine pointe de la recherche sur les populations transgenres et nous nous attendons à ce que cela continue d’être le cas à l’avenir”, a ajouté Clark, hypocritement.
L’étude avait été publiée dans “PLOS One”, la revue de l’université, qui a déclaré qu’elle assurera le suivi des préoccupations de l’université concernant la conception de l’étude et demandera les commentaires des experts sur la méthodologie de l’étude.
James Caspian, psychothérapeute spécialisé dans l’identité de genre depuis plus d’une décennie, et qui collecte des fonds pour un procès contre l’Université de Bath Spa qui a bloqué ses recherches sur les personnes qui ont décidé de faire marche arrière après avoir été transgenres, a déclaré :
“D’une certaine façon, mes travaux ont été censurés parce qu’ils allaient être critiqués, et il semblerait que [Littman] ait été attaquée après coup par des gens dont les conclusions de l’étude ne leur convient pas.”
Sur Twitter, beaucoup se sont prononcés contre cette délirante censure de travaux scientifiques.
Un tweet a particulièrement buzzé. Il dit :
“Des tentatives désespérées pour saper l’importante étude de Lisa Littman, incluant la diffamation des sites Web où les parents ont été recrutés, y compris l’affirmation ridicule que tout cela est fomenté par “l’extrême droite” qui veut “criminaliser” la transition sexuelle médicale.”
Le seul argument avancé par les activistes est en réalité toujours le même : extrême droite, racisme, et l’excitation des peurs et des instincts de protection pour inciter les gens à ne pas réfléchir.
Susie Green, directrice de l’association caritative britannique Mermaids qui soutient les jeunes transsexuels a par exemple sorti le joker raciste habituel par manque d’argument. Elle a déclaré :
“Comme l’a dit un collègue, un clinicien qui travaille dans ce domaine, [cette étude] est comme recruter sur un site web suprémaciste blanc pour démontrer que les Noirs sont une race inférieure.”
Toujours les mêmes salades, alors que depuis longtemps le public ne les avale plus. Toujours la même tentative de culpabiliser ceux qui ne pensent pas comme il faut, mais la culpabilité a cédé à la franche rigolade sur cette mauvaise farce qui n’a que trop duré.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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(1) journals.plos.org
(2) The Telegraph
Ce monde est devenu complètement fou, parce que les Peuples laissent faire les dirigeants corrompus à l’extrême, au lieu de se débarrasser de ces dirigeants, d’une manière ou d’une autre.
Nous courrons tous à la cata… parce que nous ne voulons pas prendre nos responsabilités et laissons faire, au lieu de dire STOP, ça SUFFIT comme ça… nos enfants sont nos enfants et non vos objets de plaisirs malsains!
Excusez moi le terme,mais des putains de bon articles comme sortis du film “Blade runner” pourtant affreusement la triste realité de nos jours. Des articles qu’on ne lira nulle part sauf dans cette galaxie” Blade runner” pourtant qui devient de plus en plus notre monde actuellement! En d’autres termes les temps ont bien changés et chaque jour qui passe nous apporte son lot de bizarreries qui tendent à devenir la realité de demain: La realité “Blade runner”
Chapeau Monsieur Grumberg!
la société (surtout anglo-américaine ) devient psychotique à force de créer des concepts tordus auxquels des gens adhèrent pour échapper à la responsabilité de leur sexe biologique (qui ne relève pas du hasard quand même) . L’idéologie du ressentiment LGBT et le marché des libidos à la dérive est tellement prometteur que l’on ne voit pas comment résister à leurs OPA à visage libertaire et christique ; Toute pulsion ( pathologique même perverse )se trouve légitimée du seul fait que “discriminer” la “victime ” devient condamnable . Vous inventez votre genre, c’est une alternative comme une autre mais c’est la société patriarcale conservatrice qui en est fondamentalement la cause ,et nullement la responsabilisation d’un individu sommé d’assumer ses choix , car là c’est nauséabond ; Et le pire, c’est que ça marche …. dans les médias ;
Dans la connerie, les démocrates Américains sont les rois….encore plus forts que nos socialos…qui s’en inspirent.
Transgenre ?? Passe d`un sex a l`autre ? La mode, Ca pas fini avec Obama???
Changer de genre à volonté – et puis quoi encore ? Il n’est vraiment pas besoin d’une étude ‘scientifique’ pour démontrer l’évidence, à savoir qu’il faut vraiment être abruti, que ce soit de naissance ou dû à un endoctrinement malsain, pour perdre son temps avec de pareilles sottises.
David Reimer et leurs autres victimes ne suffisent donc pas aux cuistres ignares, arrogants et/ou malhonnêtes qui peuplent les universités, les instituts de recherche et la médecine?
Complètement hors sujet.
Puisque vous êtes aux Etats-Unis, pouvez nous dire ce qu’il convient de penser du Trump Approval Index History du Rasmussen Report ?
Merci d’avance
Ce qui, en clair, voudrait dire qu’un jeune qui grandit dans un environnement de tarés et de dégénérés, a de grande chance de devenir taré ……. ça me semble logique
ils veulent détruire tout ce qui faisait la vie normale: la famille (bien qu’avec gide je peux dire parfois “famille, je vous hais”) religion (je suis athée d’obédience catholique) et surtout le sens critique etc.
Je n’ai pas lu, et ne compte pas lire l’étude, mais je voudrais implement souligner que les transgenres ont existés de tous temps, à toutes les époques et sous toutes les lattitude. Donc venir affirmer, si j’ai bien compris, avec la caution académique, que l’on devient transgenre par influence de ses petits camarades ou de son entourage me semble un peu court et excessivement limité, pour ne pas dire stupide. Il y a probablement des cas comme cela mais je pense qu’il s’agit d’une minorité très réduite. La caution académique ne protège pas que je sache d’écrire des stupidités. La Science en est pleine d’exemples. Par contre le fait de censurer est inexcusable. Ils auraient beaucoup mieux fait de répondre intelligement en relevant point par point les affirmations litigieuses.
@ Shirah
“Les ‘transgenres’ ont existé de tout temps”, vraiment? Présentez vos preuves, s’il vous plaît en commençant par nous expliquer pourquoi le mot ‘transgenre’ que vous utilisez n’a jamais existé auparavant dans aucune langue.
Atikva “« Les ‘transgenres’ ont existé de tout temps », vraiment?”
J’ai écris plus bas à ce sujet mais ne pas tomber dans l’excès inverse c’est bien aussi.
Pour commencer, génétiquement déjà un syndrome “ADS” (Anomalie de la Différentiation Sexuelle) apparaît pour un nouveau-né sur 10’000 environ, il n’y a aucune raison scientifique ni biologique pour que ce soit un phénomène récent.
Ensuite, il est évident qu’il y a toujours eu et il y aura toujours des gens en dehors de la norme sociale majoritaire, la sexualité n’est pas une exception.
On retrouve donc historiquement dans beaucoup de cultures des “transgenres” qui sont acceptés socialement comme les “berdache” chez les Indiens, des “hijras” en Inde antique, des “muxhe” chez les zapotèques au Mexique, les “Khanith” a Oman etc. etc.
Les “Khanith” par exemple peuvent avoir des relations homosexuelle, mais abandonner cette identité et avoir femme et enfants par la suite.
En Asie spécialement en Thaïlande, on retrouve les Katoï qui sont bien acceptés.
Enfin bref, depuis Pline l’Ancien, témoignages et preuves affluent dans l’Histoire concernant cette question de l’ambiguïté de genre pour un petit nombre de personnes.
Ça n’a rien à voir avec le bullshit des gauchistes, quoi qu’ils touchent ceux-là se transforme systématiquement en merde.
@ Ilmryn
What a lot of BS!
La clique gauchiste toujours à la recherche d’un nouvel élément de destruction de la civilisation occidentale se sert de l’ambiguïté génitale de naissance, constatée depuis toujours mais jamais exploitée auparavant – jusqu’à ce que des médecins du XXème siècle en quête de notoriété se soient mis à cultiver le sujet en se servant d’êtres humains comme cobayes, causant ainsi de nombreux drames et la mort de plusieurs de leurs victimes, dont David Reimer.
Il s’agit maintenant de nier la réalité du genre déterminé dès avant la naissance, de faire admettre, mieux : de mettre à la mode le changement de sexe à volonté comme s’il s’agissait de chirurgie esthétique ou de teinture de cheveux – sous couleur du bonheur de l’humanité, bien entendu, ce bonheur toujours élusif malgré la Déclaration des droits (sans devoirs) de l’homme.
Parce que la glorification des déviations sexuelles y compris l’inceste, l’utilisation de l’avortement comme contraceptif passé dans les mœurs, la poursuite de la sexualité dès la naissance (par des adultes, s’entend), la pratique de l’euthanasie niant le caractère sacré de la vie, tous ces ‘droits inaliénables’ ne suffisent pas à l’homme du XXIème siècle pour être heureux. En fait, les populations occidentales sont au contraire de plus en plus mal à l’aise dans leur peau, de plus en plus suicidaires, de plus en plus déséquilibrées. Il leur faut donc aborder, de gré ou de force, un nouveau volet de cette pseudo-libération qui les entraîne toujours plus loin dans l’absurde : le changement de sexe à volonté.
Il ne suffisait pas à la clique socialiste de priver l’homme moderne de son identité raciale, culturelle, historique et religieuse, elle milite maintenant pour lui faire perdre également l’identité de son genre.
Que leur restera-t-il d’autre à perdre si, God forbid, les Occidentaux se soumettent encore une fois à cette nouvelle sottise ?
Atikva: “La clique gauchiste”
Oui je les déteste aussi.
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41% des transgenres font des tentatives de suicide aux États-Unis et leurs lettres d’adieu font majoritairement référence à des problèmes affectifs et des conflits familiaux qui datent d’AVANT la transformation.
Ce que nous racontent ces lettres, c’est l’histoire de jeunes mal dans leur peau ou dépressifs à cause de problèmes familiaux (manque d’amour, rejet, violences) et à qui la gauche à fait croire que tous leurs problèmes venaient d’une “identité sexuelle contrariée.”
Le logos a un impact énorme sur la psyché humaine.
Et pour en rajouter une couche de malheur, fidèle à elle-même, la gauche y rajoute le pack “paranoïaque tous-des-fascistes”, ce qui fait beaucoup pour un jeune psychologiquement fragile.
Pour ces ados, il faut un psychologue et de l’écoute pour stabiliser le mal-être avant toute chose et pas une robe fluo assortie du sentiment que la terre entière est fasciste tout en niant le problème de base.
Et exactement comme pour le racisme, le militantisme agressif ne peut que rajouter des problèmes. Hurler au fascisme habillé en tutu fluo, c’est l’assurance d’être assez violemment rejeté… pour son comportement.
La sexualité est une chose intime qui n’a pas vocation à être jetée agressivement à la face des gens. Beaucoup de personnes ont des fantasmes homosexuel ou hors-norme sans que ça ne définisse en rien leur identité ou aie vocation à être expérimenté en vrai ou au grand jours.
@ shirah
Il a été démontré que le nombre des demandes de changement de sexe explosait à chaque fois qu’une émission télévisée consacrée aux transsexuels était diffusée.
Je me posais la question suivante: comment se fait-il qu’ils y en ai autant ? Et surtout comment ils se reproduisent…Maintenant j’ai la réponse.
Bonjour. 1 Corinthiens 6.9-12 Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point le royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, (ni les efféminés), ni les infâmes, 10ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n’hériteront le royaume de Dieu. Deutéronome 22.5 Une femme ne portera pas un habillement d’homme, et un homme ne mettra pas un manteau de femme : quiconque fait cela est une abomination pour le SEIGNEUR, ton Dieu.(Bon, sans vouloir juger, il faut quand même que ces personnes prennent conscience de ce qui pourrait être pour elles…un peu plus tard… Une nouvelle fois le malin fait son chemin à travers ceux et celles qui lui donnent un RDV au coup du lapin…
Là ou c’est très grave, c’est que 41% des transgenres font des tentatives de suicide aux États-Unis et loin d’être le résultat d’une supposée “homophobie” de la “méchante société”, les lettres d’adieu font majoritairement référence à des problèmes et conflits familiaux.
Cette mode débile fait croire à des ados ou jeunes adultes, en détresse psychologique que ce n’est qu’une question de “genre” et qu’ils retrouveront le bonheur quand tout le monde aura accepté leur nouvelle identité d’armoire normande.
Rien n’est plus faux dans la majorité des cas.
Au lieu de traiter un problème, la plupart du temps affectif et familial comme le rejet, le manque d’amour, de communication, la personne part dans des délires quasi-religieux “d’identité sexuelle véritable”, nie ses problèmes et perd tout repère social et familial.
Là ou il aurait fallu un psychologue et de l’écoute, la gauche lui offre une robe, un sentiment paranoïaque de rejet de la “société” et la quasi-certitude de couper toute communication avec sa famille.
En 2018, rare sont les gens qui s’offusquent encore de l’orientation sexuelle d’une personne, pourvu qu’elle soit bien assumée et normalement discrète, en gros tous le contraire du militantisme agressif et insultant de la gauche qui ne peut que susciter un rejet… qui sera pris comme preuve de “l’homophobie de la société”.
Il ne reste plus beaucoup d’homophobe véritable chez les occidentaux. Par contre un sondage montre que 52% des musulmans anglais déclarent vouloir interdire l’homosexualité.
https://edition.cnn.com/2016/04/11/europe/britain-muslims-survey/index.html
Quand les pédés font la loi, c’est VOUS qu’ils enculent.
Une bonne partie du problème vient hélas du corps médical, qui a méconnu un certain nombre de concepts fondamentaux de la psychiatrie.
Les médecins qui ont tenté de prendre en charge le problème du transsexualisme méconnaissent le concept du délire, qui est une croyance pathologique parfaitement décrit par le psychiatre et philosophe Karl Jaspers, lequel a été le premier à définir trois principaux critères de délires, dans son ouvrage de 1913 intitulé « General Psychopathology ».
Ces critères sont :
– le fait d’être sûr de cette croyance tenue avec une conviction absolue ;
– le fait que la croyance ne puisse pas être changée par des contre arguments convaincants ou par la preuve du contraire ;
– la fausseté ou l’impossibilité de la croyance.
Le transsexualisme, qui est la conviction absolue d’être du sexe opposé à son sexe réel correspond en tous points aux critères de cette définition du délire.
Mais, me dira t-on, les transsexuels, mis à part cette conviction pathologique, sont tout à fait normaux par ailleurs, et n’ont aucun autre délire dans aucun autre domaine de leur vie psychique.
Il est vrai que dans la plupart des cas, les patients délirants ont un fonctionnement psychique envahi par de nombreuses idées bizarres ( je me souviens d’une patiente qui me consultait pour que je fasse disparaître les méchants vietnamiens qui, disait-elle, remplissaient son estomac, ou pour que je la débarrasse des petites plumes qui, selon elle, poussaient dans son dos. )
La nosologie psychiatrique du dix-neuvième siècle reconnaissaient pourtant des symptômes délirants strictement isolés, chez des gens parfaitement adaptés à la réalité par ailleurs : on appelait cela à l’époque « monomanie » ou « idée fixe » . En dehors de cette idée fixe, les gens qui en sont atteints ont un comportement parfaitement normal. Il est dommage que cet utile concept de monomanie ait été abandonné par le DSM IV…
L’idée qui monopolise l’esprit de quelqu’un qui, à tort, est persuadé d’être du sexe opposé au sien est l’archétype d’un délire à type d’idée fixe.
Or, depuis fort longtemps, un des principes de base du soin médical dispensé aux malades mentaux est qu’il ne faut jamais cautionner le délire du malade.
En proposant des « traitements » hormonaux ou chirurgicaux pour “soigner” le symptôme délirant qu’est l’idée d’appartenir au sexe opposé, les psychiatres ont méconnu cette règle de base et donc se sont fourvoyés dans une impasse conceptuelle. Ils transforment des hommes normaux affligés d’une idée fixe en pseudo-femmes stériles dans tous les cas, et frigides ou anorgasmiques dans l’immense majorité ( ou la totalité ) des cas. A noter que ces hommes transformés en pseudo-femmes gardent leur idée fixe puisqu’ils restent persuadés d’être des femmes comme les autres ! Il n’ont donc pas été guéris de leur idée fixe par leurs « traitements », ce qui témoigne de l’ inutilité médicale de ceux-ci …
Que deviendrait le monde si, pour les guérir, l’on confiait les rênes du pouvoir à tous les délirants qui se prennent pour Napoléon ou si l’on faisait entrer à la DGSE tous ceux qui sont persuadés d’ être espionnés par les services secrets Nord-coréens ?
Faut-il éradiquer toutes les araignées du monde pour que les nombreux patients arachnophobes puissent vivre une vie heureuse et sans stress ?
docdory a écrit : “En proposant des « traitements » hormonaux ou chirurgicaux pour « soigner » le symptôme délirant”
J’ai écrit plus haut sur la dérive des gauchistes qui engendre 41% de tentative de suicide chez les “transgenres”.
Mais en dehors des conneries des gauchistes qui font systématiquement de la merde avec n’importe quel sujet, les vrais transgenres ne “croient” pas qu’ils sont des femmes, ils savent parfaitement que ce n’est pas leur vrai sexe biologique.
Ils se “sentent” plus femme, la différence est fondamentale, ça n’a rien d’un “délire psychotique”.
La biologie engendre une énorme diversité autour de la “norme”. Mêmes sur la base d’une génétique sexuée (qui échoue dans 1 cas sur 10’000 naissances), tous les équilibres hormonaux existent, il n’est pas du tout étonnant qu’une minorité des gens aient une sensibilité plus “féminine” et ça existe depuis des milliers d’années.
Vu votre prose, je ne crois pas un seul instant que vous soyez réellement médecin (j’ai un bachelor en biologie, j’en ai fréquenté un certain nombre en devenir) et c’est tant mieux, sinon vous seriez très inquiétant.
La mythomanie dans le cadre de l’anonymat d’internet rentre dans vos critères de “traitements chimique” ?
@Immryn
Oui, je suis médecin, et donc j’applique un des principes de bases de la médecine qui est “primum non nocere” ( d’abord ne pas nuire ). Or, j’estime que les “traitements” donnés aux transsexuels leur nuisent : les hormones peuvent provoquer des maladies cardiovasculaires ( infarctus, AVC , j’ai déjà vu le cas), et par ailleurs, priver quelqu’un de ses organes génitaux en parfait état de marche pour ensuite lui fabriquer chirurgicalement un pseudo-vagin, c’est encore plus lui nuire.
On doit donc avoir le courage d’admettre que certaines maladies mentales, comme le fait de s’estimer du sexe opposé à son sexe, sont incurables.
Il est donc du devoir du médecin d’informer son patient de l’incurabilité de sa condition mentale dans l’état actuel de la science et de vivre avec, sans lui faire croire à des traitements illusoires et dangereux tels que des opérations de “changement de sexe” …
Si un patient transsexuel venait me consulter pour changer de sexe, je me bornerai à lui faire part de son incurabilité, du danger qu’il court avec les marchands d’illusions, et à lui conseiller de s’adapter à la réalité en appliquant la philosophie ” quand on a pas ce que l’on aime, il faut aimer ce que l’on a ! ”
Par ailleurs ou avez-vous lu dans mon commentaire que je préconisais des traitements chimiques pour les personnes transsexuelles ? Cela n’aurait aucune efficacité. Les médicaments antipsychotiques sont efficaces dans les psychoses, mais pas dans les “idées fixes”, qui sont au delà de toutes ressources thérapeutiques !
docdory dit “Oui, je suis médecin”
Même si je suis parfaitement en accord avec certaines éléments de votre deuxième message, vous mélangez différent niveaux de diagnostiques et de traitements, tordez les mots pour faire rentrer assez violemment toutes les dysphorie de genre dans le même moule, méconnaissez les résultats des études sur les traitements chimiques, méconnaissez les conclusions et recommandations de l’APA et votre bibliographie de référence date du siècle où on torturait les malades mentaux.