Publié par Dreuz Info le 22 septembre 2018

Valeurs Actuelles, dans sa livraison du 19 septembre relayée par d’autres médias, nous apprend que « Le député musulman Mustapha Laabid (LREM), d’origine marocaine, a obtenu que la colonisation de peuplement [des jeunes mineurs marocains délinquants NDLR] soit supervisée à Roazhon (Rennes) par la police du Maroc. » 

Selon lemondepolitique.fr, qui cite la constitution française, « Aux côtés du président de la République, les ministres assurant les pouvoirs régaliens de l’Etat doivent, eux aussi, rester dans leurs fonctions durant un temps relativement long, comme le devrait faire notre ministre de l’Intérieur. Notons cependant au passage que ce dernier, s’il a encore les pieds place Beauvau, a déjà sa table quotidienne et sa serviette réservées dans les meilleurs bouchons lyonnais, pour un retour prévu dans la Capitale des Gaules. Les droits régaliens, pouvoirs régaliens ou fonctions régaliennes, du latin jura regalia, désignent donc certaines « marques de souveraineté » dont dispose l’État parmi d’autres. L’une des plus importantes étant la sécurité intérieure (police et justice). »

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L’heure est grave ! Avec la venue sur notre sol de policiers étrangers pour rétablir l’ordre, nous assistons à un déni de souveraineté des plus évidents. Confier des tâches policières aux effectifs officiels d’un état de droit musulman comme le Maroc, dont les règles politiques et sociétales sont à des années lumières des nôtres, consiste à abandonner le pays faute de savoir le gérer.

Rennes, Calais, et Paris dont on nous dit que l’expérience est fortement engagée, car « depuis la mi-juin, des agents des ministères marocains de l’Intérieur et des Affaires sociales collaborent avec les policiers français ». Résultat, ici comme dans d’autres villes françaises, d’une gestion municipale loufoque et dangereuse confiée à des personnels incompétents, guidés par une idéologie françophobe ! Depuis la mi-juin, donc, des agents des ministères marocains de l’Intérieur et des Affaires sociales collaborent avec les policiers français pour aider à identifier « ces jeunes en errance dans les rues » du 18e arrondissement de Paris, souligne Mustapha Laabid. « Car une des difficultés est de déterminer d’où viennent ces jeunes. Ces policiers marocains pourraient également être amenés à travailler à Rennes. « Ponctuellement », insiste le député. » Jeunes ou pas, ponctuellement ou pas, il ne reste pas moins que l’on demande à des forces de police étrangères de faire le travail à notre place. Quant aux « jeunes », on sait ce que ce vocable emporte de tromperie sur la qualité des individus.

Deux hypothèses alors. Soit le gouvernement avoue son incapacité à gouverner le pays dans le cadre strict de ses fonctions régaliennes, (notamment mais pas seulement) en baissant les bras devant un ennemi présent à l’intérieur de nos frontières qu’il ne veut pas nommer ; soit les forces de police refusent de faire le travail, impuissantes parce que durement « cadrées » par une hiérarchie aux ordres du pouvoir.

Dans les deux cas, nous sommes face à une situation inédite. En effet, mis à part la période de l’occupation, aucune force de police – ou équivalent – étrangère n’a jamais été missionnée sur notre territoire pour y effectuer le service d’ordre ou d’autres missions régaliennes !

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Louis Chollet pour Dreuz.info.

 

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