Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 9 septembre 2018

 

À Waco, 86 membres d’une secte meurent dans le réchauffement dû à l’incendie de la ferme de l’Apocalypse ! Le Monde, 07/12/2004 : « À Waco, le 19 avril 1993, après 51 jours de siège, 86 disciples de la secte des Davidiens, dont 17 enfants de moins de 10 ans, meurent avec leur gourou, David Koresh, dans l’incendie allumé lors de l’assaut par le FBI de leur ferme-forteresse à Waco, au Texas.« 

Après l’incendie réchauffiste mortel de la ferme de l’Apocalypse de Waco, Atantico alerte sur le risque de « suicide au gaz à effet de serre« . Il faut vendre du papier et il faut faire peur ! C’est pourquoi, après Waco, les médias de l’Apocalypse se sont repliés sur le réchauffisme apocalyptique planétaire des sectes vertes.

Le Monde de l’Apocalypse réchauffiste de gauche a relayé en 2017 « l’opinion réchauffiste partisane de 15 000 scientifiques de gauche », qui n’ont aucune connaissance dans le domaine du climat, pour lancer « un cri d’alarme sur l’état de la planète, prévenant qu’il serait bientôt trop tard pour agir, pour tenter de garder une Terre vivable sur le long terme« . Ces scientifiques partisans de gauche appelaient l’humanité à changer radicalement de mode de développement. Nicolas Hulot « en hélicoptère et les autres à vélo » a déclaré : « La planète est en train de devenir une étuve, nos ressources naturelles s’épuisent, la biodiversité fond comme neige au soleil. Et on s’évertue à ranimer un modèle économique qui est la cause de tous ces désordres. »

Après l’idéologie verte de Nicolas Hulot « en hélicoptère » : Le réchauffement, c’est maintenant !

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Le Monde de l’Apocalypse réchauffiste de gauche publie une Tribune, « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité« , et relaie l’appel de 200 personnalités, les bouffons millionnaires des subventions étatiques de la profitation, pour se faire de la pub pour soi-disant sauver la planète : d’Alain Delon à Patti Smith, tous ont répondu à l’appel de Juliette Binoche et de l’astrophysicien Aurélien Barrau pour une action politique « ferme et immédiate » face au changement climatique. Les bouffons millionnaires de la république lancent cet appel : « Face au plus grand défi de l’histoire de l’humanité (ils connaissent quoi à l’histoire de l’humanité ?), le pouvoir politique doit agir fermement et immédiatement« . Les bouffons écrivent : « Il est temps d’être sérieux. »

Le Monde de l’Apocalypse réchauffiste de gauche continue : « Nous vivons un cataclysme planétaire. » Réchauffement climatique, diminution drastique des espaces de vie, effondrement de la biodiversité, pollution profonde des sols, de l’eau et de l’air, déforestation rapide : « tous les indicateurs sont alarmants« . Au rythme actuel, dans quelques décennies (???), « il ne restera presque plus rien » (???). Les humains et la plupart des espèces vivantes sont en situation critique. « L’effondrement est en cours« . La sixième « extinction massive » se déroule à une vitesse sans précédent. Une action politique qui ne ferait pas de la « lutte contre ce cataclysme sa priorité concrète, annoncée et assumée, ne serait plus crédible. » (???)

L’imposture réchauffiste anti-capitaliste est née de l’idéologie verte sectaire de la décroissance et de la frugalité « pour les autres ». Les médias ont fait connaître la remarquable et surprenante suite de mensonges de l’idéologie verte. Rappelons l’idée directrice. Elle vise à une soumission totale à l’idéologie verte pour faire de celle-ci une sorte de pseudo-science justifiée seulement par des fondements idéologiques despotiques.

Ce qui implique une réforme de toutes les vraies sciences, car ces sciences ne sont que des parties d’une véritable science universelle, laquelle n’est autre que la « négation de l’idéologie verte ». Si l’on considère l’idéologie verte, il lui manque le caractère de certitude de la vraie science, ce qui lui permet de se fonder intégralement sur des « intuitions absolues » au-delà desquelles l’idéologie verte ne peut rien fonder. Il est donc nécessaire de critiquer l’idéologie verte, conçue comme une idée abstraite et comme une intuition universelle, s’élevant sur l’imposture sectaire du caractère absolu de la pseudo-science. C’est pourquoi, quiconque veut fidèlement devenir un adepte de l’idéologie verte devra renier toutes les sciences admises jusqu’ici.

La critique de l’imposture réchauffiste s’impose avec la critique d’une idéologie orientée vers le passé, la décroissance, les restrictions, la frugalité et, pour y parvenir, la contrainte, les interdictions et les taxes !

L’idéologie verte, fondée sur l’intuition et l’opinion, est en quelque sorte une affaire personnelle des adeptes de l’idéologie verte. Elle doit se constituer en tant que sienne, être son savoir fondé sur l’opinion qu’il doit pouvoir justifier dès l’origine en s’appuyant sur ses intuitions sectaires réchauffistes absolues.

Du moment où les adeptes de la religion réchauffiste anti-capitaliste de la décroissance et du retour à la frugalité ont décidé de promouvoir ce mythe réchauffiste fondé sur l’intuition et non sur la science, ils ont par-là même fait objectivement « vœu de pauvreté » en matière de connaissance scientifique.

Dès lors, il faudra d’abord demander au GIEC quelle est la méthode qui donnerait la marche à suivre pour arriver au savoir réchauffiste véritable. Comme l’imposture réchauffiste du GIEC veut s’imposer, non pas comme une affaire sérieuse, mais comme une simple forme polémique et littéraire dont il userait pour exposer ses intuitions dans les médias, la propagande réchauffiste dessine le prototype du genre d’intuition nécessaire à tout adepte de l’idéologie verte. La religion commence avec les dogmes qui seuls doivent donner naissance à une croyance réchauffiste véritable. Si nous considérons le contenu de la propagande réchauffiste sectaire, nous y relevons la méthode bien connue et fort étrange du scientisme vulgaire qui crée toujours le doute.

Ne connaissant d’autre idéologie que celle d’une connaissance fondée sur l’intuition et l’opinion, les adeptes de l’idéologie verte s’interdisent d’admettre la critique méthodique de la vraie science pour mettre la propagande réchauffiste à l’abri de toute possibilité d’être scientifiquement mise en doute.

Ils refusent donc toute critique méthodique et tout ce qui dans la science se présente pour certain.

L’idéologie verte porte à réfléchir : elle s’est toujours fort peu souciée de fournir le moindre fondement rationnel absolu à la pseudo-science réchauffiste. Il est vrai qu’après s’être brillamment développée dans les médias de la gauche bobo pour vendre des voitures hybrides, la pseudo-science réchauffiste est entravée par l’obscurité, les erreurs et la confusion qui règnent dans ses justifications idéologiques mêmes.

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L’état de division des sectes vertes, dans lesquelles se disperse encore actuellement l’idéologie verte, et l’activité désordonnée que le GIEC déploie dans les médias corrompus à la remorque de la gauche écolo-anti-capitaliste, tout cela donne à réfléchir. Du point de vue scientifique, l’idéologie verte occidentale est dans un état de décadence manifeste. Avec les sectes vertes, la vraie science du climat a disparu partout !

Au commencement de l’ère de l’écologie moderne, la foi religieuse se transforma de plus en plus en une convention réchauffiste abstraite.

Une foi nouvelle se saisit de l’inanité intellectuelle de la pseudo-science réchauffiste. Les sectes vertes imposèrent la foi en une idéologie réchauffiste, mythifiée en pseudo-science autonome. Dès lors, toute la pseudo-culture réchauffiste devait être guidée et éclairée par des vues pseudo-scientifiques et par-là même imposée en une culture pseudo-scientifique nouvelle et autonome. Entre temps, cette foi réchauffiste s’est appauvrie, elle s’est transformée en propagande médiatique vulgaire et elle a cessé d’être une foi véritable. Au lieu d’une science vivante, impliquée dans la détermination du but visé autant que dans la position des problèmes et le respect des règles de la méthode scientifique, que possédons-nous ?

Nous avons une production de mensonges et d’erreurs croissant à l’infini, qui manque de fondement scientifique. Tout cela est créé artificiellement par l’idéologie verte écolo-gauchiste sectaire et arbitraire.

C’est pourquoi, au lieu d’un débat sérieux entre des théories scientifiques divergentes, le GIEC, en tant que communauté pseudo-scientifique à la base des sectes vertes, veut imposer la foi inébranlable de ses auteurs en une idéologie sectaire en forme de véritable terrorisme vert intellectuellement manipulé.

L’immense production médiatique réchauffiste d’aujourd’hui, avec son mélange désordonné d’erreurs et de mensonges à la mode, visant, non à l’effort de compréhension, mais à « l’effet » médiatique, entretient le désarroi dans les esprits à propos de la situation de la climatologie actuelle qui a perdu toute vitalité parce que l’esprit de responsabilité scientifique a disparu. Quel est le sens de cette idéologie radicale réchauffiste ?

Comment libérer l’idéologie verte sectaire fondée sur des préjugés, sur des fausses évidences, et sur l’opinion qui est sa justification absolue, pour faire de la climatologie une science vraiment autonome ?

Chacun veut ne tenir compte que de ses convictions par ne pas accepter les vérités de la science.

Or, la pseudo-science réchauffiste reste hypothétique. Donc l’idée réchauffiste est hypothétique aussi et nous ne savons pas si elle est vérifiable. Pourtant, la pseudo-science réchauffiste se répand sous la forme d’hypothèses invérifiables et à titre de bavardages médiatiques sur des généralités climatiques indéterminées.

La propagande médiatique de gauche accepte cette idée, non pas comme une hypothèse provisoire, à titre d’essai, mais comme un dogme pour guider et pour peser sur les décisions politiques sans savoir dans quelle mesure une action est possible et réalisable, car le radicalisme réchauffiste doit passer à l’acte !
Pour réagir, il s’agit de contrer l’idée réchauffiste qui n’est présentée qu’en une généralité vague. Bien entendu, il ne s’agit pas ici de science mais d’abstraction réchauffiste qui veut se prendre pour une science !

Il n’y a pas identité entre la pseudo-science réchauffiste à la mode, en tant que phénomène culturel et médiatique, et la vraie science « au sens vrai et strict ». La pseudo-science réchauffiste renferme une prétention qui n’est pas justifiée par le fait même de son existence en tant que phénomène médiatique. C’est justement dans cette prétention médiatique qu’est « exclue » l’idée de science, l’idée de science véritable.

Le jugement scientifique peut et doit interdire à l’idéologie verte la valeur de science véritable, quelles que soient ses prétentions à cet égard et qui sont propres à toute idéologie véritable.

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En revanche, rien ne saurait nous empêcher de nous faire une opinion claire et distincte sur les intentions et le but poursuivi par la pseudo-science pour promouvoir la foi ou la croyance réchauffiste des sectes vertes. Inutile de vouloir élucider la différence entre la vraie science, qui « fonde » ses jugements par l’acte de « prouver » et l’acte de « démontrer », impliquant « l’exactitude » ou la « vérité » scientifique, ou, au contraire, une idée de légitimation, de justification de la pseudo-science pour masquer son « inexactitude » ou « fausseté ».

On doit « distinguer » la volonté de justification scientifique et la vérité scientifique « démontrée ».

Mais, au lieu de cela, il peut y avoir un autre type de mensonge intentionnel, très particulier, une autre façon d’imposer la croyance réchauffiste : I’évidence. Dans l’idée de l’évidence, le « fait réchauffiste » n’est pas « envisagé » de façon lointaine et inadéquate, l’évidence nous est imposée en quelque sorte « d’elle-même » !

La croyance réchauffiste, qui se limite à une simple présomption, doit passer dans les consciences par l’évidence médiatique vulgaire, conforme aux choses de la publicité et aux « mythes » prouvés en eux-mêmes. Par la croyance réchauffiste de caractère spécial, la simple intuition du vide réchauffiste « se remplit » et « se parfait ». La croyance réchauffiste est la synthèse de l’intuition et de l’évidence de la fausse science.

Procédant de la sorte, nous voyons apparaître certains éléments fondamentaux de l’idée réchauffiste qui régit la propagande médiatique en se parant du titre usurpé de « vérité scientifique » parfaitement infondé et sans aucune démonstration pour le justifier jusqu’en ses éléments ultimes. En fait, cette exigence de se parer du titre usurpé de « vérité scientifique » ne peut que rester à l’état de simple prétention illusoire. Il s’y cache pourtant une autre évidence indispensable comme les éléments constitutifs de la « prédication réchauffiste ». Pour exister, la prédication réchauffiste doit revendiquer l’idée de vérité scientifique de manière absolue.

L’évidence réchauffiste sectaire est la négation de l’idée de science véritable, fondée et justifiée, en toute rigueur. Dans l’évidence, nous avons seulement l’expression d’une opinion ou d’une simple hypothèse.

La contradiction entre « l’opinion » qui repose sur des intuitions-convictions et « la science » qui repose sur des preuves montre que le contenu de l’évidence est fondé sur des intuitions pré-scientifiques qui ne sont qu’une fausseté évidente, au contraire de la rigueur stricte de la méthode et de la vérité de la science.

La vie quotidienne des médias réglée pour des fins publicitaires variables et relatives, se contente d’évidences artificielles et de vérités relatives. La science, elle, exige des vérités démontrées et définitives.

Si l’idéologie verte, comme elle-même doit pouvoir s’en convaincre, ne repose pas sur la science, et ne réussit pas à édifier la prédication réchauffiste en un système de vérités scientifiques « absolues », alors elle doit arrêter ses mensonges et ses mystifications fondées sur un nombre infini d’approximations et d’erreurs qui convergent toutes vers « cette idée fausse d’évidence » réchauffiste sectaire. À l’aide de ces approximations et erreurs, la prédication verte croit pouvoir imposer une fausse perception réchauffiste naïve et arbitraire.

À quoi bon s’encombrer de constatations scientifiques véritables ? Une science rigoureuse du climat nous sera-t-elle donnée par la suite ? Nous n’en pouvons rien savoir aujourd’hui, surtout pas avec le GIEC !

Moralité : la décroissance et la frugalité du terrorisme vert anti-capitaliste, c’est « pour les autres » !

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