Publié par Jean-Patrick Grumberg le 21 septembre 2018

Sur Netflix, la série TV Shooter est une intrigue criminelle destinée à faire nommer un juge à la Cour suprême. Meurtres, menaces, mensonges, chantages, espionnage, tous les moyens sont bons pour faire élire “l’homme au poste le plus puissant des Etats-Unis”.

Ryan Phillippe interprète Bob Lee Swagger, un ancien tireur d’élite recruté pour empêcher l’assassinat du président américain, qui veut faire obstacle à la nomination, par un petit groupe de pression très puissant, de celui qui possédera le pouvoir suprême aux Etats-Unis : le juge à la Cour suprême.

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Avec la nomination de Brett Kavanaugh, le second juge constitutionnalise choisi par le président Trump, nous vivons en direct la série Shooter.

Le juge à la Cour suprême choisi par Trump va fortement entraver la guerre culturelle progressiste livrée par l’extrême gauche pendant au moins les trente ans qui viennent. Ils ont tout à perdre, alors ils sont prêts à tout.

La gauche considère qu’elle seule a un droit légitime à posséder le pouvoir, parce qu’elle seule incarne le bien et la vertu – toute autre option est anti-démocratique. Ne me croyez pas, Obama a encore laissé entendre la semaine dernière que Trump représente une menace pour la démocratie.

Ce que la gauche fait sous nos yeux pour reprendre le pouvoir, et que je m’apprête à vous montrer en vous dévoilant ce que vos médias ne vous disent pas, est spectaculairement abject.

Six enquêtes du FBI

Au cours de sa carrière, la vie du juge Brett Kavanaugh, 53 ans, a été passée six fois au crible par le FBI, en raison de ses précédents postes :

  • 5 ans à la Maison-Blanche sous l’ancien président George W. Bush.
  • 12 ans à la Cour d’appel des États-Unis à Washington.

Et le FBI n’a jamais vu le moindre indice concernant des problèmes de comportement de Kavanaugh vis-à-vis des femmes.

Mais pour les médias, qui qui divisent le pays en accusant la droite de le diviser, Kavanaugh est coupable sans procès. Et gare à vous, si vous évoquez le droit de Kavanaugh à se défendre.

Une accusation suspecte

Au mois de juillet, la sénatrice de Californie Dianne Feinstein reçoit une lettre d’une femme qui affirme avoir été victime de harcèlement sexuel il y a près de 40 ans, alors qu’elle avait 15 ans. Et que l’auteur est Kavanaugh. Dianne Feinstein dit que l’accusatrice ne veut pas divulguer son nom, ne veut pas que sa lettre circule, ne veut pas témoigner.

  • Si elle ne veut pas témoigner, si elle refuse que sa lettre soit divulguée, quel était son objectif en écrivant à Feinstein ?
  • Entre juillet et août, le juge Kavanaugh a été auditionné par le Sénat, il a été mis sur le grill par les Démocrates (l’un d’eux a même coupé le début d’une déclaration publique de Kavanaugh pour lui faire dire, concernant l’avortement, des choses qu’il n’a pas dites). Pourquoi Feinstein ne l’a-t’elle pas publiquement questionné sur cette grave accusation ?
  • Feinstein a eu plusieurs échanges en tête à tête et en privé avec Brett Kavanaugh. Pourquoi n’a-t-elle jamais abordé la question ?

Peu importe, les journalistes ont décidé que Kavanaugh est coupable. Et vous êtes complice d’agression sexuelle si vous osez les contredire.

L’identité de l’accusatrice est révélée

Alors que les auditions sont terminées, et que le juge Kavanaugh doit être très prochainement confirmé à la Cour suprême, Feinstein, il y a une semaine joue son va-tout pour faire dérailler la nomination du juge : elle révèle l’identité de celle qui lui a écrit, ainsi que le contenu de la lettre.

On apprend que celle qui se dit victime de l’agression sexuelle s’appelle Christine Blasey Ford, une professeure dans un bastion gauchiste du nord de la Californie, et elle-même Démocrate anti-Trump.

On apprend qu’elle ne se souvient plus ni quand ni où l’agression s’est produite, ni ce qu’elle a fait après, sauf qu’elle dit n’en avoir jamais parlé à ses parents. Dans ses souvenirs, elle, Kavanaugh et un autre adolescent auraient bu, et elle dit avoir été seule en présence des deux autres. Elle dit que Kavanaugh ne l’a pas violée.

On apprend que Ford a évoqué le sujet lors d’une consultation chez un psychologue familial en 2012. Dans ses notes, le psychologue a écrit qu’il y avait quatre autres garçons dans la pièce. Ford a déclaré qu’il s’est trompé.

On apprend qu’en août, Ford a pris une avocate pour se défendre, Debra Katz, une activiste gauchiste, féministe extrémiste, qui milite entre autres dans une organisation financée par George Soros. Et Katz a fait prendre à Ford un polygraphe pour attester qu’elle ne ment pas.

Si Ford dit en juillet qu’elle ne veut pas révéler son identité et qu’elle ne veut pas témoigner, pourquoi prend-elle un avocat en août, et pourquoi passe-t-elle un polygraphe ?

Rien de tout cela n’a d’importance, les Démocrates ont décidé que Kavanaugh est coupable.

Le coup de vice

En disant qu’elle ne se souvient plus ni de l’année exacte, ni du lieu où les faits allégués se sont produits, l’accusatrice retire à Kavanaugh toute possibilité de se défendre. Comment voulez-vous qu’il apporte les éléments de preuve qui prouvent où il se trouvait à ce moment-là s’il ne sait pas quand les faits qu’on lui reproche se sont produits ? C’est une manœuvre extrêmement vicieuse et dangereuse : que peut-il répondre pour sa défense ? “Je n’étais pas là” ? Il ne peut pas, puisque la date est inconnue !

Puis en contestant le rapport de son psychologue qui rapporte qu’il y avait 4 garçons et non 2 dans la pièce, elle réduit le nombre de personnes qui pourraient témoigner contre elle. Elle affirme qu’il y avait un seul témoin. Ce dernier a d’ailleurs formellement nié que les faits se sont produits.

Audition de Christine Ford : viendra…viendra pas

L’avocate de Ford a tenté un coup de bluff et mis le Sénat au défi d’inviter sa cliente à témoigner. Mais lorsque le Sénat a accepté la proposition et invité Ford, cette dernière a fait marche arrière, et déclaré qu’elle ne viendrait que lorsque le FBI aura enquêté. Pourquoi ? Parce qu’elle sait que l’affaire n’est pas du ressort du FBI. Le FBI a d’ailleurs confirmé lundi 17 septembre que ce n’est pas un crime fédéral. L’agence n’a pas autorité pour traiter les affaires qui ne concernent que les Etats, et elle n’a pas d’éléments pour enquêter sur une accusation qui date de près de 40 ans, et dont les détails sont si vagues.

Et le FBI a déjà refusé d’enquêter lorsque Dianne Feinstein lui a envoyé une copie de la lettre de Ford il y a une semaine.

Lundi, le personnel du Comité judiciaire du Sénat a convoqué et interrogé le juge Kavanaugh sur cette affaire. Les Démocrates étaient invités et ils auraient pu poser n’importe quelle question au juge. Ils ont refusé de participer.

Dans une nouvelle lettre adressée mercredi à l’avocate de Ford, Chuck Grassley, président de la Commission judiciaire du Sénat, a déclaré qu’il espérait que Ford comparaisse.

Vous avez répété à maintes reprises que le Dr Ford veut raconter son histoire”, a écrit Grassley à son avocate. “J’espère sincèrement que le Dr Ford acceptera mon invitation, en privé ou en public, lundi.

Depuis mercredi, la Commission d’enquête du Sénat s’est pliée en quatre pour accommoder Christine Ford afin d’entendre son témoignage : il a proposé à son avocate une audition privée. Refusée. Une audition publique. Refusée. Il a proposé d’envoyer une équipe rencontre Ford n’importe où aux Etats-Unis. Refusé…

Finalement, dans un email obtenu hier jeudi soir par le Washington Post, Christine Ford refuse définitivement de participer à l’audition du Comité d’enquête judiciaire du Sénat lundi prochain. Son avocate a dit qu’elle acceptera peut-être une audition future, aux dates de son choix, et si ses conditions sont remplies.

Les Démocrates, qui exigeaient que Christine Ford soit entendue par le Sénat, tentent de temporiser maintenant que le Sénat l’a prise à son propre bluff.

Sur Twitter, le commentateur conservateur Peter Hasson écrivait :

“Est-ce que je me trompe, ou est-ce que le message des Dems est passé de “il faut entendre ce qu’elle [Christine Ford] a à dire” à “comment osez-vous demander à entendre ce qu’elle a à dire“.

Aux dernières nouvelles, l’avocate de Ford réclame de nouvelles conditions pour que sa cliente accepte de se présenter devant le Sénat, et la condition est que Kavanaugh témoigne en premier ! La gauche crache sur le processus judiciaire pour avancer. Sauf dans les procès politiques soviétiques, c’est celui qui accuse qui doit parler le premier. Et à l’accusé ensuite de se défendre. De quoi Kavanaugh peut-il se défendre, que peut-il déclarer, s’il ne sait pas ce que Ford va dire ?

Finalement, Feinstein, par qui toute l’affaire est arrivée, a déclaré qu’elle n’est pas certaine que la totalité des faits rapportés par Christine Ford soit vrai…

Feinstein a dit publiquement que Ford :

“Est une femme qui a été, je pense, profondément influencée sur ce point… Je ne peux pas dire que tout est vrai. Je ne sais pas.”

Le seul “témoin” de l’agression se rétracte

Une ancienne camarade de classe de Christine Blasey Ford a dit à NPR (National Public Radio) qu’elle ne sait en réalité pas si Brett Kavanaugh a sexuellement agressé Ford comme elle l’avait d’abord suggéré sur Facebook.

“Que ce soit arrivé ou non, je n’en ai aucune idée”, a déclaré Cristina King Miranda à Nina Totenberg de la NPR. “Je ne peux pas dire qu’il l’a fait ou pas.”

C’est un virage à 180 degrés par rapport à ce que Miranda a écrit mercredi sur Facebook dans un message – maintenant supprimé – qui disait avec certitude : “L’incident s’est produit, beaucoup d’entre nous en ont entendu parler à l’école”.

“Dans mon message [sur Facebook], j’ai été trop vite en besogne, j’étais sûre que cela s’était probablement produit”, a dit Miranda à NPR. “Je n’avais aucune idée qu’il faudrait que j’aille raconter les détails et que je les défende devant 50 chaînes du câble et que mon visage serait diffusé sur MSNBC et Twitter.”

Miranda a ajouté sur Twitter qu’elle n’avait en réalité pas “été témoin directe” de l’incident, et que le personnel de la Commission judiciaire du Sénat l’avait contactée, ce à quoi elle ne s’attendait pas. Elle a dit qu’elle n’accorderait pas d’entrevue au Comité si on le lui demandait.

Mais Kavanaugh est coupable, puisqu’il est accusé.

L’avis de l’expert

Une procureur spécialisée dans les affaires d’agressions sexuelles a expliqué sur Fox News que dans les cas où la seule preuve dont elle dispose est la parole de l’un contre la parole de l’autre – comme ici – elle se concentre sur deux points pour savoir si la plainte de la victime est plausible :

  1. La qualité et la quantité de détails que rapporte la victime, et si elle se contredit dans son récit. Dans le cas présent, la victime ne se souvient ni de l’année, ni du lieu exact, ni du nombre précis de personnes présentes, ce qui, explique la procureur, ne plaide pas en sa faveur.
  2. Le motif : la victime a-t-elle un motif à mentir, à avoir inventé toute l’histoire pour nuire à celui qu’elle accuse. Là encore, le fait que la victime soit une Démocrate anti-Trump, qu’elle ait choisi pour avocate une activiste des causes féministes, que les Démocrates soient hystériques à l’idée qu’un juge constitutionnaliste puisse être nommé, qu’ils aient tout tenté, en vain, y compris le mensonge pour lui faire barrage, et que l’accusation tombe comme par hasard tout à la fin des auditions du juge Kavanaugh, ce qui permettrait d’empêcher sa nomination avant les élections de mi-mandat, voire même toute nomination par Trump d’un juge conservateur si le Congrès passe aux mains des Démocrates, laisse peser sur toute l’affaire un soupçon fort sur la motivation de la victime.

La conjugaison de ces deux éléments, explique la procureur, fait qu’elle est certaine de perdre devant un juge si elle devait défendre cette affaire.

Mais les journalistes, sans avoir rencontré ni l’un ni l’autre, sans avoir été témoins de l’affaire, ils “savent” que Ford dit vrai et que Kavanaugh ment. Evidemment.

Un candidat Démocrate en vue, accusé de harcèlement sexuel. Sa victime traînée dans la boue par le parti.

Keith Ellison est la star montante du parti Démocrate : pro-palestinien, antisémite, noir et radical.

Vice-président du Comité national démocrate, il est candidat au poste de procureur général pour l’Etat du Minnesota.

Il est accusé d’agressions et violences par une femme qui, contrairement à Ford, en a apporté les preuves, les témoignages, une vidéo même.

Le parti Démocrate et les médias, qui hurlent au scandale dans l’affaire Kavanaugh, crient que Trump piétine les valeurs de l’Amérique, sont à deux doigts de s’évanouir à l’idée que le candidat à la Cour suprême est forcément un violeur, et que les Républicains sont des monstres “indifférents au sort des femmes violées” refusent d’en parler, et traînent l’accusatrice dans la boue.

Sa compagne Karen Monahan, qui travaille au sein du parti Démocrate, a accusé Keith Ellison de violence sexuelle le mois dernier, et elle a réitéré ses allégations.

Monahan a tweeté lundi que les Démocrates ne l’ont pas soutenue dans ses accusations d’Ellison, alors qu’ils jurent qu’il faut accorder la plus grande importance aux témoignages des femmes qui déclarent avoir été agressées par des hommes.

“J’ai été calomniée, menacée, isolée de mon propre parti. J’ai fourni des dossiers médicaux à partir de 2017, en montrant deux visites différentes chez mon docteur. Je leur ai parlé de l’abus et qui l’a fait. Ma thérapeute a publié des dossiers indiquant que j’ai été victime de violence et que j’ai guéri”, a-t-elle écrit sur les médias sociaux.

“Quatre personnes, y compris mon superviseur de l’époque, ont déclaré que je suis venue les voir après et leur ai raconté l’histoire exacte que j’ai racontée publiquement, que j’ai montré plusieurs messages échangés avec Keith, où j’ai parlé avec lui de sa violence et bien plus encore. Comme je l’ai déjà dit, je savais qu’on ne me croirait pas.”

Une autre femme, qui a eu une liaison avec Ellison en 2006, alors qu’il était marié, a porté une accusation similaire contre lui. Amy Alexander a accusé le représentant de l’avoir agressée. Elle a déposé plainte au tribunal, et Ellison a reçu une injonction de ne pas approcher Alexander.

La plupart des principaux leaders Démocrates n’ont pas fait le moindre commentaire au sujet des accusations portées contre le représentant du Minnesota, les mêmes qui demandent la tête de Kavanaugh sans procès. Et les dirigeants Démocrates du Minnesota continuent à soutenir Ellison.

Mais puisqu’on vous dit qu’aux Etats-Unis, ce sont les médias sociaux et la télévision qui sont en charge de faire les procès, et décident de qui est coupable… lorsque l’accusé est de droite.

Conclusion

Les Démocrates ne veulent surtout pas connaître la vérité dans cette affaire. Ce qu’ils veulent, c’est condamner Kavanaugh. Leurs hommes de main, c’est à dire les journalistes, font un tapage cacophonique gigantesque afin qu’aucun autre message ne soit audible.

Quand l’accusation de Ford a été révélée, le président Trump a déclaré :

“Nous devrons prendre une décision sur l’avenir de Kavanaugh si l’accusateur donne un témoignage crédible”.

Comment croyez-vous que la presse a commenté cette déclaration ? Elle a accusé Trump de couvrir Kavanaugh, d’être un agresseur sexuel lui-même, et de n’avoir que du mépris pour les femmes.

Trump a ajouté :

“Si elle [Ford] se présente, ce serait formidable. Si elle ne vient pas, ce serait malheureux.”

Là, les médias ont dit que Trump a quelque chose à cacher, qu’il ne veut pas que Ford témoigne.

Move.org, l’organisation extrémiste de George Soros, vient de réaliser une campagne publicitaire où le juge Kavanaugh est présenté comme un monstre.

Dianne Feinstein, la Démocrate qui a tout manigancé, je le disais plus haut, affirme maintenant qu’elle n’est pas certaine que la totalité du récit de Ford soit vrai.

Tout ceci, ajouté au fait que les médias et les politiciens Démocrates ont condamné Brett Kavanaugh sur une simple accusation, sans lui accorder la moindre présomption d’innocence, est la démonstration de l’esprit totalitaire le plus vil qui anime les Démocrates.

Cependant les Républicains se sont couchés, ils ont cédé au chantage, en repoussant la date de confirmation de Kavanaugh pour entendre les positions de l’un et de l’autre.

Ainsi, ils participent à la création d’un terrible précédent : il suffira aux Démocrates d’accuser n’importe quel Républicain de harcèlement sexuel avec des “preuves” aussi minces que cette affaire pour le détruire.

Comme ils n’ont pas trouvé d’argument pour contrecarrer Kavanaugh, les Démocrates tentent de le démolir avec des calomnies. Ils n’ont pas hésité une seule seconde à détruire sa vie, sa famille, sa relation avec ses filles et sa femme pour arriver à leurs fins : reprendre le pouvoir, parce qu’il doit leur revenir.

Et les Républicains n’ont pas protégé Kavanaugh, ou mollement. Ils sont pour moi plus vils encore que les Démocrates, car eux au moins, ils ont un but.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Sources :

https://www.cnbc.com/2018/09/13/dianne-feinstein-refers-letter-on-supreme-court-nominee-kavanaugh-to-feds.html
https://www.npr.org/2018/09/20/649787076/kavanaugh-accuser-classmate-that-it-happened-or-not-i-have-no-idea


https://newrepublic.com/minutes/151308/senate-republicans-rule-fbi-investigation-brett-kavanaugh

The Latest: FBI confirms it received Kavanaugh information


http://www.foxnews.com/opinion/2018/09/18/laura-ingraham-ive-known-kavanaugh-for-25-years-if-this-can-happen-to-him-tremble-for-our-country.html

BREAKING…Christine Blasey Ford Is Brett Kavanaugh’s Accuser


https://townhall.com/tipsheet/mattvespa/2018/09/18/feinstein-on-kavanaugh-accuser-i-dont-know-if-shes-being-truthful-n2520256
https://www.newsweek.com/accuser-reiterates-abuse-claims-against-keith-ellison-1129202
http://www.foxnews.com/politics/2018/09/19/republicans-push-to-move-ahead-with-kavanaugh-vote-if-accuser-christine-blasey-ford-declines-to-testify.html

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