Si l’Allemagne d’aujourd’hui n’est pas celle de 1932, la montée de l’extrême droite pousse les observateurs à souligner l’analogie des situations. Avec un but : être attentif aux signaux pour ne pas répéter les erreurs du passé, explique le correspondant du « Monde » à Berlin, Thomas Wieder.
Deux jours ont suffi pour que le Spiegel fasse le parallèle. « Bien sûr, l’histoire ne repasse pas les plats, mais quand des foules excitées d’extrême droite créent de l’agitation au cœur de l’Allemagne et que l’Etat de droit est dépassé par les événements, cela rappelle un peu la situation de la République de Weimar », écrivait l’hebdomadaire allemand dans son « briefing matinal », le 28 août, quarante-huit heures après les premières manifestations provoquées par la mort d’un Allemand poignardé à Chemnitz (Saxe), après une altercation avec des demandeurs d’asile.
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Dix jours plus tard, le président de la République fit à son tour le rapprochement. Dans un discours prononcé à Berlin, le 7 septembre, Frank-Walter Steinmeier ne cita certes pas le mot « Weimar », cette petite ville de Thuringe où fut rédigée, en 1919, la Constitution de la première République allemande. Mais l’allusion au régime balayé quatorze ans plus tard par les nazis était transparente. « Ceux qui crient haut et fort qu’il faut “renverser le système” doivent se souvenir de ce à quoi conduisit le mépris pour la première démocratie qui a existé sur le sol allemand. Un pays avec une histoire comme la nôtre ne doit jamais l’oublier », déclara-t-il ce jour-là.
L’avertissement visait Alexander Gauland, coprésident du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD). Trois jours plus tôt, celui-ci avait appelé à une « révolution pacifique » contre « le système politique ».
Repris par plusieurs éditorialistes ainsi que par quelques autres responsables politiques, le parallèle avec Weimar n’a pas tardé à faire réagir les historiens. Ceux-ci, dans différentes tribunes ou émissions, n’ont pas manqué de pointer ce qui distingue l’Allemagne de 2018 de celle du début des années 1930.
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Source : Lemonde
L’histoire se répète inlassablement et Merkel n’a pas su évaluer toutes les conséquences de cette submersion de migrants notamment venant de Maghreb. L’islam où la plupart de ces gens sont incapables de s’adapter à une vie normale puisque ceux ci vous disent que leur religion est supérieure à tout autre chose…
Lorsque l’on constate tous les jours des exactions commises par ces #religieux# , il faut s’attendre alors à la révolte du peuple .
Surtout par une Justice laxiste et complaisante…et qui ne répond pas aux attentes des citoyens.
Aujourd’hui, il faut employer la plus grande fermeté face à certains de ces barbares dégénérés….si l’on veut stopper la montée de l’extrémisme….
Nos gouvernants sont ils vraiment capables de comprendre cela….et surtout d’agir ?
😄
L’épouvantail du nazisme est agité par la gauche constamment et à propos de tout. Si aujourd’hui une fraction de la population est tentée par cette solution, ne faudrait-il pas se poser la question des causes?
Les amis sionistes & germaniques auriez avantage à jeter un coup d’œil & bien tendre l’oreille aux vidéos de Alexis Cossette-Trudel, le québécois sur YouTube *Radio-Québec* qui parle quotidiennement des globalostes/mondialistes/gaûchistes les suppôts du génial-maléfique George Soros avec ses migrations invasives de masse ! Alexis, souligne régulièrement le nom de madame Merkel (à la solde de Soros).
Y à pas de hasard pour rien dans la vie, mais des coincidences obligées …..
Il ne faut pas tout confondre. Les peuples n’aspirent pas à renverser la République mais la ripouxblique devenue mondialiste.
Publié dans la Basler Zeitung (extrait non daté) :
“Merkel a, en trois ans seulement, déstabilisé un pays puissant, homogène et organisé comme l’Allemagne, en créant des conditions dévastatrices comme il n’y en avait jamais eues depuis la Deuxième Guerre mondiale.”.
Que voilà un beau portrait pour entrer dans l’histoire.
@ Gil Hopkins. Excusez-moi, mais je dirais plutôt, concernant la mère Merkel, pour rejoindre les poubelles de l’histoire.
Il est vrai que l’Histoire “ne repasse pas les plats” mais les mêmes causes produisent les mêmes effets. Il est trop facile de rejeter les errements des responsables politiques sur le Peuple, lorsqu’il émet des préférences, exaspéré par les choix ubuesques de politiciens délirants. Hitler est arrivé au pouvoir par la carence et l’incompétence de la République de Weimar, et s’est installé par la faute de la lâcheté des gouvernements français et anglais, non par une magie inexplicable. Les extrêmes prospèrent sur le terreau des démocratie déclinantes, ce qui est de plus en plus le cas de nos jours. Les succès des partis populistes sont la conséquence de l’imbécilité autiste des sociaux-démocrates, qui, menacent clairement par leurs comportements et leurs choix, la paix sociale, et les bases civilisationnelles des sociétés occidentales. Les criminels sont ceux qui organisent sciemment l’immigration incontrôlée de destruction des sociétés, et non ceux qui en refusent l’ampleur et le danger. Renverser la charge de la preuve ne fera à la fois qu’aggraver un rejet de plus en plus exacerbé, et engendrer la violence contre une obstination délirante et suicidaire. L’idéologie doit s’effacer devant les réalités des Peuples, pas le contraire, sinon ce sera la guerre civile et un quelconque Hitler reviendra forcément. Alors toutes les digues médiatico-comunicatives censées contenir l’explosion voleront en éclat, une fois encore, avec les mêmes effroyables conséquences. Dans les campagne on disait autrefois “chauffer le marron ça le fait péter”, nous y sommes.
si vous utilisez les mots extrême droite, mettez des guillemets! idem pour fachiste !
cessez donc ces amalgames, rien a voir avec 1932, ceux qui ont pris le pouvoir a cette époque étaient socialistes, cessez donc de revisiter l’histoire ! le national socialisme ouvrier n’était le parti AFD de droite et le parti AFD n’a rien a voir avec le nazisme ! pourrait on en dire autant d’une certaine chancelière qui réussi a faire par la politique, la démocratie, ce que son prédécesseur de 32 n’avait pas réussi a faire par la guerre ! dominer l’ Europe !
Et j’ajouterai, Rudi, que Pendant la République de Weimar, les Allemands vivaient dans la misère à cause d’un important chômage et d’une inflation galopante.
Mais quand on voit que l’article a été écrit par le monde, on comprend les comparaisons oiseuses et les approximations bien pratiques pour faire peur.
” Distingue”? malhereusement presque rien. Germany c`est la meme
L’immonde fait dans le pathos anachronique et mensonger.
Ceci dit c’est vrai qu’il faut avoir peur du retour du socialisme national pour autant qu’il ai disparu, vu la liberté d’expression en Allemagne… comme en France… comme en Europe.
Ce qui est tuant à force c’est de voir ceux qui brandissent la menace d’extrême droite appeler et soutenir le pouvoir fasciste européen de tous leurs voeux. Une grande Europe pour mille ans sans doute ? Un seul peuple, un seul chef; au choix: Merkel ou Macron ?
Dormez braves gens, la politique européenne s’occupe de vous !
Gauchistes et laxistes s’offusquent de la montée des “extrêmes”, mais ils sont seuls responsables. Quand est-ce qu’ils le comprendront ENFIN?
Ces gros nazes gauchistes n’ont pas encore compris que si la droite extrême se porte de mieux en mieux, c’est parce que la truie Merkel et sa clique ont fait rentrer plus d’un million de migrants musulmans sans avoir pris le pouls du peuple allemand ! Leurs comparaisons entre l’Allemagne de 1932 et celle de 2018 ne tiennent pas la route !